- ven. 29 avr. 2016 06:35
#22671
Lorsque la délégation sorti de leur appareil, ils eurent droit à une fouille humiliante et seul le calme de la princesse empêcha les dignitaires de simplement retourné dans leur vaisseau et quitter. Car sous sa douceur et sa compassion, Sovaya était quelqu'un de déterminé avec une forte volonté. Elle accepta même qu'il lui fasse une fouille au corps où son sabre fut rapidement trouvé et confisquer. Malgré ce manque cruel de décorum, de respect et de dignité, elle resta la tête haute, sans être arrogante ou orgueilleuse, mais refusant de laisser ses soldats la rabaisser à l'intérieur d'elle-même et lorsque les autres dignitaires avec elle tentèrent de refuser, elle les fit taire d'un regard. Aucun d'eux ne voulais rapporter à son père qu'ils avaient fait moins bonne impression qu'elle.
Alors qu'on les traitaient avec moins de dignité qu'un chien, du moins selon ses conseillers, une autre délégation arriva et fut accueilli en grande pompe, ce qui ne fit que rendre la colère des condisciple de la jeune Chevalier encore plus forte. Des pirates et des chat sans honneurs étaient mieux accueilli qu'eux, pour les falleens, c'était un coups dur, très dur. Sovaya espéra sincèrement que ses efforts des dernier trois ans ne serais pas anéanti avant même qu'elle ne puisse rencontrer un dignitaire de la République.
Heureusement, avant qu'elle n'ait pas d'autre choix que de répondre à la manière dont on les traitaient, la dernière personne qu'elle aurait penser rencontrer avec l’accueil qui leur avait été réservé arriva. Elle s'inclina aussi devant la princesse aussi bas que le traitements reçu et son rang le lui permettait devant la Présidente, qui avait la plus forte présence dans la Force qu'elle eu jamais ressenti jusqu'à présent.
"Vous êtes un vent de fraicheur sur la brûlure de nos égo Présidente."
Elle espérait que sa subtilité permettrais d'ouvrir le dialogue tout en signalant le traitement indigne qui leur avait été réservé. Oui, leur délégation n'était pas attendu, mais c'était dans les meurs de son peuple de se croire tellement supérieur qu'il ne serais jamais venu à l'esprit de son père de prévenir qu'il envoyait une délégation et ce n'était malheureusement pas sa place de prévenir au lieu de son père, elle ne pouvait qu'en subir les conséquences et espéré qu'elle serais suffisante. Elle espérait aussi que ce n'était pas une manipulation de quelqu'un pour garder les Falleens en dehors de la République.
Alors qu'on les traitaient avec moins de dignité qu'un chien, du moins selon ses conseillers, une autre délégation arriva et fut accueilli en grande pompe, ce qui ne fit que rendre la colère des condisciple de la jeune Chevalier encore plus forte. Des pirates et des chat sans honneurs étaient mieux accueilli qu'eux, pour les falleens, c'était un coups dur, très dur. Sovaya espéra sincèrement que ses efforts des dernier trois ans ne serais pas anéanti avant même qu'elle ne puisse rencontrer un dignitaire de la République.
Heureusement, avant qu'elle n'ait pas d'autre choix que de répondre à la manière dont on les traitaient, la dernière personne qu'elle aurait penser rencontrer avec l’accueil qui leur avait été réservé arriva. Elle s'inclina aussi devant la princesse aussi bas que le traitements reçu et son rang le lui permettait devant la Présidente, qui avait la plus forte présence dans la Force qu'elle eu jamais ressenti jusqu'à présent.
"Vous êtes un vent de fraicheur sur la brûlure de nos égo Présidente."
Elle espérait que sa subtilité permettrais d'ouvrir le dialogue tout en signalant le traitement indigne qui leur avait été réservé. Oui, leur délégation n'était pas attendu, mais c'était dans les meurs de son peuple de se croire tellement supérieur qu'il ne serais jamais venu à l'esprit de son père de prévenir qu'il envoyait une délégation et ce n'était malheureusement pas sa place de prévenir au lieu de son père, elle ne pouvait qu'en subir les conséquences et espéré qu'elle serais suffisante. Elle espérait aussi que ce n'était pas une manipulation de quelqu'un pour garder les Falleens en dehors de la République.