- mar. 1 oct. 2019 06:05
#36235
La phrase lui laissa un goût amer. Un gout de métal, une odeur de mort. Le Sullustéen se figea et sembla chercher son air. Loran se rapprocha et frappa contre la paroi énergétique. Evidemment, cela ne fonctionnait pas. Ce dernier se noircie, probablement à cause d’une réaction cutané violente dû à une exposition trop importante de radiation. Assez puissante pour le réduire en cendre, donc réduire tout autant le métal qui le maintenait au sol.
« Partez vite ! Partez … »
Trois tirs rompirent la phrase du Jedi et trois nouveaux cadavres vinrent s’ajouter. Loran eut un mouvement de recul et se dressa devant son père. Les choses allaient de mal en pis et les gentils républicains avaient soit été infiltrés, soit avait troqué la casquette de la démocratie. Tout cela sentait très mal. Pour autant, il eut cette étrange intuition derrière le crâne. La Force était toujours là et murmurait des mots inaudibles aux petites gens. Elle murmurait la patience et la tempérance. Il tourna un regard vers son père et hocha la tête négativement. Puis, apparurent les auteurs du crime. Trois grands colosses, peut-être des droïdes, qui installèrent tout un matériel. Des colliers pour esclaves dans un premier temps. Un produit dans l’aération pour un autre. Loran épiait toutes les manœuvres sans mot dire, sans commenter. Tout cela n’échappait pas encore à son contrôle. Patience, rien que patience.
« Papa, prend une grande inspiration. On se retrouve de l’autre côté. Bonne chance ! »
Le Jedi aurait très bien pu sortir, forcer les portes, retenir sa respiration pendant quelques minutes ou se placer en transe. Mais il ne fit rien. Il n’était qu’un homme qui portait en lui toute la curiosité de cette rencontre. La mort n’était pas pour tout de suite et les réponses viendraient en leur temps. Des réponses et un traitement en justice pour les assassins des soldats républicains.
Quand il se réveilla, il se sentait … flotter. Littéralement, il était en lévitation, tournoyant sur lui-même. Les bras et les jambes enchainés à un projecteur anti-grav, tandis qu’un des colliers d’esclaves trônait sur sa nuque. Et surtout, le pire dans tout ça, c’est que le bout de son nez le grattait. Il le bougea dans tous les sens, sans succès. La pire des tortures. Où était-il donc ? Dans une salle d’interrogatoire, de torture ? Les deux peut-être. L’arrière de sa bouche pleine d’une odeur désagréable, il en était presque encore groggy. Les sens du Jedi l’aidèrent tout au plus à se remettre d’aplomb et de se préparer à la suite. Il commenta, l’air arrogant du prisonnier en tête :
« Je suis réveillé, vous pouvez venir ! »
« Partez vite ! Partez … »
Trois tirs rompirent la phrase du Jedi et trois nouveaux cadavres vinrent s’ajouter. Loran eut un mouvement de recul et se dressa devant son père. Les choses allaient de mal en pis et les gentils républicains avaient soit été infiltrés, soit avait troqué la casquette de la démocratie. Tout cela sentait très mal. Pour autant, il eut cette étrange intuition derrière le crâne. La Force était toujours là et murmurait des mots inaudibles aux petites gens. Elle murmurait la patience et la tempérance. Il tourna un regard vers son père et hocha la tête négativement. Puis, apparurent les auteurs du crime. Trois grands colosses, peut-être des droïdes, qui installèrent tout un matériel. Des colliers pour esclaves dans un premier temps. Un produit dans l’aération pour un autre. Loran épiait toutes les manœuvres sans mot dire, sans commenter. Tout cela n’échappait pas encore à son contrôle. Patience, rien que patience.
« Papa, prend une grande inspiration. On se retrouve de l’autre côté. Bonne chance ! »
Le Jedi aurait très bien pu sortir, forcer les portes, retenir sa respiration pendant quelques minutes ou se placer en transe. Mais il ne fit rien. Il n’était qu’un homme qui portait en lui toute la curiosité de cette rencontre. La mort n’était pas pour tout de suite et les réponses viendraient en leur temps. Des réponses et un traitement en justice pour les assassins des soldats républicains.
Quand il se réveilla, il se sentait … flotter. Littéralement, il était en lévitation, tournoyant sur lui-même. Les bras et les jambes enchainés à un projecteur anti-grav, tandis qu’un des colliers d’esclaves trônait sur sa nuque. Et surtout, le pire dans tout ça, c’est que le bout de son nez le grattait. Il le bougea dans tous les sens, sans succès. La pire des tortures. Où était-il donc ? Dans une salle d’interrogatoire, de torture ? Les deux peut-être. L’arrière de sa bouche pleine d’une odeur désagréable, il en était presque encore groggy. Les sens du Jedi l’aidèrent tout au plus à se remettre d’aplomb et de se préparer à la suite. Il commenta, l’air arrogant du prisonnier en tête :
« Je suis réveillé, vous pouvez venir ! »