L'Astre Tyran

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By Tiber Kaan
#39169
IDENTITE

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Nom du Personnage : Tiber Kaan
Race : Dévaronien de culture mandalorienne
Âge : 26 ans
Mensurations : 195 cm pour 175 kg
Planète d'origine : Né sur Naboo, en voyage toute sa vie
Langues connues : Mando'a, Basic


PROFIL

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Métier : Mercenaire - Chasseur de Primes
Faction : Mandaloriens


Description :
Comme si elle était corrélée à la conscience elle-même, la croyance en des êtres démoniaques, au souffle chaud, à la peau flamboyante et aux grandes cornes se retrouve aux quatre coins de la galaxie, sur des milliers et des milliers de mondes différents. Ce qui amène souvent les peuples à se montrer méfiant envers les Dévaroniens, dont l'apparence évoque terriblement ces démons mythiques.

Tiber, en bon représentant de sa race, coche ainsi toutes les cases: des excroissances sur le front, une peau rouge, une pilosité d'un noir charbonneux, des yeux d'un jaune profond, une longue langue et des dents extrêmement pointues. Ces traits déjà ô combien particuliers sont encore soulignés par une impressionnante silhouette; les rudes épreuves des enseignements mandaloriens ont doté Tiber de très larges épaules et d'une puissante musculature, que sa Beskar'gam sait très bien mettre en valeur. Ses bras, épais et musclés, tendent parfois le tissu de ses tuniques, et d'aucuns diraient qu'il a un véritable cou de taureau.

Dépourvu de chevelure comme tous les mâles de son espèce, il entretient malgré tout des pattes et un bouc qui viennent souligner les formes anguleuses de son visage. Son nez, épais, presque bovin, se révèle un excellent indicateur de son état mental; il se plisse, se tord, remue, bouge selon ce qu'il ressent, à coup sûr.
Cependant, quand il vient à retirer son casque à la légendaire visière en T, quelque chose tend à marquer cependant les esprits: en lieu et place de cornes, rien. Plus rien. Plus précisément même, ne dépassent désormais que deux espèces de souches rouge sombre, vestiges de ce qu'il s'est jadis coupé par commodité, et pour s'intégrer.

Héritier d'un clan aux valeurs plutôt traditionnalistes, Tiber prend fierté à porter à tout instant sa seconde peau de Beskar, fruit de la transmission de ses aïeux. S'il ôte régulièrement son casque, il ne se dévêt que lorsque le besoin s'en fait sentir, et préfère sentir contre lui la force de sa tenue. Sa peau rougeoyante est marquée de cicatrices de nombreuses batailles. Et autour de son cou, d'ordinaire bien caché sous ses vêtements, pend un cristal orange auquel il tient tout particulièrement. C'est le seul souvenir qu'il a de sa mère, le dernier cadeau qu'elle lui a fait avant de mourir. Parfois, lorsque ses pensées viennent à vagabonder, il a l'impression d'entendre le minéral chanter.


Histoire :
Les origines du Mandalorien connu sous le nom de Tiber Kaan sont étroitement liées à l'avènement de l'Empire et à la chute de l'Ordre Jedi, il y a près de 30 ans. Sa mère, dont il ne connaît même pas le nom, est une des quelques survivantes de la Grande Purge et du sac du Temple de Coruscant. Pour échapper à la mort, elle s'est réfugiée sur la verdoyante Naboo, auprès de sympathisants à la cause Jedi. Là-bas, elle a cru pouvoir refaire sa vie à l'abri des persécutions de ses ennemis... et les premières années ne lui ont étonnamment pas donné tort. Un travail, des amis, la paix... que demander de plus ?

Le destin lui a même offert le bonheur d'être mère, d'un petit garçon ô combien aimé et chéri par la suite.

Mais, comme si l'équilibre cosmique ne pouvait être rompu, les agents impériaux l'ont retrouvée. Et Dark Vador en personne est venue s'occuper d'elle. Consciente qu'elle ne pourrait fuir sans mettre en danger son enfant, elle a pris la plus difficile décision de sa vie: se sacrifier pour lui. Sans elle, tout sera plus simple, plus facile, a-t-elle pensé. Alors, elle lui a remis son cristal de sabre, et l'a envoyé vers la lune la plus proche, avec une balise de détresse. Et plus jamais le petit garçon ne l'a revu.

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Le premier visage que ce petit bout de Dévaronien a rencontré par la suite est celui de Trask Kaan, le Mandalorien de passage qui lui a porté secours. Ce chasseur de primes l'a alors pris sous son aile, et l'a emmené avec lui, jusque dans son clan. Là-bas, il est bien vite adopté par la famille, et nommé subséquemment. Tiber Kaan est né. Ou rené, plutôt. Histoire, croyances, hiérarchie, langue, fonctionnement, toute la culture des Mandaloriens y passe, et avec elle l'enseignement du Resol'nare, pièce centrale qui maintient l'unité de ce peuple si disparate. Des liens se créent: forts, très forts, ils unissent très vite ce petit bonhomme orphelin aux humains et autres du clan Kaan.

Lorsqu'enfin sonne le glas de sa septième année, Trask, toujours sans enfant, emmène avec lui Tiber pour le former. Pour en faire son héritier. Pour en faire un vrai Mandalorien. Pendant cinq ans, chaque aurore a été marqué par de lourds entraînements, par un perfectionnement physique et mental extrême, à travers le maniement des armes, l'apprentissage de la chasse et de la traque, et la connaissance des technologies qui font des Mandaloriens ces guerriers si redoutés. Beskar, Beskad, Buy'ce, Haalas et les dernières merveilles de MandalMotors !
Mais difficile de cacher que les Mando'ad ont traversé une passe difficile après les les grandes guerres récentes, de profonds échecs auxquels Trask a participé... et tant bien que mal survécu.

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Ensemble, père et fils ont voyagé à travers la galaxie, collectant primes et renouant amitiés du clan là où ils sont passés. La colère profonde de Tiber envers l'Empire n'a pas rendu les choses faciles, surtout en cette période troublée par les révoltes et l'Alliance Rebelle, mais à travers ces épreuves, il s'est plus que révélé capable d'endosser la légendaire Beskar'gam de son clan, en digne successeur des Kaan. Un honneur absolu à ses yeux. Puis, comme le veut la tradition du clan au blason Krayt, Trask a mené son fils sur Tatooine pour qu'il accomplisse la traque rituelle d'un jeune Dragon, point culminant de son passage vers l'âge adulte.

Le combat a laissé Tiber presque mort, mais victorieux !

Désormais maître de lui, Tiber a commencé sa carrière de mercenaire-chasseur de primes, perpétuant le savoir et l'expérience qu'on lui a transmis, pour un jour lui-même les passer à la prochaine génération. L'épreuve de la Boîte s'est avérée difficile, ardue, même pour quelqu'un d'aussi formé que lui, et c'est au prix de nombreux efforts et de fourberies de ses "co-testés" qu'il a réussi à s'en extirper, le premier. Les treize années qui ont suivi ont ensuite été marquées par cette vie "banale": des duels, des mêlées, des champs de bataille, des crédits, et une quête constante pour assurer soutien financier et gloire au clan Kaan.

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Mais il ne suffit que d'une seconde d'inattention à un guerrier pour perdre ce à quoi il tient, et c'est précisément ce que Tiber a vécu, il y a peu. Des mercenaires avec qui il a mené une mission d'escorte plutôt bien payée l'ont pris par surprise à la fin de leur contrat, et l'ont dépouillé de presque tout: argent, armes, même sa précieuse Beskar'gam... une honte telle qu'il n'en a jamais connu s'est emparée de lui, lorsque se sont enfuis ces criminels. Il n'a seulement pu sauver que ses gantelets et son casque, souvenirs douloureux de son échec, mais aussi outils de sa future vengeance.
Car ces voleurs vont apprendre une terrible leçon: lorsque tu dérobes à un Mandalorien, il faut le faire à son cadavre. Sans quoi, il te retrouvera, et te le fait payer au centuple.


Psychologie :
Tiber du clan Kaan n'est pas un Mandalorien très original. Il suit le Resol'nare autant que faire se peut, aime sa famille, apprécie sa vie nomade de mercenaire, tient sa parole coûte que coûte et tend à se montrer loyal envers ce peuple qui lui a tant apporté. Son honneur est quelque chose de très important, et s'il ne l'a pas encore vraiment mis dans de beaux draps, ce n'est qu'une question de temps; tel Jaster Mereel, il subira un jour le contrecoup d'être trop fidèle à ses valeurs, c'est certain.
Assez étonnamment, Tiber est un Mando'ad plutôt spirituel. Sans pour autant être un fervent croyant en l'omniscient destructeur Kad Ha'rangir, en le mortellement paresseux Arasuum et en l'hasardeux manipulateur Hod Ha'ran, il attache une certaine importance à cette idée qu'il existe en ce monde une chose qui relie chaque être, et notamment le peuple mandalorien. Cela lui parle, et lui donne espoir.

Taciturne quand il sort de ses cercles relationnels proches, on pourrait le croire taiseux, solitaire, mais il n'en est rien. Gagner sa confiance, son affection et sa loyauté prend simplement du temps. Et c'est normal, car elles en valent la peine: jamais il n'abandonnera un ami, et avec lui, rarement les festivités auront été aussi endiablées ! Surtout qu'avec son système sanguin amélioré et ses deux foies, le délicieux poison qu'est l'alcool lui fait autant d'effet qu'un verre de lait...

Tout heureux qu'il est de sa vie de Mandalorien, quelque chose cloche pourtant chez lui, et il le sait. Il en a conscience. Au fond de lui, en son cœur, une vilaine plaie reste ouverte, des années et des années après le terrible coup de couteau: le meurtre de sa mère par l'Empire. Il a des parents, oui. Des parents humains, adoptifs, qui ont une place particulière chez lui. Des Mandaloriens, qui lui ont mis en main les clefs pour s'en sortir. Mais là, il s'agit de tout autre chose, d'un trauma à l'origine de ce bouillonnement émotionnel ardent ô combien désagréable. Et de cette haine envers l'Empire et le sabre rouge qui a pourfendu sa mère.

Pis encore, ce poison s'est vu rejoindre par une grande honte, une culpabilité à nulle autre pareille: Tiber a perdu sa Beskar'gam, la peau de métal héritée de ses ancêtres. Par ruse. Et il n'en est pas mort. Ce déshonneur le hante, l'obsède, et est tout ce qui le pousse à continuer. Il récupèrera la propriété de son clan, coûte que coûte.


INVENTAIRE

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Crédits : 2000 crédits
Arme : Une paire de gantelets mandaloriens, hérités de son père, et du père de son père avant lui.
Equipement : Un Buy'ce à visière en T, bien évidemment, connecté aux gantelets, des holsters et un cristal orange. Après le vol de sa Beskar'gam, il s'est mis à porter un grand manteau de cuir et un keffieh, dans des teintes rappelant son armure.




LA FORCE

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GRADE
Rang : Sensible
Orientation : Neutre pour le moment, du fait de son faible lien avec la Force

CONNAISSANCES
Pouvoirs :
    Bouclier (Latent)
    Dissimulation (Latent)
    Divination (Latent)
    Empathie (Latent)
    Lévitation (Latent)
    Persuasion (Latent)
    Poussée (Latent)
    Saut (Latent)
    Sensibilité (Latent)
    Télékinésie (Latent)
    Télépathie (Latent)
    Traction (Latent)
    Vision (Latent)
    Vitesse (Latent)
    Voile (Latent)

Formes :
Arts martiaux: Teräs Käsi (Connu)
Artefacts : Aucun


VAISSEAU PERSONNEL

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CARACTÉRISTIQUES
Type : SS-54 light assault gunship
Nom : Dar'yaim
Classe : Cargo léger

DETAILS
Taille : 24.5 mètres
Équipage : 1 pilote, 8 passagers
Soute : 30 tonnes d'emport
Armement : 2 doubles canons blaster, 1 canon laser
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By Malice
#39185
Salutations, diable casqué, et bienvenue sur SWOR !

Ma foi ce n'est pas une fiche très longue mais c'est une fiche qui sait où elle va et raconte pile ce qu'il faut pour que l'on se figure le personnage ainsi que ce que tu veux faire avec. Les descriptions physique et psychologique sont très fournies et nous permettent de facilement nous imaginer le loustic et ses habitudes, il faut dire aussi qu'aimant beaucoup Hellboy je me fais déjà une idée claire du personnage, ça doit jouer ! Comme discuté en privé, les gantelets que tu portes sont cassés, il peuvent seulement arrêter des tirs, dévier des armes blanches (Attention cependant aux armes à vibration) et rendre tes coups de poings encore moins agréables, ce qui ne change pas grand chose à ta force déjà immense de Dévaronien, en fin de compte. Les réparer coûtera donc 7 500 crédits. Outre ce détail, cela me semble tout bon, ton personnage est donc validé !

Tu peux donc plancher sur ton compte bancaire et ta fiche de force ainsi que sur tes premiers RP !
Bonne chance dans cette galaxie lointaine, très lointaine, Mando'ade ! :bbfett:
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By Tiber Kaan
#39264
Bonsoir à tous.

Je ne sais ni trop où ni trop comment le dire, alors je le fais ici et comme ça: en raison de brusques soucis IRL, liés au travail et à ma vie privée notamment, il m'est devenu nécessaire de réduire mes loisirs Internet, et donc de faire des choix. Et même si cela ne fait qu'un peu moins de deux semaines que je vous ai rejoints, c'est avec une jolie pointe de tristesse que je dois vous dire au revoir, selon la formule consacrée par notre bon VGE.
Converser avec vous sur le Discord m'a offert quelques sourires bienvenus en ces temps difficiles, et j'ai beau n'être qu'un joueur passager, anecdotique dans la longue histoire de ce forum, j'espère avoir pu vous en donner quelques uns aussi. Continuez à vous amusez comme vous le faites sur SWOR, c'est un très bel espace de jeu, de divertissement, très libre, très fort, au potentiel infini. :)

Bon, ce n'est peut-être pas ici qu'il faut poster ce genre de message, mais cela me semblait être l'endroit le plus adéquat.

Quoi qu'il en soit, merci à vous pour tout, désolé du dérangement s'il y en a eu, et à la prochaine amis swordiens, amies swordiennes !
Longue vie à ce forum !
Que la force soit avec vous.
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By Vérité
#39270

Un parmi la multitude, une venue éphémère... Comme pour nous tous à vrai dire, nous sommes toujours tous que de passage sur SWOR, il vient toujours un moment où on range le manteau, définitivement ou non. Ton passage a simplement été plus court que d’autres, cependant, tu as au moins eu l’amabilité de nous avertir de ton départ, si peu font cet effort… Alors merci, merci d’avoir tenté l’aventure SWOR ! Si un jour l’IRL te le permet, sache que tu es toujours le bienvenu sur notre beau forum et dans le cas contraire ça aura tout de même été un plaisir.

Salut l’ami et que la force soit avec toi. :yodabl:

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