Jay Hawk alias...Scott Knox...The Comeback ![fiche terminée]
MessagePosté :mar. 10 sept. 2013 18:15
par Scott Knox
- Nom : Jay Hawk alias Scott Knox
- Autre Comptes :
Profil
- Race : Humain
- Sexe : Masculin
- Âge : 39
- Planète d'origine : Kuat
- Apparence : 1.88m, 74kg, standards humains, cheveux bruns, yeux bleu et du charme à cause de mon sourire aux dents bien blanches. Ma peau est claire, pas de cicatrices, ni tatouages d’aucune sorte et prend facilement un teint mat quand je suis exposé au soleil.
Je ne me rase pas toujours de près sauf quand je sors ou quand j’ai un rendez-vous galant.Mes cheveux sont + ou moins coiffés parce que je ne suis pas quelqu’un de sage, mes oreilles sont bien dessinées, mon ouïe excellente et une bonne acuïté visuelle. Mes bras sont fermes et solides, j’ai une charpente osseuse équilibrée. Quant mes jambes, elles sont bien proportionnées, athlétiques, pas de poils superflus mais une musculature et silhouette agréable dûe à la pratique du sport dans ma prime jeunesse et d’une activité sportive (course de fond) régulière.
J'ai changé d'apparence grâce à la chirurgie plastique (c'est beau le progrès !)...Voir plus bas !
J'aime porter un treillis militaire de couleur nuit mais je change de couleur en fonction de mes destinations car cela me permet d'échapper aux regards indiscrets même si j'aime personnaliser ma tenue. Mon couvre chef est une casquette de commandant fatiguée de couleur noire et des lunettes de soleil. Je porte des chaussures tout-terrain noires, un gilet de combat de même couleur, un tee-shirt assorti, une ceinture et holster sombres.
Mes armes favorites est 2 blasters Naboo S5 (lance-grappin)
- Métier : Ancien militaire Républicain, ex-commandant Impérial et cherche à intégrer le Maëlstrom
- Groupe : Maëlstrom / Bha'lil Noir
Informations
- Histoire : Vivre sur Kuat est déjà un défi en soi, un défi à la vie, une compétition ! Les joies de l’enfance, qu’est-ce que c’est ? Je ne compte plus les punitions, privations et coups que j’ai reçu de la part de mon paternel, il me disait toujours « tu comprendras plus tard »…
il faut dire que les 15 premières années, on ne comprend pas, on subit jusqu’au jour où j’ai commencé à esquiver ses coups, les seuls moments de répit, c’est quand j’étais dans son atelier, je trouvais toujours un truc à faire pour éviter qu’il m’en colle une et là aussi j’esquivais ce qu’il avait sous la main quand il n’arrivait pas à arranger une panne, heureusement qu’Ernie était là pour le modérer.
Ernie était l’associé de mon père, un vieux garçon mais inséparable du paternel, ils avaient faits les 400 coups ensemble et s’étaient rangés quand je suis arrivé au monde. C’est la seule personne que je regrette aujourd’hui, c’est grâce à son enseignement que j’en sais beaucoup sur le fonctionnement des moteurs spatiaux et sur ce que vaut une pièce détachée, ça rendait jaloux mon père d’ailleurs, Ernie était plus patient que lui, je crois qu’il l’enviait… Quand il a compris qu’il ne m’atteindrait plus, j'ai passé trois années plutôt tranquilles à l'atelier, améliorant mes connaissances mécaniques mais à mes 18 ans, je reçus une convocation pour une école militaire Impériale, ce tour pendable m'avait été joué par mon père, ainsi je n'étais plus "dans ses pattes" !
L'Académie... !! Je suis arrivé à une période, que je qualifierai « d'étrange » aujourd'hui !
C'était une période de transition entre l'ancienne institution qui faisait rêver tant de cadets et un renouvellement à tout point de vue. Jamais l'école n'avait bénéficié de tant d'équipements neufs et d'un renouvellement important parmi les professeurs et instructeurs, l'enseignement se fit plus dur et exigeant...Beaucoup d'entre nous qui étaient là pour un long cycle, avons protesté devant la révocation de certains professeurs jugés « trop attachés à la République », des familles sont même revenus reprendre leurs enfants mais ceux qui n'avaient pas le choix comme moi, avons du rester et les 6 mois suivants, j’en ai bavé.
De nouvelles évaluations ont eu lieu, ils se sont rendus compte que la Marine devait me convenir et à partir de ce moment, j'ai commencé à me calmer et à prendre le pli. Mon zèle naissant adoucit les professeurs, mes notes s’améliorèrent et je bénéficiais alors d’un meilleur régime, je commençais à apprécier ce cadre de vie qui m’avait privé de ma liberté chérie car j’y trouvais mes marques. J'avais quand même une « bête noire », c'était tout ce qui avait attrait à l'éducation « politique », ce nouvel état d'esprit qu'on devait intégrer, détester, haïr ce qui n'était pas humain, quand j'y pense...Jamais je ne m'y suis fait...Heureusement que je brillais dans les matières principales car je fus la « tête de bantha » du professeur d'éducation politique, il me détestait !
Grâce à mes notes et suivant les conseils de mes instructeurs, je me présentais aux tests de sélection pour la chasse. Cela ne fut pas une mince affaire ! Sur 100 candidats, seuls 25 furent retenus, je me classais au 9ème rang car je n'étais pas assez bon en théorie mais en pratique, j'étais situé parmi les 3 premiers, je remerciai intérieurement « oncle Ernie » pour ses judicieux conseils en dépannage et maintenance car l'une des dernières épreuves fut la simulation d'un crash.
Pour le test final, on nous a largués sur une planète paumée, remplie de marais puants, aux arbres tortueux et à la faune hostile, nous n'avions que deux jours pour nous tirer de là, seuls les 5 premiers rescapés seraient retenus pour la suite et mes talents de mécanicien me sauvèrent la mise. Nous disposions d'un kit de survie et chacun d'entre nous, avions été déposés avec un chasseur en panne. On devait diagnostiquer la panne et y remédier, après une demi-journée de travail et une partie de la nuit, j'arrivais au bout de mes peines avec seulement 10 heures d'avance et en 4ème position, mes autres camarades furent comptés comme disqualifiés.
Les années suivantes, j'évoluais sur divers types de chasseurs, de l'intercepteur au chasseur-bombardier afin qu'on nous familiarise avec les différents matériels, privilège d'une élite et jalousée par nos homologues ! Une autre étape conclut cette évolution, je fus promus en tant qu'officier en second sur une modeste frégate douanière où une routine fastidieuse remplaça l'exaltation du vol dans un cockpit de combat néanmoins, j'appris beaucoup sur la tactique, la coordination et le sens du commandement.
Lutter contre la contrebande ne me posa jamais de problème de conscience, ceux qui violaient la loi, prenaient des risques et quand ils se faisaient prendre, ils devaient les assumer et cela se finissait souvent brutalement pour eux. Sentiment partagé par l'équipage car nous étions de la même promotion et j'y retrouvais certains camarades qui avaient fait le même parcours que moi.
Ma conscience professionnelle et le souci de bien faire me firent oublier les événements qui secouèrent la galaxie, la guerre des clones, le danger séparatiste dissimulèrent à ma conscience, la montée en force de l'Empire et ses exactions jusqu'au jour où, commandant un croiseur d'interception, « Le Fulgurant», nous reçûmes un ordre qui bouleversa nos vies et faillirent déclencher une guerre civile à bord, l'ordre « 66 ».
Quelques jours auparavant, nous embarquâmes quelques jedïs pour une mission de reconnaissance où leur appui s'avérait indispensable, ils avaient le don formidable de nous guider sans que l'ennemi séparatiste en soit informé, des clones étaient évidemment à bord.
Je me souviendrais toujours quand plusieurs d'entre eux furent comme saisis de malaises, troublés, angoissés, comme ressentant une douleur à la fois lointaine et proche, ils allumèrent leurs sabres et se mirent en garde tandis que la passerelle devenait un enfer de tir croisés ou déviés par leurs sabres laser jusqu'à ce que les soldats en armure blanche jonchèrent le sol.
J'ordonnais à mon équipage (non-clone) de paralyser les deux parties et y arrivait en partie, la moitié des jedïs présents furent tués et tous les clones y restèrent, curieusement les soldats ne les avaient visés qu'eux et laissèrent mon équipage vivant, soit 40 hommes. Je mis plus de 10 mn à me remettre de ce choc fratricide, les deux composantes Républicaines avaient jusque là toujours coopéré et là... !! Elles se comportaient comme des ennemis de toujours ! J'étais bouleversé ainsi que de nombreux hommes d'équipage !!
Les jedïs survivants m'expliquèrent qu'ils avaient ressentis la mort de leurs congénères à travers la galaxie et au vu de leur loyauté passée, je ne pus que les croire...examinant le système audio des armures des clones, je réussis grâce à nos techniciens du bord, à retrouve rle message diffusé par l'Empereur même ordonnant aux clones de tuer tous les jedïs sans exception et même les padawans où qu'ils se trouvent tout en épargant les équipages militaires non-jedïs.
Je pris alors une grave décision...Je ne pouvais plus continuer ainsi avec le sang de ces innocents sur les mains et demandais à mon équipage de choisir, ceux qui voulaient rester demeurer à bord, quant aux autres, ils étaient libres de rejoindre le monde de leur choix à bord d'une navette. C'est ainsi que le « Fulgurant » devint un navire indépendant, rebaptisé "Phoenix", ce croiseur léger a un armement honorable et notre ingénieur de bord « Hal » en a fait un redoutable adversaire, ne cessant de le peaufiner, de l'améliorer...Nous avons tissé depuis peu des liens avec les contrebandiers.
Certains « anciens » adversaires sont étonnés de me voir de leur côté et acceptent mes motivations même s'ils ont d'autres valeurs et des choses, il s'en est passé durant ces dernières années !!
Mes souvenirs les plus récents concernent mes débuts dans "l'organisation"...Après les événements de Tion en tant que free-lance, il m'est apparu necessaire de me joindre à un groupe disposant d'une réelle influence, c'est ainsi que j'ai pu commencer par ré-investir (au sens propre comme au figuré), une ancienne station désaffectée de traitement du Tibanna sur Ord Ibanna près du système de Sullust.
Seule la discrétion de l'organisation, la protection et l'efficacité du réseau du Bha'Lil Noir m'a permis de la rendre exploitable en moins de six mois et grandement augmenté mes ressources. Cependant, j'ai maintenu un profil bas pour éviter d'éveiller les convoitises mal placées, tout cela a duré quelques années, jusqu'à ce que l'Empire remette au pas Sullust et soit plus présent dans le système, m'obligeant momentanément à fermer boutique mais du jour au lendemain, tout peut recommencer !!
A peine, j'entrevoyais un avenir plus radieux ainsi que pour mon équipage, que le bel édifice se lézardait, ça craquait dehors et à l'intérieur, des tensions se firent au sein de l'Organisation m'obligeant à prendre parti. Je me suis rangé aux côtés du Bha'Lil car lui, à survécu à de nombreuses guerres aussi violentes soient-elles. A peine avais-je été seul aux commandes de mon projet pendant deux années que j'ai passé les cinq suivantes, à me battre pour les intérêts de mon protecteur mais cela n'a pas été en vain.
Les rangs de la criminalité se sont éclaircis, j'ai perdu des amis, nos adversaires aussi et pendant que les deux grandes puissances s'affrontaient (rebelles et empire) et bien, je ne restais pas inactif non plus dans mon secteur, évitant d'étendre mes exploits ailleurs car mon idée était de disparaître pour mieux agir dans l'ombre...
Comme un nouveau départ se doit d'être fêté, j'en ai profité pour mettre en scène ma propre mort (destruction de mon propre vaisseau) grâce aux bons soins de l'Organisation et de ses cliniques clandestines (nouvelle identité, modification des empreintes, de la couleur de mon iris et des cordes vocales)Fausse identité et faux "background"
NOM : Hawk
Prénom : Jay
Lieu de naissance : Polis Massa
Les parents de Jay étaient des ingénieurs agronomes, prodiguant leurs conseils dans la galaxie et gagnaient leur vie en faisant des audits. la dernière fois qu'ils étaient en vie, c'est lorsqu'ils se rendirent sur Caamas pour aider les autochtones à augmenter leurs rendements agricoles. alors qu'il était encore un très jeune enfant, une sérieuse période de tensions opposa la planète à l'Empire qui décida d'en faire un exemple, la ravageant, sans jamais vouloir admettre sa responsabilité et contraignit son peuple à l'exil.
Jay et ses parents furent considérés comme des réfugiés et lors du voyage vers Alderaan, leur vaisseau connut une avarie sérieuse, cour-circuitant l'ensemble de l'alimentation electrique et ne laissant qu'une puissance minimale. Les parents de celui-ci le placèrent dans une capsule de survie et à peine, celle-ci fut lancée qu'une explosion ravagea le vaisseau, la capsule fut recueillie par les autorités d'Alderaan et l'enfant placé dans une famille d'accueil.
L'accident avait marqué l'enfant lui faisant faire des cauchemars nocturnes et ne put se calmer qu'au bout de plusieurs années. Malgré ces débuts tragiques, Jay trouva son équilibre auprès d'une famille Alderaanaise qui n'avait pu avoir d'enfant. Au fil des années, le traumatisme s'estompa, l'enfant put s'épanouïr comme n'importe quel gamin et progresser d'un point de vue scholastique et social.
Jay montra des dispositions pour l'Histoire, l'étude des civilisations et l'archéologie, il fit ses études dans le secteur de Rugosa, l'université de Sanbra. Ces longues études furent assorties de stages sur le terrain, ce que Jay préférait le plus.
A cause de l'Empire, il ne put avoir accès tous les systèmes où il désirait se rendre et avant de pouvoir finaliser son diplôme, il dut travailler...C'est tout naturellement que ces connaissances et ses besoins économiques le portèrent vers le monde des antiquaires et...leurs demandes parfois orthodoxes ! Le transformant ainsi en un "chasseur de trésors" à la limite de légalité...Officiellement, Jay est considéré comme un collectionneur indépendant en liaison avec le monde des antiquaires.
Psychologie : Jay est quelqu'un d'indépendant mais loyal avec qui le traite avec respect et ne donne pas sa parole avec légèreté. Quand il s'engage, il va jusqu'au bout ! Il est sensible à l'argent et peut paraître arriviste mais c'est quelqu'un d'ambitieux et qui aime les challenges.
- Inventaire : 1 blaster S5 + bandoulière à munitions + vêtements de rechange (sac à dos militaire)
- Psychologie : D’une nature indépendante, j’ai appris à ne pas faire confiance facilement. Je ne compte que sur moi-même ou uniquement des ami(e)s fidèles qui ont le même genre de vie que moi, qui apprécient plus leur liberté d’action et de pensée que la triste illusion d’une sécurité qui peut nous être arrachée du jour au lendemain.
Ceux qui font partie de mon monde peuvent bénéficier de ma loyauté et confiance, quant aux autres, il faut qu’ils fassent leurs preuves et gare à ceux qui veulent m’imposer leur volonté de force. On peut me convaincre par les mots, du moins essayer mais la « négociation armée » va susciter un autre principe « action=réaction ».
- Affection : la liberté, travailler avec des personnes fiables
- Aversion : l’injustice, abuser de sa force envers un plus faible, tirer dans le dos
Disposition
- Fuseau Horaire : Bruxelles
- Disponibilité : 21h> 00h
- Indisponibilité : ponctuelle et je le signale en général