- mer. 30 déc. 2020 18:38
#38694
Dans l’étreinte de la Maîtresse laisse-toi choir, car il est notre Sombre Amour et notre Seigneur Noir.
Unis par une soif de débauche incommensurable, les êtres corrompus suivant le destin de la dame écarlate se délectent des formes de sensations les plus extrêmes et barbares. Prenant part aux délicieux plaisirs interdits de la chair et du sang, l'extase semble se trouver dans la gémination de l'agonie et de l'exaltation. En ce lieu sombre et reculé où la vertu a détourné le regard, la Maîtresse offre à ses âmes torturées autant de plaisir que de souffrance. Ce culte décadent, discret et corrupteur est une maladie, un mal qui prolifère là où le désespoir de l'homme est grand. Combien sont les malheureux et les affligés s'étant laissé choir dans l'étreinte de la Maîtresse succombant lentement au péché ? C'est dans le fragile cœur du mortel qu'Éris puise sa force, exploitant ces faiblesses pour se délecter ensuite de la dévotion qu’il leur inspire.
Le sol se soulève de dégoût, le ciel s'empourpre et l'air s'emplit de cri d'agonie et d'extase. Les hurlements infinis de la Maîtresse s'échappent depuis ses appartements tandis que son esprit malade se lamente du sort qui est le sien. Maudissant les êtres vivants, elle fait payer aux indolents l'affliction qui est sienne. Maudissant ceux qui ne connaissent pas une telle douleur de vivre. Pour la sombre dame, ils sont une toile où peindre un tableau de folie baigné de sang et de débauche. L'écarlate souveraine observe avec expectative et plaisir les âmes malheureuses succomber aux ruses de ses zélotes corrompus. En sa sinistre demeure sont tapis de subtils et perfides artifices. L'art de son hôte n'est autre que le domaine du mirage et de la tentation, rongeant l'esprit, le corps et l'âme. Une fois que les malheureuses âmes ont goûté aux plaisirs offerts par la Maîtresse, ils sont cernés, réclamant davantage poussées par leur excès et vices grandissants. Ne se souciant guère plus du prix à payer, ni des dramatiques conséquences. Désormais prisonniers de la Maîtresse, leur propre cupidité les y enchaîne avec des entraves dorées. Peuplant désormais son tortueux palais, alangui sur des coussins de soie, échangeant sans cesse commérage et intrigues pour gagner les faveurs de leur intraitable maître. Se mutilant de chagrin à chaque échec tandis que certains savourent secrètement l'intensité du désespoir causé par leur Sombre Amour. Mût par une luxure sans fin ils se livrent à toutes formes d'excès dans une bacchanale sempiternelle, dans une vaine tentative d'attirer sa divine attention.
Les élus comme aiment les appeler ses suivants, sont les mortels dotés d'assez de charisme et de beauté pour venir se choir dans l'étreinte de leur Sombre Amour à sa divine demande. Les gratifiants de plaisirs sans limites. Mais la Maîtresse ne se limite pas qu’aux plaisirs oisifs de la chair, car il n'est qu’une source de plaisirs pernicieux. Sa patience est de pierre, modelant ses élus, lentement, sûrement, passionnément. Attendant jusqu'à ce qu'ils soient fin prêts. Il n'y a là pas de mots assez grands. Il n'y en aura jamais. Pour décrire son insatiable faim. Nul mortel ne pourrait survivre à sa passion. Son amour est sans fin. Son amour les consume. Ils meurent entrent ses bras pour mieux renaître. Mais la perfection prend du temps. Quand la pensée qu'ils ne méritent pas cet amour leur est finalement apparue. La silencieuse dame vint enfin leur parler…
Que les mortels craignent leurs obsessions, car ils renforcent la sombre puissance de la dame. À un niveau simple comme profond, l'humain n'est que l'incarnation d'aspiration, de mentalité et d'émotions dévorantes. Craignaient vos sombres vices, car le jour viendra où la Maîtresse s'élèvera des feux de son corps maudit tel un Phoenix baigné dans les flammes du péché pour les éclipser tous de sa funèbre puissance. Les engloutissant dans sa spirale infernale de désir et d'agonie. Arrachant de leurs entrailles encore chaudes leurs obsessions et abyssales immoralités.
Le sol se soulève de dégoût, le ciel s'empourpre et l'air s'emplit de cri d'agonie et d'extase. Les hurlements infinis de la Maîtresse s'échappent depuis ses appartements tandis que son esprit malade se lamente du sort qui est le sien. Maudissant les êtres vivants, elle fait payer aux indolents l'affliction qui est sienne. Maudissant ceux qui ne connaissent pas une telle douleur de vivre. Pour la sombre dame, ils sont une toile où peindre un tableau de folie baigné de sang et de débauche. L'écarlate souveraine observe avec expectative et plaisir les âmes malheureuses succomber aux ruses de ses zélotes corrompus. En sa sinistre demeure sont tapis de subtils et perfides artifices. L'art de son hôte n'est autre que le domaine du mirage et de la tentation, rongeant l'esprit, le corps et l'âme. Une fois que les malheureuses âmes ont goûté aux plaisirs offerts par la Maîtresse, ils sont cernés, réclamant davantage poussées par leur excès et vices grandissants. Ne se souciant guère plus du prix à payer, ni des dramatiques conséquences. Désormais prisonniers de la Maîtresse, leur propre cupidité les y enchaîne avec des entraves dorées. Peuplant désormais son tortueux palais, alangui sur des coussins de soie, échangeant sans cesse commérage et intrigues pour gagner les faveurs de leur intraitable maître. Se mutilant de chagrin à chaque échec tandis que certains savourent secrètement l'intensité du désespoir causé par leur Sombre Amour. Mût par une luxure sans fin ils se livrent à toutes formes d'excès dans une bacchanale sempiternelle, dans une vaine tentative d'attirer sa divine attention.
Les élus comme aiment les appeler ses suivants, sont les mortels dotés d'assez de charisme et de beauté pour venir se choir dans l'étreinte de leur Sombre Amour à sa divine demande. Les gratifiants de plaisirs sans limites. Mais la Maîtresse ne se limite pas qu’aux plaisirs oisifs de la chair, car il n'est qu’une source de plaisirs pernicieux. Sa patience est de pierre, modelant ses élus, lentement, sûrement, passionnément. Attendant jusqu'à ce qu'ils soient fin prêts. Il n'y a là pas de mots assez grands. Il n'y en aura jamais. Pour décrire son insatiable faim. Nul mortel ne pourrait survivre à sa passion. Son amour est sans fin. Son amour les consume. Ils meurent entrent ses bras pour mieux renaître. Mais la perfection prend du temps. Quand la pensée qu'ils ne méritent pas cet amour leur est finalement apparue. La silencieuse dame vint enfin leur parler…
Que les mortels craignent leurs obsessions, car ils renforcent la sombre puissance de la dame. À un niveau simple comme profond, l'humain n'est que l'incarnation d'aspiration, de mentalité et d'émotions dévorantes. Craignaient vos sombres vices, car le jour viendra où la Maîtresse s'élèvera des feux de son corps maudit tel un Phoenix baigné dans les flammes du péché pour les éclipser tous de sa funèbre puissance. Les engloutissant dans sa spirale infernale de désir et d'agonie. Arrachant de leurs entrailles encore chaudes leurs obsessions et abyssales immoralités.