L'Astre Tyran

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Ossus est l'un des mondes les plus importants aux yeux des Jedi. Récemment retrouvée par ces derniers après que ses coordonnées aient été perdues, la planète est recouverte de montagnes et de jungles inhospitalières, bien que capables d'abriter la vie.
Contrôle : Ordre Jedi
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By Cal Keran
#12664
Tiens. L'homme, faisant preuve d'un comportement des plus cavaliers. Bon, d'accord, sa petite diatribe POUVAIT surprendre. Par pour qui connaissait le bonhomme, mais au mot sith, le commun des mortels attendaient des êtres irréalistes, d'une cruauté et d'une seigneurie rare. L'opposé lorsqu'on rencontrait un sith. La noblesse et la droiture. Aucun des deux comportements ne convenaient à Cal. Irréaliste, bien loin d'un pragmatisme salvateur. Et lorsque l'homme dégaine sa lame, il n'esquisse pas un mouvement. Et se contente de sourire, secouant doucement la tête.

Cal : "A votre place, Gàios, je n'y penserai même pas."

Plus aucune sympathie dans la voix. Il voulait voir du sith, sans doute. Il allait en voir. Mais son apprentie réagit. Et il laisse faire. Les armes se lèvent, la situation se tend. Heureusement, leur chef panique. C'est ça qui est magnifique avec les escouades. Destabilisez la tête, le reste du château de cartes s'effondre tout seul. Ils marquent un temps d'arrêt. Pas vraiment le temps de prendre le thé, vu les armes qu'ils pointent sur Tali, même lui ne parviendrait pas à la sauver. Doucement, il se rapproche de l'homme. Se penche. Et murmure à son oreille.

Cal : "Je n'ai aucune affinité pour les relicats impériaux. Encore moins pour les jedis. Si vos hommes baissent leurs armes, nous pourrons peut-être envisager de discuter plus... Détendu ? Je ne suis PAS un jedi. Et contrairement à eux, je n'hésiterai pas à me servir de vous pour sortir d'ici puis pour vous jeter par le cockpit une fois en orbite. Pas une seconde. Mais je pense que nous avons beaucoup mieux à jouer que ça pas vrai ? Je pense que je peux vous aider dans votre collecte. Contre rien d'autre que l'assurance d'avoir une discussion à tête reposée."

Il lève un doigt en direction de Tali. Regarde l'homme. Réfléchit une seconde. Et pose l'ultime question.

Cal : "Alors ? Une bière tous ensemble, ou nous commençons à nous entretuer pour des clopinettes ?"

Et autour de lui, doucement, il déploie son aura, lourde, pesante et noire. Il voulait avoir du sith. Il l'avait. Il pourrait sentir cela au plus profond de son être. Il pourrait ressentir le côté obscur frôler sa peau, sa chair et ses os. Et il comprendrait que sa vie ou sa mort se décidaient maintenant.
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By Youki Hini
#12667
Toujours sur le sol, il avait le sabre sous la gorge et on lui demandait d'accepter inacceptable, pour lui et ses ancêtres. Sa famille était propriétaires de milliers d'hectares de vigne depuis des millénaires et il lui demandait de boire...une bière! Mais voilà, la situation était ce qu'elle était et ce genre d’exigence était tout à fait acceptable en proportion des risques encourus à la refuser. Il faisait signe derrière lui de la main de baisser les armes.

"Baissez vos armes!"

Ils baissaient leurs canons.

"Une bière j'accepte volontiers j'ai la gorge serrée soudainement çà me ferait du bien."

En disant cela il espérait que Tali enlèverait ce truc de sous sa gorge.

"J'ai bien compris je tenterais rien, on peux s'entendre oui..."

A moins d'une ruse sadique ils semblaient enclin à discuter. Par contre ils n'avaient pas de bière dans leurs bombardiers...
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By Tali Valserna
#12672
La situation semblait se calmer et quand Orestis donna l'ordre de ne pas tirer, la jeune femme se détendit légèrement et abaissa son bouclier. Le tenant toujours, elle leva les yeux vers Cal, la fatigue se sentait toujours sur le visage de la jeune sith, son teint devenait livide et de grande cerne bleue commençait à se dessiner, seules ses joues encore rouges éclairaient ses traits. Malgré cela, elle tenait toujours son prisonnier et en voyant le geste du sith elle acquiesça doucement et attendit la suite. Elle n'eut pas longtemps à attendre, non pas la réponse de l'homme, mais l'aura sombre de son maître qui pour elle lui paraissait le plus doux des réconforts. Elle se détendit largement, sembla regagner un peu en vitalité et resserra légèrement son étreinte. Fermant les yeux, elle se laissa totalement couler dans l'aura, même si celle-ci ne lui était pas destinée, elle l’appréciait tout pareil.

*Un peu de réconfort bienvenue, c'est agréable*

Elle frissonna légèrement, ouvrit les yeux et un large sourire ravis illumina son visage. Sans s'en rendre compte, son étreinte sur Orestis venait de largement se relâcher, et quand elle entendit ses dernières paroles, elle le relâcha finalement. Restant à genoux par terre, elle leva une seconde les bras en l'air en signe de paix et rangea son sabre à sa ceinture en murmurant à son prisonnier avant qu'il ne se relève.


-Pardonnez moi, je n'apprécie pas qu'on le menace, je vous aurais tué si il en avait donné l'ordre.

Elle leva de nouveau les yeux sur Cal, ceux-ci habituellement de la couleur de l'azur, venait de prendre la teinte d'un ciel de nuit. Elle pencha légèrement la tête et lui sourit doucement. Orestis libéré, elle se leva finalement, cachant sa fatigue en se posant fortement dans l'aura de son maître. Doucement elle vint se poser à ses côtés, la tête légèrement baissée et les mains croisées devant elle. Elle lui jeta un coup d’œil et lui murmura.

-Je suis désolé maître... je ne voulais pas qu'il...

Elle soupira doucement en secouant la tête, puis la releva, observant les hommes en garde autour des ruines. Voyant leurs armes elle réalisa enfin qu'elle aurait largement pu y laisser sa peau. Un léger sourire de suffisance, sa main se tendit une seconde, discrètement, vers celle du sith mais elle se ravisa finalement. Finalement, elle prit doucement la parole comme si rien ne s'était passé.

-Je vais chercher les rafraîchissements si vous le souhaitez.

Elle avait besoin de souffler une seconde et cette solitude lui serait bénéfique, ce qui ne serait pas le cas de la bière de Cal par contre. Elle se retourna prête à partir vers les vaisseaux, puis se retourna finalement vers le groupe.

-À moins que vous...

Elle pointa du doigt leurs vaisseaux attendant une réponse.
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By Cal Keran
#12674
Geste du doigt, la jeune femme lâche son bouclier humain. Et doucement, voila le sith laissant son aura refluer. Il sentait bien que celle-ci aidait la jeune apprentie, il se souvenait de cette addiction si particulière. Une addiction qu'il faudrait combattre. Se relevant légèrement, il ouvre les bras.

Cal : "Magnifique ! J'aimerai avoir mieux à offrir, mais nous sommes perdus sur une planète abandonné, vous comprendrez sans aucun problème que je n'ai rien d'autre. Ne vous en faites pas, c'est une bonne corelienne, pas une merde de grande distribution."

Rapidement le voila qui se place au coté de l'homme, et plaque son bras métallique autour de son épaule, sans crier gare, manifestement enthousiaste.

Cal : "Bien sur qu'on peut s'entendre ! Pendant que vos hommes travaillent, nous allons pouvoir voir en quoi nos intérêts convergent."

Et à la sith, il sourit.

Cal : "Tu as bien réagi Tali, ne t'inquiète pas. Un peu brutal peut-être, mais avec un homme de goût, on finit toujours par s'entendre. Va. J'ai de quoi rafraichir tout le monde ici, tu sais où le trouver. Ce sera un peu lourd, heum..."

Il compte de nouveau les hommes du doigt et en désigne un. Pas au pif. Non, le seul qui dégageait une aura moins assurée que ses comparses.

Cal : "Tiens, demande à ce charmant jeune homme de faire preuve d'un peu de galanterie."

Les laissant s'éloigner, il se détache de Gaios. Sa voix se fait de nouveau moins amicale.

Cal : "Vous risquez d'être déçu parce que vous trouverez ici mon ami. Des reliques, de vieilles connaissances, des données certes importantes pour un historien mais d'un intérêt stratégique limité. J'aimerai moi-même vous renseigner, mais petit un, je n'ai aucun renseignement intéressant, et petit deux, aucun intérêt."

Ah, là, on entrait dans la partie la plus "compliquée".

Cal : "Certains siths s'échinent à détruire les adeptes du coté lumineux, les jedis. Pour ma part, je ne considère pas le Côté Obscur comme une idéologie mais comme un outil, et, entre nous, tant que jedi, république et empire n'interfèrent pas dans mes affaires, je m'en tamponne le bantha avec une babouche. Maintenant, je dois vous avouer que depuis la chute de l'Empire, ces affaires sont devenues plus compliquées. Voyez vous, vous aviez le mérite d'avoir une certaine unité. Obscure, certes, mais au moins, c'est en ordre. Maintenant, c'est le chaos. Pour le commun des mortels, le bordel. La République qui tente de vous arracher vos derniers bastions, vous d'écraser la République, au milieu, il y a beaucoup, beaucoup de civils qui n'ont honnêtement rien demandé. Et ça , ça me chagrine. Lutter contre le crime est une chose, le faire entre deux foudres de guerre en est une autre."

De la main, il chassee une... Mouche imaginaire, sans doute.

Cal : "Des considérations qui vous passent sûrement par dessus la tête. Qu'importe. Dites moi, pour quel seigneur local vous bossez, vous ?"

Enfin, la jeune femme revient, accompagné du garde.

Cal : "Ah, la plus belle ! Oui, Tali a été l'apprentie un certain temps d'un sith nettement moins bien attentionné et plus porté sur les classiques "meurtres d'innocents" et "destruction à l'échelle planétaire". Cela va nous prendre un certain temps pour nous en débarrasser, vous savez, les siths sont plutôt possessifs en terme d'apprenti. A moins que..."

Il claque des doigts.

Cal : "A moins que nous n'ayons accès à des moyens plus importants. Un sith seul face à une armada se ferait littéralement atomisé. Z'en pensez quoi, Gaios, connaissant la puissance de feu de votre patron ?"
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By Youki Hini
#12717
La jeune femme semblait aux ordres de Kerran comme une soubrette pensa le Duc. Étonnant qu'elle soit si dangereuse et si soumise, cela voulait dire que Cal touchait sa bille. Un courant d'air froid parcourait son corps, quelques choses de désagréable. Elle se demandait s'ils avaient quelques choses à boire dans leurs vaisseaux.

"Non j'ai pas pensé à prendre le mini bar voyez-vous..."

A peine avait il dis çà que le duc se rattrapait. Non mais s'il parlait à des sith il devrait être plus prudent quand même, ils pouvaient ôter la vie pour un rien.

"..enfin je veux dire...désolé j'ai rien pour trinquer"

Il souriait dans sa moustache en réajustant ses lunettes. Il se relevait quand soudainement le sith devenait étrangement familier, lui tapait dans le dos, et lui passait sont -OH MON DIEUX C'EST UN FAUX BRAS- autour du cou. Après cela il lui apprenait qu'il n'y avait rien d’intéressant ici. Il n'avait rien a faire des conflits Empire - République, voilà qui intéressait toujours Gáios. Il semblait croire qu'il travaillait pour un seigneur de Guerre des vestiges de l'Empire. On était pas très loin de çà en y réfléchissant, même si ces vestiges là s'étaient extraits de l'Empire tel qu'on le connait depuis dix ans.

Il continuait à claquer des doigts de manière fort familière, voilà qui dérangeait quelques peux sa sainteté le duc mais il ferait avec. Ils venaient probablement du prolétariat pour boire de la bière après tout. Il lui demandait qu'elle était la puissance de feu de son patron. Celle qu'i lavait à disposition en somme, puisqu'il était le Haut Amiral qui la commandait.

L'un des SSO ouvrait une caisse pour en sortir des verres, mais en brisa en les prenant dans ses mains. Ces gants d'armure assistée bourrés de servo-moteurs c'était pas fait pour les petites choses de la vie, déconseillé de se gratter quelques part avec çà. Gaios le regardait avec dans le regard ceci: " Pauvre imbécile, t'es une troupe d'élite toi?". Le soldat enlevait un gant pour poser des verres
.

"Laissez nous on a à parler"

"Bien chef"

Il partait rejoindre les autres. Tandis qu'Orestis se laisserait servir. Il boirait une Corellienne au clair de lune, assis sur un muret de temple jedi avec deux sith. Scène surréaliste qu'il n'aurait jamais imaginé il y avait trente ans de cela, quand il participait aux offensives Séparatistes sur Ossus.

"Mon patron à une puissance de feu officielle que je commande, mais il m'a appris qu'il en a une "non officielle" dont les quatre hommes à l'intérieur font partie. Une ancienne flotte pirate survécus d'un organisation tombée en décrépitude par une action de l'administration, euh je veux dire par le manque d'intelligence de ses membres dirigeants.

Il se pourrait que je sois à la recherche de gens comme vous pour agir avec elle. Rien de légal dans tout çà, mais bon si vous êtes sith vous vous en tamponnez le "bantha avec une babouche" de la légalité n'est ce pas?"


Il avait posé sa bière sur le muret pour faire des guillemets en citant Kerran. Si ses interlocuteurs étaient un peux allumés il l'était aussi.
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By Cal Keran
#12768
Un léger sourire amusé s'étire sur les lèvres du sith. Un petit rire s'élève, ensuite, il secoue la tête. La crainte soudaine qu'il sentait émaner de l'homme était... Jouissive. Celui-ci commençait à caler dans son esprit ce qu'il connaissait des siths, et le fait qu'il en avait deux vrais autour de lui. Ce qui n'avais rien pour rassurer qui que ce soit, en général en tout cas.

Cal : "Nous ferons sans mini-bar. C'est la jungle, ici, l'aventure, pas un parcours touristique sur Naboo ! Et détendez vous, mon vieux, on dirait que vous avez peur que je vous arrache le coeur. C'est me méconnaitre, penser ça ! Tali, tu m'as déjà vu tuer pour rien ? Ou tuer un partenaire tiens ? Non ? Non !"

Un soldat brise un verre. Tournant sa tête, il lâche, dans un soupir...

Cal : "Le petit personnel."

Tendant la main, il attire à une bouteille, qui, rapidement, se fiche dans sa main. La décapsulant des dents, une gorgée part, toute aussi rapide. Reprenant son souffle, il regarde l'homme.

Cal : "Je vois. Une organisation de type Consortium, c'est ça ? Je vois de quoi vous parlez. Et ne me piquez pas mes expressions, ça ne sonne pas bien dans votre bouche."

Non, c'est vrai quoi, c'est à LUI cette expression. Et dans la bouche de ce sang-bleu, ayant manifestement trébuché sur un balai dans son enfance, c'était une anomalie bien pire que celles que l'on pouvait trouver dans l'Espace Lointain. Enfin bref.

Cal : "Mon ami... Il me faudra plus, beaucoup plus de détails. Qui ? Pour quoi ? Qu'y gagnez vous, et qu'est ce que j'y gagne moi-même ? Si votre grand fantasme est d'avoir des... Siths de compagnie, grand bien vous fasse, mais à moins que cela n'arrange mon apprentie, et moi-même, non, vraiment, mieux vaut couper court à la discussion. Sans mauvais jeu de mots, rassurez vous !"
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By Tali Valserna
#12821
Arrêter à attendre une réponse, Cal envoya un homme avec elle pour aller chercher la cargaison de rafraîchissement. Au moment où elle faisait demi-tours, prête à partir vers les vaisseaux, la voix d'Orestis lui répondit finalement. Elle se retourna pour l'écouter un léger sourire amusé s'afficha sur ses lèvres. Il prenait tellement de pincette pour ne pas les froisser que cela en devenait comique. Elle ouvrit les lèvres pour répondre mais fit couper par Cal qui rassura les craintes de l'homme en la prenant à partie. Observant toujours leur invité, elle effectua une légère révérence, toujours en souriant et répondit à la question de son maître.

-Il ne vous fera aucun mal, il a une sainte horreur de se salir les mains pour rien, rassurez-vous.

Elle effectua une révérence devant Cal en riant légèrement et reprit.

-Pour ce qui est du minibar, ne vous inquiétez pas, mon cher maître à toujours de quoi tenir un siège. Enfin, si vous voulez bien m'excuser.

Elle inclina légèrement la tête et partit en direction de l'appareil accompagné de son escorte. L'homme la suivait de près, mais s'il tentait le moindre geste brusque, la moindre parole, elle ne pourrait garantir de sa survie. Arrivée au vaisseau elle lui demanda de rester en bas de la rampe d'accès et entra de longues minutes. Elle réapparut finalement à l'entrée du vaisseau chargé d'une lourde caisse. Elle descendit et la posa dans les bras du soldat. Souriant, elle inclina la tête pour le remercier, ferma le vaisseau et repartit dans l'autre sens sans se soucier de la pénibilité donnée à son accompagnateur.

Ils arrivèrent rapidement à proximité des ruines, le soldat posa la caisse à coté du muret où étaient assis les deux hommes. Gardant ses gants, il commença à essayer de les servir. Essayer était le mot, un verre fut brisé et devant l'incompétence de l'homme, la jeune femme soupira et leva les yeux au ciel. Celui-ci fut finalement congédié et Tali prit le relais, sortant un verre de la caisse, le posant devant le duc et le servant. Ayant fait cela, elle vint s’asseoir à côté de son maître, les mains vides.

Une bouteille passa devant elle pour atterrir dans les mains de son maître. Écoutant les deux hommes elle jeta un coup d’œil alentour, essayant encore une fois de compter le nombre d'hommes et de vaisseaux présent. Le regard toujours ailleurs elle répondit finalement d'une voix douce et posée.


-Je refuse de servir de simple compagnie...

Son regard revint sur les deux hommes.

-Mais le simple fait d'avoir une flotte paraît déjà alléchant, bien que très grand pour deux âmes comme nous. Que gagnerons-nous de plus à nous allier à vous? Et hum je suppose que vous en gagnerez aussi quelque chose, enfin cela vous regarde tant que vous ne tentez pas de nous nuire. Elle inspira longuement et jeta un coup d’œil à son maître. Pour ce qui est de la légalité et bien je pense que nous ne serrons pas les premiers et les derniers à passer outre.

Elle sourit doucement et inclina légèrement la tête. Élevées dans une famille aisée, ses manières étaient bien plus élégante que celle de Cal. Elle ne savait si cela ferait la différence vue comme elle avait agressé le pauvre homme, mais mieux valait contrebalancer le côté un peu déjanté de son maître. Après tout autant jouer sur tout les tableaux. Souriant, elle leva les yeux et les posa sur Orestis puis elle reprit la parole, doucement, d'une voix légèrement amusée.

-Oh et une chose, évitez en effet de reprendre ses expressions, cela ne vous va vraiment pas, bien trop rustre. Enfin, que proposez-vous?

Elle aimait toujours autant contredire son maître et remettre en cause la place qui était la sienne. À cet instant la parole ne lui revenait pas, mais elle se l'était prise de droit, ne voulant pas être une simple spectatrice de leur future destinée.
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By Youki Hini
#12827
Ils voulaient en savoir plus. Gáios posait sa bière sur le muret.

"Je ne sais pas si vous connaissez Thyferra, la planète productrice de bacta. Un Vratix nommé Spraug à détourné pendant des années des stocks de cette coûteuse ressource et on dis qu'il en aurait stocké sur une planète. Une Guilde d’assassins qui étaient autrefois des amis aurait mise la main dessus.

Je voudrais que vous vous y rendiez, et que par le moyen que vous jugez opportun vous me donniez libre accès à ce stock afin que nous venions le prendre.

Je pourrais vous fournir pour cela un vaisseau de transport et ses 250 hommes d'équipages et techniciens, ainsi que quelques chasseurs.

Si vous réussissez, vous en gardez le commandement, cela deviens a vous et vous en faites ce que vous voulez. En plus de cela je vous paierais suffisamment pour l'entretenir un an.

Vous voyez que je ne cherche pas des sith de compagnie, je cherche juste à vous proposer un job ponctuel. Je vous laisserais pas seuls si besoin d'aide, je peux envoyer quelqu'un avec vous bien que je soit sur qu'il n'aie pas vos talents pour le combat. Et si on est tous les trois satisfaits je pourrais vous en donner d'autres, avec d'autres vaisseaux et crédits à la clef."
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By Cal Keran
#12898
Un vague regard vers son apprentie. Il l'aurait voulu noir, mais il était amusé. Après tout, apprentie ou pas, elle était grande, maintenant. Et il n'avait jamais été un grand fanatique des attitudes à tenir de maitre à élève. Une gorgée de bière, il écoute l'homme avec attention. Et hoche la tête, après quelques secondes de réflexion.

Cal : "Cela me parait.... Presque trop beau pour être vrai. Vous donnez à deux inconnus une petite flotte, avec pour seule instruction de libérer un stock de Bacta. Dont, soit cette mission est presque impossible, et vous n'avez plus que les premiers siths qui vous tombent sous la main à envoyer. Soit vous êtes particulièrement confiant, et ça vous perdra. Dans les deux cas..."

Regard vers son apprentie.

Cal : "Si vous pouvez la prendre, Tali viendra avec vous. J'ai une dernière affaire à régler. Et je n'aurai pas le temps de chercher les armes."

Se levant, il avise les hommes en exo-squelette.

Cal : "Si vous n'envoyez pas ce genre d'hommes, c'est que votre guilde doit être constituée de sacrés crevures. Estimation de leurs effectifs ? De la taille de leur réseau ? N'importe quelle info utile, en fait, ne vous faites pas prier mon vieux, balancez, on a du travail !"

Il détestait le compte goutte inutile... Dieu que aç l'énervait...
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