- mer. 5 nov. 2014 10:33
#14438
Anzat se dévoilait enfin dans le hublot du vaisseau, toujours aussi belle. C'est avec un sentiment de fierté que Haya retrouvait une fois de plus sa planète natale. Celle qui l'avait vu grandir, celle qui avait fait d'elle ce qu'elle était aujourd'hui. Du moins en grande partie.
Le vaisseau qui l'avait acceptée à son bord était un habitué du trajet. Il faut dire qu'une fois surmonté son appréhension vis-à-vis d'une espèce qui voyait ses interlocuteurs comme autant de repas potentiel, il y avait moyen de se faire un bon paquet de crédits, pour peu que l'on ne soit pas regardant sur la légalité de la marchandise.
Le spatioport flottant était, à ce titre, une zone réputée sûre, dans le sens où le principal danger n'était pas de se faire absorber la soupe. En effet, il semblait que l'essentiel de la criminalité de la planète se soit regroupé dans ses hauts lieux de transit. Il y était plus facile de trouver un contrebandier, un chasseur de prime ou un assassin, qu'un honnête commerçant.
La navette qui avait amené Haya sur la terre ferme était quasiment vide, comme à l'habitude. Peu de voyageurs prenait le risque de partir à la rencontre des Anzati, et encore moins nombreux étaient ceux qui faisaient un jour le trajet inverse. Combien de journaliste en quête de sensationnel, de scientifique à la recherche de réponses, ou de chasseur de prime poursuivant un suspect, avaient disparu corps et âmes...
Ce n'était pas par pure nostalgie que l'Anzat était de retour, pas plus pour poursuivre une formation auprès des maîtres de la planète. Si elle était de retour, c'était pour "Celui qui rêvait". Cet Anzat aussi intriguant par sa destinée que puissant par le pouvoir qu'il avait su acquérir. Il avait marqué l'esprit de toute une génération de ses congénères, et Haya en faisait partie.
Sans difficulté, elle avait retrouvé le chemin qui menait à la dernière école qu'elle avait fréquentée. Son ancien mentor avait accepté de la recevoir, non plus en tant qu'élève, mais en tant qu'invitée. Toutefois, il ne fallait pas s'y tromper. Le retour d'un ancien élève dans un établissement aussi prestigieux était tout sauf anodin. Que ce soit pour l’école ou pour l'élève. Il ne faisait nul doute que l'accueil serait à la hauteur de la réputation de son ancien professeur.
Le terrain que possédait le maître était divisé en plusieurs zones bien distinctes. On y trouvait, juste derrière les gigantesques doubles portes rouges portant le sceau de l'école, le jardin. Certes il y avait là un arrangement parfait de fleurs, de buissons, d'arbres, d'arbustes et d'aménagements tels des petits ponts de bois surmontant des ruisseaux et des pagodes. Mais il y avait surtout des agrès de toutes sortes, à bases de cordes, de barres fixes, de forêt de poteaux et de conduits ou de puits.
Au fond du jardin, une bâtisse abritait les salles de cours, les dojos, et les quartiers d'habitation des élèves, des professeurs et des personnels de l'école. Il y avait rarement moins d'une centaine de personnes à habiter ici. La dernière zone était un vaste champ de tir de près, de deux kilomètres de profondeur, offrant cibles mobiles et cibles fixes, mais aussi des cages pour effectuer des lâchers.
Haya se tenait debout, à l'entrée du jardin. Elle salua, après avoir déposé ses deux lourds sacs, une fois les portes refermées. Elle était concentrée, toute à l'écoute du jardin à l'apparence si paisible. Pourtant sa vision de Force lui avait déjà permis de déceler les trappes aménagées sous le gravier de la première cours, et dans lesquelles des étudiants étaient dissimulés, attendant un signal. D'autres patientaient plus loin, derrière les buissons ou dans les arbres. La cérémonie de bienvenue allait commencer, dès ses prochains pas.
Haya pris une inspiration et s'avança. Il n'en fallut pas plus pour que quatre des trappes qu'elle avait repérées ne s'ouvrent, et qu'en sorte autant de soldats aux armes de corps à corps : épée, lance ou masse, toutes trouveraient leur représentant, d'où qu'elles viennent de la galaxie.
Sans attendre ses ennemis, Haya se lança dans la bataille. Cette première vague n'était pas celle à craindre le plus. Tout au mieux les élèves qu'elle devrait affronter ici seraient de classe moyenne. Pour autant, il ne fallait pas les sous estimer.
L'Anzat avait porté son dévolu sur un jeune adversaire qui maniait une paire de matraques électriques. L'outil idéal pour elle, car elles alliaient vitesse de par leur légèreté, et puissance par leur capacité assommante. Mais avant d'en profiter il fallait déjà les récupérer. Vive et puissante, la guerrière avait aisément mis à terre le premier de ses adversaires, trop lent et armé d'un croc trop lourd, il n'avait rien pu faire que d'encaisser avant de finir au sol.
Il ne fallait pas s'y tromper, Haya était la cible à abattre, et l'élève qui y parviendrait serait respecté par les autres et par le maître. Il aurait aussi l'attention des professeurs et démontrant ses compétences et sa volonté de vaincre, sa juste prise de risque. En cela il ne s'agissait pas d'un simple combat arrangé, dont on pourrait se féliciter le lendemain. Il y aurait des blessés, et peut-être les plus imprudents en mourraient ils.
Dans ce genre de situation, il était primordial de savoir se gérer pour ne pas s'épuiser inutilement en gesticulations stériles. Il fallait aussi être capable d'anticiper l'action afin que chaque coup porté prépare le suivant, et que chaque déplacement anticipe le mouvement de l'adversaire. Tout compterait dans les minutes qui viendraient.
Frappe, frappe, esquive, frappe, désarmement, fauchage, frappe,... Les actions se succédaient rapidement, sans que Haya ne laisse plus de repos à ses ennemis qu'ils ne lui en laissaient. Et à chaque fois que l'un d'entre eux tombait, un autre surgissait de sa cachette pour la prendre à revers. Bien que déjà relativement entraînés, ses adversaires avaient encore un style très académique, et donc prévisible. Seul leur nombre constituait une difficulté pour la combattante.
Haya n'était pas allé chercher les quelques peureux qui avaient préféré rester à l'écart des coups, beaucoup de jeunes, mais aussi quelques plus anciens. Ceux là avaient déjà fini leur carrière avant même de l'avoir commencée. Les attaques avaient cessé, et Haya pouvaient enfin reprendre son souffle. Elle avait reçu de nombreux coups, ceux qu'elle avait accepté de prendre, et dont elle savait que son corps se remettrait rapidement.
La suite se déroulerait dans le dojo principal, et les choses seraient bien plus difficiles. Son opposition serait alors constituée des meilleurs étudiants, certains auraient déjà l'expérience du terrain. Et les enjeux seraient les mêmes pour eux : monter leur savoir-faire aux enseignants, afin de gagner leur attention, et prouver leur valeur.
Si le bâtiment affichait une architecture extérieure traditionnelle, l'intérieur offrait tout ce que la modernité avait à proposer. Parcourant le couloir principal, l'arcaniste usa de sa Vision de Force afin de sonder les environs. Sans trop de surprise, à mi- parcourt, la lumière se coupa, laissant l'Anzat dans une obscurité qui aurait pu lui être fatale sans l'usage de la Force.
Tombant du faux-plafond juste au-dessus d'elle, un assaillant muni d'une vibrolame tenta de la fendre en deux, mais ne trouva que le vide, avant d'être projeté avec une violence extrême contre un mur. Haya eu juste le temps de dresser un bouclier de Force que le rayon d'un tir de blaster le dissipa en rebondissant aléatoirement dessus. A l'autre bout du couloir, un autre adversaire venait de se défaire d'un blaster, visiblement inefficace, pour s'armer d'un bâton électrique.
Afin de se préserver au maximum, Haya préféra faire appel à ses sens. Les arcs électriques qui parcouraient les deux extrémités du bâton offraient un éclairage modeste, mais suffisant pour savoir où se trouvait l'ennemi. L'Anzat se rapprocha d'un mur, empêchant le porteur du bâton de profiter de sa panoplie complète de mouvements. Il tenta plusieurs coups d'estocs avant que la combattante ne se décide à le contrer. Désormais trop proches, l'arme d'hast était devenue un handicap. Parant comme il le pouvait avec la hampe, l'invitée de marque lui asséna coup sur coup, jusqu'à trouver une ouverture dans sa garde et à l'allonger pour le compte.
Haya ramassa le blaster. Bête erreur que d'avoir autorisé l'utilisation d'une telle arme. Cela lui fournissait un précieux avantage pour la suite. Car derrière la porte à battants se trouvait le dojo principal, celui qui offrait la plus grande surface, celui où l'attendaient ses adversaires les plus redoutables. L'excitations du combat, l'adrénaline bouillaient en elle et appelaient le côté obscur de la Force à s'exprimer. La suite lui en donnerait l'occasion, inévitablement.
Tous l'attendaient, disposés le long des tapis de couleur qui délimitaient une large surface de combat. Une quinzaine de membres répartis à sa droite et à sa gauche. En face d'elle, assis en tailleurs, ses anciens professeurs, et, au centre le grand maître de l'école. Haya s'avança et le premier homme de la file de droite, tout de noir vêtu, vint à sa rencontre. Prestement, Haya sorti l'arme de poing et lui tira dessus, sans sommation. Un tir dans le côté. Totalement pris au dépourvu, l’homme s'effondra de douleur.
Haya eu un léger rictus, déjà le second avait fait un pas en avant, mais le même sort le frappa dans l'instant. Cela aurait probablement pu continuer, mais son adversaire dans le couloir s'était montré moins stupide qu'il n'en avait l'air, en ne chargeant que trois tirs dans l'arme. Usant de tout son savoir et de beaucoup de son énergie, Haya parvint malgré tout à vaincre ses adversaires, un à un. Mais la fatigue se faisait sentir de plus en plus.
Se dressait désormais devant elle cet élève qu'elle avait elle-même vu arriver des années plus tôt, son dernier défi.
[table align="left" border="0" bgcolor=black]Pouvoirs Utilisés : [/table]
Fiche Force <-> Rps
Fiche économique Confrérie Galactique
Troupes et Flottes de la Confrérie Galactique
"Par ici la soupe !"
Anzat se dévoilait enfin dans le hublot du vaisseau, toujours aussi belle. C'est avec un sentiment de fierté que Haya retrouvait une fois de plus sa planète natale. Celle qui l'avait vu grandir, celle qui avait fait d'elle ce qu'elle était aujourd'hui. Du moins en grande partie.
Le vaisseau qui l'avait acceptée à son bord était un habitué du trajet. Il faut dire qu'une fois surmonté son appréhension vis-à-vis d'une espèce qui voyait ses interlocuteurs comme autant de repas potentiel, il y avait moyen de se faire un bon paquet de crédits, pour peu que l'on ne soit pas regardant sur la légalité de la marchandise.
Le spatioport flottant était, à ce titre, une zone réputée sûre, dans le sens où le principal danger n'était pas de se faire absorber la soupe. En effet, il semblait que l'essentiel de la criminalité de la planète se soit regroupé dans ses hauts lieux de transit. Il y était plus facile de trouver un contrebandier, un chasseur de prime ou un assassin, qu'un honnête commerçant.
La navette qui avait amené Haya sur la terre ferme était quasiment vide, comme à l'habitude. Peu de voyageurs prenait le risque de partir à la rencontre des Anzati, et encore moins nombreux étaient ceux qui faisaient un jour le trajet inverse. Combien de journaliste en quête de sensationnel, de scientifique à la recherche de réponses, ou de chasseur de prime poursuivant un suspect, avaient disparu corps et âmes...
Ce n'était pas par pure nostalgie que l'Anzat était de retour, pas plus pour poursuivre une formation auprès des maîtres de la planète. Si elle était de retour, c'était pour "Celui qui rêvait". Cet Anzat aussi intriguant par sa destinée que puissant par le pouvoir qu'il avait su acquérir. Il avait marqué l'esprit de toute une génération de ses congénères, et Haya en faisait partie.
Sans difficulté, elle avait retrouvé le chemin qui menait à la dernière école qu'elle avait fréquentée. Son ancien mentor avait accepté de la recevoir, non plus en tant qu'élève, mais en tant qu'invitée. Toutefois, il ne fallait pas s'y tromper. Le retour d'un ancien élève dans un établissement aussi prestigieux était tout sauf anodin. Que ce soit pour l’école ou pour l'élève. Il ne faisait nul doute que l'accueil serait à la hauteur de la réputation de son ancien professeur.
Le terrain que possédait le maître était divisé en plusieurs zones bien distinctes. On y trouvait, juste derrière les gigantesques doubles portes rouges portant le sceau de l'école, le jardin. Certes il y avait là un arrangement parfait de fleurs, de buissons, d'arbres, d'arbustes et d'aménagements tels des petits ponts de bois surmontant des ruisseaux et des pagodes. Mais il y avait surtout des agrès de toutes sortes, à bases de cordes, de barres fixes, de forêt de poteaux et de conduits ou de puits.
Au fond du jardin, une bâtisse abritait les salles de cours, les dojos, et les quartiers d'habitation des élèves, des professeurs et des personnels de l'école. Il y avait rarement moins d'une centaine de personnes à habiter ici. La dernière zone était un vaste champ de tir de près, de deux kilomètres de profondeur, offrant cibles mobiles et cibles fixes, mais aussi des cages pour effectuer des lâchers.
Haya se tenait debout, à l'entrée du jardin. Elle salua, après avoir déposé ses deux lourds sacs, une fois les portes refermées. Elle était concentrée, toute à l'écoute du jardin à l'apparence si paisible. Pourtant sa vision de Force lui avait déjà permis de déceler les trappes aménagées sous le gravier de la première cours, et dans lesquelles des étudiants étaient dissimulés, attendant un signal. D'autres patientaient plus loin, derrière les buissons ou dans les arbres. La cérémonie de bienvenue allait commencer, dès ses prochains pas.
Haya pris une inspiration et s'avança. Il n'en fallut pas plus pour que quatre des trappes qu'elle avait repérées ne s'ouvrent, et qu'en sorte autant de soldats aux armes de corps à corps : épée, lance ou masse, toutes trouveraient leur représentant, d'où qu'elles viennent de la galaxie.
Sans attendre ses ennemis, Haya se lança dans la bataille. Cette première vague n'était pas celle à craindre le plus. Tout au mieux les élèves qu'elle devrait affronter ici seraient de classe moyenne. Pour autant, il ne fallait pas les sous estimer.
L'Anzat avait porté son dévolu sur un jeune adversaire qui maniait une paire de matraques électriques. L'outil idéal pour elle, car elles alliaient vitesse de par leur légèreté, et puissance par leur capacité assommante. Mais avant d'en profiter il fallait déjà les récupérer. Vive et puissante, la guerrière avait aisément mis à terre le premier de ses adversaires, trop lent et armé d'un croc trop lourd, il n'avait rien pu faire que d'encaisser avant de finir au sol.
Il ne fallait pas s'y tromper, Haya était la cible à abattre, et l'élève qui y parviendrait serait respecté par les autres et par le maître. Il aurait aussi l'attention des professeurs et démontrant ses compétences et sa volonté de vaincre, sa juste prise de risque. En cela il ne s'agissait pas d'un simple combat arrangé, dont on pourrait se féliciter le lendemain. Il y aurait des blessés, et peut-être les plus imprudents en mourraient ils.
Dans ce genre de situation, il était primordial de savoir se gérer pour ne pas s'épuiser inutilement en gesticulations stériles. Il fallait aussi être capable d'anticiper l'action afin que chaque coup porté prépare le suivant, et que chaque déplacement anticipe le mouvement de l'adversaire. Tout compterait dans les minutes qui viendraient.
Frappe, frappe, esquive, frappe, désarmement, fauchage, frappe,... Les actions se succédaient rapidement, sans que Haya ne laisse plus de repos à ses ennemis qu'ils ne lui en laissaient. Et à chaque fois que l'un d'entre eux tombait, un autre surgissait de sa cachette pour la prendre à revers. Bien que déjà relativement entraînés, ses adversaires avaient encore un style très académique, et donc prévisible. Seul leur nombre constituait une difficulté pour la combattante.
Haya n'était pas allé chercher les quelques peureux qui avaient préféré rester à l'écart des coups, beaucoup de jeunes, mais aussi quelques plus anciens. Ceux là avaient déjà fini leur carrière avant même de l'avoir commencée. Les attaques avaient cessé, et Haya pouvaient enfin reprendre son souffle. Elle avait reçu de nombreux coups, ceux qu'elle avait accepté de prendre, et dont elle savait que son corps se remettrait rapidement.
La suite se déroulerait dans le dojo principal, et les choses seraient bien plus difficiles. Son opposition serait alors constituée des meilleurs étudiants, certains auraient déjà l'expérience du terrain. Et les enjeux seraient les mêmes pour eux : monter leur savoir-faire aux enseignants, afin de gagner leur attention, et prouver leur valeur.
Si le bâtiment affichait une architecture extérieure traditionnelle, l'intérieur offrait tout ce que la modernité avait à proposer. Parcourant le couloir principal, l'arcaniste usa de sa Vision de Force afin de sonder les environs. Sans trop de surprise, à mi- parcourt, la lumière se coupa, laissant l'Anzat dans une obscurité qui aurait pu lui être fatale sans l'usage de la Force.
Tombant du faux-plafond juste au-dessus d'elle, un assaillant muni d'une vibrolame tenta de la fendre en deux, mais ne trouva que le vide, avant d'être projeté avec une violence extrême contre un mur. Haya eu juste le temps de dresser un bouclier de Force que le rayon d'un tir de blaster le dissipa en rebondissant aléatoirement dessus. A l'autre bout du couloir, un autre adversaire venait de se défaire d'un blaster, visiblement inefficace, pour s'armer d'un bâton électrique.
Afin de se préserver au maximum, Haya préféra faire appel à ses sens. Les arcs électriques qui parcouraient les deux extrémités du bâton offraient un éclairage modeste, mais suffisant pour savoir où se trouvait l'ennemi. L'Anzat se rapprocha d'un mur, empêchant le porteur du bâton de profiter de sa panoplie complète de mouvements. Il tenta plusieurs coups d'estocs avant que la combattante ne se décide à le contrer. Désormais trop proches, l'arme d'hast était devenue un handicap. Parant comme il le pouvait avec la hampe, l'invitée de marque lui asséna coup sur coup, jusqu'à trouver une ouverture dans sa garde et à l'allonger pour le compte.
Haya ramassa le blaster. Bête erreur que d'avoir autorisé l'utilisation d'une telle arme. Cela lui fournissait un précieux avantage pour la suite. Car derrière la porte à battants se trouvait le dojo principal, celui qui offrait la plus grande surface, celui où l'attendaient ses adversaires les plus redoutables. L'excitations du combat, l'adrénaline bouillaient en elle et appelaient le côté obscur de la Force à s'exprimer. La suite lui en donnerait l'occasion, inévitablement.
Tous l'attendaient, disposés le long des tapis de couleur qui délimitaient une large surface de combat. Une quinzaine de membres répartis à sa droite et à sa gauche. En face d'elle, assis en tailleurs, ses anciens professeurs, et, au centre le grand maître de l'école. Haya s'avança et le premier homme de la file de droite, tout de noir vêtu, vint à sa rencontre. Prestement, Haya sorti l'arme de poing et lui tira dessus, sans sommation. Un tir dans le côté. Totalement pris au dépourvu, l’homme s'effondra de douleur.
Haya eu un léger rictus, déjà le second avait fait un pas en avant, mais le même sort le frappa dans l'instant. Cela aurait probablement pu continuer, mais son adversaire dans le couloir s'était montré moins stupide qu'il n'en avait l'air, en ne chargeant que trois tirs dans l'arme. Usant de tout son savoir et de beaucoup de son énergie, Haya parvint malgré tout à vaincre ses adversaires, un à un. Mais la fatigue se faisait sentir de plus en plus.
Se dressait désormais devant elle cet élève qu'elle avait elle-même vu arriver des années plus tôt, son dernier défi.
[table align="left" border="0" bgcolor=black]
- Vision (Pratiqué)
- Vitesse (Pratiqué)
- Bouclier (Pratiqué)
- Poussée (Pratiqué]
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Troupes et Flottes de la Confrérie Galactique
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