- lun. 20 juil. 2015 09:28
#18865
Gravlex Med
Vera - San Kun, je te présente ton Karel Assah, de la chambre de Légats.
Bien que San un ne soit encore qu'un enfant, il n'eut aucun malaise en présence d'un diplomate de Gravlex Med aussi haut dans la hiérarchie. Au contraire, il était même à l'aise. C'était commun pour les Anx de perdre - voire même de ne jamais - être mal à l'aise dans des situations sociales telles que les rencontres. Les relations au sein de Gravlex Med étaient toujours très cordiales, et codifiées. Code que San Kun, par son jeune âge, ne suivait pas encore à la lettre, au grand bonheur de ses interlocuteurs découvrant un garçon plein d'une naïve curiosité.
San Kun - Bonjour, Karel Assah, de la chambre des Légats. Comment vous est venu l'idée du teste sur la propriété historique des canon à proton?
Karel Assah - Oh... Bonjour San Kun. Quelle culture. Eh bien les canons à proton commençaient à attirer plus d'étranger et de sociétés, toujours plus riches... bientôt plus riches que la société Anx au train où allaient les choses. Et elles s'intéressaient beaucoup au potentiel de ces armes archaïques, mais néanmoins des armes. C'est pour cette raison qu'il était nécessaire de ratifier une propriété intellectuelle et matérielle des canons aux Anx.
San Kun - C'est donc dans ce but que vous les avez remis aux Miliciennes Démocrates?
Karel Assah - Le projet initiale était de les céder à Saphir, la justice. Un débat a suivi, et ce sont les Miliciennes qui ont attirées la majorité.
L'enfant sortit un vase de son habillage, et alla le porter à son interlocuteur.
San Kun - Merci d'avoir répondu. Acceptez ce présent en gage de gratitude.
Karel Assah - Avec joie. Au plaisir de te revoir, San Kun, fils de Véra Kun.
San Kun - Le plaisir sera partagé.
Il fit une courbette, avant de sortir du salon de réception de sa mère pour les laisser parler de choses importantes. Arrivé dans sa chambre, il se rassit en tailleurs sur le coussin, posé au milieu de sa chambre. On l'avait dérangé dans un de ses nouveaux objectifs : maîtrisé cet étrange don. S'il savait le posséder depuis déjà plusieurs années, ce n'est que récemment qu'il avait pris conscience qu'il pouvait l'utiliser sans émotions, rien qu'en se concentrant. En parcourant la pièce des yeux, il dut se relever, pour poser un de ses objets (ici, un bout de roche volcanique de l'ère pré-Anxienne). Se remettant en tailleurs sur son coussin de soie violette, dans un "pouf" assourdi par le molletonné de son confort face à son séant, il se concentra pour essayer de faire bouger la pierre. Rien n'y fit, alors il essaya à nouveau.
À sa gauche, une pile de tablette digitale, qui correspondait à ses emprunts à la bibliothèque sur les manières d'utiliser la Force. Ce n'était pas la Grande Bibliothèque d'Holocrons de l'Ordre Jedi, mais c'était un début. Il s'était entraîner dur à la méditation, la relaxation, par laquelle il semblait devoir passer pour maîtriser ce don de Force.
Après avoir fait le vide dans sa tête, les yeux fermés, il se remémora la pièce dans laquelle il se trouvait. Il passa chaque objet en revue dans son imagination, le positionnant le plus précisément possible. En dernier, son attention se focalisa sur la pierre devant lui. Toujours sans la voir réellement, il était capable de l'imaginer très clairement. Il se rendit compte qu'au lieu de l'imaginer, il l'avait senti, car l'image de la roche blanche et poreuse s'était déplacée spontanément, comme pour lui signifier qu'il s'était trompé de deux centimètres dans sa reconstitution.
Il focalisa don attention dessus, en souhaitant qu'elle se lève, qu'elle prenne de la hauteur. Rien n'y fit, rien ne se déclenchait. Encore... non, il avait beau de concentrer, se tendre pour l'obliger à se lever, elle ne bougea pas.
L'enfant arrêta, pour se détendre en se concentrant sur sa respiration. Il n'avait sans doute pas la bonne approche. Cette fois, il dirigea vers ses émotions comme une demande, et non comme un ordre. Comme, si par une sorte de flux autour de lui qui le liait à la pierre, il pouvait communiquer avec elle. Et par cette communication extraordinaire, il lui demanda de se lever. En ouvrant ses yeux, il put la voir de ses propres yeux se lever de trente centimètres, et stagner à la hauteur de son torse. Il tendit la main, pour l'attraper au vol, et sourit. Le bonheur était une succession de petites réussites telles que celle-ci.
Vera - San Kun, je te présente ton Karel Assah, de la chambre de Légats.
Bien que San un ne soit encore qu'un enfant, il n'eut aucun malaise en présence d'un diplomate de Gravlex Med aussi haut dans la hiérarchie. Au contraire, il était même à l'aise. C'était commun pour les Anx de perdre - voire même de ne jamais - être mal à l'aise dans des situations sociales telles que les rencontres. Les relations au sein de Gravlex Med étaient toujours très cordiales, et codifiées. Code que San Kun, par son jeune âge, ne suivait pas encore à la lettre, au grand bonheur de ses interlocuteurs découvrant un garçon plein d'une naïve curiosité.
San Kun - Bonjour, Karel Assah, de la chambre des Légats. Comment vous est venu l'idée du teste sur la propriété historique des canon à proton?
Karel Assah - Oh... Bonjour San Kun. Quelle culture. Eh bien les canons à proton commençaient à attirer plus d'étranger et de sociétés, toujours plus riches... bientôt plus riches que la société Anx au train où allaient les choses. Et elles s'intéressaient beaucoup au potentiel de ces armes archaïques, mais néanmoins des armes. C'est pour cette raison qu'il était nécessaire de ratifier une propriété intellectuelle et matérielle des canons aux Anx.
San Kun - C'est donc dans ce but que vous les avez remis aux Miliciennes Démocrates?
Karel Assah - Le projet initiale était de les céder à Saphir, la justice. Un débat a suivi, et ce sont les Miliciennes qui ont attirées la majorité.
L'enfant sortit un vase de son habillage, et alla le porter à son interlocuteur.
San Kun - Merci d'avoir répondu. Acceptez ce présent en gage de gratitude.
Karel Assah - Avec joie. Au plaisir de te revoir, San Kun, fils de Véra Kun.
San Kun - Le plaisir sera partagé.
Il fit une courbette, avant de sortir du salon de réception de sa mère pour les laisser parler de choses importantes. Arrivé dans sa chambre, il se rassit en tailleurs sur le coussin, posé au milieu de sa chambre. On l'avait dérangé dans un de ses nouveaux objectifs : maîtrisé cet étrange don. S'il savait le posséder depuis déjà plusieurs années, ce n'est que récemment qu'il avait pris conscience qu'il pouvait l'utiliser sans émotions, rien qu'en se concentrant. En parcourant la pièce des yeux, il dut se relever, pour poser un de ses objets (ici, un bout de roche volcanique de l'ère pré-Anxienne). Se remettant en tailleurs sur son coussin de soie violette, dans un "pouf" assourdi par le molletonné de son confort face à son séant, il se concentra pour essayer de faire bouger la pierre. Rien n'y fit, alors il essaya à nouveau.
À sa gauche, une pile de tablette digitale, qui correspondait à ses emprunts à la bibliothèque sur les manières d'utiliser la Force. Ce n'était pas la Grande Bibliothèque d'Holocrons de l'Ordre Jedi, mais c'était un début. Il s'était entraîner dur à la méditation, la relaxation, par laquelle il semblait devoir passer pour maîtriser ce don de Force.
Après avoir fait le vide dans sa tête, les yeux fermés, il se remémora la pièce dans laquelle il se trouvait. Il passa chaque objet en revue dans son imagination, le positionnant le plus précisément possible. En dernier, son attention se focalisa sur la pierre devant lui. Toujours sans la voir réellement, il était capable de l'imaginer très clairement. Il se rendit compte qu'au lieu de l'imaginer, il l'avait senti, car l'image de la roche blanche et poreuse s'était déplacée spontanément, comme pour lui signifier qu'il s'était trompé de deux centimètres dans sa reconstitution.
Il focalisa don attention dessus, en souhaitant qu'elle se lève, qu'elle prenne de la hauteur. Rien n'y fit, rien ne se déclenchait. Encore... non, il avait beau de concentrer, se tendre pour l'obliger à se lever, elle ne bougea pas.
L'enfant arrêta, pour se détendre en se concentrant sur sa respiration. Il n'avait sans doute pas la bonne approche. Cette fois, il dirigea vers ses émotions comme une demande, et non comme un ordre. Comme, si par une sorte de flux autour de lui qui le liait à la pierre, il pouvait communiquer avec elle. Et par cette communication extraordinaire, il lui demanda de se lever. En ouvrant ses yeux, il put la voir de ses propres yeux se lever de trente centimètres, et stagner à la hauteur de son torse. Il tendit la main, pour l'attraper au vol, et sourit. Le bonheur était une succession de petites réussites telles que celle-ci.
Il n'y a pas d'émotion, il y a la paix.
Il n'y a pas d'ignorance, il y a la connaissance.
Il n'y a pas de passion, il y a la sérénité.
Il n'y a pas de chaos, il y a l'harmonie.
Il n'y a pas de mort, il y a la Force.
Il n'y a pas d'ignorance, il y a la connaissance.
Il n'y a pas de passion, il y a la sérénité.
Il n'y a pas de chaos, il y a l'harmonie.
Il n'y a pas de mort, il y a la Force.