- sam. 31 janv. 2015 20:45
#15713
Quartiers ouvriers de Bandor City
Quartiers ouvriers de Bandor City
Les choses se passaient tranquillement sur Bandomeer, la corporation BMC engrangeait de colossaux revenus et constituait une manne financière des plus profitables à Bandomeer, et par extension à l'Empire. Néanmoins, on considérait en haut lieu que les ouvriers ne pouvaient tenir éternellement à ce rythme : il fallait trouver des solutions qui assureraient un minimum de bien être. Ce bien être qui garantirait à son tour la cohésion sociale sur la planète.
La première de ces solutions était d'augmenter le nombre de droïde miniers, conduisant peu à peu au remplacement des ouvriers. Alors oui, la chose était positive mais elle privait les ouvriers d'un emploi qui était bel et bien payé, ce qui était mieux que pas d'emploi du tout. Trachta, le Moff de la planète et Larone, PDG de BMC, décidèrent alors de créer un institut universitaire gouvernemental qui enseignerait aux non-humains de la classe ouvrière. Les plus méritants, les plus loyaux et les plus aptes pourront exercer des métiers de techniciens qualifiés, de géologues miniers, d'ingénieurs, voire de cadres commerciaux spécialisés dans le marketing, la vente, le commerce ou la gestion dans le secteur minier. Bref des métiers qualifiés.
Aucun diplôme ne sera nécessaire pour postuler : des tests psychotechniques et autres techniques de calcul des capacités intellectuelles seront utilisées. Une remise à niveau d'une durée de 1 an précédera le commencement du vrai cursus. Tout ça destiné aux non-humains d'après des critères sociaux.
Les non-humains qui s'engageraient dans cette voie disposeront d'un enseignement de qualité, gratuit et étalé sur maximum 5 ans. A la suite de leurs études, ils se verront décerner un diplôme reconnu par le ministère de l'éducation de l'Empire. Néanmoins, quelle que soit la formation et donc la durée d'études, ils devront signer un contrat dès la première année du cursus les obligeant à travailler au sein de la BMC pour une durée de 5 ans après la fin de celui-ci ; pour un salaire du marché, celui d'un humain, le rêve. Ainsi les non-humains disposeront progressivement d'un salaire décent et la possibilité de grimper au sein de la hiérarchie sociale impériale. Pour les plus ambitieux et les plus compétents d'entre-eux, les carrières jusqu'aux hautes instances de la Bandomeer Mining Corporation leur seront ouvertes, vu que les retraites ne sont jamais très loin : la vague humaine des technico-commerciaux va bientôt arriver à échéance.
Ainsi, au lieu de les remplacer par d'autres humains, on aimerait mieux encourager les Meeriens à prendre leurs places au sein de l'entreprise. Mais on ne parlait pas que des Meeriens : les Arcona, les Whiphids, les Phindians et autres étaient concernés. En raison du nombre élevé de Meeriens dans la classe ouvrière, c'était naturellement vers eux que ces formations étaient dirigées, logiquement.
Bien entendu, tout ceci se fera progressivement pour ne pas perturber le marché et le monopole des humains au sein de l'entreprise. L'institut adaptera l'offre en fonction de la future demande de BMC. Mais on était optimiste, les postes étaient là : la création de nouveaux droïdes, les départs en retraite, la montée en puissance de l'entreprise allait stimuler la demande, et donc le nombre d'ouvriers ou fils de ces derniers prêts à étudier puis travailler. Des études statistiques se feront afin de sélectionner pile le nombre d'étudiants sur les futures postes libres. D'un autre coté, on laissait le soin d''inscrire librement n'importe quel habitant, même humain, en dehors des demandes. Mais il devra payer lui même sa scolarité et ne disposera pas de l'emploi garanti par la BMC. Néanmoins, d'autres compagnies qui constituent le gratin de l'industrie galactique pourront les embaucher, ils auront un choix de qualité.
De plus, les diplômés ne souhaitant pas travailler 5 ans pour la BMC malgré la signature du contrat pourront (devront !) rembourser les frais de scolarité pour se retrouver libre de faire ce que bon leur semblent.
Les enseignants – en majorité non-humains – seront choisis pour leurs compétences et surtout leur loyauté envers l'Empire. Des enseignements politiques seront dispensés parallèlement aux enseignements techniques. Aucun syndicat étudiant ne sera toléré si ce n'est un syndicat pro-impérial. L'idéologie impériale sera enseignée aux étudiants et le BSI veillera à ce que personne ne sorte du chemin. Le moindre dissident sera renvoyé de l'école, et donc à son existence misérable de prolétaire.
Une faculté de l'armement sera créée, bien que n'ayant aucun rapport avec l'industrie minière : elle sera chargée de constituer l'embryon des nouveaux cadres et chercheurs dans l'industrie de l'armement, symbolisée pour l'instant par l'énorme usine de production, ainsi que le complexe de recherche.
On annonça ainsi la création de cet institut et on fit en sorte que tout Bandomeer soit au courant par les médias. L'Empire était là pour assurer aux non-humains un avenir meilleur. L’institut gouvernemental des industries minières (IGIM) verra ainsi le jour dans 1 mois : il bénéficiera d'une capacité maximale de 100 000 étudiants. L'IGIM sera placé sous la tutelle directe du Moff Trachta et ses 5 assesseurs ne répondant que devant lui. Le financement et l'entretien sera assuré par la BMC en intégralité. Les bourses seront aux frais du gouvernement de Bandomeer.
Dans un mois, le discours d'investiture aura lieu en présence du Moff Trachta et du PDG de la BMC, Larone, devant les étudiants de première année qui auraient passé avec succès la remise à niveau. Elle se déroulera en parallèle de la construction mais dans des locaux publics.
La première de ces solutions était d'augmenter le nombre de droïde miniers, conduisant peu à peu au remplacement des ouvriers. Alors oui, la chose était positive mais elle privait les ouvriers d'un emploi qui était bel et bien payé, ce qui était mieux que pas d'emploi du tout. Trachta, le Moff de la planète et Larone, PDG de BMC, décidèrent alors de créer un institut universitaire gouvernemental qui enseignerait aux non-humains de la classe ouvrière. Les plus méritants, les plus loyaux et les plus aptes pourront exercer des métiers de techniciens qualifiés, de géologues miniers, d'ingénieurs, voire de cadres commerciaux spécialisés dans le marketing, la vente, le commerce ou la gestion dans le secteur minier. Bref des métiers qualifiés.
Aucun diplôme ne sera nécessaire pour postuler : des tests psychotechniques et autres techniques de calcul des capacités intellectuelles seront utilisées. Une remise à niveau d'une durée de 1 an précédera le commencement du vrai cursus. Tout ça destiné aux non-humains d'après des critères sociaux.
Les non-humains qui s'engageraient dans cette voie disposeront d'un enseignement de qualité, gratuit et étalé sur maximum 5 ans. A la suite de leurs études, ils se verront décerner un diplôme reconnu par le ministère de l'éducation de l'Empire. Néanmoins, quelle que soit la formation et donc la durée d'études, ils devront signer un contrat dès la première année du cursus les obligeant à travailler au sein de la BMC pour une durée de 5 ans après la fin de celui-ci ; pour un salaire du marché, celui d'un humain, le rêve. Ainsi les non-humains disposeront progressivement d'un salaire décent et la possibilité de grimper au sein de la hiérarchie sociale impériale. Pour les plus ambitieux et les plus compétents d'entre-eux, les carrières jusqu'aux hautes instances de la Bandomeer Mining Corporation leur seront ouvertes, vu que les retraites ne sont jamais très loin : la vague humaine des technico-commerciaux va bientôt arriver à échéance.
Ainsi, au lieu de les remplacer par d'autres humains, on aimerait mieux encourager les Meeriens à prendre leurs places au sein de l'entreprise. Mais on ne parlait pas que des Meeriens : les Arcona, les Whiphids, les Phindians et autres étaient concernés. En raison du nombre élevé de Meeriens dans la classe ouvrière, c'était naturellement vers eux que ces formations étaient dirigées, logiquement.
Bien entendu, tout ceci se fera progressivement pour ne pas perturber le marché et le monopole des humains au sein de l'entreprise. L'institut adaptera l'offre en fonction de la future demande de BMC. Mais on était optimiste, les postes étaient là : la création de nouveaux droïdes, les départs en retraite, la montée en puissance de l'entreprise allait stimuler la demande, et donc le nombre d'ouvriers ou fils de ces derniers prêts à étudier puis travailler. Des études statistiques se feront afin de sélectionner pile le nombre d'étudiants sur les futures postes libres. D'un autre coté, on laissait le soin d''inscrire librement n'importe quel habitant, même humain, en dehors des demandes. Mais il devra payer lui même sa scolarité et ne disposera pas de l'emploi garanti par la BMC. Néanmoins, d'autres compagnies qui constituent le gratin de l'industrie galactique pourront les embaucher, ils auront un choix de qualité.
De plus, les diplômés ne souhaitant pas travailler 5 ans pour la BMC malgré la signature du contrat pourront (devront !) rembourser les frais de scolarité pour se retrouver libre de faire ce que bon leur semblent.
Les enseignants – en majorité non-humains – seront choisis pour leurs compétences et surtout leur loyauté envers l'Empire. Des enseignements politiques seront dispensés parallèlement aux enseignements techniques. Aucun syndicat étudiant ne sera toléré si ce n'est un syndicat pro-impérial. L'idéologie impériale sera enseignée aux étudiants et le BSI veillera à ce que personne ne sorte du chemin. Le moindre dissident sera renvoyé de l'école, et donc à son existence misérable de prolétaire.
Une faculté de l'armement sera créée, bien que n'ayant aucun rapport avec l'industrie minière : elle sera chargée de constituer l'embryon des nouveaux cadres et chercheurs dans l'industrie de l'armement, symbolisée pour l'instant par l'énorme usine de production, ainsi que le complexe de recherche.
On annonça ainsi la création de cet institut et on fit en sorte que tout Bandomeer soit au courant par les médias. L'Empire était là pour assurer aux non-humains un avenir meilleur. L’institut gouvernemental des industries minières (IGIM) verra ainsi le jour dans 1 mois : il bénéficiera d'une capacité maximale de 100 000 étudiants. L'IGIM sera placé sous la tutelle directe du Moff Trachta et ses 5 assesseurs ne répondant que devant lui. Le financement et l'entretien sera assuré par la BMC en intégralité. Les bourses seront aux frais du gouvernement de Bandomeer.
Dans un mois, le discours d'investiture aura lieu en présence du Moff Trachta et du PDG de la BMC, Larone, devant les étudiants de première année qui auraient passé avec succès la remise à niveau. Elle se déroulera en parallèle de la construction mais dans des locaux publics.
Arrêté du Moff Trachta a écrit :Construction de l'Institut Gouvernemental des Industries Minières (IGIM)
Directeur : le Moff Trachta
Capacité maximale : 100 000 étudiants, avec 10 antennes implantées non loin des quartiers ouvriers dits "sécurisés" et de préférence dans les espaces verts récemment aménagés par l'ancien Moff Emsar.
Niveau de formation : de 3 ans à 5 ans d'études supérieures.
Caractéristiques : réservé prioritairement aux non-humains sur la base des capacités intellectuelles, des critères sociaux et de la loyauté envers l'Empire. Les candidats retenus passeront une année préparatoire de remise à niveau qui permettra aux étudiants d'intégrer une des 3 facultés selon leurs classements et leurs aptitudes. Possibilité est donnée de redoubler une fois pour intégrer la faculté désirée, uniquement pour ceux qui ont passé la barre des standards. Les recalés ne peuvent se représenter, mais peuvent comme tout le monde se représenter en candidat libre : la scolarité est à leurs frais et aucun emploi à la BMC ne sera garanti.
Le reste des études est sanctionné par la réussite des examens semestriels. Un seul redoublement est accepté durant la scolarité. Les étudiants-boursiers disposeront de formations délivrant des emplois à niveau 1 ou 2, soit 3 ans ou 5 d'études, sans aucun frais de scolarité. Selon le niveau (1 ou 2), la BMC s'engage à offrir un emploi au prix du marché sur une durée de 5 ans maximum. Le contrat peut-être résilié si l'étudiant s'acquitte des frais de sa scolarité, et ce à n'importe quel moment. La BMC sera libre de renouveler ou non le contrat à l'issue des 5 ans.
Un enseignement politique et paramilitaire est dispensé en continue aux étudiants. Des tests de loyauté sont effectués à l'insu des étudiants en permanence. Les autorités universitaires sont encouragées à manifester leur générosité envers les étudiants : ils sont là grâce à l'Empire et à la BMC. Le mépris des professeurs humains envers leurs élèves non-humains sera réprimé.
Les autorités encouragent les compagnies à nouer des partenariats avec le futur institut et mettre en place le même système que la BMC, mais pour 2 ans minimum cette fois. Des avantages fiscaux seront octroyés lors de discussions entre le secrétariat du Moff et les compagnies intéressées. Tout cela au cas par cas, selon la compagnie et son (futur) degré de présence sur Bandomeer.
Les facultés :Création du fond d'excellence Trachta (FET) chargé de l'attribution des bourses aux étudiants, à la capacité discrétionnaire de la direction de l'IGIM, c'est-à-dire du Moff Trachta et de son secrétariat général.
- Économie et gestion
- Sciences géologiques
- Ingénierie civile
- Sciences robotiques appliquées
- Ingénierie de l'armement
De nouvelles facultés pourront être créées ultérieurement.
Trachta a écrit :Auto-modération (MP si je sous-estime) :Actions :
- Coût unique de construction de l'IGIM : 30 millions de crédits
- Entretien mensuel de l'IGIM : 10 millions de crédits
- Frais du FET : 10 millions de crédits
- Dépense de 30 millions le 31/01/15 pour la construction de l'IGIM
- Durée de construction : 1 mois IRL pour les 10 antennes.
- Rajout de 20 millions dans les dépenses mensuelles (FET+ entretiens de l'IGIM), à partir du 1er mars 2015.