- dim. 1 nov. 2020 09:30
#38365
IDENTITE
Nom du Personnage : Camren Almaran
Race : Humain
Âge : 33 ans
Planète d'origine : Coruscant
PROFIL
Métier : Anciennement : Pilote / Mécanicien dans l’Alliance Rebelle. Maintenant : Réparateur de droïdes.
Faction : Neutre
Description : Camren est un homme à la peau mat, parsemée de quelques cicatrices discrètes. Il n’est ni grand, ni petit, avoisinant le mètre soixante-quinze, il possède néanmoins une stature athlétique forgée par sa formation militaire. Il en conserve également une posture droite, un torse bombé, des cheveux courts de couleurs châtains, une tête haute et une démarche rapide et assurée. Il possède une mâchoire carrée, un front large, des lèvres épaisses dont l’inférieur porte encore la marque d’un coup quelconque, des yeux bruns flanquées de rides rieuses malgré sa mine fermée, soucieuse et grave.
Il porte généralement des vêtements de travail basiques; un tablier de soudure, des gants, des bottes, quelques outils à la ceinture. Rien qui n’ait vraiment de la valeur si ce n’est le collier qui ne quitte jamais son cou et son blaster, indispensable, dans les rues qu’il traverse.
Histoire : « Je suis né sur Coruscant à la période sombre de l’histoire, l’avènement de l’Empire au nom de l’ordre, l’unité et la sécurité. J’ai grandi sous domination impériale avec tout ce que révèle une dictature militaire raciste et xénophobe arrosée de propagande. Je suis fils unique, je n’ai pas connu mon père, ma mère ne cessait de se vouloir rassurante malgré l’angoisse de trouver un jour des soldats Impériaux mal intentionnés devant sa porte et la difficulté d’élever seule un enfant en cette période. Inutile de préciser que je ne suis pas issue d’une famille riche et que les beaux quartiers de Coruscant m’étaient inaccessibles. Moi, je vivais en sous sol, dans les bas-fonds de la mégalopole là où les occasions de plonger dans la criminalité sont nombreuses. Des années d’errance méfiante dans les couloirs mal famés, développant des qualités qui me servent encore aujourd’hui. Mais l’année de mes dix-sept ans, alors que je cherchais les moyens de me rendre utile, de faire quelque chose de mon existence, à deux doigts d’épouser une carrière de voyou, un but plus noble m’est apparu : libérer la galaxie de l’emprise Impériale.
Je me souviens bien de ce jour, de l’apparition de ces affiches portant le symbole de l’Alliance Rebelle, placardées dans chaque corridor des bas-fonds, étincelantes sous les lumières artificielles. Figé dans ma mémoire, je me souviens de ce garde impériale chargé d’arracher les affiches et punir les coupables de cette propagande ennemi. Il m’avait fixé avec un air de défiance, caressant du bout du doigt la gâchette de son fusil. « Ose seulement tenter quelque chose. » semblait-il dire en levant le menton. J’avais baissé les yeux, baissé la tête sous son ricanement satisfait, pour dissimuler un sourire. Pour la première fois de ma vie, j’avais assisté à un moment de faiblesse, de fébrilité, de crainte, venant de l’Empire et je comptais bien m’engouffrer dans cette faille pour libérer Coruscant et faire peser un poids en moins sur les épaules de ma mère. Elle n’avait même pas cherché à m’en dissuader malgré son angoisse visible. Elle avait même dit cette phrase qui reste encore gravé dans mon esprit : « C’est dans ton sang après tout. ».
A ce moment, j’avais pensé qu’elle faisait référence à elle mais avec le temps j’en suis venu à me demander si elle ne parlait pas de mon père et qu’il s’agissait des seuls mots qu’elle m’ait dit à son sujet.
Tandis que les graines de la Rebellion continuaient d’être semées dans l’ancienne capitale de la République, traquées et arrachées par l’Empire, il ne me fallut pas beaucoup de temps pour trouver un groupe parmi les enclaves florissantes destinées à contrer l’occupation. Je fus mené dans une académie militaire, dissimulée habilement des radars impériaux pour commencer ma formation. Très rapidement j’ai développé un talent certain dans les simulateurs de pilotage. Attentif, vif, observateur, doté d’une intuition que certains qualifiaient d’hors du commun on me reprochait tout de même de me mettre facilement en colère quand j’échouais.
Ma formation a duré un an mais ce n’est qu’à dix-neuf ans, après plusieurs opérations au sol, que je pilote pour la première fois un vrai X-Wing au sein de l’escadron Blue lors de la bataille de Scarif. Je m’étais fait remarquer lors de la bataille pour mon pilotage plus qu’agressif. Certains avaient étés impressionnés, d’autres me l’avait reproché et je n’ai cessé d’écouter les conseils des pilotes plus expérimentés dans l’espoir de faire partie de l’élite des pilotes Rebelles. Je n’y suis pas parvenu cependant mes compétences se sont nettement améliorés et c’est à la bataille d’Endor dans l’escadron Yellow que j’ai pu le démontrer en interceptant les vaisseaux sortant de la seconde étoile de la mort. La moitié de l’escadron fut détruit durant la bataille me révélant une fois de plus l’horreur de la guerre.
Notre victoire sur Endor marquait la débâcle de l’Empire mais j’en gardais un goût amer. J’avais perdu des amis, assisté à des scènes atroces, rempli mon esprit d’images et de sons insoutenables mais la guerre n’était pas terminée et le pire pour moi restait à venir.
L’objectif était ensuite de libérer les planètes du Noyau et cela n’avait rien de facile car certains mondes sont des forteresses bien défendues. Le siège de Coruscant en est un excellent exemple et la stratégie de l’Alliance Rebelle consistant à libérer des criminels pour semer le chaos n’avait rien pour me plaire ça m’avait d’ailleurs mis hors de moi. Mais j’avais eu beau montrer mon désaccord je n’avais aucune incidence sur la chaîne de décision. C’en était trop pour moi et après la prise de la capitale j’avais décidé de faire une croix sur ma carrière militaire. Je rendis mon uniforme de pilote et retourna dans les bas fonds de la cité pour y recommencer une nouvelle vie, loin des X-Wing, des Rebelles et de l’Empire.
C’était il y à sept ans. Je vis depuis une vie ordinaire, j’ai rencontré une femme que j’ai épousé, j’ai un fils de deux ans et j’ai trouvé un petit travail sans prétention où je répare des droïdes."
Psychologie : Camren, malgré tout ses efforts pour le dissimuler, est un homme tourmenté par son passé guerrier et ses souvenirs ne cessent de le hanter. Il se méfie de tout inconnu, préférant tout simplement éviter la compagnie d’autres à l’exception de sa femme et de son fils dont la présence l’apaise. Si bien que pour éviter d’échanger avec quelqu’un il préfère rester taciturne, froid, cynique. Pour autant il n’est pas mauvais mais fait semblant de le paraître pour ne pas être dérangé. En ce sens, son travail convient parfaitement, seul en compagnie de droïdes désactivés parfaitement silencieux. Ce serait vraiment parfait si il gagnait un peu plus d’argent pour sortir sa famille des bas-fonds de Coruscant afin de leurs garantir une meilleure vie, plus sûre. La sécurité et le bonheur de sa famille, c’est tout ce qui compte pour lui à présent même si de temps en temps il rêve encore de piloter un vaisseau entre les étoiles.
INVENTAIRE
Crédits : 2000 Cr
Arme : Pistolet Blaster DL-44
Equipement : Tenue de civil et tenue de travail.
Nom du Personnage : Camren Almaran
Race : Humain
Âge : 33 ans
Planète d'origine : Coruscant
Métier : Anciennement : Pilote / Mécanicien dans l’Alliance Rebelle. Maintenant : Réparateur de droïdes.
Faction : Neutre
Description : Camren est un homme à la peau mat, parsemée de quelques cicatrices discrètes. Il n’est ni grand, ni petit, avoisinant le mètre soixante-quinze, il possède néanmoins une stature athlétique forgée par sa formation militaire. Il en conserve également une posture droite, un torse bombé, des cheveux courts de couleurs châtains, une tête haute et une démarche rapide et assurée. Il possède une mâchoire carrée, un front large, des lèvres épaisses dont l’inférieur porte encore la marque d’un coup quelconque, des yeux bruns flanquées de rides rieuses malgré sa mine fermée, soucieuse et grave.
Il porte généralement des vêtements de travail basiques; un tablier de soudure, des gants, des bottes, quelques outils à la ceinture. Rien qui n’ait vraiment de la valeur si ce n’est le collier qui ne quitte jamais son cou et son blaster, indispensable, dans les rues qu’il traverse.
Histoire : « Je suis né sur Coruscant à la période sombre de l’histoire, l’avènement de l’Empire au nom de l’ordre, l’unité et la sécurité. J’ai grandi sous domination impériale avec tout ce que révèle une dictature militaire raciste et xénophobe arrosée de propagande. Je suis fils unique, je n’ai pas connu mon père, ma mère ne cessait de se vouloir rassurante malgré l’angoisse de trouver un jour des soldats Impériaux mal intentionnés devant sa porte et la difficulté d’élever seule un enfant en cette période. Inutile de préciser que je ne suis pas issue d’une famille riche et que les beaux quartiers de Coruscant m’étaient inaccessibles. Moi, je vivais en sous sol, dans les bas-fonds de la mégalopole là où les occasions de plonger dans la criminalité sont nombreuses. Des années d’errance méfiante dans les couloirs mal famés, développant des qualités qui me servent encore aujourd’hui. Mais l’année de mes dix-sept ans, alors que je cherchais les moyens de me rendre utile, de faire quelque chose de mon existence, à deux doigts d’épouser une carrière de voyou, un but plus noble m’est apparu : libérer la galaxie de l’emprise Impériale.
Je me souviens bien de ce jour, de l’apparition de ces affiches portant le symbole de l’Alliance Rebelle, placardées dans chaque corridor des bas-fonds, étincelantes sous les lumières artificielles. Figé dans ma mémoire, je me souviens de ce garde impériale chargé d’arracher les affiches et punir les coupables de cette propagande ennemi. Il m’avait fixé avec un air de défiance, caressant du bout du doigt la gâchette de son fusil. « Ose seulement tenter quelque chose. » semblait-il dire en levant le menton. J’avais baissé les yeux, baissé la tête sous son ricanement satisfait, pour dissimuler un sourire. Pour la première fois de ma vie, j’avais assisté à un moment de faiblesse, de fébrilité, de crainte, venant de l’Empire et je comptais bien m’engouffrer dans cette faille pour libérer Coruscant et faire peser un poids en moins sur les épaules de ma mère. Elle n’avait même pas cherché à m’en dissuader malgré son angoisse visible. Elle avait même dit cette phrase qui reste encore gravé dans mon esprit : « C’est dans ton sang après tout. ».
A ce moment, j’avais pensé qu’elle faisait référence à elle mais avec le temps j’en suis venu à me demander si elle ne parlait pas de mon père et qu’il s’agissait des seuls mots qu’elle m’ait dit à son sujet.
Tandis que les graines de la Rebellion continuaient d’être semées dans l’ancienne capitale de la République, traquées et arrachées par l’Empire, il ne me fallut pas beaucoup de temps pour trouver un groupe parmi les enclaves florissantes destinées à contrer l’occupation. Je fus mené dans une académie militaire, dissimulée habilement des radars impériaux pour commencer ma formation. Très rapidement j’ai développé un talent certain dans les simulateurs de pilotage. Attentif, vif, observateur, doté d’une intuition que certains qualifiaient d’hors du commun on me reprochait tout de même de me mettre facilement en colère quand j’échouais.
Ma formation a duré un an mais ce n’est qu’à dix-neuf ans, après plusieurs opérations au sol, que je pilote pour la première fois un vrai X-Wing au sein de l’escadron Blue lors de la bataille de Scarif. Je m’étais fait remarquer lors de la bataille pour mon pilotage plus qu’agressif. Certains avaient étés impressionnés, d’autres me l’avait reproché et je n’ai cessé d’écouter les conseils des pilotes plus expérimentés dans l’espoir de faire partie de l’élite des pilotes Rebelles. Je n’y suis pas parvenu cependant mes compétences se sont nettement améliorés et c’est à la bataille d’Endor dans l’escadron Yellow que j’ai pu le démontrer en interceptant les vaisseaux sortant de la seconde étoile de la mort. La moitié de l’escadron fut détruit durant la bataille me révélant une fois de plus l’horreur de la guerre.
Notre victoire sur Endor marquait la débâcle de l’Empire mais j’en gardais un goût amer. J’avais perdu des amis, assisté à des scènes atroces, rempli mon esprit d’images et de sons insoutenables mais la guerre n’était pas terminée et le pire pour moi restait à venir.
L’objectif était ensuite de libérer les planètes du Noyau et cela n’avait rien de facile car certains mondes sont des forteresses bien défendues. Le siège de Coruscant en est un excellent exemple et la stratégie de l’Alliance Rebelle consistant à libérer des criminels pour semer le chaos n’avait rien pour me plaire ça m’avait d’ailleurs mis hors de moi. Mais j’avais eu beau montrer mon désaccord je n’avais aucune incidence sur la chaîne de décision. C’en était trop pour moi et après la prise de la capitale j’avais décidé de faire une croix sur ma carrière militaire. Je rendis mon uniforme de pilote et retourna dans les bas fonds de la cité pour y recommencer une nouvelle vie, loin des X-Wing, des Rebelles et de l’Empire.
C’était il y à sept ans. Je vis depuis une vie ordinaire, j’ai rencontré une femme que j’ai épousé, j’ai un fils de deux ans et j’ai trouvé un petit travail sans prétention où je répare des droïdes."
Psychologie : Camren, malgré tout ses efforts pour le dissimuler, est un homme tourmenté par son passé guerrier et ses souvenirs ne cessent de le hanter. Il se méfie de tout inconnu, préférant tout simplement éviter la compagnie d’autres à l’exception de sa femme et de son fils dont la présence l’apaise. Si bien que pour éviter d’échanger avec quelqu’un il préfère rester taciturne, froid, cynique. Pour autant il n’est pas mauvais mais fait semblant de le paraître pour ne pas être dérangé. En ce sens, son travail convient parfaitement, seul en compagnie de droïdes désactivés parfaitement silencieux. Ce serait vraiment parfait si il gagnait un peu plus d’argent pour sortir sa famille des bas-fonds de Coruscant afin de leurs garantir une meilleure vie, plus sûre. La sécurité et le bonheur de sa famille, c’est tout ce qui compte pour lui à présent même si de temps en temps il rêve encore de piloter un vaisseau entre les étoiles.
Crédits : 2000 Cr
Arme : Pistolet Blaster DL-44
Equipement : Tenue de civil et tenue de travail.
Modifié en dernier par Camren le lun. 2 nov. 2020 18:41, modifié 1 fois.