- lun. 4 nov. 2013 23:55
#3988
Pnj : Jack Diggs
Appartement privé de Jack Diggs
Heure locale : 00h50
Appartement privé de Jack Diggs
Heure locale : 00h50
Regardant la feuille qu'il tenait dans l'une de ses mains, il porta le verre de contenant un liquide de couleur brune, à ses lèvres de l'autre main. Diggs avait les yeux fatigués de force de relire et de corriger son discours. Il devait faire mouche à l'assemblée de demain. L'enjeu était grand. Plus de cinq ans pour en arriver là, les sacrifices qu'il avait dû faire devaient payer, s'en était primordiale. Posant la feuille il se leva de son fauteuil pour se diriger vers la fenêtre double vitrage qui donnait une vue sur l'ensemble de la ville. La seule grande ville de toute la planète, qui était autrement constituée seulement de petites banlieues. Son verre toujours en main, il y regarda au fond son reflet déformé par le liquide. Le sauveur, il se voulait l'être, vraiment. Mais les choses étaient... compliquées.
Un signal sonore se fit entendre, alors, on essayait de le contacter, c'était sa deuxième ligne inconnue de tous mise à par lui et de... L'hologramme s'alluma et une masse brune apparue, les grands yeux oranges le fixant, se sourire gras aux lèvres, sa voix roque et dur raisonna.
« Mr Diggs ! Cela fait longtemps trois mois ? Oui. Nous y somme, enfin. Depuis ces années. Vous êtes près du but mon ami. Dans quelques jours l'élection de nouveau sénateur de Saleucami sera élu, et je suis sur d'avoir parier sur le bon cheval. »
Ami. Ce mot raisonna faux dans la tête de Diggs, mais quand bien même il le devait.
« Seigneur Cosello. Je m'étonnais déjà de ne pas vous avoir parlez plus tôt. J'imagine que vous êtes autant occupé que moi. Demain je démontrerai mes convictions au peuple de Saleucami et j'espère qu'il écoutera. »
A vraie dire, ce n'était pas dur, la plupart des représentants des parties, des années impériales avaient été virés, emprisonnés, voir tués après la chute du consortium de Zann. La majorité avait été corrompue par cette organisation criminel et maintenant le gouvernement essayait de se relever autant qu'il le pouvait, pourtant toujours accompagné de celle-ci, comme une gangrène ne pouvant pas être stoppée. C'était là la force de Diggs, plus rien n'entachait sa famille qui avait été à une époque obligée de collaborer avec les criminels, Nazara s'en était chargé, en échange... hé bien de rien. Il avait même financé une grande partie de sa campagne avec l'aide de procédés très complexes de dons anonyme, d'entreprises et d'autre tours légale, ne pouvant être remonter au hutts. Là encore, rien en retour. Mais au final Jack savait ce que voulait le Hutt. Et c'était bien diffèrent des autres mania du crime voulant seulement régner sur la planète. Lui, il laisserait Diggs les questions de sa planète et en échange il deviendrait les yeux et oreilles au sénat galactique et devait faire gagner l'influence des Hutts dans son sein.
« Il écoutera. Reposez-vous, je veux vous voir d'attaque pour demain. »
L'hologramme s'éteignit alors. Laissant seule, Diggs avec son verre, face aux lumières de la ville.
Siège de campagne de Jack Diggs
Jour suivant - Heure locale : 14h30
S’appuyant sur le pupitre, faisant face au public dans la salle, aux holocaméras qui flottaient un peu partout, il commença
Un signal sonore se fit entendre, alors, on essayait de le contacter, c'était sa deuxième ligne inconnue de tous mise à par lui et de... L'hologramme s'alluma et une masse brune apparue, les grands yeux oranges le fixant, se sourire gras aux lèvres, sa voix roque et dur raisonna.
« Mr Diggs ! Cela fait longtemps trois mois ? Oui. Nous y somme, enfin. Depuis ces années. Vous êtes près du but mon ami. Dans quelques jours l'élection de nouveau sénateur de Saleucami sera élu, et je suis sur d'avoir parier sur le bon cheval. »
Ami. Ce mot raisonna faux dans la tête de Diggs, mais quand bien même il le devait.
« Seigneur Cosello. Je m'étonnais déjà de ne pas vous avoir parlez plus tôt. J'imagine que vous êtes autant occupé que moi. Demain je démontrerai mes convictions au peuple de Saleucami et j'espère qu'il écoutera. »
A vraie dire, ce n'était pas dur, la plupart des représentants des parties, des années impériales avaient été virés, emprisonnés, voir tués après la chute du consortium de Zann. La majorité avait été corrompue par cette organisation criminel et maintenant le gouvernement essayait de se relever autant qu'il le pouvait, pourtant toujours accompagné de celle-ci, comme une gangrène ne pouvant pas être stoppée. C'était là la force de Diggs, plus rien n'entachait sa famille qui avait été à une époque obligée de collaborer avec les criminels, Nazara s'en était chargé, en échange... hé bien de rien. Il avait même financé une grande partie de sa campagne avec l'aide de procédés très complexes de dons anonyme, d'entreprises et d'autre tours légale, ne pouvant être remonter au hutts. Là encore, rien en retour. Mais au final Jack savait ce que voulait le Hutt. Et c'était bien diffèrent des autres mania du crime voulant seulement régner sur la planète. Lui, il laisserait Diggs les questions de sa planète et en échange il deviendrait les yeux et oreilles au sénat galactique et devait faire gagner l'influence des Hutts dans son sein.
« Il écoutera. Reposez-vous, je veux vous voir d'attaque pour demain. »
L'hologramme s'éteignit alors. Laissant seule, Diggs avec son verre, face aux lumières de la ville.
Siège de campagne de Jack Diggs
Jour suivant - Heure locale : 14h30
S’appuyant sur le pupitre, faisant face au public dans la salle, aux holocaméras qui flottaient un peu partout, il commença
- « Vingt ans. Pendant vingt ans nous avons supportés la corruption de notre planète par des individus mal intentionné, tel que Tyber Zann et son organisation. Encore aujourd'hui nous en subissons les conséquences. Mais je dis assez ! Nous avons assez souffert de ces maux. Je le dis Saleucamiens, en tant que sénateur je ne tolérerais plus cette vague de crime perpétrée dans les quartiers où j'ai grandi, où vous avez grandi.
A l'aube de la Nouvelle République nous devons participer à ses prémices dans les meilleures conditions. Je n'ai pas toujours été d'accord pour la reformation de la république, mais lors de la nomination de Leia Organa au poste de présidente, je l'ai écouté, chacun de ses mots et je l'ai crue. J'ai toute confiance en ce nouveau gouvernement. Mesdames, messieurs, donnés moi votre confiance à votre tour et j'aiderais que le voeu de la nouvelle République devienne réalité. »
« Comment un homme peut-il mieux mourir,
Qu'en affrontant un destin contraire, pour les cendres de ses aïeux, et les temples de ses dieux »
Qu'en affrontant un destin contraire, pour les cendres de ses aïeux, et les temples de ses dieux »