- ven. 27 mars 2015 12:24
#17006
-- Un second sabre laser --
Je suis revenue sur Coruscant pour rencontrer le Conseil Jedi, et les Maîtres Fisto, Qual et Morelion m’ont donné leur bénédiction pour la poursuite de ma formation. Ils m’ont également confié le sabre laser de Sorin Nalran, qui fut mon mentor pendant de longues années. J’ai installé mes affaires dans la chambre qui m’a été attribuée, juste le strict minimum.
Il est encore tôt quand j’investis l’une des salles d’entrainement. J’ai revêtu une combinaison noire qui couvre mes bras et mon cou. Je dépose les deux sabres laser au fond de la vaste pièce et débute un échauffement sommaire constitué d’enchainement d’étirements et de coups de pied ou de poing. J’en profite également pour travailler quelques coups plus spécifiques qui me tiennent à cœur, puis termine en exécutant quelques formes apprises auprès de Sorin. Je les répète plusieurs fois, accélérant toujours plus les mouvements jusqu’à être satisfaite de ma performance. Il me manque désormais un adversaire pour compléter cette première partie de mon entrainement, je passe donc à la suite.
Je ramasse mon sabre laser que j’allume une fois revenue au centre de la pièce. La lumière vacille puis se stabilise, son bleu minéral me rappelle que cette arme est pleine de petites imperfections. Mais cela n’en reste pas moins mon sabre. Je réalise quelques passes de la main droite. J’enchaine attaques latérales, parades et fentes sans difficulté, alliant précision et vitesse. Puis je marque une courte pause pour récupérer mon souffle et changer mon arme de main. Je reprends quelques attaques, mais ma main gauche est moins vive, malgré les longues heures passées à l’exercer. Elle n’est pour autant pas maladroite et je parviens à effectuer un bon nombre de passes et de parades avec confiance.
J’éteins mon sabre et l’accroche à ma ceinture, puis ramasse le sabre de Sorin. Je le regarde un instant, l’esprit vide. Il est de belle facture, rien à voir avec le mien. Je n’ose pas l’allumer. Cet objet est plein de souvenirs, il a protégé mon maître durant toute sa vie, jusqu’à ce que je cause sa perte. Cette pensée me fait l’effet d’un coup de couteau. Je m’agenouille un moment, et finis par fermer les yeux. J’écarte toute pensée qui se présente à moi, tentant de retrouver ma concentration. Au fur et à mesure que je retrouve mon calme, je parviens à détendre mes muscles. Je ne sais combien de temps je suis restée assise ici.
J’ouvre finalement les yeux et me relève, saisissant le sabre laser dans la main droite, je l’allume. L’éclat violet qu’il dégage est plein d’assurance, il me semble être une arme sûre. Je le fais tourner lentement devant moi, puis sur mon côté, son vrombissement régulier emplit la salle d’entrainement. J’effectue une volte et frappe un adversaire invisible, puis pare rapidement sa contre-attaque. Je me redresse après quelques coups et inspecte à nouveau l’arme de mon défunt mentor. Je tâcherai d’en être digne.
Je m’entraine encore une longue heure avec la nouvelle arme qui m’a été confiée puis m’accorde une pause. La suite va me demander beaucoup plus de concentration. De la main gauche, j’attrape mon premier sabre. J’allume les deux armes simultanément, les tenant à l’horizontale, à bout de bras. Mon regard passe du bleu terne au violet irradiant. Je me place en position de garde et réalise doucement quelques passes composées d’attaques et de parades à un ou deux sabres. L’enchainement est hésitant, mais je parviens à ne pas mélanger mes mouvements. Je répète plusieurs fois la même série de coups, mais il m’est difficile d’envisager un combat, même au plus bas niveau. Je préfère rengainer mes deux sabres et attraper deux sabres d’entrainement, un petit exercice avec une sphère ne me fera pas de mal.
Il est encore tôt quand j’investis l’une des salles d’entrainement. J’ai revêtu une combinaison noire qui couvre mes bras et mon cou. Je dépose les deux sabres laser au fond de la vaste pièce et débute un échauffement sommaire constitué d’enchainement d’étirements et de coups de pied ou de poing. J’en profite également pour travailler quelques coups plus spécifiques qui me tiennent à cœur, puis termine en exécutant quelques formes apprises auprès de Sorin. Je les répète plusieurs fois, accélérant toujours plus les mouvements jusqu’à être satisfaite de ma performance. Il me manque désormais un adversaire pour compléter cette première partie de mon entrainement, je passe donc à la suite.
Je ramasse mon sabre laser que j’allume une fois revenue au centre de la pièce. La lumière vacille puis se stabilise, son bleu minéral me rappelle que cette arme est pleine de petites imperfections. Mais cela n’en reste pas moins mon sabre. Je réalise quelques passes de la main droite. J’enchaine attaques latérales, parades et fentes sans difficulté, alliant précision et vitesse. Puis je marque une courte pause pour récupérer mon souffle et changer mon arme de main. Je reprends quelques attaques, mais ma main gauche est moins vive, malgré les longues heures passées à l’exercer. Elle n’est pour autant pas maladroite et je parviens à effectuer un bon nombre de passes et de parades avec confiance.
J’éteins mon sabre et l’accroche à ma ceinture, puis ramasse le sabre de Sorin. Je le regarde un instant, l’esprit vide. Il est de belle facture, rien à voir avec le mien. Je n’ose pas l’allumer. Cet objet est plein de souvenirs, il a protégé mon maître durant toute sa vie, jusqu’à ce que je cause sa perte. Cette pensée me fait l’effet d’un coup de couteau. Je m’agenouille un moment, et finis par fermer les yeux. J’écarte toute pensée qui se présente à moi, tentant de retrouver ma concentration. Au fur et à mesure que je retrouve mon calme, je parviens à détendre mes muscles. Je ne sais combien de temps je suis restée assise ici.
J’ouvre finalement les yeux et me relève, saisissant le sabre laser dans la main droite, je l’allume. L’éclat violet qu’il dégage est plein d’assurance, il me semble être une arme sûre. Je le fais tourner lentement devant moi, puis sur mon côté, son vrombissement régulier emplit la salle d’entrainement. J’effectue une volte et frappe un adversaire invisible, puis pare rapidement sa contre-attaque. Je me redresse après quelques coups et inspecte à nouveau l’arme de mon défunt mentor. Je tâcherai d’en être digne.
Je m’entraine encore une longue heure avec la nouvelle arme qui m’a été confiée puis m’accorde une pause. La suite va me demander beaucoup plus de concentration. De la main gauche, j’attrape mon premier sabre. J’allume les deux armes simultanément, les tenant à l’horizontale, à bout de bras. Mon regard passe du bleu terne au violet irradiant. Je me place en position de garde et réalise doucement quelques passes composées d’attaques et de parades à un ou deux sabres. L’enchainement est hésitant, mais je parviens à ne pas mélanger mes mouvements. Je répète plusieurs fois la même série de coups, mais il m’est difficile d’envisager un combat, même au plus bas niveau. Je préfère rengainer mes deux sabres et attraper deux sabres d’entrainement, un petit exercice avec une sphère ne me fera pas de mal.