L'Astre Tyran

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Arkania, dans le système Perave, est une planète au climat inhospitalier. Couverte de toundra et de glaciers, elle abrite cependant de nombreuses mines qui sont sa principale source de revenus. Arkania est également connue pour ses centres d'expérimentation génétique qui furent à l'origine de la création de nouvelles races.
Gouvernement : Neutre - Accointances avec l'Empire
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By Aldrax Kist
#22500
Région: Colonies
>Système: Perave
>> Planète: Arkania
>>> Temple de l’Ordre Gris



Tôt ce matin là Helera emmena sa plus récente recrue visiter pour la première fois le Temple de l’Ordre Gris. Première visite de Marak sur cette planète également. Durant la descente, tandis qu’elle s’occupait des formalités d’usage pour avoir toutes les autorisations nécessaires à un séjour sans encombres, Marak observa en silence cette terre d’accueil pour l’Ordre Gris. Une planète glacée dont le paysage est majoritairement composé de toundras gelées, une multitude de petites communautés de quelques milliers d'individus installées dans les toundras les moins venteuses, dans les grands canyons ou à flanc de glaciers. Arkania abrite à première vue une civilisation extrêmement décentralisée, bien que diverses structures collectives existent.

Selon le peu d’information qu’Helera lui a donné sur les Arkaniens, contrairement à ce que l'on pourrait penser, Arkania n’est pas faible technologiquement parlant… Arkania est un monde très moderne, peut-être décousu par période !

Cette planète ne semblait pas très visitées, car peu d’attrait touristique, aussi en raison de son climat glacial, mais surtout à cause du caractère particulier de ses habitants. Les Arkaniens sont notoirement... méfiants, à l'égard des étrangers et leur condescendance, ainsi que leur égocentrisme, sont tels qu'ils ont également du mal à vivre ensemble. Les Arkaniens n'aiment pas recevoir d'ordres, ou vivre de manière trop structurée. C’était là le topo qui avait été fait à Marak, mais surtout par des les ouï-dire des membres de l’équipage du Lance d’Aurore et des recherches fait à temps perdu sur l’holonet.

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Outre la visite du Temple, le but réel de cette escapade fût de mettre en pratique un exercice de méditation. Un exercice simple de méditation, mais pour Helera, c’était indispensable afin de mieux comprendre Marak, et surtout apprendre à lui faire pleinement confiance.


Il ne s’agit pas que de maîtriser la Force, il s’agit de comprendre pourquoi tout sensitif doit veiller à garder le contrôle sur lui-même sans tomber dans les travers. Tous les sentiments ne sont pas proscrits, seulement ceux dont la noirceur polluait le reste de la toile.

Au dehors, la neige tombait à lourds flocons et emplissait donc l’intérieur d’une lumière tamisée et totalement blanche. Cela ne faisait qu’ajouter au côté solennelle de la manœuvre. Pour commencer, Helera et Marak s’était tous deux isolés pour cet initiation à cet exercice, être reliés entre eux par le biais de la Force, mais qui normalement peut se faire à plusieurs.

Un exercice qui dès à présent allait être récurent. Helera avait lié les premiers élèves à un point que tous savait à peu près comment les autres pouvaient réagir. Ils ne connaissaient pas leur intimité respective, qui était trop bien enfouis en chacun d'eux. Ils pouvaient cependant se parler d'une manière franche et sans moyens détournés car tous étaient devenue jumeaux.

Si cela fonctionnait avec le reste de l'ordre, et Helera comptait bien y arriver avec Marak, Il ne sera pas un simple sauvage sensitifs qui allaient se battre comme un gladiateur, contraint de s’offrir en spectacle. Petit à petit, il deviendrait un protecteur, un gardien… un Chevalier ! Il deviendrait une seule et même personne, unis par des liens de l’Ordre Gris, plus forts que des liens fraternelles. Qui plus est, tous ceux qui voulaient nuire à l'ordre serait automatiquement détecté dans ce genre d'opération qui se devait d'être obligatoire au moins une fois, et Marak ne faisait pas exception. Cela devait faire parti de son cheminement en tant qu’appranti. Bien que Marak eut fait beaucoup de chemin jusqu’à présent, il n’en parlent que très peu avec Helera ou Jeny, qui pourtant sont devenue très vite ses deux confidentes, rarement il ne faisait allusion à tout ce temps passé sur Felucia, encore moins à son enfance. Pour quelles raisons ce silence persistait-il ? Il était temps, pour tous les deux, de s’ouvrir l’un à l’autre.


Marak, si nous sommes ici aujourd’hui, c’est pour commencer officiellement ta préparation afin de devenir un chevalier de l’Ordre Gris. Pour l’instant, tu dois te contenter de n’avoir que le titre d’apprenti… Et je me doute bien que ça te froisse un peu, car je perçois que tu as quand même beaucoup de vécu, et ce n’est pas non plus mon intention de te retenir dans ton évolution, alors c’est pourquoi je vais m’efforcer de te donner un aperçu de ce qui pourra t’être demandé afin de devenir un Chevalier en règle de l’Ordre Gris… Tu connais déjà un avant goût des enseignements obscurs de la force… Moi je te donne la version lumineuse que je connais… et tu devras trouver l’équilibre entre les deux, tel est ton devoir… et pour y arriver voici les principales étapes:

  • Le symbole du Sabre-laser
  • L’usage de la Force
  • La Connaissance du Code
  • Les Capacités d’autodéfenses
  • Le jugement et le sens des priorité
  • L’Autonomie et sens des responsabilité


Le Sabre-Laser:
La construction de son propre sabre laser ainsi que l'apprentissage de son maniement constituent la base essentielle de la formation de Jedi. Chaque Padawan, une fois son sabre laser construit, apprend à s'en servir au contact de son Maître ou d'autres élèves. Les entraînements se font au début avec des sabres d'entraînement mais par la suite, les padawans peuvent s'entraîner avec une arme réelle. Pour devenir Chevalier, il n'est pas nécessaire d'être un expert dans l'usage de toutes les formes de combat au sabre, mais une bonne maîtrise générale est cependant exigée.


Lorsque nous nous sommes rencontré, ton sabre-laser fut ta seule véritable possession, aussi je considère, à moins que je ne me trompe, que tu l’es construit !? Ainsi donc, si tu désire lui apporter des modifications pendant ton entraînement ici, ça serait une bonne occasion. Pour ce qui de ton entraînement au sabre, tu as de bonnes et solides bases, alors nous en profiterons pour explorer un peu plus, ou bien approfondir un style en particulier, à ton choix.

Usage de la Force:
La maîtrise de la Force est bien évidemment au centre de la formation du Padawan. Pour prétendre accéder au titre de Chevalier Jedi, un élève doit maîtriser les trois principaux aspects de la Force : L’Altération, Le Contrôle et la Perception.

  • L’Altération : Le déplacement d'un objet à travers une série d'obstacles, qui vont pouvoir démontrer la capacité du Padawan à utiliser ce premier volet de la Force.
  • Le Contrôle : Masquer la présence du Padawan à d'autres utilisateurs de la Force, ou du pouvoir de persuasion mentale, sont de bons tests fréquemment demandés aux candidats.
  • La Perception : Décrire des évènements se produisant à proximité ou encore de détecter la présence d'un être vivant se trouvant hors de vue.


Encore là, j’ai pu observer que tu avais de bonnes bases, il faut voire selon tes ambitions et le rôle que tu souhaite jouer dans l’Ordre Gris, quels facettes de la force tu devrais prioriser pour parvenir à tes fins.

Ici commence tes premiers défis ! C’est une des raisons pourquoi cet exercice de méditation est important, pour moi afin de mieux te comprendre, et pour toi afin d’apprivoiser, contrôler et civiliser cette rage, cette sauvagerie, qui gronde en toi. Nous y reviendrons… poursuivont


Connaissance du Code Jedi
La plupart du temps, le Padawan doit répondre à une série de questions posées au cours des épreuves, ce qui inclut des interprétations du Code Jedi en fonction de la situation. Un Chevalier Jedi doit être en mesure de comprendre les motivations et l'histoire des Jedi afin de guider ses actions.

Capacités d'autodéfense
Dans la mesure où le Chevalier Jedi doit défendre toute personne se trouvant en danger, il doit tout d'abord savoir se défendre lui-même. Le candidat est libre de ses moyens de défense. Les épreuves Jedi en générale ont pour objectif de faire reculer le candidat dans ses derniers retranchements et à l'obliger à faire preuve d'initiative et de réactivité, Cette épreuve en particulier a pour but de déterminer la capacité de retenue du Jedi et sa faculté à agir en proportion de la menace. Si le candidat se comporte trop de façon offensive ou de façon disproportionnée par rapport à la menace, l'épreuve pourrait échouer ...

Jugement et sens des priorités
Un Chevalier Jedi, de par ses missions, sera souvent amené à prendre des décisions parfois lourdes de conséquences, et souvent très rapidement. Pour passer les épreuves, un candidat doit donc être en mesure de réfléchir et de faire appel à son bon jugement sans avoir besoin de longues méditations. En général, on va poser une série de questions à l’aspirant chevalier, celui-ci devant remplir trois critères pour réussir l'épreuve :

  • Exactitude : l'apprenti doit bien évidemment répondre correctement aux questions posées par son Maître.
  • Promptitude : Réfléchir rapidement pour répondre aux questions sans perdre de temps. Le Padawan doit savoir répondre le plus vite possible, sans pour autant se précipiter.
  • Sens des priorités : Savoir évaluer rapidement les conséquences de chaque réponse, et déterminer la priorité des questions.


Autonomie et sens des responsabilités
Alors qu'un Padawan est un élève dont la seule mission est d'apprendre au contact de son maître et de l'aider dans ses missions si nécessaire, le Chevalier Jedi quant à lui est un représentant officiel de l'Ordre remplissant ses propres missions.

L'une des épreuves pour accéder à ce rang consiste donc à remplir une mission de façon autonome, sans aide extérieure, ce qui permet évidemment de tester toutes les capacités de l'aspirant Chevalier : pas seulement ses aptitudes à maîtriser la Force ou à se battre, mais plutôt à évaluer son degré d'autonomie et sa façon d'aborder et de résoudre les problèmes qui peuvent lui être posés - et qui peuvent s'apparenter tout autant à de la diplomatie qu'à de l'infiltration ou à une mission de police. La maturité, le sens de l'honneur, le sens du service sont ainsi des critères fondamentaux pour évaluer un Padawan et faire de lui - ou non - un Chevalier Jedi.


Voilà, avec ça je crois que tu auras tous les outils en mains pour parfaire ton entraînement, même quand nous seront séparé, si tu suis tous ces préceptes à la lettre, tu pourrais devenir un modèle parmi les membres de l’ordre…mais je ne t’en exigerai pas autant, même si je le souhaite ardemment, et même si tu n’en suivais que la moitié, dans ton cas, vu qu’on part de loin, j’en serais très fiers ! Maintenant, commençons par la méditation, on ajustera le tir en fonction des questions qui se soulèveront…

Le flux se matérialisaient comme des fils de soie, partant vers les rivages infinis de l’esprit. Le lien ainsi formée était parsemée de deux couleurs, variant d’intensité sur la longueur et prenant source au niveau de Marak et Helera, immobiles statues dont la concentration était mise à rude épreuve, et si l’un lâchait, le lien coupait.

C’était une vue de l’esprit, des canaux transportant des souvenirs, des sentiments. Tous différents et surtout certains plus corrosifs que d’autres. C’était cela le plus difficile, garder le tout cohérent. Helera recevait tout, images, sons et odeurs qui parasitait son cerveau, qu’elle dû trier. Son identité propre n’existait plus. Helera et Marak, atteignait pour la première fois une symbiose digne de ce nom, ni l’un ni l’autre avait sa personnalité, ou du moins ne l’avait complètement.

L’une voyait ce que l’autre était, que des actions passées qui étaient échangées. Un lien plus fort, une méditation de masse, c’était à cela qu’Helera voulait initier Marak et le laisser assimiler la manœuvre. Cela aurais pour effet pour tout l’ordre gris, à tous ceux qui serait éventuellement présents de connaître son prochain, de le comprendre. Évidemment, si un des membres voulait en apprendre davantage sur un des porteurs de charges, il lui serait tout à fait possible de le faire. C’est ainsi qu’Helera vit passer dans son esprit plusieurs péripéties de Marak, notamment certains souvenirs de son enfance difficile, pourtant privilégier de…. Zabrak mâle Dathomirien !... d’autres plus récent sur Felucia, là où on l’eut repêché dans le vide spatial.


[to be continued…]
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By Aldrax Kist
#22506
Région: Colonies
>Système: Perave
>> Planète: Arkania
>>> Temple de l’Ordre Gris
>>>> Dans l’esprit de Marak, une fois le lien établie avec Helera

[... “C’est ainsi qu’Helera vit passer dans son esprit plusieurs péripéties de Marak”]


Helera ouvrit lentement les yeux… ne sachant trop à quoi s’attendre, elle contempla le paysage dans lequel elle se trouvait désormais. Elle se trouvait au pied d’une Mausolée, érigée un milieu de nulle part dans une petite clairière au beau milieu d’un boisé aux feuilles mortes.



Au sommet de ce mausolée émanait une lumière blanche vers les cieux, comme un fil de soie épais recouvrant la pointe carré du Mausolée. Le flux de cette lumière oscillait de bas en haut et vice versa, comme le flux bidirectionnel de données s’échangeant entre deux points. C’était le phare d’Helera, sont point d’entrée et de sortie pour un voyage en toute sécurité.

Marak se trouvait là aussi, à environ 5 mètres du Mausolée… Il respirait la prestance, l’assurance, le charisme… Elle voyait de ses propres yeux le potentiel de Marak dans sa forme la plus complète. Il lévitait devant elle à peine à quelques centimètres du sol, histoire de faire plus grand encore !


Bienvenu chez nous Helera. Je suis bien heureux que tu sois arrivé jusqu’ici ! Nous avons beaucoup de travail à faire et comme tu l’as devinée, ce ne sera pas un acte aisé à accomplir que de me dompter. Nous sommes dans le Hall d’entrée de ma mémoire, c’est ici que je te guiderai à travers mes souvenirs. Certains seront facilement accessible, tandis que pour d’autres tu devras te battre pour y avoir accès. Tu auras compris que, plus les souvenirs sont marquants, plus ils sont lourd de conséquences… les gardiens de ses souvenirs sont redoutables et n’éprouveront aucunes émotions, ni remords à te faire du mal et d’expulser d’ici si tu leur en donnes l’occasion. Il ne faut pas te leurrer ces gardiens sont tous… moi ! Sous une forme et une peau différente, mais bel et bien moi, à refouler et garder enfoui profondément certains moments de ma courte vie.

J’ai confiance en toi, et c’est pourquoi je suis ici aussi avec toi, même si mes alter-ego ne sont pas de mon avis, je sais que c’est pour le mieux... Alors ! Par quoi commençons-nous ?


Par le début… D’où viens-tu ?


> Accès Mémoire
>> Investigation: Dossier #27935791


>> Recherche en cours… ... .. Terminé
>>> Dossier #27935791: Dathomir

[to be continued…]
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By Aldrax Kist
#22538
DATHOMIR


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    Astrogéographie
  • Région: Bordure extérieur
  • Secteur: Quelii
  • System: Dathomir
  • Soleil: 1
  • Lune: 4 (incluant Koratas)
  • Période de rotation: 24h standard
  • Période d’orbite: 491 jours local

    Planètologie
  • Classe: Terrestre
  • Diamètre: 10,460 km
  • Atmosphère: Mélange d'oxygen type I (respirable)
  • Climat: Tempéré, Frais
  • Gravité: 90% standard
  • Terrains: Forêt, Désertique, Savanne, Océan, Montagnes, Canyon et Volcans

    Société
  • Population: 5,200 (96% humain, 4% autres)
  • Language parlé: Basic
  • Principales Villes: Aurillia, Science outpost, Trade outpost
  • Importation majeur: Aventuriers impétueux de l'espace
  • Exportation majeur: Cadavres

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    Présentation:

    Dathomir... une planète relativement jeune comparée à d'autres mondes connus depuis des millénaires. Appartenant à la Bordure Extérieure, dans le secteur de Quelii, Dathomir est une planète relativement hostile en raison de la présence de certaines espèces animales particulièrement dangereuses.

    Trois continents, entourés par un océan unique, fortement influencé par les quatre lunes orbitant autour de la planète, la gravité est légèrement plus faible que les standards galactiques. Le paysage de Dathomir est aussi variée que sa faune. Tout en possédant des lacs côtiers, de grandes savanes, des montagnes dont quelques-unes sont si haute, que leur sommet reste toujours couvert d’une calotte glacière où on entend le vent siffler, cependant ce sont les forêts denses et des vallées herbeuses qu’on retrouvent en majorité. Le terrain escarpé par endroit, provoquant des chutes vertigineuses, n’est que l’un des seuls dangers visibles. Pour ceux qui ne sont pas habitué d’y vivre, vous pourrez également vous heurter à d’autres inconvénients en vous déplaçant, tel des sols glissants et boueux en raison de fréquentes pluies torrentielles provenant des nuages sombres presque toujours surchargés.

    Dû à son environnement, la plupart de la planète est riche en teintes de vert et brun, assombrie par le ciel qui ne se défait que trop rarement de ses nuages menaçants. Vu de l’espace, Dathomir apparaît rougeoyante grâce au mélange d’argile rouge sous la surface, qui remonte avec les pluies fréquentes, et le gaz pourpre de la nébuleuse dans le secteur qui provoque cet effet.

    Où des régions sont clairement identifiées comme hostile et inhospitalières, comme des zones parsemées de fosses de goudron, ou de brousse dense, très coupantes pour la chair, les rendant presqu’impénétrable... il ne faut cependant pas s’y méprendre, même les terrains plus praticable ne sont pas moins menaçants. C’est le cas de la majorité de la faune luxuriante qui sera aussi cruelle que les créatures qui y vivent et qui font leur chemin à travers elle. Même les arbres, d’apparence tordus et pliés, semble prêts à vous marteler, ou vous fouetter de leur branches à votre passage.

    Tandis que Dathomir est habitué par des créatures plus dangereuses les unes que les autres, c’est le Rancor qui est au sommet de la chaîne alimentaire. On peut assumer que de tel créatures ne sont que des fléaux de la nature, sans faire de véritable progrès au niveau de l’évolution de leur espèce. Par contre, les étrangers qui prirent le temps, et la chance, d’observer des Rancors, purent en déduire qu’ils ont bel et bien une structure social. Il ne sont cependant pas différent des autres prédateurs, c’est-à-dire qu’ils vivent en horde, menés par les Matriarch. Les Rancors ont démontrés qu’ils peuvent vivre en symbiose avec les humains, il a même été prouvé que les Rancors se sont transmit des connaissances entre-eux, pour aussi loin que notre histoire sur les Rancors puisse nous le faire voir !

    Sur Dathomir ont a pu observer que certains Rancors porte des armures et manient des armes, ils font parfois office de monture. Ceux qui ont créé des liens avec eux, qui en possède, pourront vous dire que ces créatures sont surprenament intelligente ! Mais dans les pluparts des cas, quand vous rencontrez un Rencor, ce n’est pas vraiment sont côté sociable qui nous intéresse vraiment, mais plutôt son apparence terrifiantes et sa capacité à vous tuer sans avoir la moindre de chance de vous défendre qui est beaucoup plus préoccupant ! Le Rancor de Dathomir est connu pour être beaucoup plus gros et imposant que ceux qu’on peut retrouver ailleurs, ce phénomène s’expliquant par la gravité de la planète légèrement moins contraignante. D’autres facteurs ont certainement contribués au développement du Rencor, tel des proies de grande taille, offrant une source de nourriture abondante.

    Quelques rares Rancor ont été vu sur Dathomir avec des épines et des cornes, encore plus menaçants et dangereux lorsqu’ils chassent, donnant un avantage non-négligeable. Il est à noter cependant, que ces dits Rencor sont souvent solitaire, soit de par leur nature, ou parce qu’il ont été rejetés de leur horde, ce qui leur donne moins de chance se de reproduire. Plusieurs généticiens et chercheurs ont tentés à travers différentes époques de reproduire cette mutation en laboratoire dû à sa rareté et sa valeur, mais les succès sont jusqu’à maintenant très peu concluants.

    Pour les âmes brave qui viennent passer un certain temps sur Dathomir, peu d’option s’ouvre à eux, pouvant utiliser soit l’avant-poste commercial ou le baraquement des Sciences comme base d’opération. La zone science est composé essentiellement de chercheurs qui étudient la flore et la faune local, tandis que la zone commercial regroupe toutes sortes de voyageurs recherchant l’argent facile et la gloire, grâce aux ressources rares qu’on retrouve sur Dathomir, ainsi que des créature nouveau-nés qui peuvent potentiellement être apprivoisé, non sans risque !

    Un autre endroit qu’on peut retrouver, Aurilia développée au départ comme un village rustique, qu'on croit être la base d'une sorte de culte, aurait été peuplée par un groupe hétéroclite de réfugiés. Le village aurait été assiégé par un groupe connu localement sous le nom des “Shadows of the Sith” et aurait anéanti beaucoup de ses résidents pour des sacrifices ritualistique. Le village a été déserté pendant un temps suite à ces évènements, mais il fût reconstruit par la suite de façon plus structuré, qui devint la place où faire du commerce et/ou retrouver l’aventure. Malgré le développement technologique d’Aurilia, il n’est recommandé que seuls ceux ayant une certaine expérience et de bonne compétence à pouvoir rester en vie puisse tenter de faire un voyage jusque là-bas.

    Une prison Impériale à également élu domicile sur Dathomir, détenant ainsi certains des prisionniers les plus dangereux envers l’Empire. Patrouille de AT-ST et des stormtroopers en quantité généreuse, la prison est conçue pour garder les visiteurs en dehors de la prison, autant que de garder ses prisonniers incarcérés. Le contingent de l’Empire de la planète est très au courant qu’à tout moment, ils pourraient être laissés à eux-mêmes. En effet, en l’an 0 BBY, l'Empire fit bombarder l’établissement pour éviter que les soeurs de la nuit puissent avoir accès aux ressources qui s’y trouvait, principalement... un moyen de transport pour quitter Dathomir. La prison fut reconstruite l’année suivante, notamment sans Shuttle port ou spaceport, quand l’Empire eut réalisé qu’elle avait un réel besoin d’espace pour entasser tous ses ennemis, méritant de souffrir avec leur convictions, plutôt que de trépasser dans une mort rapide et sans souffrance, le tout sur un monde peu peuplé, encore moins accueillant, aux conditions de vie relativement hostile.


    >Accès Mémoire
    >> Dossier #27935791
    >>Lecture Terminé


    Et tu es resté emprisonné combien de temps là-bas ?

    Jusqu'à mes 18 ans...

    Tu veux dire que tu es né là-bas ?

    Exact... C'est là-bas que j'ai été formé... initié serait le terme plus juste que tu emploierais

    Raconte-moi ton cheminement...


    >Accès Mémoire
    >> Dossier #17336534
    >>> Sous-Dossier #7914096
    >>>Sous-Dossier #1048676
    >>>Sous-Dossier #3580880
    >>>Sous-Dossier #1958246


    >>Recherche en cours… .. . Terminé
    >>> Dossier #17336534: Enfance et Initiation

    [to be continued…]
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By Aldrax Kist
#22632
[Chargement… … … ]

Mais avant de te parler de mon enfance… puisque nous avons le temps ici, connais-tu le concept des 5 blessures de l’âme (ou de l’être) ??

Au fil des jours, je suis persuadé que ton cheminement personnel, autant le mien que je vais tenter de te partager, nous a amenés à voir et rencontrer des gens heureux, mais aussi tant de personnes aux prises avec un profond mal-être, de la tristesse, un sentiment de vide, d’abandon, de rejet, etc. La méconnaissance de ces émotions ou blessures ont eut, ou auront, des impacts majeurs sur notre vie. On y retrouve donc:


  • Le rejet
  • L’injustice
  • L’humiliation
  • L’abandon
  • La trahison.


Chacune d’elle amène à se forger... un masque, qui au fil du temps s’installe à une période de l’enfance. On peut avoir des variantes par contre dans quel pourcentage pour chacune d’entre elles ces blessures nous affecte personnellement. On peut avoir le rejet faiblement et l’abandon plus haut, c’est en ajustement constant en fonction de notre vie. Plus on prend conscience de notre intérieur plus le tout est influencé et l’intensité diminue. Je crois que c’est surtout sur ceci que repose ton enseignement avec les Gris… et comme nous n’avons pas tous le même vécu, ton mandat de guide reste globablement le même pour tous les Gris, mais chacun d’entre-nous devons personnellement travailler plus ou moins fort sur certains aspects de nous-mêmes afin d’atteindre le résultat globale souhaité...

Voici en gros leurs caractéristiques.


Le rejet : masque du fuyant. L’individu s’isole, passe inaperçu, s’éloigne des gens, ne veut pas déranger, s’organise seul, a de la difficulté à parler en public car se sous estime, refoule au lieu de s’exprimer. Se rejette, même si au fond il désire tant être aimé. A peur de la solitude, plus enclin à l’anxiété, à l’angoisse, la panique.

L’injustice : masque du rigide. Parmi les blessures les plus difficiles à porter, qui selon moi sont l’injustice et la trahison. Se coupe beaucoup de ses émotions et ses ressentis autant émotionnelles que physiques, perfectionniste, froideur, envieux, aime bien paraître, refuse d’avoir de l’aide car sera pas aussi bien fait, cache leur émotions jusqu’au rire forcé, ne respecte pas ses limites, rationnel, besoin d’avoir raison ce qui repousse les gens car pas dans le senti, mais très cérébral, se justifie encore et encore. Dur avec soi et les autres, l’ego étouffe la joie.

L’abandon : masque du dépendant. Besoin d’attention important, se sent victime (pourquoi moi…) les autres sont responsables de mon bonheur si ils changeaient aussi, se sent facilement seul, triste, fait les premiers pas suite à une dispute pour ne pas être abandonné et endure plus qu’à son tour, facilité à dramatiser, à être autonome affectivement, pleure facilement, peur de la solitude, angoisse à l’idée d’être seul, facilement dépendant affectif, peur de s’affirmer, dans son non verbal on remarque lors de ses communications qu’il s’appuie sur ses coudes, un mur, etc. pour se sentir soutenu, etc. S’abandonne en fait.

La trahison : masque du contrôlant. Difficulté à déléguer, manipule pour arriver à ses fins, a des attentes nombreuses, parle fort, impose son point de vue, manque de délicatesse en termes de communication, contrôle pour ne pas être trahi, susceptible, autoritaire, humeur changeante, se sent supérieur aux autres, l’apparence est importante, impatience. Se trahit à répétition sans le réaliser.

L’humiliation : masque du masochiste. N’écoute pas suffisamment ses besoins, sauveur du monde qui s’épuise, débordé, s’oublie et souffre pour les autres, a peur de la liberté car le risque d’être humilié si ose est présent, se refuse le plaisir, se manque de respect, n’écoute pas assez ses besoins, son intuition, ses goûts, s’humilie soi-même.

Les blessures et les émotions sont comme un collier de perle ou un code barre.

Tu comprendras que ces descriptions ne sont que des points de repère pour m’aider à mieux comprendre nos comportements et ceux des autres. On fait tous de notre mieux en fonction de notre vécu, sauf qu’il importe de s’améliorer pour notre propre mieux-être. Pour ainsi dire, quand nous sommes dans la blessure, c’est comme si on était l’enfant qui a peur, qui en ressent l’écho et elle soumet l’adulte en quelque sorte. Chercher davantage sur ce sujet, se trouver de l’aide et on peut en diluer les impacts.

Les effets d’une blessure, d’une émotion, c’est un peu comme un collier de perles. Il peut y avoir eu un élément déclencheur un jour qui a été comme l’attache à ce collier. De là, différents événements qui rappelaient cet inconfort à l’inconscient sont venus s’accumuler comme s’ils créaient une nouvelle perle. Au fil des ans, la lourdeur de ces perles pas nécessairement heureuses, on en convient, finit par affecter joie de vivre, équilibre, santé, etc.

On pourrait aussi comparer les blessures, les émotions à un code barres comme sur les produits en magasin. Un tel code donne un tel prix. Donc, au niveau de l’inconscient tant que ce “code” est actif, il reproduit le même état d’être. De là, la nécessité de vivre en conscience toujours plus. En s’observant agir et réagir au quotidien et en voyant les effets des blessures chez les autres via leurs perceptions, opinions, comportements, croyances, etc., on devient plus compréhensifs. En observant, on comprend mieux, on limite les jugements envers soi et les autres et on avance pas à pas vers une belle liberté d’être et une joie grandissante.


[Chargement terminé]


Dans les souvenirs que tu vas revisiter, garde en tête ce que je viens de te partager, et je suis certain que tu retrouveras un peu de tous ces masques en moi à divers degrés… peut-être seras-tu à même de mieux me comprendre par la suite ! … Ou peut-être pas !


[To be Continued... !]
#22704
[Lecture des souvenirs]

Je te présente ma mère, Saeli Thamer est l'une des soeurs sorcières de la nuit, provenant du clan du grand canyon, de la planète Dathomir, qui enfanta d’un garçon, moi, un 6e enfant mâle d’une famille de 5 filles déjà. Elles n’étaient pas mes soeurs biologiques, mais Saeli les avaient “recueillis“ pour en faire ses apprentis, alors que moi je suis bien le fils de ma mère biologiquement parlant. Comme elle disait que nous formions une famille tous ensemble, elles eurent le titre de soeurs !




Ma mère sut tout de suite que son bébé serait appelé à un destin plus vaste que simplement vivre sur Dathomir, mais plutôt servir la volonté du côté obscur, tout comme elle l’avait fait elle-même plus jeune. Saeli senti rapidement que j’avais un grand potentiel, un peu comme toi Helera, tu as senti quelque chose lors de notre duel d’entraînement sur le Lance d’aurore, même bébé, ma mère pouvait déjà le percevoir, et au grand mépris de ses cinq soeurs, elles aussi l’ont senti. Je ne devais certainement pas devenir aussi puissant qu’elles, selon leur dire, mais à tout le moins plus potent que la moyenne des hommes du clan actuellement sensible à la force !De par ma naissance et le fait que je sois né mâle, je m’était embarqué sans le savoir dans ce qui allait devenir une vie de défis et de préparation pour… gravir les rangs du côté obscur que ma mère dirais, moi je reformulerais par “saisir ma destinée”, et qui sait peut-être devenir l’un des plus féroce guerriers digne des prochaines légendes.


D’un commun accord, ma mère entreprit de finaliser l’apprentissage de ses filles de façon intensive, tandis que je n’étais encore qu’un bébé qui ne demandait qu’à vivre en toute innocence, pour que toutes puissent par la suite se concentrer sur mon cas, afin de m’éduquer proprement, en ne me laissant que très peu de répits.




À l’âge de mes quatre ans, lorsque l'aînée de mes sœurs termina son apprentissage, elle commença dès lors à s’occuper du mien. Sous la supervision de ma mère, l'aînée des sœurs avait pour tâche de m’entraîner, qui consistait au départ à simplement me faire bouger jusqu’à l’épuisement avec des exercices spécifiques reliés à des corvées pour entretenir la maison de cette petite famille d’apprentis. C’était vraiment un esclave asservi à la volonté de sa mère et ses sœurs, du moins en apparence. Mais pour quelqu’un qui n’avait connu que ça, c'est vite devenu une normalité.

Saeli, quant à elle, prenait ce qui lui restait de temps, après que l’attention de toute ses filles soient satisfaite, afin de m’enseigner par le biais d’histoires, contes et légendes au début, les concepts de la force et ce que ça représente. L’évolution de faisait lentement à ce stade, mais plus le temps passait, plus mes soeurs devenaient autonomes et donc, plus de temps libre elle finissait par avoir pour me former.




À l’âge de six ans, vint une deuxième sœurs s’ajouter à mon entraînement... elles étaient maintenant deux à me pourrir la vie, me pousser constamment au bout de mon endurance physique, mais aussi mentale. Depuis l’arrivée de ma deuxième soeur, qui s’acharnait toujours sur moi en me méprisant ouvertement. Cette dernière tentait de toujours me déstabiliser mentalement par tous les moyens possible. Elle se devait de jouer le rôle de la méchante sœur de la famille, du moins la pire des cinq... et c’est un rôle qu’elle maîtrisait à la perfection.


Quant au temps passé avec ma mère à ce stade, elle m’enseignait les bases de l’interaction avec la force, comment sentir la force, la contrôler et finir par pouvoir l’altérer selon nos désirs. Elle me fît quelques exemples simple devant moi, comme la télékinésie et la télépathie pour que je comprenne que les limites de nos pouvoirs ne sont que les limites que l’esprit se donne et qu’un esprit fort et entraîné peut faire des grandes choses avec la force. Dès lors, après avoir été épuisé physiquement et mentalement durant tout une journée, venait ensuite l’entraînement de la force avec ma mère où je m’entraînait à sauter de longue distance et faire bouger des objets de tailles diverses, encore une fois jusqu’à l’épuisement. Les résultats prirent un certains temps avant de se faire voir de façon significative, mais depuis ce jour les progrès n’ont jamais cessé d’être positif.




À l’âge de Huit ans, une troisième sœurs venait ainsi s’ajouter au duos des “professeurs”. J’ai pris consciences, à cet instant, de la routine qui venait de se faire, l’ajout d’un tuteur à chaque tranche de deux ans. Soudainement, malgré mon jeune âge, je venais de comprendre que rien de tout cela n’étais un jeu, ni que mes sœurs ne le détestais vraiment, certe, elles me détestaient d’être aussi choyé par cette éducation hors du commun, elles qui auraient sans doute souhaitées être à ma place et avoir pu profiter de cette opportunité lorsqu’elles étaient plus jeune.

Néanmoins, en plus de devoir faire les nombreuses corvées de l’une, d’endurer les attaques verbales de l’autre, cette nouvelle venue quant à elle, plus silencieuse, m’instruisait aux différentes techniques de combat. Étant la meilleur de mes sœurs dans ce domaine, c’est une tâche tout indiquée pour elle. Elle m’a appris pratiquement tout ce qu’elle savait à partir de mes huit ans, jusqu’au jour de son départ de Dathomir.


“L’art du combat est une formation continu ! Si tu ne sais pas de défendre adéquatement sur Dathomir ça ne sert à rien de vouloir visiter la galaxie, tu vas y laisser ta peau !”, disait-elle sans cesse.

Sans le savoir, je me fît enseigner au fil du temps plusieurs formes de combat au sabre laser, remplacé par des armes d’entraînement plutôt primitives, très douloureuses tout de même lorsqu’on se fait frapper. Je n’ai compris que bien plus tard vers la fin de ma formation, l’impact et les bénéfices de cet entraînement.

J’ai finis par développer une préférence pour certains styles de combat qui me convenait mieux, sans pour autant les maîtriser entièrement, on pouvait déjà noter mon ambition à vouloir néanmoins les maîtriser. Parmi toutes les formes de combat enseignées, lorsque je devais me retrancher dans ma zone de confort en combat, mes soeurs qui observent mes moindres faits et gestes, remarquèrent que le Djem So était ma plus grande préférence, suivit du Sokan, puis finalement le Jar’Kai, tels étaient les trois styles de combat vers lesquel je penchais de façon naturelle et instinctive, là où je tendait à exceller le plus, malgré toutes mes maladresses à vouloir trop en faire.

Au départ plus défensif contre ma sœur d’arme, je finissais toujours par me tourner vers l’offensive lorsque je croyais avoir trouver une faille à exploiter pour prendre ma sœur en défaut, mais chaque fois elle sortait la parade parfaite pour contre-attaquer et garder la situation à son avantage. Je n’avait que huit ans après tout, encore beaucoup à apprendre sur l’art de combattre, aux yeux de mes sœurs !

Quant au temps passé avec ma mère à ce stade, elle m’entraînait chaque jour jusqu’à l’épuisement comment sauter avec la force et comment bouger les corps avec la télékinésie. Saeli me poussait au bout de mes ressources chaque jour afin de renforcir ma puissance de la force et son contrôle. De plus, elle savait que lorsqu’elle ferait entrer la puissance des émotions dans l’équation, les résultats pouvait s’en trouver hasardeux, ainsi lorsque cet évènement viendra, meilleur mon contrôle sera, plus limités seront les dégâts potentiels.




À partir de mes dix ans, ma vie pris une tournure drastique, déjà que bien peu reluisante à ce jour, une quatrième sœur venait s’ajouter à mon entraînement. Son rôle était de m’instruire et de nourrir mon intellect afin d’assimiler mes connaissances à des combats de quelques nature puisses-t-ils être !


“Il ne suffit pas que d’être une simple machine à tuer sur un champs de bataille, tu dois pouvoir résister à toutes formes d’attaques autant verbale, que physique, ou mental. Tu devras entraîner ton esprit à pouvoir se défendre. Une de tes sœurs s’en donne à cœur joie sur ton cas, j’imagine que ton esprit commence à savoir se défendre ! Maintenant tu dois l’entraîner à devenir imperméable, et si tu le désirs, contre-attaquer avec ton esprit. Ta propre imagination est la seule véritable limite de tes pouvoirs et ton ambition.”

Suite à ces paroles, chaque sœurs commença, ou poursuivit, une forme de torture particulière. La torture verbale était déjà bien avancé, et je comprenais très bien maintenant pourquoi elle le détestait autant ouvertement. Cependant, celle qui lui faisait faire ses quatre volontés par mille et une corvées se mit à utiliser un fouet et, bien évidemment d’en abuser sur moi afin de me procurer une dose de douleur journalière. La maître d’arme, quant à elle poursuivait son enseignement tel quel, mais lors des entraînement un contre un, au lieu d’y aller mouvement par mouvement et de chorégraphier les combats pour apprendre les bases, elle commença à utiliser la formule des duels. Chaque erreur de mouvement ou une parade mal effectuée, selon mon niveau de maîtrise actuel, me méritait de recevoir le coup tel qu’il en aurait été dans une situation réel, ce qui me procurait également une deuxième dose de douleur physique quotidienne.

Lors de cette première journée, dans ce nouveau concept d’entraînement, après toute cette douleur physique, inutile de dire que je ne souhaitais aucunement me frotter à une grande manipulatrice de la force, qui outre ma mère était la meilleur adepte de cette art. Néanmoins, j’ai affronté mes peurs, et une fois de plus, je me fis violer mon esprit comme jamais, juste pour me démontrer à quel point mon esprit, bien que mon potentiel était immense, à quel point j’étais faible en ce moment.

Cette première journée d’entraînement m’a valu quelques jours de repos forcé, mes sœurs ayant trop abusées... plutôt s’étant trop amusées à me martyriser. Quant au temps passé avec ma mère à ce stade, concernée par la violence abusive que ses filles semblent faire preuve envers moi, elle décida de m’instruire sur des bases plus défensives de la force, défenses qui pourront également servir à l’offensive une fois bien maîtrisées. Saeli me montra les bases de la forces afin de m’en servir comme bouclier. Elle me montra également comment, avec ma concentration, il pouvait utiliser la force pour bouger plus vite, plus précisément. L’utilisation de ces pouvoirs et sa force n’en tenait qu’à mon endurance et sa puissance mental, mais surtout à mon imagination à savoir comment s’en servir pour vaincre mes sœurs à leur propre jeu.




Deux ans de plus passèrent sous le règne de la douleur, à douze ans maintenant, déjà empreint de plusieurs cicatrices, je me sentait prêt à accueillir la cinquième et dernière de mes sœurs dans le carré d’as de l'esclavagisme, de douleur, la haine et de torture qu'elles avaient crées autour de Moi. Elle n’habitait pas avec nous, mais beaucoup plus loin au sommet d’une montagne et je devais aller la rejoindre, car elle était gravement malade et ne pouvait se mouvoir adéquatement, affaibli par la maladie, j’ai donc dû l’assister et la servir aux mieux de mes connaissances.. Un petit coin de cette montagne permettait la pousse d’herbes plus rares qui réussissent à faire des petits miracles afin de ralentir les effets néfastes de la maladie. Outre le fait d’aider une de mes sœurs à finir ses jours aussi paisiblement que possible, le long chemin ardu et difficile à parcourir pour arriver jusqu’au sommet de la montagne avait pour but de me servir de parcours d’entraînement, où plusieurs dangers allait sûrement guetter une opportunité.

Le premier trajet fût pour moi le plus critique, où mes aptitudes physiques ne suffisait simplement pas pour gravir la montagne. mes sœurs à ce stade de mon développement m’on rendu endurant, pas nécessairement puissant. Ça m’a pris 4 jours en tout pour trouver la ligne d’ascension, pour finalement arriver au bout de mes efforts devant une petite hutte, où Saeli et la malade m’attendait impatiemment. Il s’en suivit une discussion dans la hutte entre nous trois, sur l’importance de prendre soin de la plus jeune de mes sœurs.

Elle ne ressemblait en rien aux autres... elle était très douce et plutôt frêle comparé aux quatre autres, en grande partie fragilisé par la maladie, mais son esprit était encore bien à l’affût, simplement que son corps arrivait au bout de son autonomie, quelqu’un devait la prendre en charge et cette tâche me revenait à moi, comme faisant parti de mon entraînement.

Depuis ce jour, et jusqu’à sa mort, j’ai pris soin d’elle, accomplissait toutes ses volontés, comme mes quatre sœurs aînées me l’avait inculqué à grand coup de fouet, à être un bon esclave. Lentement mais sûrement, je commençai à faire de nombreux aller-retour dans, sur et autour la montagne en direction de divers endroits, afin de subvenir aux besoins de ma sœur malade et moi-même. Je devais m’assurer de toujours avoir un toit où s’abriter et entretenir la hutte, avoir de quoi manger, se garder au chaud, bref, trouver le moyen de s’adapter à son environnement pour y survivre ! Durant tout le temps passer avec ma sœur à prendre soin d’elle, je n’ai jamais cessé de mettre en pratique les enseignements qu’on lui avait si douloureusement prodigués depuis sa plus tendre enfance. Bien que malade, elle pouvait quand même me corriger en se servant de la force obscur si tel aurait été son désir.

J’ai dû apprendre à me développer physiquement par mes propres moyens. Les nombreuses ascension et descente de la montagne, en soit était une expédition exigeante physiquement, j’ai fini par en faire une activité quotidienne, sans encombrement à la descente, mais pratiquement surchargé lorsqu’il revenait de tout ce qu’il pouvait trouver d’utile. Au début, je chassais de petit gibier, puis avec le temps, choisir des proies plus profitables, permettant de mieux se nourrir, mais aussi d’avoir un défi à combattre, de continuer de s’entraîner. Tuer pour survivre avait son utilité, de un survivre, et deuxièmement commencer à se désensibiliser face à la mort.

Quant à ma soeur, malgré le fait qu’elle accaparait beaucoup de mon temps, elle me le rendait bien, en me facilitant la vie à sa manière. La spécialité de cette sœur, outre la force, c’était l’herboristerie, une forme de médecine basé sur les éléments local naturelle pour aider à de multiple usage. Aussi, sans trop que je m’en rende compte, avec tous les ingrédients que je lui rapportait, tous n’étais pas destinés à fabriquer sa propre médication, mais aussi renforcir mes propres atouts physique.

Comme la plupart des humanoïdes, vient un temps où les jeunes ont une poussée de croissance qui marque le passage à la vie adulte. Durant cette période de croissance, je me suis fait expliquer les bases de l’herboristerie, bien qu’au bout du compte je n’y comprenait pas tant de choses sur le sujet, j’écoutais quand même attentivement et lorsqu’elle disait de boire une de ses concoctions, je m’exécutait sans broncher. Ce qui pour elle, l’aidait à retarder la progression de sa maladie, augmentait les aptitudes physiques d’une personne déjà en bonne santé.

Du coup, lorsqu’entre quatorze et seize ans j’ai eu une de ces poussée de croissance, mon apparence physique pris une tournure pour le moins impressionnante. J’ai grandis beaucoup durant cette période, la masse musculaire également. Ainsi, lorsque j’ai passé les derniers moments aux côtés de la plus jeune de mes sœurs, elle pu partir l’esprit tranquille, rempli de fierté, d’avoir accompli ce qu’elle appelait son plus grand chef d’oeuvre. Suite à son décès, j’ai dû retourner vers ma mère, tel qu’ont s’était entendu lors de son départ près de deux ans plus tôt.

J’ai ramené le corps de la plus jeune des sœurs à la famille afin qu’elles puissent la pleurer et l’honorer comme il se doit. Saeli et ses filles eurent du mal à me reconnaître, elles qui ne l’avait pas vu depuis longtemps un peu plus de deux ans. Maintenant âgé de seize ans, j’avais pourtant l’allure d’un adulte déjà, mesurant plus de 2 mètres et une musculature taillé dans la pierre, c’est bien plus parce que Saeli a reconnu sa défunte fille dans les bras, d’un géant Zabrak qui se présentait devant elle, qu’elle pu me reconnaître.

Suite à ce revirement de situation, toutes n’avait pas anticipées de tels progrès de ma part. Saeli et ses filles terminèrent ma formation tous ensemble, car de toute évidence, chacune d’entre elles ne suffisait plus pour venir à bout de moi, mes soeurs me détestait encore plus désormais, car elle me redoutais maintenant. Ma mère poursuivit là où elle était rendu dans sa formation, soit le maniement du sabre laser. Bien que je me sois entraîné longtemps avec mes soeurs, la composition d’une lame d’entraînement et d’un sabre laser est différent et requiert un certain temps d’adaptation, beaucoup plus léger et maniable que les épées d'entraînement que nous utilisions jusqu’à maintenant.

Saeli et moi firent un pèlerinage afin de rassembler tous les éléments nécessaire pour fabriquer la première version de mon sabre laser, que j’ai pu personnaliser à son image. Elle me montra comment en construire un, et comment le modifier lorsque le temps sera venu. Sans perdre un instant, j’ai dû y aller de quelques modifications inaugurale ! Ajuster la longueur par défaut de la lame pour qu’elle soit adapté à ma grandeur, devenant ce que j’appel un Grand Sabre Laser, une lame standard ne me protégeant que jusqu’aux genoux… j’ai choisis d’y installer une lentille de gemme à rayon, pour une lame plus concentré, ainsi qu’un émetteur de parade adapté pour contrer les tirs de blaster. Une fois le sabre terminé, Saeli m’en fît officiellement cadeau en compagnie de mes soeurs, symbole d’accomplissement de toute une enfance d’entraînement, de douleur et de sacrifice.

Chacune des sœurs affectionnant un style de combat différents selon leurs aptitudes, on me présenta plus en détails les formes de combat au sabre laser, où j’ai pu reconnaître beaucoup d’exercices physiques relié à des mouvements servant à un ou des styles de combat au sabre laser, exercices que j’ai du pratiquer tout au long de ma jeunesse sans trop savoir pourquoi, mais aujourd’hui beaucoup de pièces du casse-tête qu’était ma jeune vie venait de prendre leur place. Tandis que mes sœurs s’affairait à parfaire ma formation aux styles de combat, Saeli quant à elle m’appris de façon plus approfondie les fondations même de la force et comment en tirer un pouvoir inégalé, c’est-à-dire à travers les émotions. Elle m’expliqua que malgré tous mes efforts et mon contrôle investis dans ma formation depuis l’âge de quatre ans jusqu’à aujourd’hui, tout ce temps n’a servi qu’à me rendre prêt à goûter au vrai pouvoir de la force, car mon expérience de la force et de l’usage que j’en faisais n’était qu’un très faible reflet du potentiel qu’il pouvait atteindre.

Malgré tout, elle me confia que si tout était si facile, toutes mes sœurs deviendraient l’équivalent d’un escadron de la mort. Certains domaines ont demandés tellement de maîtrise et de contrôle qu’elles ont du se spécialiser dans ces domaines... Heureusement, pour la famille que nous étions, chacuns d’entre-nous avons su trouver sa propre voie dans la force et c’est pourquoi nous sommes si redoutable et que les différents peuples de Dothamir nous laisse tranquille, ils tolèrent beaucoup, parce que nous avons su nous démarquer.


“Et toi mon fils, poursuit-elle, tu sembles également avoir trouvé ta propre voie parmi les formes de combat au sabre laser en affectionnant ce que tes sœurs ont dû de laisser de côté pour se spécialiser, puisses-tu devenir aussi redoutable que toutes tes soeurs réunies.”

C’est ainsi que durant les deux années suivantes, j’ai developpé mes styles de combat et entrepris, grâce aux enseignements de ma mère et mes sœurs de contrôler mes peurs et d’y puiser ma force, de combattre avec détermination, comme une rage de combattre... et de se souvenir de ses échecs, car rien n’arrivent jamais pour rien et viendra un jour l’occasion de laver son honneur et faire sa propre justice.

Maintenant à l’aube de mes dix-huit ans, sous les ordres de Saeli, j’ai dû partir de Dathomir afin de continuer ma formation et faire mes preuves. Saeli fit un marché avec un membre du consortium de Zann qui passait par Dathomir afin de me prendre sous son ailes et de le faire entrer dans le consortium. Suite à une démonstration des habiletés aux combats à mes quatre soeurs, il ne faisait nul doute que je pouvais m’avérer être un atout utile au Consortium au niveau du combat terrestre et de la diplomatie hostile, cependant il devait tout apprendre du reste.



>Accès Mémoire
>> Dossier #17336534
>>> Sous-Dossier #7914096
>>>Sous-Dossier #1048676
>>>Sous-Dossier #3580880
>>>Sous-Dossier #1958246


>>>Lecture en cours… .. . Terminé
>>>> Dossier #17336534: Enfance et Initiation ... ... Fermé ... Verrouillé

[to be continued…]
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By Aldrax Kist
#22736
Bien… je vois. Ta mère a réussi à trouver le moyen de te faire sortir de Dathomir… moyennant quelque chose j’imagine ?

Possible oui, je n’ai jamais connu les termes exacts de son accord avec le Consortium de Zann à l’époque. Une chose demeure, c’est que pour moi c’était du pareil au même, j’ai échangé simplement de maître, je suis redevenu un élève en reprenant tout depuis la base, dans un tout autre domaine. Il n’était plus question de s’entraîner avec la force, le consortium utilisait des méthodes beaucoup plus terre à terre… Quelques entreprise étaient légales, un mirage aux yeux du grand public servants surtout à blanchir l’inacceptable… Pour n’en nommer que quelques exemples, la corruption & pots de vin, l’esclavages, les drogues, le marché noire, le transport et la vente de marchandises illégales diverses était le pain quotidien de cette organisation. Parfois c’était moins subtile, ils menaient des raids sur certaines planètes pour en prendre le contrôle… le plus souvent lors de période d’expansion, où l’influence du Consortium cherchait à écraser l’autorité en présence, quelqu’elle soit, l’Empire, les Rebelles, ou d’autres criminels opposés à idéaux du Consortium.

Quel a été ton rôle dans tout ça ?

Je n’ai pas eu le temps de m’y impliquer autant qu’on ne l’aurait souhaiter. Je n’étais encore qu’un gamin à cette époque, j’ai dû me mettre à niveau dans bien des domaines… en fait tout ce qui était hors du combat et la survie en milieu hostile ! j’ai dû apprendre à me servir de la technologie en générale, chose qui était plutôt rare sur Dathomir.

J’ai dû apprendre à me servir d’une panoplie d’armes autre que mon sabre laser, juste par principe que tous le monde dans le consortium sait au minimum se servir d’un blaster. Pareil pour le pilotage, je devais apprendre la base, j’ai dû apprendre à piloter des petits vaisseaux, navette, petit cargo, divers chasseurs, bombardiers. À ce qu’on m’a expliqué, le consortium ne s’est pas bâti un en seul jour… il fût un temps où toute cette organisation n’était à la base qu’un ramassis de malfaiteurs… Et donc le recrutement et les connaissance de chacuns fût toujours considéré comme une ressources précieuses. Chaque membres devait idéalement pouvoir piloter, savoir tirer avec un minimum d’aisance et par la suite selon l’ambition de chacuns, des spécialistes pouvait voir le jour.

Je me souviens d’avoir croisé ici et là, des mercenaires, spécialistes de la piraterie, qui composait la majorité de membres du Consortium, des spécialistes dans l’art de l’intimidation et de l’enlèvement, d’autres versaient dans l’art de l’infiltration et de soudoyer des gens. Pour le temps que je suis resté avec eux, je n’ai pas eu le temps de me faire une grande renommée… en fait je crois bien que très peu d’entre eux risque de se souvenir de moi s’il venait un jour qu’à croiser un jour mon chemin. J’ai passé le plus clair de mon temps dans en mission d’entraînement de pilotage, dans les stand de tir. Je n’étais qu’une recrue, le maillon faible de la chaîne, il n’était pas question pour eux de se risquer avec moi sur le terrain tant et aussi longtemps que je n’avais pas acquis les connaissance et habileté de base qu’on exigeait de tous membres du Consortium, une façon simple de mériter la confiance du gars à côté de toi !

Mon rôle, concrètement, au début, ça été de conduire les troupes du point “A” au point “B”... je pilotait le vaisseau, je déposait les troupes au sol, puis je repartais. je faisais mes classes et tranquillement je prenais du gallons ! Au bout d’un moment je suis devenu pilote de chasse… j’ai été promu à cause d’un manque de personnel, nous avions livrés beaucoup de combat dans l’espace, subi des pertes en hommes au point tel ou nous avions plus de vaisseaux disponible que de pilotes… au début réserviste, je suis vite devenu pilote de chasse régulier lors des nombreuses escarmouches. Les combats spatiaux était surtout nombreux lors d’une période d’expansion.

Lors des périodes plus calmes, j’en profiter pour élargir mon champs d’action au sein du Consortium, afin de pouvoir être plus versatile, plus autonome… j’ai essayé de toucher un peu à tout… la mécanique, l’électronique, l’astrogation, la connaissance des mondes, les différentes races et leur cultures… Aujourd’hui avec le recul, je comprends que j’ai été conçu dans l’optique de combattre sur un champ de bataille, et je n’ai jamais cessé d’avoir le focus que sur cet aspect, le combat, alors qu’il y a toute une panoplie de possibilité avant d’en arriver à devoir se battre.


Et tu souhaites entreprendre le métier de chasseurs de prime ?? Pourquoi ?...Tu pourrais aisément devenir plus grand qu’un simple chasseur de prime. L’Ordre Gris, et tu l’auras sans doute déjà perçu, peut t’apporter tellement plus.

Oui tu as raison… par contre l’un n’empêche pas l’autre. Ce que je souhaite accomplir n’est probablement pas conventionnel… mais regarde moi, est-ce que j’ai vraiment l’air de quelqu’un de conventionnel. J’entrevoie à peine le potentiel de ce que l’Ordre Gris peut m’apporter, mais qu’est-ce que moi je peux apporter à l’Ordre Gris ?? Une lame de plus… parfait ! Quoi d’autre ? Quel est ce je ne sais quoi qui me démarque des autres ici, quel est mon apport personnel, autre que mon soutient à l’Ordre Gris, que les autres membres peuvent tirer de mes expériences vécus ?

Pour l’instant, toutes ces questions n’ont pas trouvé leur réponses, mais j’ai la profonde conviction qu’en choisissant cette voie, je pourrai me rendre utile, vite et bien… je n’ai peut-être pas l’étoffe d’un grand chasseur de prime, je ne prétend pas pouvoir mettre la mains sur tous les grands criminels dont la tête est mise à prix… mais il faut bien commencer à quelque part. Comme tu me l’as dis, la force est mon allié et non mon esclave… et comme premier geste concret de ton enseignement, je vais laisser la force me guider à travers cette voie… Nous verrons bien où cela va nous mener. L’Ordre Gris à sûrement des ennemis dont elle ne soupçonne même pas l'existence, en attendant de faire leur connaissance, faisons le ménage de ce qui traîne sur le territoire que nous protégeons, mettons à l’épreuve ces liens fragiles que nous venons de créer afin de les renforcir… par tous les moyens possible acceptable


Dans ce cas, si tel est ton désir, et dans l’optique où tu pourras poursuivre ta propre voie tout en aidant l’Ordre Gris, nous avons mis sur pied une section, comment dire, d’espionnage et d’infiltration, afin de pouvoir régler certains conflit à l’abri des regards indiscrets. Les aptitudes et contacts que tu pourras développer en tant que chasseur de prime pourront sans équivoque nous aider à faire prospérer l’Ordre Gris. Notre chef de sections n’est pas ici présentement, mais si tu le désirs, je peux te reléguer sous ses ordres, tu pourras lui apporter ton soutient là où elle te jugera le plus utile et du même coup tenter de mettre le grappin sur quelques primes dans les secteurs où tu seras déployé… son nom est [color=#642EFE]Alyxa Leminska. Ça risque d’être un sacré défi… t’es quand même un Zabrak de 2 mètres, jouer au espion ne sera pas une tâches aisé… mais qu’est-ce que t’en dis ?

Ça me va ! Par contre, je crois qu’il serait sage de faire une pause, à moins que tu es d’autres questions ?

Comme tu dis, nous reprendrons plus tard pour la suite, nous n‘avons pas encore abordé cette longue période d’exile sur Felucia.


[To be continued...]
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