- mar. 17 déc. 2019 23:40
#36629
La fin du Consul III - Le Dernier Vol
Légende:
Ber de Val. Une planète secondaire des Colonies, entouraient d’un large anneau composé de millions d’astéroïde. C’était là, en orbite que se résumait en grande partie de l’activité de la planète. En apparence, il s’agissait d’une planète calme, un monde comme la confédération en comptait des centaines. Une planète semblable à Pavo Prime.
Au-delà des ceintures de glaces de l’astre, une flotte confédérée surveillait l’espace environnant. Les dernières semaines avaient été éprouvantes pour les équipages. Depuis l’attentat du Parlement, les permissions étaient rares, et la bataille de Pavo Prime, quelques jours plus tôt n’avait fait que rendre la situation plus tendue encore. L’ensemble des effectifs était en alerte, attendant du jour au lendemain des ordres de déploiement offensif. Pourtant, jour après jour, rien ne venait. Les affectations des flottes restaient les même.
Sur le Discovery, la routine s’enchaînait. Deux jours en orbite de Ber de Val, puis deux autres en patrouilles locales, et enfin, une journée à écumer la voie hyperspatiale jusque Hok. Et retour à la case départ. C’était ce qu’on attendait d’une flotte de défense dans une nation en paix. Et malgré les déclarations de guerre politique au crime, affrontait un ennemi insaisissable se résumait bien souvent à attendre. Attendre, attendre, et attendre encore. Que peut être quelques chose se passe.
Sur le pont du Croiseur Liberator, une sonnerie bien spécifique se fit pourtant entendre.
« Madame, nous captons un signal qui émerge de l’hyperspace derrière nous. »
Encore un quelconque cargo minier ?
« Le vaisseau est non identifié et de grande taille. En rapprochement à grande vitesse »
Non identifié. Ni par le signal de son transpondeur, ni par son model. Peut-être y avait-il enfin quelque chose d’intéressant à se mettre sous la dent. Cela pouvait tout aussi être un écho fantôme, l’un de ses phénomènes de diffraction faisant apparaître de faux échos.
Afin de couvrir un maximum de l’orbite au radar, la flotte s’était éparpillée, laissant le Liberator à une dizaine de minute du MC80 « Voyager », le vaisseau amiral de la flotte. Une corvette CR90, plus proche, se trouvait à 7 minutes. Quant à l’objet inconnu, il se trouvait à cinq minutes à pleine vitesse, et il se rapprochait lui-même à grande vitesse. Les communications restaient silencieuses. Aucun autre vaisseau ne devait avoir détecté l’intrus. A moins que…
Au final, la Capitaine nouvellement nommée avait de multiples options. Restait à savoir ce qu’elle choisirait.
Au-delà des ceintures de glaces de l’astre, une flotte confédérée surveillait l’espace environnant. Les dernières semaines avaient été éprouvantes pour les équipages. Depuis l’attentat du Parlement, les permissions étaient rares, et la bataille de Pavo Prime, quelques jours plus tôt n’avait fait que rendre la situation plus tendue encore. L’ensemble des effectifs était en alerte, attendant du jour au lendemain des ordres de déploiement offensif. Pourtant, jour après jour, rien ne venait. Les affectations des flottes restaient les même.
Sur le Discovery, la routine s’enchaînait. Deux jours en orbite de Ber de Val, puis deux autres en patrouilles locales, et enfin, une journée à écumer la voie hyperspatiale jusque Hok. Et retour à la case départ. C’était ce qu’on attendait d’une flotte de défense dans une nation en paix. Et malgré les déclarations de guerre politique au crime, affrontait un ennemi insaisissable se résumait bien souvent à attendre. Attendre, attendre, et attendre encore. Que peut être quelques chose se passe.
Sur le pont du Croiseur Liberator, une sonnerie bien spécifique se fit pourtant entendre.
Encore un quelconque cargo minier ?
Non identifié. Ni par le signal de son transpondeur, ni par son model. Peut-être y avait-il enfin quelque chose d’intéressant à se mettre sous la dent. Cela pouvait tout aussi être un écho fantôme, l’un de ses phénomènes de diffraction faisant apparaître de faux échos.
Afin de couvrir un maximum de l’orbite au radar, la flotte s’était éparpillée, laissant le Liberator à une dizaine de minute du MC80 « Voyager », le vaisseau amiral de la flotte. Une corvette CR90, plus proche, se trouvait à 7 minutes. Quant à l’objet inconnu, il se trouvait à cinq minutes à pleine vitesse, et il se rapprochait lui-même à grande vitesse. Les communications restaient silencieuses. Aucun autre vaisseau ne devait avoir détecté l’intrus. A moins que…
Au final, la Capitaine nouvellement nommée avait de multiples options. Restait à savoir ce qu’elle choisirait.
Légende: