L'Astre Tyran

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Orbitant autour de la planète des Hutts, Nal Hutta, Nar Shaddaa est le spatioport du monde Hutt, connu dans toute la galaxie pour ses immenses gratte-ciels, ses mécaniciens spatiaux réputés, mais aussi pour sa fréquentation douteuse, composée de tout ce que le secteur compte de hors-la-loi. Surnommée la Lune des Contrebandiers, Nar Shaddaa est effectivement une plate-forme active pour la contrebande dans les bordures Médiane et Extérieure.
Gouvernement : Hutts
#40292
Depuis les Ténèbres vient un étranger


Ambiance

Il était une fois, dans l'un des casinos de la Lune des Contrebandiers, un Hutt qui profitait de sa fortune nouvellement acquise.

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Nar Shaddaa est pour le crime, ce qu'est Coruscant pour la NR. Une capitale. Un havre de profits pour les ambitieux. Et c'est dans un casino clandestin de la Lune des Contrebandiers, que Varok fêtait sa récente acquisition de capitaux. La mise qu'il jouait pour la soirée ? 37 500 crédits. Une somme qui pouvait représenter beaucoup pour de petites gens. Mais un grain de sable pour les ultra riches de la galaxie. Pourquoi cette somme en particulier ? La réponse était simple. Le Hutt avait choisi de mettre en jeu durant cette soirée, la somme qui correspondait à la vie d'une personne. Et quoi de mieux qu'un avis de recherche, pour définir une "valeur pécuniaire" à une vie. Varok prit un datapad où figurait une liste de primes, la fit d'effiler d'un doigt, ferma les yeux; et au bout de quelques secondes, stoppa la liste.

37 500 crédits pour une Zeltronne au physique attrayant, mais qui semblait être une violeuse.


"Sûr que pour les victimes, cette prime est bien trop basse." Pensa le descendant de Varl, tandis qu'il terminait d'analyser cette prime. Une prime qui disparut quelques minutes.

"Il faut croire que la Zeltronne a eu son compte."

Après avoir choisi la dite somme dans l'une de ses planques, le Hutt arriva devant le casino clandestin "Les milles et une larmes du Sarlacc". Un nom bien long, mais qui désignait un lieu fiable, pour ceux qui souhaitaient se faire discret et jouer sans être dérangés par un braquage ou un ivrogne. L'entrée était gardée par un Dowutin et un droïde protocolaire richement décoré. Une caméra était visible en haut à droite du passage. Il fallait partir du principe qu'il y avait une salle de sécurité située à l'intérieur de l'établissement. Ce dernier n'était pas gigantesque mais les jeunes propriétaires souhaitaient marquer leur arrivée sur Nar Shaddaa, avec un casino qui en jette. Cela se voyait à travers les ornements de la salle principale et la qualité des tables de jeu et du service. Les rumeurs qui circulaient attribuaient la gestion du casino à deux jumeaux venus de Coruscant. Ils avaient grimpé dans les échelons de leur famille et avaient joué des coudes pour se dégoter une place sur la Lune de tous les vices. Toutes leurs économies y étaient passées.

L'arrivée de Varok au casino fut remarquée. Une partie des joueuses et joueurs de la salle principale l'avaient remarqué et commencèrent à l'épier. Les caméras du casino étaient toutes dirigées sur lui. Deux Twi'leks femelles s'empressèrent d'accueillir Varok. Elles l'accompagnèrent jusqu'à la table de sabacc des gros parieurs. Sur n'importe quelle planète de la galaxie connue, tout le monde pense que chacun des Hutts, quelle que soit sa classe sociale, est riche. Ce qui n'est pas foncièrement vrai.


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Suite à plusieurs tours de Sabbacc, les Twi'leks se rendirent rapidement comptes que le Hutt n'était pas là pour dépenser. Le cliché du Hutt riche se fracturait peu à peu, pour laisser place au cliché du Hutt fortuné mais avare. Au fur et à mesure, Varok perdait de l'argent ou en gagnait, mais jamais n'en rajoutais. En voyant cela, leur manager prit l'initiative de les envoyer sur un Togorien qui semblait avoir de la chance à une table de dés. Suite à cela, le Hutt se vit offrir une chope d'un liquide obscure. Vu l'odeur, il fallait partir sur de la Boga noga. L'une des seules boissons dans la galaxie capable de saouler un Hutt. Il semblait que le management voulait que le Hutt se sente à l'aise. Ou qu'il soit suffisamment ivre pour délier les cordons de sa bourse.

Malheureusement pour la maison, le descendant de Varl ne goûta pas à la boisson et resta concentré sur le jeu. Il ne mit pas longtemps avant de se refaire la somme qu'il avait perdu plus tôt. Il atteignit même les 50 000 crédits. Mais redescendit à 35 000. Les petites gens auraient vue leurs émotions faire des hauts et des bas en continu. Mais pour Varok, ce n'était que du jeu et du sport. Il prenait plaisir à empocher les crédits de ses adversaires. Et vu la fortune acquise, il pouvait se permettre de les perdre. Il analysa les joueurs en face de lui.

A sa gauche, un humain arrogant. Sûrement un Correlien. Suivi d'un Duros au regard ardent et aux dents longues. A sa droite, se trouvait un crocin qui perdait continuellement et une Mirialan. Pour gagner au sabacc, il faut être capable d'analyser rapidement le style de jeu de son adversaire. Et dans ce cas-précis, connaître les particularités précises de chaque espèces est un plus. Selon l'espèce, on pouvait supposer un style de jeu agressif ou plutôt pacifique. Et c'est en regardant qu'il se rappela une leçon d'un ancien temps.


Au final, la véritable richesse, ce sont les rencontres...

Suite à cela, le bracelet qu’il portait autour de son poignet se mit à briller légèrement. Quelque chose d’imperceptible pour les autres participants. Mais le Hutt sentait bien que celui-ci brillait. La légère chaleur qui en émanait ne laissait place à aucun doute. Le cristal à l'intérieur du bracelet jouait donc bien son rôle...Mais qui était-ce ?
#40706
Au milieu des rues polluées de Nar Shaddaa, les reflets multicolores des enseignes et néons se reflètent sur la surface rouillée d'un droïde déambulant maladroitement. La démarche est hasardeuse, semblable à celle d'un ivrogne peinant à conserver son équilibre après une soirée trop arrosée. Ce n'est pas vraiment quelque chose de rares dans ces ruelles sombres où ivrognes et truands composent la majeure partie du décor. Ce qui moins ordinaire cependant, c'était le modèle de droïde.

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Un Magnaguard. Une relique du temps maintenant oublié de la Fédération. Si elles inspiraient autrefois une terreur sans nom, on ne voyait guère plus ces machine de guerre obsolète que dans les collections de quelques originaux, ou vendus sur le marché noir à des pirates de bas étager. Et quand bien même, leur usage se limitait au rôle de garde du corps. En voir un se balader seul était une bizarrerie supplémentaire. Suffisamment pour lui attirer quelques regards curieux, quelques ricanements aussi... Si seulement ils savaient quelle terreur se dissimulait sous cette vieille carcasse, aucun de ces rats n'oserait le regarder en face. Encore moins le bousculer. Mais rien ne servait de massacrer ces insectes. Ce qu'Odion avait perdu en chair il avait gagné en patience.

Ce corps... C'était une enveloppe si fragile. Si frêle. Le genre de pantin de métal qu'Odion pouvait détruire d'une simple pensée. Pire, même avec le soutien précieux de la Force, les sens aiguisés du Sith étaient limités par ces capteurs obsolètes. C'était comme observer le monde sous l'eau. Tout était décoloré, trop lent, trop flou. A des kilomètres de l'exquise précision auquel il était habitué. Si un Jedi lui tombait dessus, il n'aurait guère de mal à se débarrasser de l'ancien seigneur de Korriban. Il y a peu, Adrix aurait trouvé une telle vulnérabilité inacceptable... Mais aujourd'hui son esprit n'était que quiétude. Il comprenait l'injure à sa fierté mais le sentiment lui était devenu distant, alien. Il était capable de l'enfermer dans un recoin de sa conscience, de le ranger pour l'observer comme un rat dans un laboratoire. Le fragment de lui-même qui reposait dans cette enveloppe médiocre n'était qu'une fraction d'un tout bien supérieur, un morceau de l'existence désormais infinie qu'était Darth Odion. Et il n'avait plus d'égo pour s'offusquer de n'être qu'une portion d'un tout absolu. L'humiliation de ce corps était un mal nécessaire pour l'aboutissement de ses nouveaux... projets.

Ses pas l'avaient guidé vers un des casinos de la ville. "Les milles et une larmes du Sarlacc". Un nom trop long, nommé en hommage à un prédateur. L'ironie n'était pas perdue pour Odion. C'était le genre de trou où le lie de la société venait s'enivrer de rêves de succès pour fuir un temps leur piètre réalité. Les puissants y vendaient le fantasme d'une vie de luxe, tout en dépouillant plus encore les miséreux aveuglés par de belles promesses. Exactement le genre de repaire où se terraient sa proie d'aujourd'hui.

Lorsqu'Odion tenta d'y pénétrer, le garde Dowutin à l'entrée vint interrompre sa route, se dressant sur son chemin en jouant de ses muscles pour se donner de l'importance. Un effort risible.

"On se calme le tas de boulons. C'est un établissement respectable ici, pas un garage."


Sa requête faisait sens. Un droïde à l'air si mal entretenu n'avait pas sa place parmi la clientèle. Le Sith le dévisageait en silence. Les mille façons de le tuer défilaient dans son cerveau et pourtant il ne pouvait en choisir aucune. Trop de bruit, trop de paramètres perturbateurs. Le jour était à la finesse. Et le destin lui avait offert une solution. Ses pensées s'étendirent tels des doigts glacés à l'intérieur du droïde protocolaire. Elles emplirent chacun de ses circuits comme le sang dans les veines, écrasant son programme d'un revers paresseux de la main. Ce qui faisait lieu de libre arbitre dans l'esprit du droïde fut balayé. Odion pouvait le sentir devenir son pantin, dansant selon sa seule volonté. Le droïde se pencha sur l'oreille de son acolyte et y murmura quelque chose, répétant les mots dictés par Odion comme s'il s'agissait des siens.

"Désolé, je ne savais pas que c'était un cas spécial..."


Le colosse de muscle fait une grimace mais fait un pas de côté pour le laisser passer. Le Magnaguard le fixe de ses yeux vides et rentre sans commentaire.

L'intérieur était à la hauteur des attentes d'Odion. Du jeu, des femmes et de l'alcool, les trois clés de la réussite. Le tout étalé dans une abondance nauséabonde qui rappelait un buffet dégoulinant de graisse. Le lui d'autrefois aurait été répugné par une telle débauche de richesse. Aujourd'hui il ne voyait que des outils pour contrôler ces marionnettes de chair. Qu'ils se vautrent dans leur décadence, il n'était pas là pour ça. Les quelques curieux qui se tournèrent vers lui se désintéressèrent bien vite, pensant sans doute qu'il était le garde du corps d'un autre invité incapable de se payer quelque chose de plus élégant.
Les capteurs du droïde balayèrent la pièce avant de s'arrêter sur une des nombreuses table de jeu. Cible répérée. Un Hutt. Parfait. Celui-ci aurait peut être ce dont Odion avait besoin. Du moins, mieux valait pour lui.

D’un pas décidé il se dirigea vers la zone de jeu, se postant derrière Varok avec la droiture mécanique propre à une machine. Son allure était mitée, ses articulations rongées par la rouille et pourtant il émanait de ce vulgaire tas de boulons une aura étouffante, quelque chose de menaçant.

"Lord Hutt. J'ai un message à vous transmettre. En privé."
#40710
Varok, toujours en train de jouer, avait divisé sa concentration en deux. Une partie était concentrée sur la manche de sabacc qui se jouait. Tandis que l’autre guettait les tables alentours pour essayer de débusquer cet invité « spécial ». Lorsque ce n’était pas son tour, il guettait les environs pour débusquer la personne.

Le regard se perdant dans la foule de criminels, son attention fut néanmoins happée par le magnaguard qui se mouvait. Ce dernier avait retenu l’attention de quelques joueuses et joueurs. Principalement du mépris. Après tout, ce modèle était obsolète. Il y avait des gardes du corps beaucoup plus performants de nos jours dans la galaxie. Tel que les produits de la Nostrom.

Néanmoins, c’était avec un certain intérêt qu’il épiait ce visiteur robotique. La fascination qu’il avait pour les armées, les vaisseaux et les produits de feu la Confédération des Systèmes Indépendants, n’aidait en rien.

Ainsi quelle fut sa surprise lorsque le droïde en question, se posta derrière lui pour venir lui parler. Et que son bracelet sembla s’éclairer de mille feux. Était-ce possible ? Il tâcha de recouvrir l’artefact d’un bandeau.

"Lord Hutt. J'ai un message à vous transmettre. En privé."

Cet interruption agaça le crocin.

« Laisse le jouer, tas de ferraille. »

En plus de perdre, ce dernier montrait d’autres qualités qui pouvaient et qui devraient, avec le temps, lui donner la mort.

Varok décocha un regard au crocin. La différence de taille et l’intensité du regard du Hutt, apaisa les ardeurs de ce parieur. Quelques secondes s’écoulèrent sans que quiconque ne parle. L’assemblée attendant la réponse du descendant de Varl. Une gêne s’installa au sein de la tablée.

« Si je reste, je risque de vous plumer. Voire pire. Considérez cela, comme votre jour de chance. » Asséna Varok tout en laissant un sourire se dessiner sur son visage.

Le crocin, suite à cette montée de stress trop importante, commença à se ronger les ongles avec sa bouche élongée, pleine de crocs pointus. Une petite crise de panique qui amusa beaucoup le Hutt.

D’un ton plus joviale, Varok enchaîna et s’adressa au droïde.

« Suivez-moi, messager. Pour votre plus grand bonheur, je connais les gérants de ce casino. Je suis sûr qu’il ne verront aucun problème à ce que je privatise l'une de leurs salles. »

Jonché sur un hoversledge, le Hutt accompagné du droïde arrivèrent très vite dans une pièce plus petite que le salon du casino.

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Des gardes situés à l’entrée avaient laissés les deux individus y entrer.

Certes il était dangereux pour Varok de rester seul avec ce droïde plutôt « spécial ». Mais la curiosité l’avait emporté. Néanmoins, le Hutt avait quelques atouts dans sa manche, au cas-où l’issue de cet entretien s’avérait mauvaise. D'ailleurs, si on ne prend pas de risques, on perd des opportunités. Et pas d’opportunités, pas de profits. Pas de profits, pas de profits...

"Je vous aurais bien proposé un verre, mais je ne suis pas sûr que vos circuits permettent cela." Prononça le Hutt tout en se dirigeant vers la petite table, qui faisait office de bar. Il se servit un verre et se retourna pour faire face à son interlocuteur.

« Quel est donc votre message, intriguant messager ? »
Déclara Varok
#40713
Odion observa en silence le petit numéro qui se joua entre son nouvel interlocuteur et les autres joueurs de la table. Physiquement imposant. Une présence à même de faire taire les moucherons qui l'entourent d'une seule parole. En somme, un Hutt. Mais un qui paraissait plus raisonnable que la plupart de ses congénères. Bien. Enfin une bonne prise. Si son état de machine avait fait gagner Odion en patience, il n'en appréciait pas davantage de perdre son temps.

Cette espèce avait toujours été une source d'interrogation pour le Seigneur Sith. Peu de races avaient une réputation aussi formidable que la leur, et pourtant on ne pouvait pas dire la nature les avait pourvu de tant d'atouts. Ils étaient certes résistant, probablement forts aussi, mais d'une lenteur infligeante. Mais ce n'étaient pas leurs capacités au combat qui leur avait forgé une image aussi terrifiante. Tout le mythe reposait sur leur talent à tenir le milieu du crime d'une main de fer. Pourtant, contrairement à ce que beaucoup pensaient, toutes les limaces de l'espace n'étaient pas des génies capables de renifler la moindre bonne affaire comme un chien pistant son déjeuner. Cela n’empêchait pas même le plus bête des Hutts d'inspirer une crainte instinctive à tous les pirates du secteur.
Comparé à l'écrasante maîtrise de la Force du cyborg, ils n'étaient rien. Des fourmis face à un ouragan. Odion pouvait les éliminer d'un geste... Et pourtant leur pouvoir sur toute une portion de la Galaxie était indéniable. Un pouvoir né ni de leurs propres actions ni de leurs exploits physiques, mais d'un mélange subtil de rumeurs, de stéréotypes et de quelques exploits bien réels pour soutenir la légende de leur peuple. Adrix aurait autrefois trouvé cette façade de force répugnante. Aujourd'hui? C'était fascinant. Le concept de puissance prenait décidément bien des formes au delà de la simple suprématie physique ou même mentale.

Sans un mot Adrix emboîta le pas du Hutt vers la salle luxueuse qu'il avait réservé. Encore un étalage de luxe inutile, mais cette fois ci il pouvait la tolérer. L'isolation jouait en sa faveur. Ses sens surnaturels s'étendirent dans la pièce, à la recherche des inévitables micros et caméras qui y avaient été plantés. Cette conversation n'avait pas besoin d'être enregistrée, le Sith s'en assurerait. Refusant d'un geste la proposition d'un verre, le Magnagarde s'installa sur une des chaises pour s'asseoir. Un droïde n'avait pas besoin de reposer ses jambes, mais l'expérience montrait que la rigidité d'une machine n'était guère appropriée à des négociations. Et si cela pouvait décontenancer un peu le Hutt...

"Je vous remercie de me recevoir, Seigneur Hutt. Soyez assuré que je n'ai que peu en commun avec un modèle d'usine. J'ai été envoyé ici en tant que représentant d'un individu puissant. Un qui désire établir un marché avec vous. Un accord qui pourrait avoir des répercussions sur l'ensemble des systèmes habités. A votre bénéfice bien entendu."
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