- dim. 4 oct. 2015 10:56
#20062
-Maintenant que vous avez les prix, libre à vous d’investir ou non. Ce projet est le vôtre désormais. L’actualité sur ma planète me pousse à partir loin d’ici.
Rien que sa proximité, même partielle avec Hayden, le mettait dans une situation délicate, et il n’avait pas envie réellement de se faire arrêter par les forces de l’empire. Un génie comme lui n’avait pas le droit de finir dans un cachot. C’était contre-nature, autant que l’était l’accouplement entre deux races, beurk.
-Ce UASER est ce que l’on pourrait appeler la crème de la crème en technologie d’armement, bien en avance sur son temps comparé aux systèmes traditionnels. Ne le sous-estimez pas. Le mettre entre de mauvaises mains pourrait vous couter votre tête, voir plus.
TurboUaser
Sur la console, il pianota rapidement et enleva l’image du chasseur pour se concentrer sur le canon seul. La structure extérieure se volatilisa pour être remplacée par une multitude de circuits galven. Le générateur doubla pratiquement de volume, les chambres d’ionistions également en plus de se multiplier. Très vite, ce qui était un canon simple devient une énorme tourelle, semblable aux Turbolasers utilisées sur les vaisseaux capitaux. La seule différence notablement était la présence d’un seul canon au lieu de deux traditionnels, mais pour la même quantité d’énergie. Tirer plus souvent mais moins fort pour une acquisition optimal des cibles. Les supraconduteurs finirent par entourer l’ossature de ce monstre et le tout fut entouré avec un alliage standard de duracier. Contrairement à sa consoeur laser, le dôme n’était pas rectangulaire et pas aussi grand. Le système était plus avachi sur lui-même et surtout en longueur. Le pivot était toujours possible évidemment mais cela relevait des ingénieurs qui construiraient le vaisseau associé.
-Voilà un exemple de la TurboUaser. Vous comprendrez à partir de ce calibre la nécessité de faire des bridages sur cette technologie. Je vous laisse l’initiative de cela. Ce canon déchire la coque de manière brutale, et comme sa cousine Lourde, prendra pas mal de place. Je ne vous apprends rien de toute manière, vous connaissez les vaisseaux de lignes. Attendez-vous à des frais de recherche conséquents cependant. Il me reste encore deux armes à vous proposer et après nous aurons fait le tour.
Canon spatial Longue portée :
La Turbotourelle disparut de l’écran pour faire apparaître un autre canon, semblable à un canon d’E-11, utilisé par les tireurs impériaux. Cependant, les dimensions laissaient supposer à une arme quelque peu plus grosse. La technologie ne différait pas du Uaser, ce n’était qu’un dérivé. Cette arme de 400 mètres de longueur utiliserait un très grand réseau de circuit galven tout le long des trois canons la constituant. Le générateur d’énergie était toujours situé à l’arrière de l’arme, juste avant les différentes chambres de compression. On en notait cinq par canon, pour un total de quinze chambres. Ces dernières diffusaient le flux d’énergie dans une chambre de stockage que l’on pourrait grossièrement assimilée à une batterie, entourée de supraconducteur. Une fois atteint une valeur seuil, le flux énergétique concentré était amplifié puis éjecté. Les trois canons étaient relativement proches, permettant aux tirs de former un tout cohérent à l’éjectin. Il n’y avait pas trois faisceaux, mais un seul. Le fonctionnement était le suivant. Les cinq générateurs fonctionnaient alternativement, envoyant l’énergie des photons de manière continue dans la chambre de stockage. C’était cette alternance qui rendait le canon puissant, le flux était continu. Quand il était relaché, que les trois faisceaux se rejoignaient, l’onde cohérente créée était plus longue que les lasers standards. D’une taille approximative de 200 mètres, ce faisceau avait pour but de surcharger les boucliers à un point très précis et ainsi d’ignorer les boucliers. Une frappe millimétrée qui ne produisait que très peu de dommage de masse, à l’inverse de faire un trou très net et profond à l’endroit ciblé. Cela ne servait que pour le tir de précision à longue distance. La contrepartie, c’était le temps d’accumulation de l’énergie qui serait à déterminer.
Canon planétaire :
Wendel expliqua brièvement cela avant de passer à la dernière arme. Pour celle là, on pouvait reconnaître un canon planétaire, mais créé sur la longueur. Ce canon servirait à plusieurs choses. La défense planétaire, et l’embarquement sur un vaisseau capital de grande taille. Aux Arkaniens d’être innovant. Pour l’intérieur même de cet énorme canon, on pouvait reconnaître un dispositif similaire à celui du canon de l’étoile noire. Juste derrière la lentille de plusieurs centaines de mètre de rayons, quatre stabilisateurs de flux, orientés en face deux à deux qui maintenaient l’énergie comme pour l’arme précédente. Cette énergie produite à partir d’un noyau d’hypermatière, celui-là même utilisé pour alimenter les réacteurs, était canalisée dans les chambres de compressions etc … Quand l’arme était en fonctionnement, les stabilisateurs fonctionnaient continuellement alors que la compression était en cours. Quand le flux était éjecté, il devait être maintenu très rapidement au risque de créer une explosion interne et de faire sauter le canon. L’éjection se faisait tout naturellement comme pour n’importe quelle arme afin de détruire les vaisseaux capitaux. Vu les dégâts de cette technologie, il n’était même pas envisageable d’avoir des boucliers pour arrêter le tir. La fuite était tout bonnement la seule option viable. Une fois le discours terminé, il conclue.
- Maintenant je ne veux plus jamais avoir affaire à cette technologie. Vous ne me connaissez pas, vous ne m’avez jamais vu. Pas envie d’avoir des ennuis avec l’empire. Pour la dernière arme, prévenez moi quand vous ferez des tests, que je me tienne loin.
Ainsi conclut-il les affaires avec les Arkaniens.
Rien que sa proximité, même partielle avec Hayden, le mettait dans une situation délicate, et il n’avait pas envie réellement de se faire arrêter par les forces de l’empire. Un génie comme lui n’avait pas le droit de finir dans un cachot. C’était contre-nature, autant que l’était l’accouplement entre deux races, beurk.
-Ce UASER est ce que l’on pourrait appeler la crème de la crème en technologie d’armement, bien en avance sur son temps comparé aux systèmes traditionnels. Ne le sous-estimez pas. Le mettre entre de mauvaises mains pourrait vous couter votre tête, voir plus.
TurboUaser
Sur la console, il pianota rapidement et enleva l’image du chasseur pour se concentrer sur le canon seul. La structure extérieure se volatilisa pour être remplacée par une multitude de circuits galven. Le générateur doubla pratiquement de volume, les chambres d’ionistions également en plus de se multiplier. Très vite, ce qui était un canon simple devient une énorme tourelle, semblable aux Turbolasers utilisées sur les vaisseaux capitaux. La seule différence notablement était la présence d’un seul canon au lieu de deux traditionnels, mais pour la même quantité d’énergie. Tirer plus souvent mais moins fort pour une acquisition optimal des cibles. Les supraconduteurs finirent par entourer l’ossature de ce monstre et le tout fut entouré avec un alliage standard de duracier. Contrairement à sa consoeur laser, le dôme n’était pas rectangulaire et pas aussi grand. Le système était plus avachi sur lui-même et surtout en longueur. Le pivot était toujours possible évidemment mais cela relevait des ingénieurs qui construiraient le vaisseau associé.
-Voilà un exemple de la TurboUaser. Vous comprendrez à partir de ce calibre la nécessité de faire des bridages sur cette technologie. Je vous laisse l’initiative de cela. Ce canon déchire la coque de manière brutale, et comme sa cousine Lourde, prendra pas mal de place. Je ne vous apprends rien de toute manière, vous connaissez les vaisseaux de lignes. Attendez-vous à des frais de recherche conséquents cependant. Il me reste encore deux armes à vous proposer et après nous aurons fait le tour.
Canon spatial Longue portée :
La Turbotourelle disparut de l’écran pour faire apparaître un autre canon, semblable à un canon d’E-11, utilisé par les tireurs impériaux. Cependant, les dimensions laissaient supposer à une arme quelque peu plus grosse. La technologie ne différait pas du Uaser, ce n’était qu’un dérivé. Cette arme de 400 mètres de longueur utiliserait un très grand réseau de circuit galven tout le long des trois canons la constituant. Le générateur d’énergie était toujours situé à l’arrière de l’arme, juste avant les différentes chambres de compression. On en notait cinq par canon, pour un total de quinze chambres. Ces dernières diffusaient le flux d’énergie dans une chambre de stockage que l’on pourrait grossièrement assimilée à une batterie, entourée de supraconducteur. Une fois atteint une valeur seuil, le flux énergétique concentré était amplifié puis éjecté. Les trois canons étaient relativement proches, permettant aux tirs de former un tout cohérent à l’éjectin. Il n’y avait pas trois faisceaux, mais un seul. Le fonctionnement était le suivant. Les cinq générateurs fonctionnaient alternativement, envoyant l’énergie des photons de manière continue dans la chambre de stockage. C’était cette alternance qui rendait le canon puissant, le flux était continu. Quand il était relaché, que les trois faisceaux se rejoignaient, l’onde cohérente créée était plus longue que les lasers standards. D’une taille approximative de 200 mètres, ce faisceau avait pour but de surcharger les boucliers à un point très précis et ainsi d’ignorer les boucliers. Une frappe millimétrée qui ne produisait que très peu de dommage de masse, à l’inverse de faire un trou très net et profond à l’endroit ciblé. Cela ne servait que pour le tir de précision à longue distance. La contrepartie, c’était le temps d’accumulation de l’énergie qui serait à déterminer.
Canon planétaire :
Wendel expliqua brièvement cela avant de passer à la dernière arme. Pour celle là, on pouvait reconnaître un canon planétaire, mais créé sur la longueur. Ce canon servirait à plusieurs choses. La défense planétaire, et l’embarquement sur un vaisseau capital de grande taille. Aux Arkaniens d’être innovant. Pour l’intérieur même de cet énorme canon, on pouvait reconnaître un dispositif similaire à celui du canon de l’étoile noire. Juste derrière la lentille de plusieurs centaines de mètre de rayons, quatre stabilisateurs de flux, orientés en face deux à deux qui maintenaient l’énergie comme pour l’arme précédente. Cette énergie produite à partir d’un noyau d’hypermatière, celui-là même utilisé pour alimenter les réacteurs, était canalisée dans les chambres de compressions etc … Quand l’arme était en fonctionnement, les stabilisateurs fonctionnaient continuellement alors que la compression était en cours. Quand le flux était éjecté, il devait être maintenu très rapidement au risque de créer une explosion interne et de faire sauter le canon. L’éjection se faisait tout naturellement comme pour n’importe quelle arme afin de détruire les vaisseaux capitaux. Vu les dégâts de cette technologie, il n’était même pas envisageable d’avoir des boucliers pour arrêter le tir. La fuite était tout bonnement la seule option viable. Une fois le discours terminé, il conclue.
- Maintenant je ne veux plus jamais avoir affaire à cette technologie. Vous ne me connaissez pas, vous ne m’avez jamais vu. Pas envie d’avoir des ennuis avec l’empire. Pour la dernière arme, prévenez moi quand vous ferez des tests, que je me tienne loin.
Ainsi conclut-il les affaires avec les Arkaniens.