L'Astre Tyran

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Planète au climat tempéré et à l'environnement accueillant, Mrisst, le monde natal des Mrissi, a forgé sa réputation grâce à ses prestigieuses académies d'arts et de sciences. Sa position particulière aux portes du Noyau en fait également un monde d'importance stratégique pour la Nouvelle République.
Gouvernement : Confédération des Systèmes Unis
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By Jack Crypston
#30980
Jack Crypston a écrit :| Début de l'enregistrement Holocomm |

Salut mon beau, ici Jack ! Aujourd'hui est un gran...


Une voix monotone coupa soudainement la phrase de Jack

Un grand jour qu'est aujourd'hui, c'est se que vous alliez dire monsieur ?


Jack regarda dépitée, le grossier droïde qui l'avait interrompu. La prise était pourtant parfaite, il fallait que ce maudit tas de boulon gâche tout, encore... Ça en devenait lassant.

Harold rappelle moi, pourquoi tu es toujours là quand je fais mes enregistrements sur mon Holojournal ?


Car c'est à cette heure que je fais le ménage dans votre bureau, monsieur et je vous avoue que c'est très dégradant , j'ai été programmé pou...


A son tour Jack coupa Harold

Harold tu entend ?


Mes capteurs audio ne détectent rien, monsieur.


C'est très bien tu sais pourquoi ? Parce que tu l'as fermé, maintenant retourne bosser Harold !


C'est enfantin monsieur.


Re-tou-ne Bo-s-s-er !


Harold n'ajouta rien, il baissa simplement la tête, il savait très bien quand il pouvait discuter avec son maître, et quand cela ne servait à rien.

Bien, ceci est mon second rapport...


Jack fusilla du regard Harold, prévoyant à l'avance toutes autres interruptions, mais Harold ne semblait pas vouloir le corriger, pour une fois.

Mon second rapport je disais donc, la situation est (il hésitait un peux, en réalité même en étant honnête avec lui, il ne savait pas si la situation était convenable ou catastrophique, dans le doute il valait mieux resté nuancés) Tout va pour le mieux Jack du futur, tous c'est passé comme prévu, j’attends plus que le courrier annonçant mes petites charges et tous sera réglé Ah...ah...ah (cette fois ci même un sourd comprendrais qu'il se forçait de rire). Aujourd'hui je vais pouvoir rendre visite aux potentiels investisseurs, j’ai put feuilleter le carnet et je peux t'assurer Jack du futur que tous va aller pour le mieux, bientôt nous serons de nouveau en course, allez je te laisse j'ai un passé à faire fructifier.


|Fin de l'enregistrement Holocomm |

Quelle fin débile, si j'avais le temps suffisant, j'aurai relancé un nouvelle enregistrement, malheureusement c'était bien la seule chose qui me manquais, sa et plusieurs millions de crédits... sa faisais deux choses, je m'en sortais pas si mal. Dans la liste des bonnes nouvelles je pourrai ajouter que j'avais fini de retaper 4 des 7 droïdes de sécurités défectueux, et que je planchais enfin sur la création d'un œil bionique, à force de temps et d'effort je pourrai à nouveau voir de mes deux yeux. Le petit carnet recensé bon nombre de noms de potentiels investisseurs, mais après de brèves recherche plus des trois quarts de ces personnes étaient morte, c'était assez peux étonnant quand on voyait que certaines des personnes listés étaient naît avant même que son grand-père ne marche sur ses quatre pattes. À la fin d'une seconde session de recherche peut fructueuse, seul un nom ressortit du lot la BDC (banque durable des colonies). Je ressentis une étrange sensation vaguement familière, la même que celle que j'ai eu quand je suis rentré voir le notaire, et sa ne me plaisais pas du tout. Je ne laisserais que deux droïdes de sécurités en plus d'Harold. Je préférais me déplacer en toute sécurité, je sélectionna les 4 droïdes de combats parmi les 6, sélectionnant les plus tapes à l'œil dont je disposais. Je m'habillerai de la même façon que la dernière fois et je sortis, cette fois-ci le trajet fus plus court. Je ne fis même pas attention aux habitants effrayés, jusqu'à se qu'un gamins des rues faillisse me frôler. À cette instant précis les 4 droïdes braquèrent l'enfant et l'un d'eux lâcha un funeste avertissement.

Un pas de plus et nous seront obliger de vous abattre !



L'enfant apeuré s'enfuit en pleurant aussi vite qu'il put, stupide gosse il aurait put me salir. J’accélérais le mouvement, je ne me sentais pas en sécurité à l'extérieur, seuls les murs de 3 mètres d'épaisseurs en plastacier de mon usine pouvais me rassurer. J'arrivais enfin aux portes de la BDC, je venais tous juste d'y arriver et pourtant je sentais qu'en entrant dans le bâtiment, j'entrais dans la gueule du Devaronien, je me décida finalement et je rentra dans la BDC. C'était un lieu à part bien différent de la préfecture, tout était plus grand, plus lumineux, mais pas une lumière aveuglante non une simple lumière agréable et paisible. Ici tous respirait le bonheur et la joie de vivre, les employés semblaient sourire a tous les clients avec un air niai et joviale. C'était confirmé, je détestais cette endroit, les employés n'étaient pas surmenés, les clients ne semblaient pas le moins du monde stressé ou pressé, cette endroit le dégoutait, tout était faux. Au premier coup d’œil tous semblait beau, magnifique un pseudo "lieu paradisiaque". Mais en regardant bien, alors qu'il n'avait qu'un seul œil valide cette pseudo gentillesse des employés qui souriaient aux clients n'était en aucun cas dénué d’intérêt, un patron attentifs pouvait facilement voir leurs supérieurs derrière leurs comptoirs, les épiant et vérifiant qu'ils traitent les clients selon leurs rangs, en s'y prenant bien, le sourire niais des employés n'était qu'un sourire crispé et tendu futilement masqué, quant aux clients ils ressemblaient plus a des moutons allant a l’abattoir, qu'a des gens heureux, ce n'étaient que des imbéciles complètement lobotomisés par le système. Cela ne me dérangeais pas, mais tenté de le camouflé, sa j'aimais pas.
Mon entré avais fait forte impression, tous me regardais, je scruta les alentours je discernas rapidement 2 types de réactions, soit les gens étaient méfiant, après tout qui était cette énergumène arrivant avec 4 droïdes de combats, telles étaient les réaction des différents clients et des jeunes employés, les cadres eux me regardait plus d'un air intrigué me voyant plus comme un riche excentrique, une sorte de gros benêt. Je ne m’attarderai pas, je rejoins le comptoir le plus proche, et... mauvaise pioche c'était une alien qui me fit face, je passe outre souris et dis.

Bien le bonjour, je suis venu ici pour obtenir un emprunt.



Bien sur monsieur, quelle genres d'emprunt , vous faudrait-il, nous avons différent types d'emprunt, prêt immobilier, pour vaisseaux ou...


Jack coupa court a la ce flot d'information dérisoire qui l'ennuyait déjà.

Je suis la pour un emprunt pour mon entreprise.


Oh et bien nous...


Un emprunt de 20 millions de Crédits nette.


L'alien lui fit les gros yeux se questionnant si cette homme ne se moquait pas d'elle , au bout d'un moment voyant que l'homme semblait être sérieux dans ses propos elle fut prise aux dépourvues.

Et bien je.. nous proposons,un service de crédit avec un taux de 1,5% pour un emprunt immobilier avec un seuil maximum de 4,5 millions de Cr c'est un bon début po...


1,5% ? je préfèrerais avoir un taux négociable, et c'est 20 millions de Cr pas 4 et des poussières. Voyez-vous j'ai besoin de cette somme pour relancer une fonderie de droïde de guerre.


Je voulais jouer franc jeux, et j'en avais aussi marre de passer par les intermédiaires, cette fois-ci j'allais passer directement par le patron.

J'ajouterai que je voudrais les 20 millions de Cr en liquide.


La pauvre Alien ne savais plus quoi répondre, elle venait à peine de commencer sa journée et elle tombat sur cette Homme borgne, accompagné de droïdes de combats, lui demandant l'emprunt d'une somme colossale en liquide. Des centaines de questions vrombissaient dans sa tête, mais plus un mot sortît de sa bouche, abasourdi par l'absurdité de la scène.
Rapidement l'un des cadres situés derrière les comptoires, qui avait sans doute observer l'affaire du coin de l'œil s'approcha et lui demanda.

Y at-il un problème monsieur ?


Oui votre employé semble avoir un trouble mental, ou quelques choses dans le genres, je lui ai posé une question simple, avec des mots simple et votre alien d'employé n'a pas été capable de me répondre.


Jack avait lâché le "alien d'employé" pour souligner au supérieur que les aliens n'étaient que des bon a riens de son point de vue, c'était inutilement méchant mais c'était très défoulant.
Le supérieur ne se laissa pas déstabiliser, il enchaîna par.

Et qu'elles informations lui avait vous demander monsieur ?


Je souris, du même sourire carnassier que celui que mon notaire m'avais adressé le jour de ma déposition de Bilan.

Une chose des plus claires pourtant, je demande simplement un emprunt de 20 millions de crédits en liquide, avec un taux négociable, pour pouvoir relancer ma fonderie de droïdes de guerres.


Le pseudo self-control du cadre, fut balayer d'un seul coup, il regarda Jack avec la même expression que l'employé, il ne réussit qu'à baraguiner un.

Euh.. je... c'est une plaisanterie


Jack donna le coup de grâce, les 4 droïdes de combats se rapprochèrent dans un geste synchronisée, s'approchant d'un pas lourd et brutal du comptoir, entourant de chaque côté leur maître. Avec se sombre cortège là moindre banalité sonnerait comme une menace, et pourtant Jack employa la voix la plus funeste et lugubre possible, tout en continuant de fusiller du regard le pauvre cadre.

Ai-je vraiment l'air de plaisanter ?


Je... que... et... bi...


L'homme n'arrivait même plus à aligner le moindre son audible. Jack continua malgré tout ses assauts.

Vous savez mon temps est précieux, chaque minute perdu ici me coûte beaucoup, au vu de votre incompétence, j'aimerais parlé à votre supérieur hiérarchique.


Il... il est parti... il est en déplacement...


Sérieusement ? Eh bien très bien, je m'entretiendrai directement avec le fondateur de la BDC.


Presque comme un glapissement, une sorte de râle, le cadre bondit sur place et répondît presque en crachant tous ses mots à la fois.

Mais... mais vous ne pouvez pas faire sa...



Tututu, cest trop tard maintenant il faut subir les conséquences de son incompétence, appelé moi le fondateur de BDC je ne ferais affaire qu'avec lui.


Mais...


Maintenant !


L'homme fit un pas en arrière comme repoussé par mon rugissement, tous s'étaient retourner alerter par le hurlement. Le cadre pâlit, et s'exécuta rapidement. J'étais surpris de pouvoir m'adresser au fondateur de la BDC aussi facilement. C'était presque trop simple, avec 4 robots un costume et en tappant du poing, j'avais réussi à contacter, le fondateur de l'un des plus grands groupes bancaires de la galaxie. L'homme revint rapidement un Holocomm en main, il me fit signe de le suivre, l'homme m'amena,dans une petite salle à la décoration austère, il me donna l'Holocomm d'une main tremblante, il esquiva maladroitement mes droïdes, et referma la porte. Le vrai challenge commençait, Jack se sentait près. Et soudain l'image holographique surgit.





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By Maya Tega
#30982
Dans la vie il y avait les bonnes et les mauvaises idées. N’en déplaise à Blondin, tout n’était pas qu’histoire de pistolet chargé et de trous creusés. Dans de lointaine contrée, arme et menace allait certainement de pair avec la réussite, mais en ses terres, la loi ancestrale du flingue ne s’appliquer plus depuis des siècles.

La Banque Durable des Colonies était situé en plein cœur du quartier du CERG. L’un des plus grands quartiers d’affaire de la galaxie, où s’échanger chaque jour, des millions voir des milliards de crédit. La zone était bien évidement constamment sous surveillance et fortement sécurisé. Alors qu’en un droide avait menacé un enfant en plein rue, la première alerte était parvenu. Sur une planète calme comme Mrisst, une telle promesse de mort avait de quoi choqué et inquiété. Ainsi, les parents de cet enfants qui ne se promenait guère seul en plein milieu d’un quartier d’affaire avait été prévenir le premier agent gouvernemental qu’ils avaient croisées. Quatre droide et un humain était ainsi passé sur la liste des gens à surveiller. L’information avait été relayée à toutes les patrouilles du secteur, et bientôt, tous veillé maintenant à chercher un tel groupe. Le flingue avait enfanté sa première connerie.

Progressant rapidement, l’humain et ses droides avaient réussis à échapper à la surveillance des patrouilles pour rentrer dans la banque. Là, il avait fait forte impression. Si forte impression que le personnel ridiculement incompétent en avait perdu son latin ? Non, flingue et porte flingue avait encore une fois fait mauvaise pioche. Les employés de la banque avaient joué une belle pièce de théâtre. Une comédie parfaitement exécuté. Car soyons honnêtes. Pénétrés dans l’une des plus importantes banque de la galaxie accompagnée de droide de combats armés ? Bien évidemment, c’était une mauvaise idée.

Après cinq précieuses minutes gagnaient par les employés, la délivrance arriva soudainement. Six hommes en armes entrèrent par l’accès principal tandis que deux gardes armés apparaissaient derrière le comptoir. Tous tenaient en joues l’homme et ses droides. Non, jamais le cadre n’avait emmené l’humain dans une autre salle. Voir la Fondatrice pour un ridicule prêt à 20 millions dans un lieux qui brassait des milliards chaque jour ? Fantasque. Tout cela n’était arrivé que dans les rêves de l’arriviste.


« Vous ! Désactivez ces droides sur le champ ! On vous laisse cinq secondes pour vous exécutez où nous serons dans l’obligation de vous abattre. »

L’homme qui avait hurlé l’ordre était visiblement le chef de l’escouade de patrouille qui avait pénétré le bâtiment. Tututu, il fallait maintenant assumer les conséquences de la loi du flingue. Bien sûr, l’homme pourrait toujours négocier son prêt. Mais pas sans une confiscation de son arsenal. En dans tous les cas, à avoir voulu prendre les gens pour des imbéciles, il avait gagné de démarré la négociation en position de faiblesse, avec un interlocuteur résolument décidé à lui faire cracher un maximum.
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By Jack Crypston
#30991
C'était parfait, absolument parfait, j'attendais, avec impatience qui allait donc apparaitre... qui... un flash lumineux, et rien... j'avais juste rêvé ? J’avais vraiment besoin de repos. J'ouvris mon œil, j'étais toujours au niveau du comptoir, mais je voyais l'homme partir chercher quelques choses, je me disais que c'était sans doute pour l'Holocomm, je réfléchissais déjà aux phrases que j'allais sortir, de qu'elle genres d'argumentations j’allais usé. Je continuais a observer l'homme du coin de mon œil unique, il revenait, d'une petite salle, il semblait me faire signe de venir... a moins que, ce n'était pas a moi qu'il faisait signe... Une vibration dans mon pogné me tira de ma stupeur, mes droïdes de sécurités avaient détecter quelques choses. Je me retourna lentement, les mines effarés du personnel avait disparut, beaucoup semblaient se cacher, je me demandais mentalement "qu'est que c'était que ça ?". Il y a un instant je me croyais déjà tranquillement assis dans cette petite salle du fond, a faire mes affaires de négoces, et a peine sorti de cette douce rêverie, la réalité me tomba dessus armés avec du calibre 12. A la fin de la longue rotation de ma tête, j’observais incrédule une équipe de sécurité bien armé fonçant vers moi, je devais réfléchir vite 6 hommes bien armées, c'étaient la sécurité et merde... qu'est que j'avais fait. Bon reste calme Jack, reste calme, combattre ? 4 droïdes militaires face a un service de sécurité, et lui aussi été armé, non c'était stupide il pouvait en avoir d'autres, et franchement je ne suis pas taillé pour se genre de combats, et surtout dans quelle but ? Admettons que je les abattent, j'aurai perdu au moins 1 ou 2 de mes droïdes, et le temps de rejoindre mon vaisseau, je serai jeté en prison au mieux ou simplement abattu. Fuir ? sa signifiai que je suis coupable de quelques choses, la même fin que le choix "combattre" serait à prévoir. J'avais été stupide de dire que je voulait voir la fondatrice seulement pour un pauvre prêt de 20 millions, je voulais surtout commencé un potentiel échange de bon procédé, là c'était rappé, il semblerait qu'ici on ne commerçait pas comme à Télos. Bon, Plan B sauvé les meubles, et tenté de diminuer un maximum la casse. Je ne remarquai qu'au dernier moment les deux gens en armes qui arrivaient derrière le comptoir, l'un des hommes de l'équipe de sécurité que j'avais repéré se rapprocha et hurla.

Vous ! Désactivez ces droïdes sur le champ ! On vous laisse cinq secondes pour vous exécutez où nous serons dans l’obligation de vous abattre.


Ah...ah...ah, quelle ironie il avait déjà entendu ça quelques parts... La situation du dominé, dominant venais de changer, j'aimais pas sa, mais je n'étais pas chez moi, j'étais chez eux, sous leurs règles, je parla vite je devais calmer le jeux.

Attendez c'est une terrible méprise, il n'y a aucun problème... se ne sont que des droïdes gardes du corps pas de quoi...


Une voix métallique résonna a mon insu.

Vous vous rapprochez trop prés de notre maitre, baissez vos armes !


les droïdes avaient sorti leurs armes, la sécurité les braqués, tous le monde braqué tous le monde, et moi j'étais clairement pas dans le bon camp. je devais agir vite, avant que mon histoire ne s'écourte brutalement, j’appuyais sur un bouton de ma prothèse mes unités robotiques se désactivèrent. Je leva bien haut mes mains en signe de reddition, et jeta un.

Je ne cherche qu'un simple prés rien de plus !


Les gouttes de sueurs perlaient sur mon front, la situation resta tendu encore quelques temps, jusqu’à se que le même homme de la sécurité qui c'était adressé a moi, échange un regard avec le cadre, il dit simplement en baissant son arme.

Nous vous confisquons vos droïdes, vous pourrez les récupérés en sortant, mais faites encore du grabuge et je viendrai personnellement vous botté le cue, et vous jetez dehors C'est compris ?


Oui, oui pas de problème...


Je détestais courbé le dos, mais bon au moins je restais en vie, me retournant vers le cadre, avec un sourire un peux crispé je dis, d'un ton innocent et doux comme si la scène précédente ne c'était jamais passé.

Donc, nous disions, pour ce prés a 20 millions, cela vous semblerait possible ?
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By Maya Tega
#31204
Un groupe armé était entré afin de rétablir l’ordre dans la succursale de l’établissement bancaire. Tout s’était passé en quelques secondes. Les agents des forces planétaires avaient braqués les individus armés potentiellement dangereux qui n’avait pas tardé à réagir en braquant à leur tour nouveaux venus. En l’espace de quelque minute, une demande de rendez-vous était devenue une intervention des forces armées. Vous ce qu’il coutait de se prendre pour le calife à la place du calife. Heureusement pour l’homme, il était visiblement tombait sur un officier bien laxiste. Mais oui, une bande armée dans une banque, confisquons les armes et laissons les partir… Ou bien...Y avait-il autre chose ? En soit la possession d’arme dans un établissement bancaire était un délit, mais un délit relativement mineur. Si l’homme paraissait de bonne foi, rien n’empêchait de pensait qu’une infraction plus importante pouvait encore arriver. Ainsi donc, on ajouta son nom à une longue liste, comprenant les personnes à surveiller de près…juste au cas où.

L’homme voyait donc ses droïdes désactivés être emmené par les forces policières du site. Il les retrouverait plus tard, au moment de quitter la planète. L’entrepreneur se retourna, tentant de retrouvait une consistance après une pareille mésaventure. Par chance, pour une banque, un client restait un client. Il n’y avait donc aucune différence entre l’avant et l’après confiscation. Le seul changement se trouvait dans l’équilibre de négociation. Le patron s’était présenté comme un géant, sûr de lui et de son aura. Bien vite, il avait déchanté et avait fini sa course au bas de son piédestal. Pire, il ne s’était pas rendu compte que dans un tel lieu, des demandes de quelques millions était courantes et qu’on ne rencontrer pas l’une de femme les plus puissantes de la galaxie en claquant des doigts et en haussant le ton. Clairement, le banquier avait l’avantage pour débuter les négociations.


« Nous pourrions effectivement envisager de continuer les négociations pour vous accorder un prêt. Suivez-moi. »

L’homme prit la direction d’un couloir et après un peu moins d’une minute de marche, ils arrivèrent à un bureau. Le banquier s’installa derrière le grand bureau de bois brut tandis que le potentiel client prenait place face à lui. Potentiel. Car à présent, il fallait convaincre le banquier de prêter cet argent.


« Bien. Vous parlez de 20 millions n’est-ce pas ? C’est possible mais il va me falloir plus qu’une demande pour pouvoir vous prêter la somme. Décrivez-moi un peu le projet que vous souhaitez financer ? Avez-vous de quelconques garanties ou possessions ? »
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By Jack Crypston
#31316
La scène me paraissais étrange, ça semblai s'être bien arrangé. L’homme me demandai de le suivre dans un petit bureau, je regardais mes droïdes amenés je ne sais ou, la j'étais désarmé, enfin presque mon blaster à ion avait été démonté et ranger dans ma prothèse, indétectable l'arme pouvait se remonter en quelques minutes. Mais ici la voie des armes semblait assez peux efficace pour le commerce, je me contenta de suivre l'homme. Le bureau était petit, je m'assis en face de l'homme je le scrutai d'un regard perçant, essayant de deviner se qu'il allait me dire. Le banquier se racla la gorge et dit.

« Bien. Vous parlez de 20 millions n’est-ce pas ? C’est possible mais il va me falloir plus qu’une demande pour pouvoir vous prêter la somme. Décrivez-moi un peu le projet que vous souhaitez financer ? Avez-vous de quelconques garanties ou possessions ? »



Ah enfin ! Je ne savais pas si l'homme avait vu mon sourire en coin, si oui il ne comprendrait sans doute pas une telle réaction, mais on commençait enfin la danse,enfin était venu l'heure, l'heure de vendre son entreprise, l'heure fatidique celle que j'attendais depuis le début, et je me réjouissais, je me releva mes manches mentalement, déglutit légèrement et je commença.


Eh bien chère monsieur, je désire cette somme risible de 20 millions, pour la rénovation d'une fonderie de droïde installé sur Télos, voyez-vous je viens à peine de reprendre l'entreprise à mon père, elle s'appelle la Nostrom Company, vous connaissez ?
(c'était une question purement rhétorique l'entreprise venait de se créer il y a à peine quelques semaines, j'attendais quelques instant et je repris rapidement)

Ce n'est pas une de ces entreprises qui tombe d'on ne sais ou dans le ciel mais, c'est la renaissance, que dis-je la résurrection de la célébrissime Crypston Corp (la crypston corp avait été célèbre mais cela faisait bien longtemps qu'elle était sur le déclin, et je ne pense pas qu'elle ai jamais été aussi célèbre que j'essayais de lui faire croire) enfin je dis célébre mais je ne sais pas si vous en avez entendu parlé ici, Télos n'est pas la porte à coté AhAh...Ah…

Hum...Hum bref tous sa pour dire que mon entreprise à déjà les infrastructure adéquates, elles ont simplement besoin d'être rénové, ma fonderie est composé d'un laboratoire quo-lié à un générateur alimentant l'infrastructure et de plusieurs chaînes de productions automatisés, avec un hangar, et je possède déjà un petit vaisseaux cargo. J'ai déjà plusieurs exemplaire de droïdes déjà prêt à être vendu, une gamme de plans de droïdes militaire que vous avez déjà pus observer Hein...Hum (je me repris rapidement comme si ce petit écart, n'était jamais arrivé) et une gamme de droïde protocolaire.

Les rénovations ne prendront que quelques semaines voyez vous et en à peine un mois mon usine sera déjà fonctionnel, le secteur corporatif ne manque pas de client pour se genre de gadget, je peux vous l'assurer.

(il jouait sur les préjuger le 3/4 des abrutis de la galaxie pensait que leurs trous était le plus civilisé des trous, et que ceux des autres était rempli de tueur sanguinaire, de cinglés et de terroristes)

Pour plus d'informations sur mes possessions, tenez
(je lui tendis un petit bloc de données, c'était le rapport fait par le notaire dévaronien, dedans il y avait les mesures et un rapport détaillé de l’état actuel de son entreprise)

Voyez par vous même, j'aurai besoin de rénover et de développer de nouveaux droïdes et des moyens pour pouvoir les transporter un peu partout dans le monde (il savait son « CV » solide, il avait parlé beaucoup tentant d’assommer en un coup son adversaire). Investir dans mon entreprise est sans risque mon bon monsieur, bien au contraire votre banque ne peut que y gagner à notre échange, alors je ne pense pas qu'un fort taux d’intérêt sois nécessaire après tout vous ne prenez qu'un risque minimal(c'était risqué de dire sa à un banquier mais je tentais le coups, après tout le culots pouvait passer), enfin bon donnez un chiffre est hors de mes compétences, et vous que pensez vous de mon affaire (j'avais pris un ton mielleux et le plus calme que je pouvais faire, le regardant fixement attendant patiemment sa réponse).

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By Maya Tega
#31447
Le banquier face à l’homme laissant un silence s’installait durant un court laps de temps. Il fallait faire jouer la comédie et faire semblant de prendre le temps de la réflexion. En réalité, tout était réuni pour accorder l’emprunt, mais il fallait quelque peu ménager le suspense.

« Tout investissement présente une part de risque, monsieur. »

Croire qu’il était possible d’avoir un plan en bêton, sans aucun risque, était particulièrement inconscient. Il fallait toujours se préparait au pire en espérant le meilleur. Ainsi allait la vie.

« Mais il est impossible de gagner sans miser, n’est ce pas ? Bien. Votre projet me semble correct compte tenu de la somme que vous me demander. Vos garanties sont satisfaisantes. Je vous proposes donc deux offres :


Offre 1 :
Somme empruntée : 20 Millions
Durée : 12 Mois
Taux : 4%
Remboursement mensuel : 1.733.000


Offre 2 :
Somme empruntée : 20 Millions
Durée : 20 Mois
Taux : 5 %
Remboursement mensuel : 1.050.000



A vous de choisir ce qui vous convient le mieux. Il ne restera que des démarches administratives rapides.
»



Oui, il ne resterait que des dossiers à remplir et l’argent était à lui. Les bénéfices eux seraient à la BDC.
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By Jack Crypston
#31454
Le banquier qui me faisais face marqua un court temps d'arrêt, je savais qu'il me cuisinait, j'étais accroché à ces lèvres, quelles mots allaient en sortir ? Ce fut pour ce qu'y me sembla être une éternité que le banquier se repris et dis.

«Tout investissement présente une part de risque, monsieur. »


Sans blague, comme s'il ne le savait pas, pour récupérer son entreprise j'avais fait un plan qui me semblais parfait et sans faille... et dans l'opération j'en avais perdu un œil et un bras. C'était sur que maintenant pour moi, il n'existait plus de plan "parfait".

«Mais il est impossible de gagner sans miser, n’est ce pas ? Bien. Votre projet me semble correct compte tenu de la somme que vous me demander. Vos garanties sont satisfaisantes. Je vous proposes donc deux offres»


J'écoutais attentivement les deux offres, je pianota rapidement sur mon bras mécanique... reprenant à plusieurs reprises les calculs du banquier, les comparants avec les bénéfices de mon entreprise, avec 1.733.000 par mois pendant 12 mois je perdrai pas mal d'argent, mais cela rembourserais rapidement son crédit et avec des taux intéressant, mais cela pouvait restreindre ses plans d’expansions... Après avoir pesé le pour et le contre, je choisis la première option préférant un remboursement d'environ 2 millions par mois pendant une année complète, plutôt qu'un remboursement sur deux années. Je me leva mon visage marqué par mon sourire narquois au coin des lèvres, je lui tendis la main.

« Vendu pour la première offre, mon entreprise aura besoin d'une semaine pour être réparée, et un petit mois pour qu'elle produise ses bénéfices, je signe ou ? »


J'étais pressé de partir d'ici, plus tôt je serais rentré, plus tôt je pourrais travailler, mon temps étais précieux...
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