L'Astre Tyran

StarWars Online Roleplay Cliquez ici pour voir l'intro...

Image

#32216
Le contact fut bref avant de se rompre, laissant la jeune fille perplexe. Ce pouvait être un piège, ce Black One lui était totalement étranger mais après tout il était facile de supposer que c'était le vaisseau du Zabrak. Elle choisit de laisser sa chance et arrima son cargo au Decimator avant d'ouvrir le sas. En sortit finalement Marak avec ses 3 caisses qui le suivaient, ce à quoi elle ne put s'empêcher de réagir par une mine étonnée avant de lui poser la question, peut-être un peu sèchement mais que voulez-vous, elle n'aimait pas les mauvaises surprises.

Il avait manifestement prévu de quoi lancer un assaut, entre son armure lourde visiblement considérablement modifiée, le medikit complet pour les coups durs et une armurerie mobile, le bougre avait tout prévu. C'était une bonne chose, il n'y allait pas yolo style comme si de rien n'était au moins. De son côté elle ne prit rien, elle avait son sabre et ses pouvoirs, rien qui ne puisse être suffisant contre de simples esclavagistes après tout. Et puis il fallait bien que la montagne de muscles serve à quelque chose.

En revanche, elle constata que son compagnon ne comprenait pas vraiment la situation dans laquelle ils se trouvaient maintenant, preuve en était qu'il parlait de chercher à négocier pour racheter la prime. Mais Worna, elle le savait, n'accepterait jamais une chose pareille. Il ne connaissait pas la pitié ou la compassion, c'était un enfoiré sans pareil. Il fallait donc clarifier les choses, elle leva les yeux vers le Zabrak avant de lui expliquer sur un ton légèrement sec.

Worna ne voudra pas que tu lui rachètes la prime, pas plus qu'il ne voudra me laisser tranquille si il me voit. Peu lui importent les 15 000 Crédits, il gagne cette somme en une journée, il ne voudra pas de ton argent quand bien même tu lui en proposerais un million. C'est un sadique qui adore tourmenter ses propriétés les plus exotiques et favorites. Il n'y a qu'un seul moyen de nous assurer qu'il me laissera en paix. Il faut le supprimer, lui et toute sa bande.

Elle ne précisa pas qu'elle se réservait le droit de liquider Worna pour elle-même car cela lui semblait évident. Il était à elle et personne d'autre. Elle reprit.

La meilleure manière de nous infiltrer reste encore de rejouer la petite comédie avec Phinéas je pense. Fait semblant de venir toucher ta récompense et on pourra entrer. Je ne pense pas qu'il se fera avoir aussi facilement donc on n'arrivera sans doute pas jusqu'à être face à Worna, mais au moins pourra-t-on pénétrer à l'intérieur. Il faudra faire vite une fois entrés pour éviter qu'il ne s'enfuie mais on devrait pouvoir y arriver. Allons-y, on n'a pas de temps à perdre.




15 minutes plus tard, l'explorer E-9 entrait dans l'atmosphère d'Ordo Plutonia, minuscule point solitaire filant à travers le ciel de la lune, parcourant les plaines enneigées et glacées à la recherche des coordonnées. Il fallut de longues minutes infructueuses avant d'arriver en vue de l'endroit. En vérité, la base était si bien camouflée par la neige qu'il aurait été presque impossible de la discerner pour peu qu'on ne savait pas ce qu'on cherchait et ou le chercher. Merci Phinéas...

Venait à présent la partie la plus délicate. Il fallait que Marak joue bien son rôle de manière à convaincre les sentinelles en bas qu'il n'était pas un intrus à flinguer mais bien un chasseur venu réclamer sa prime durement méritée. L'occasion allait lui être laissée de prouver qu'il avait une langue bien pendue et éloquente. Varadesh le laissa prendre la parole sur l'interphone après avoir lancé une tentative pour communiquer avec la base en contrebas.

Ses systèmes avaient par ailleurs détecté la présence d'au moins 2 tourelles laser et des lance-missiles, sans oublier les sentinelles vigilantes qui devaient surement avoir de quoi faire aussi de leur côté. Un sacré comité d'accueil. Marak, c'est à toi de jouer, sauve nos jolis petites fesses de cette situation avant qu'elle nous pète au visage mon beau. Heureusement, il n'y avait pas lieu de s'inquiéter car le Zabrak fit preuve de ses talents pour le moins insolites et leur ouvrit ainsi la voie.

Bien joué, à présent on va pouvoir entrer à l'intérieur. Ces types sont vraiment stupides, il suffit que tu leur fasses gober une histoire de gros sous pour qu'ils ouvrent, à se demander comment ils ont pu durer aussi longtemps.

Tandis que l'explorer descendait, le sol de la base s'ouvrit pour laisser apparaître le hangar creusé sous le sol comme la base. Bientôt, le petit cargo solitaire se posa et au-dessus, la trappe se refermait, laissant les 2 aventuriers à présent seuls pour le nettoyage à venir. Venait à présent la partie la moins amusante pour elle, car une nouvelle fois elle allait devoir serrer les dents, baisser les yeux, prendre un air terrifié et se laisser enfiler des menottes pour donner le change.

Je te fait confiance Marak, tu m'as bien aidé jusque-là, j'espère que ça n'était pas un coup fourré de ta part pour endormir ma vigilance et ainsi me livrer pour de vrai. Je ne tiens pas vraiment à redevenir le jouet de ce malade.

Le duo sortit alors du vaisseau, elle avançant tête baissée, boudeuse et malheureuse, lui la poussant d'une main, chacun jouant son rôle à merveille. Le hangar était un grand espace suffisamment étendu pour pouvoir accueillir au moins 3 cargos. Le tout était éclairé par des lampes disposées aux 4 coins du hangar, sans compter les stores muraux. Cela donnait une impression d'être à moitié dans le noir, un avantage potentiel si - quand - les choses devaient dégénérer.

4 hommes armés, 2 Humains et 2 Niktos, accueillirent le Zabrak. L'un des Humains jeta un rapide coup d'oeil à l'apprentie avant de sourire d'un air narquois et reporta son attention sur Marak. Il était mal rasé et avait une longue cicatrice sur la joue droite. Une cicatrice que la Pantoran lui avait faite des années plus tôt en une soirée particulièrement éprouvante pour elle, dans un acte de rébellion désespérée qui lui avait coûté très cher. Elle se souvenait bien de lui. Floyd.

On dirait que l'oiseau rejoint le nid finalement... Alors ma belle, tu croyais que tu pourrais nous échapper longtemps hein? Lucius a hâte de te revoir, il a tout un programme de prévu rien que pour toi... Et toute la bande aussi a hâte d'y participer, ça va être géant... Tu peux nous la laisser là chasseur, on va s'occuper de son cas. Viens avec moi je vais t'emmener voir le boss pour qu'il te paie.

Tout en jouant parfaitement son rôle de gamine esclave, brisée et obéissante, qui regardait ses pieds et tressaillait en pensant à ce qui l'attendait, Varadesh projeta ses pensées dans la tête de Marak. Son propre sabre était de nouveau accroché à sa ceinture, une pensée et elle l'attirerait à elle pour découper en tranche ces fils de murglak.

C'est quand tu veux.

Bien sûr, il pouvait très bien ne rien faire, l'abandonner là et aller empocher sa prime. Mais ce serait une bien mauvaise idée... Pas vrai?

#32273
L'explorer E-9 entrait dans l'atmosphère d'Ordo Plutonia… Il fallut de longues minutes avant d'arriver en vue de l'endroit... la base était si bien camouflée par la neige qu'il aurait été presque impossible de la discerner pour peu qu'on ne savait pas ce qu'on cherchait et où le chercher. Merci Phin !

Venait à présent la partie la plus délicate. Il fallait que Marak joue bien son rôle de manière à convaincre les sentinelles en bas qu'il n'était pas un intrus à flinguer mais bien un chasseur venu réclamer sa prime durement méritée. Ses systèmes avaient par ailleurs détecté la présence d'au moins 2 tourelles laser et des lance-missiles, sans oublier les sentinelles vigilantes qui devaient sûrement avoir de quoi faire aussi de leur côté. Un sacré comité d'accueil


    « Marak: Ici le Chasseur de prime, «GhostRiders» … En approche pour livraison de l’acquisition # W-2934-H291… Fugitive en fuite appréhendée et vivante, Attendons instruction pour la prise en charge avec l’Exécuteur... »

On lui communiqua des instructions et tranquillement l’E-9 exécuta les manoeuvres d’approche à la lettre...Il arrivèrent au-dessus d’une plate-forme bien dissimulé par la neige et les intempérie en cours…

    « Sabina: Bien joué, à présent on va pouvoir entrer à l'intérieur. Ces types sont vraiment stupides… c’est à se demander comment ils ont pu durer aussi longtemps. »

Tandis que l'explorer approchait, le sol de la base s'ouvrit pour laisser apparaître le hangar creusé sous la surface, à même la base souterraine.

Venait à présent la partie la moins amusante pour Sabina, car une nouvelle fois elle allait devoir faire semblant… baisser les yeux, prendre un air terrifié et se laisser enfiler des menottes pour donner le change.


    « Sabina: Je te fais confiance Marak, tu m'as bien aidé jusque-là, j'espère que ça n'était pas un coup fourré de ta part pour endormir ma vigilance et me livrer pour de vrai. Je ne tiens vraiment pas à redevenir le jouet de ce malade. »

    « Marak: T’inquiète… je suis de ton côté, peu importe ce que je dise ou fasse, au final je suis là pour toi »

Sur ces paroles, Marak qui avait déjà préparé son Exo-Armure Stealth, (EAS), finalisa le protocole d’initialisation de son armure, pris place et l’armure se referma sur lui, telle une deuxième peau, elle se pressurisa… Les yeux de la machine offrir une lueur bleuté, le corps commença à se mouvoir légèrement… Il vérifia ses sabres, ses blaster lourds Zabrak… pour le reste il faudrait trouver sur place …

Le duo sortit alors du vaisseau, elle, boudeuse et malheureuse, lui la poussant d'une main, chacun jouant son rôle à merveille. Le hangar était un grand espace suffisamment étendu pour pouvoir accueillir au moins 3 cargos. Le tout était éclairé par des lampes disposées aux 4 coins du hangar, sans compter les stores muraux. Cela donnait une impression d'être à moitié dans le noir, un avantage potentiel si - quand - les choses devaient dégénérer.

4 hommes armés, 2 Humains et 2 Niktos, accueillirent le Zabrak. L'un des Humains jeta un rapide coup d'oeil à l'apprentie avant de sourire d'un air narquois et reporta son attention sur Marak. Sabina se souvenait bien de lui. Floyd.


    « Floyd:On dirait que l'oiseau rejoint le nid finalement... Alors ma belle, tu croyais que tu pourrais nous échapper longtemps hein? Lucius a hâte de te revoir, il a tout un programme de prévu rien que pour toi... Et toute la bande aussi a hâte d'y participer, ça va être géant... Tu peux nous la laisser là chasseur, on va s'occuper de son cas. Viens avec moi je vais t'emmener voir le boss pour qu'il te paie. »

    « Marak: Non… la fille reste avec moi… tant que j’ai pas mon fric, je prendrai pas la chance qu’elle en tue d’autres et se sauve encore… C’est tout une équipe de chasseur de prime qu’elle a envoyée à la morgue… On va aller voir le Boss tous les 3… J’aurais une proposition à lui faire... La fille, moi, et toi… les deux autres, qu’ils se branlent en pensant à elle je m’en fous... »

Tout en jouant parfaitement son rôle de gamine esclave, brisée et obéissante, qui regardait ses pieds et tressaillait en pensant à ce qui l'attendait, Varadesh projeta ses pensées dans la tête de Marak. Son propre sabre était de nouveau accroché à sa ceinture, une pensée et elle l'attirerait à elle pour découper en tranche ces fils de murglak.


    « Sabina:Télépathie C'est quand tu veux ! »

    « Marak: Télépathie Pas maintenant, laisse-les nous faire la visite guidé.. s’ils refusent, d’accord… mais sinon, le plus on en sait avant de commencer, plus facile ce sera pour faire le ménage… »

Floyd observait tour à tour le chasseur de prime dans son armure et cette jeune écervelée avec un brin d’étonnement...

    « Floyd: Elle ? Une équipe de chasseur de prime au complet à la morgue ? j’ai toujours aimé ton esprit combatif, mais là, tu m’impressionnes poupé ! … Bon, attendre 10 minutes de plus… c’est rien comparé aux plaisirs à venirs… Suivez-moi… Et vous 3, au lieu de glander, aller préparer la salle… dès que le boss en aura terminé de payer cette prime… on commence les célébrations »

Floyd ouvrit la marche, suivit de Sabina et Marak … plus froid et impassible que jamais caché sous cette armure mécanisé, son scanner courte portée, épiait tous les recoins possible dans sa zone d’efficacité, la vision infrarouge permettait de voir très bien malgré un éclairage plus faible dans certaines zones, espérant ainsi détecter les sécurités en place dans la base, des angles mort de caméra, des zones d’entreposage camouflés pour des marchandises sensibles ou carrément illégale. L’exo-Armure était plus qu’une armure, pour Marak il s’en servait comme si c’était une 2e personne, un partenaire… l’armure analysait, prémâchait et rapportait les faits de ce qu’elle détectait…

#32292
Il n'y avait pas à dire, jouer la petite chose soumise et baissant les yeux devant tout ces hommes lui donnait la nausée. Elle avait sa fierté et elle était l'apprentie de la Dame Sombre des Sith, elle méritait bien mieux que de jouer l'esclave en fuite qu'on ramenait à ses maîtres ! Mais au lieu de ça, elle se retrouvait contrainte de jouer un rôle qui ne lui plaisait guère. Bien sûr, si cela pouvait lui permettre de mettre fin à cette histoire et se libérer de cette prime qui lui collerait longtemps à la peau sinon, elle était prête à jouer le jeu. Mais pas longtemps.

Marak avait insisté pour qu'ils attendent encore un peu avant de se révéler tels qu'ils étaient. Elle l'avait vu enfiler son armure et le moins qu'on puisse dire c'est qu'elle avait été impressionnée. Déjà imposant naturellement, le Zabrak ressemblait à un tank sur pattes avec tout son barda sur lui. Elle supposa toutefois qu'il avait dû sacrifier son agilité pour une meilleure résistance et une meilleure puissance de feu car elle ne l'imaginait pas pouvoir se mouvoir avec rapidité pendant un combat, ainsi équipé.

Bon gré mal gré, elle avait rongé son frein et continué d'avancer yeux baissés. Du hangar, ils avaient progressé à travers plusieurs couloirs et diverses salles, Marak et elle étant "escortés" par Floyd et ses 3 gars. Elle avait le plus grand mal à continuer de jouer la comédie, le souvenir de ce que le pirate lui avait fait subir lui donnant une envie irrésistible de l'étrangler. Cela aurait été si facile d'agiter la main pour lui enlever son sourire arrogant et le voir lentement suffoquer, de sentir sa vie s'étioler.

Pas encore néanmoins, il fallait attendre.

Floyd les mena finalement dans une autre pièce, mesurant 20 mètres de long sur 15 de large, le plafond était relativement bas au point que le grand Zabrak aurait pu le toucher sans mal en levant un bras. Varadesh s'était attendue à ce qu'il les amène directement devant Worna mais lorsqu'elle vit ce qu'il y avait au fond et autour d'elle, elle comprit instantanément ou elle était et sentit une rage sauvage emplir son cœur.

Il y avait des cages sur tout le pourtour de la pièce et la plupart étaient occupées par de jeunes filles dont la plus vieille ne devait pas avoir plus de 17 ans et la plus jeune, à peine 10. C'était là que les esclavagistes stockaient la "marchandise" après chaque rafle, en attendant d'en récolter assez pour partir la revendre ailleurs, en général sur Nar Shaddaa et d'autres mondes de l'espace Hutt. Inutile de dire que les conditions de vie des "produits" n'étaient pas des plus agréables.

Bienvenue à la maison ma belle, c'est là qu'on te dépose avant d'aller voir le patron. Oh collègue, on va te débarrasser du colis t'inquiètes donc pas, j'peux même te filer un reçu à montrer au boss comme ça tu seras quand même payé. Allez les garçons, mettez-la moi à la niche la ribaude.

Floyd, inconscient du fait que la tension montait de manière incontestable chez la Pantoran - et peut-être aussi le Zabrak - surprit le regard de ce dernier sur les cages mais se méprit sur ses pensées. Il entreprit donc d'expliquer quelques petites choses.

Comme tu vois chasseur, ici on range la marchandise avant l'envoi sur le marché ou les clients pourront examiner ce qui leur plait. Bien sûr, on s'en garde toujours 2 ou 3 pour usage perso hein, c'est que sur cette lune les nuits sont froides et un homme a bien besoin de se réchauffer si il veut pas être incommodé. Qui sait, le boss sera ptêt tellement content de revoir la petite Sabina qu'il te laissera goûter un peu en guise de bonus. Regarde un peu, y a le choix là on a de la variété !

Il n'avait pas tort sur ce point, les jeunes filles capturées étaient de diverses espèces : Pantoran, Twi'Leks, Humaines, Zeltronnes, Lorrdiennes, il y avait de tout. Mais il avait commis une erreur, il avait pris pour acquis que le Zabrak les laisserait emporter sa prime sans rechigner. Ce ne fut pas le cas, pas plus que ladite prime ne se laissa faire. Elle en avait assez de cette mascarade et sa haine n'avait fait qu'enfler. Elle voulait tuer et elle voulait le faire maintenant.

Elle releva alors la tête et fixa Marak d'un regard brûlant, le dévisageant avec intensité. Il savait ce qu'elle voulait dire, il n'y avait pas besoin de prononcer quelques mots. Floyd vit son changement d'attitude instantanément et crut avoir affaire à une tentative pathétique de rébellion. Sans aucune délicatesse, il la gifla violemment avant de lui empoigner le cou, l'étouffant à moitié et lui offrant un sourire sadique.

Oh toi ma coquine, t'as pas intérêt à tenter quoi que ce soit, les gars et moi on t'a réservé de ces trucs tu vas adorer, ça sera comme au bon vieux temps. Maintenant tu vas me faire le plaisir de baisser les yeux et demander pardon pour ton impertinence. On t'a appris à pas regarder ceux qui te sont supérieurs espèce de putain bleue. Clair ?

Elle lui adressa un large sourire malgré sa lèvre fendue qui saignait un peu, ses yeux dorés brillant d'une lueur de mauvaise augure.

Mon pauvre Floyd, tu aurais dû faire plus attention aux détails, tu aurais alors compris 2 ou 3 petites choses. Par exemple, as-tu pensé à désarmer ce chasseur ? Ou même à vérifier que mes menottes étaient bien actives ?

Tout se passa alors très vite, elle lui donna brusquement un grand coup de tête au visage, le forçant à reculer en se prenant la tête entre les mains, jurant et criant de douleur. Il les enleva, son nez était cassé et saignait à gros bouillons tandis qu'il cherchait à saisir son blaster pour lui tirer dessus. Elle ne lui en laissa pas le temps toutefois et, toujours menottée, elle tendit les mains vers lui, indiquant d'un geste sa gorge. Puis elle plia d'un coup sec ses mains.

Floyd se retrouva à étouffer et tomba à genoux, lâchant son arme, tentant désespérément de respirer, ses mains agrippant sa gorge qui tressautait en cherchant en vain de l'air. Varadesh arbora un sourire cruel et réjoui. Floyd avait commis une autre grosse erreur, il avait dit à ses 3 gars de rester hors de la pièce, ce qui faisait qu'elle et Marak étaient seuls dedans avec lui. Déjà le Zabrak se mettait en position non loin de l'entrée fermée, prêt à hacher menu tout ce qui tenterait d'entrer.

Je ne suis pas spécialement cruelle, pas même depuis que je suis devenue une Sith. Mais te voir ramper devant moi, agonisant tandis que je te tiens en mon pouvoir, est assurément l'une des meilleures choses que j'ai pu ressentir de ma vie. J'espère que lorsque j'infligerai la même chose à Worna, ce sera encore mieux. En attendant, va en enfer Floyd, sale porc.

Cela ne prit pas plus d'une minute pour que l'homme voit sa couleur de peau passer de rose vif à un bleu malade, sa respiration déjà laborieuse finissant par cesser totalement. La haine de l'apprentie teintait son aura d'un flamboiement d'énergie. Elle resta quelques secondes à contempler le corps avant de se relever. D'un signe de la tête, elle demanda à Marak de la libérer de ses menottes, ce qu'il fit d'un coup de sabre avant de lui tendre le sien. La poignée de son arme lui amena un sentiment de joie et elle remercia le Zabrak d'un hochement de tête.

Mais la mise à mort brutale du pirate n'avait pas échappé aux jeunes filles dans leurs cages et plusieurs d'entre elles ne purent s'empêcher de crier d'horreur et de terreur en voyant son agonie, ce qui bien évidemment attira l'attention des 3 hommes au-dehors, sans oublier probablement quelques autres qui devaient traîner dans le coin.

On y va Marak ! Faisons ce qu'on sait faire de mieux !

Comme par exemple tuer des esclavagistes qui ne méritaient pas mieux. Alors qu'elle s'élançait sabre allumé, déjà le Zabrak faisait preuve de son indéniable talent pour le massacre, l'impressionnant par sa férocité calme et disciplinée.

#32737
Elle resta quelques secondes à contempler le corps de Floyd avant de se relever. Mais la mise à mort brutale du pirate n'avait pas échappé aux jeunes filles dans leurs cages et plusieurs d'entre elles ne purent s'empêcher de crier d'horreur et de terreur en voyant son agonie, ce qui bien évidemment attira l'attention des 3 hommes au-dehors, sans oublier probablement quelques autres qui devaient traîner dans le coin.

D'un signe de la tête, elle demanda à Marak de la libérer de ses menottes, ce qu'il fit d'un coup de sabre avant de lui tendre le sien. La poignée de son arme lui amena un sentiment de joie et elle remercia le Zabrak d'un hochement de tête.


    « Sabina: Allons-y Marak ! Faisons ce qu'on sait faire de mieux ! »

Il n’y avait plus rien à faire dans cette pièce, du moins à court terme, il fallait juste s’éloigner de là pour protéger la marchandise des tirs perdus… plus tard à la fin nous pourrions revenir les libérer de leurs cages…

Les 3 mec arrivèrent en trombe dans la pièce alors que Marak retirait les entraves de Sabina… les trois prirent position, pistolet de point à la main dans un arc de demi-lune, à bout portant, pointant le dos du colosse. Compte tenu de son armure et de l’espace restreint pour bouger pleinement vu sa taille, Sabina vit Marak se retourner surprenament vite sur lui-même, son Grand Sabre Laser en main dans un mouvement défensif de gauche à droite et de bas en haut pour ainsi couper court l’avant-bras des 3 hommes armés, s’en suivi le retour de la lame dans un axe horizontale qui trancha froidement la tête de chacun… 3 morceaux de bras et trois tête tombèrent dans une cascade macabre… ce qui n’aida pas à garder les jeunes filles plus silencieuses pour autant…

Alors que Sabina s'élançait sabre allumé, déjà Marak ouvrait la voie faisant preuve de son indéniable talent pour le massacre, l'impressionnant par sa férocité calme et disciplinée. Tout juste avant de franchir la porte Marak fit ses dernières recommandations…


    « Marak: Reste avec moi et demeure concentré... Je m’occupe d’attirer leur feu sur moi, tu t’occupes de mon dos, de ceux qui s’approche de trop près et les “coups de grâce”... ne t’éloigne pas trop de moi si tu veux garder ton énergie pour Worna, laisse-moi faire le gros du travail et sert toi de mon armure comme couverture et on devrait s’y rendre sans trop de surprise, puis tu l’auras pour toi toute seule... »

Une fois dis… Marak dégaina son second sabre laser… pris quelques secondes pour canaliser la force en lui… se chargeant à bloc, sondant l’espace autour de lui… puis lentement il commença à avancer, explorant les différents chemins qui menaient aux prochains niveau, un peu plus bas… ne laissant aucuns témoins hostile vivant, seules les jeunes filles en cage avaient eut la vie sauve pour l’instant…

Ici et là au début, le Duo rencontrait de la résistance, quelques personnes isolées qui succombaient avant même de pouvoir donner l’alerte générale, soit par un retour de tir laser retourné par Marak, soit par la lame rouge de Sabina s’exerçant aux attaques de flancs… Chaque rencontre nourrissait le duo de ce dont il avait besoin pour entretenir leur concentration, leur désir de vengeance, leur rage… Marak en avait peut-être une meilleur maîtrise, ce qui par sa concentration l’aidait à mieux combattre dans un espace restreint malgré tout… et par moment quand Sabina ne s’éloignait pas trop loin de lui… elle pouvait elle aussi profiter des bienfaits de cette concentration, que Marak tendait à vouloir partager avec elle… Sabina semblait bouger, plus fluidement dans ses mouvements, des attaques plus vicieuses et efficaces, parfaitement synchro avec Marak…

Puis, quelques niveau plus bas, là où le gros de la main d’oeuvre se trouvait…. le duo n’eut pas le temps d’empêcher le déclenchement de l’alerte, mais déjà, à eux deux il avait nettoyés:

  • L’aire des Cargo, où tous les vaisseaux furent “lockDown”
  • le niveau des marchandises… c’est férié on ferme !
  • Le niveau médical & maintenance, une boucherie !
  • L’armurerie, Scellé jusqu’à nouvel ordre...
  • Le niveau récréatif… Cuisine / cafétéria / salles de sport… un massacre gastronomique, personne a eu de dessert !
  • Les dortoirs, où tout le monde dort paisiblement, indéfiniment !
  • Le niveau des communications et réunion en tout genre… La communication a été momentanément interrompue, votre appel est important pour nous, demeurer en ligne afin de conserver votre priorité d’appel pour qu’un représentant vous réponde dans un petit moment…

Ne restait plus que le dernier niveau, après plusieurs minutes voir peut-être des heures, la notion du temps leur faisant défaut... à nettoyer, purifier cet endroit...Le duo arrivait dans le dernier droit… les derniers recoins où Worna pouvait se planquer… lui et les quelques personnes de confiances sur qui il pouvait compter pour le défendre jusqu’à leur mort sans doute… personne espérait-on !... Cela importait peu… ils subiront le même destin funeste… Marak avait rempli sa parti de l’entente… il avait escorté Sabina jusqu’à la fin… mais la fin en elle-même, selon son souhait, n’était que pour Sabina seule… Selon l’entente, Marak devait la laisser gérer Worna seule, en témoin silencieux de sa vengeance accomplie… binsûre tricher était toujours une option viable, tant que ça reste subtile !

  • Quartier personnel des grosses pointures

À toi de jouer Sabina !



#32930
Il fallait reconnaître qu'avoir un Zabrak blindé comme il faut et armé d'un sabre laser pouvait grandement aider à résoudre tout les problèmes. Alors qu'elle s'élançait sabre en main, elle le vit la prendre de vitesse et lever son arme pour venir cueillir les 3 gus qui fonçaient à quelques mètres, prêts à les allumer en rafales. Le colosse, en 2 mouvements rapides et fluides, les priva de leurs bras puis de leurs têtes et continua sa route comme si de rien n'était, sans leur accorder un regard. Elle eut un frisson, elle n'aurait pas aimé être à leur place et songea que rien ne valait la peine de se faire un ennemi de ce chasseur de primes là...

Le duo laissa derrière lui les cages et leur triste contenu, lesquelles ne cessaient de hurler et de sangloter, terrifiées par le spectacle du massacre que commettaient ces inconnus. Elles ne réalisaient sans doute pas à quel point elles avaient de la chance qu'ils soient là, sinon leur destin aurait été bien pire. Mais cela viendrait plus tard. Varadesh eut un sourire carnassier lorsque son compagnon lui fit ses recommandations. Depuis que la vie de Floyd s'était écoulée entre ses mains, elle ressentait une excitation grandissante doublée d'une joie féroce.

L'acte de tuer n'avait jusque-là jamais constitué autre chose pour elle qu'une nécessité pour survivre et parce qu'elle était plus forte que ses victimes, elle pouvait donc se le permettre. Bon, il y avait bien eu cette fois sur Commenor ou séduire l'homme qu'elle allait tuer avait été un vrai plaisir mais en dehors de ça... C'était cela qu'on devait ressentir lorsqu'on était une véritable Sith, la toute-puissance, le droit de vie et de mort sur son prochain et la certitude absolue de son pouvoir. Elle se mordit la lèvre et ne put s'empêcher de ricaner tandis que devant elle, proche mais assez éloigné pour ne pas risquer de la blesser, Marak orchestrait un chaos sans nom de ses sabres lasers et ses armes.

Tuer était une chose magnifique et plus encore lorsqu'il s'agissait d'assouvir une vengeance longtemps rêvée, longtemps désirée, jamais à portée. Elle se demanda comment elle avait bien pu ne pas se rendre compte plus tôt de la joie qu'on pouvait ressentir par cet acte. Un tir de blaster passé très près de lui pulvériser la tête, passant sous la garde du Zabrak et elle fut brusquement tirée de ses rêveries. Il serait temps de songer plus avant à ce genre de détails plus tard. Furibonde, elle leva son sabre et se jeta sur ceux qui, à chaque pièce et couloir de la base souterraine qu'ils visitaient, tentaient de tirer sur Marak.

Ce n'était pas aussi facile qu'elle le pensait car si Marak était un guerrier expérimenté qui avait de la bouteille, elle était encore quelque peu novice dans les affrontements aussi intenses et avait peu combattu en paire. Pourtant, plus les secondes passaient et plus elle semblait maîtriser les courants complexes et invisibles du combat. Lorsque le Zabrak avançait, elle le suivait de dos, ne laissant quasiment aucun angle mort. Lorsqu'il bondissait pour écraser la résistance face à lui, elle en profitait pour se jeter sur les négriers qui y voyaient une occasion, les empêchant de briser le cercle intérieur que les 2 adeptes de la Force avaient crée.

Les lames vrombissaient, les sabres pénétraient la chair comme si elle n'était que du papier, les mourants hurlaient tandis que les morts s'effondraient au sol tels des pantins désarticulés dont on aurait tranché les fils. Jamais la jeune fille n'avait ressentie une telle joie sauvage, elle se gorgeait de toutes ces sensations, de la terreur omniprésente, de la puanteur de la mort, de la danse mortelle dans laquelle elle s'était engagée avec cet inconnu qui l'avait aidée pour une raison qu'elle ne comprenait pas.

Finalement, après ce qui leur parut une éternité, l'ensemble de la base fut nettoyé de tout être vivant en dehors des esclaves toujours emprisonnées. Il ne restait qu'une zone ou devaient se cacher Worna et surement quelques-uns de ses serviteurs. Le Zabrak se posa devant la porte coulissante pour y entrer et la regarda comme dans l'expectative. La jeune fille resta désorientée une ou deux secondes avant de comprendre, il avait promis de ne pas se mêler de sa vengeance, comprenant qu'il était certaines choses qui se devaient d'être faites seule. Elle hocha la tête à son attention, le remerciant avec gratitude, puis entra à l'intérieur.

Elle avait cru ressentir plusieurs présences sans plus de précision sur quoi que ce soit. Lorsqu'elle entra, sabre abaissé et éteint, elle le vit qui trônait dans un long siège à quelques mètres de là. Worna, en chair et en os, plus vieux de seulement 10 mois depuis la dernière fois qu'elle l'avait vu avant qu'i ne la vende à ce Dévaronien mais physiquement bien plus marqué. Elle le regarda dans les yeux, ne ressentant pas la peur qu'elle avait pensé ressentir en le voyant de nouveau, pas plus que la tristesse ou les regrets. Seulement de la haine.

Eh bien eh bien, le petit oisillon revient finalement au nid... C'est bien que tu sois venue, ça m'évite d'avoir à payer des chasseurs de prime pour te livrer, tu m'as facilité la tâche petit oisillon.
Ne m'appelle pas comme ça Worna. Tu n'as plus aucun droit ni pouvoir sur moi. Je ne suis pas ton oisillon ni ton esclave. Je ne suis plus à toi. Je n'appartient qu'à moi.
Mais c'est qu'elle crache du venin ma parole ! Dans mes souvenirs c'était bien autre chose que tu crachais petite impertinente. Mais ce n'est pas grave, je vais te réapprendre.

Il claqua des doigts et sur son ordre muet, 3 hommes surgirent des ombres de la grande pièce, armés de vibrolames et bardés de protections en duracier. Elle eut un large sourire amusé. Ces idiots n'avaient aucune idée de ce qu'elle leur réservait.

Worna, je viens de détruire ton organisation pathétique, j'ai tué tout tes larbins. Que crois-tu que je te ferai lorsque je me serai occupé de ces trois-là ?
Tu me feras ce que j'aurais décidé. Ça risque de ne pas trop te plaire mais bon, une ou deux caresses suffiront à te rendre docile, comme au bon vieux temps.

Sans un mot, Varadesh alluma d'un léger mouvement du doigt son sabre laser. La lame rouge sang jaillit sous les yeux ébahis des 4 hommes, prête à semer la mort. Les 3 hommes regardèrent leur patron, soudainement incertains car ils savaient ce que signifiait une arme pareille. Poussant des cris de guerre rauques pour se donner du courage, ils bondirent dans l'intention manifeste de lui briser les os et l'amener de force aux pieds de leur boss. Mal leur en prit. La lame bougea plus vite qu'ils ne purent le réaliser et vint cueillir le premier en pleine poitrine, tranchant sans difficulté à travers le métal renforcé mais insuffisant.

Alors qu'elle extrayait la lame du corps sanguinolent dans un geyser de sang, le deuxième jeta un coup de son arme et lui entailla le bras gauche, pas assez pour la faire lâcher son arme mais assez pour la faire chanceler. Voyant là une occasion, le troisième tenta de lui enfoncer son arme dans la gorge, jugeant plus prudent de l'éliminer que la capturer visiblement. Elle siffla d'agacement et de douleur et leva sa lame pour venir cueillir celle de son ennemi. Elle fut surprise de voir que la vibrolame ne se brisa pas, visiblement il devait y avoir un peu de cortosis mélangé au métal. Soit, elle ramena son arme en arrière puis décida de tenter une autre approche, seule contre deux.

Elle utilisa son sabre pour effectuer un Balayage du Sarlacc, une technique dépendant de la Forme I pour affronter plusieurs ennemis en même temps. Son sabre effectua de longs balayages pour les repousser puis, profitant de leur confusion devant ses longs gestes, elle passa immédiatement à l'attaque par des gestes simples pour un utilisateur du sabre laser mais fort complexes aux yeux d'un profane. La première attaque vint trancher le premier homme au niveau de l'aine tandis qu'elle mit un coup de pied dans l'entrejambe du second, lequel se plia en deux sous la douleur. Enfin, elle l'acheva d'un Sai Tok, le découpant en deux au niveau de la taille, savourant son agonie.

Image

Il ne restait plus que Worna, lequel avait déjà saisi son arme et s'apprêtait à tirer. Mais au moment ou le tir quittait la chambre de son DL-44, la Force Obscure vibrait déjà en Varadesh, laquelle se servait de la puanteur de la mort, de sa haine et de sa rage pour l'invoquer et la canaliser. Lorsque le tir fut proche d'atteindre sa cible, il alla se perdre contre le mur et y creusa un petit trou aux contours noircis. La Pantoran avait disparu et Worna écarquilla les yeux sans comprendre.

C'est de la magie !
Non Worna, c'est bien plus que cela...

La voix venait de derrière lui et il se retourna plus vite qu'il n'avait jamais bougé de sa longue vie d'esclavagiste, levant déjà son arme pour abattre cette sorcière et tant pis pour ce qu'il voulait lui infliger.

Bien tenté, mais ça ne marchera pas. Ta vie m'appartient maintenant.

D'un coup, une pression insoutenable se fit jour dans tout son corps. Incapable d'émettre même un son étouffé, il tomba comme une pierre, le corps parcouru de vagues de douleur insoutenables. Il avait l'impression qu'on le pressait lentement comme un citron et qu'il allait éclater.

Ma maîtrise de ce pouvoir n'est pas parfaite mais je te remercie, grâce à toi je vais pouvoir progresser.

Elle se dressait au-dessus de lui, son sabre rouge toujours allumé pointé vers le sol, la main resserrée en un poing et un sourire féroce sur ses traits habituellement si juvéniles.

Une question me taraude toutefois. Comment as-tu su que j'étais vivante et pourquoi avoir mis une prime sur ma tête ?

La pression sur son visage s'adoucit juste assez pour le laisser pousser un mugissement d'agonie atroce et bégayer une réponse, la bouche pleine de sang.

Un... Un des pirates qui ont attaqué le navire de celui qui t'as acheté... Il a parlé de leur prise à un de mes vieux amis... J'ai compris alors... Et j'ai su... Qu'il fallait que je... Te retrouve...
C'est tout ? Vraiment ?

Elle ressentit un soupçon de déception mais sans doute s'était-elle attendue à trop. La vengeance, celle qu'elle désirait tant, était enfin à portée avec en plus la certitude que cette prime disparaîtrait définitivement.

Tu es... Devenue... Jedi ? Jedi... Tuent pas...

Lentement, alors que de nouveau le pouvoir de la Force le pressait impitoyablement comme un citron, elle eut un sourire maléfique et carnassier. Alors qu'elle éteignait son arme et la rangeait à sa ceinture, elle tendit la main qu'elle avait déserrée.

Mon pauvre, pauvre Lucius. Tu n'as vraiment rien compris. Comme tout tes semblables, tu ne sais rien du pouvoir de la Force et tu crois aux mensonges qu'on te raconte. Les Jedi ne sont pas les seuls individus de pouvoir à exister dans cette galaxie. Et en vérité...

La main se referma en un poing compact, réduisant en une purée sanglante le corps de son tortionnaire de jadis. Les os se brisèrent, les vertèbres craquèrent et la vie quitta Worna.

Je ne suis pas une Jedi. Je suis une Sith.

Elle observa longuement le corps sans vie. Avec lui, réalisait-elle, disparaissaient ses souvenirs de cet endroit et du cauchemar qu'elle y avait vécu. Il lui restait une dernière chose à faire avant de partir. Elle alla jusqu'à l'holoterminal personnel de Worna et de là, envoya un message aux autorités de Pantora, expliquant brièvement ce qu'il se passait dans cet endroit et le commerce qui s'y déroulait, précisant qu'il y avait de nombreuses esclaves à libérer. Puis elle transmis les coordonnées avec ce message et l'envoya. Elle sortit ensuite de la pièce, laissant derrière elle les cadavres sans un regard en arrière.

Marak l'attendait toujours dehors, il était impossible qu'il n'ait pas entendu ni même regardé ce qu'il s'était passé. A présent que l'ivresse du combat était passée, elle sentait la douleur de sa blessure à l'épaule la tirailler et ne put cacher sa grimace. A son regard interrogateur et curieux, elle répondit simplement.

C'est fait. Nous pouvons partir, j'ai prévenu les autorités compétentes.

Le duo reprit le chemin en sens inverse et embarqua à bord de l'explorer de l'apprentie qui quitta la base. Elle enclencha le pilote automatique qui allait les ramener en orbite ou les attendait le Black One. Il fallait qu'elle se trouve de quoi désinfecter la plaie et appliquer un peu de bacta pour que ça cicatrise rapidement.

Avatar de l’utilisateur
By Aldrax Kist
#33556
Je ne suis pas une Jedi. Je suis une Sith.

Marak l'attendait toujours dehors, il était impossible qu'il n'ait pas entendu ni même regardé ce qu'il s'était passé. A présent que l'ivresse du combat était passée, elle sentait la douleur de sa blessure à l'épaule la tirailler et ne put cacher sa grimace. A son regard interrogateur et curieux, elle répondit simplement.

C'est fait. Nous pouvons partir….

Le duo reprit le chemin en sens inverse et embarqua à bord de l'explorer de l'apprentie qui quitta la base. Elle enclencha le pilote automatique qui allait les ramener en orbite ou les attendait le Black One. Il fallait qu'elle se trouve de quoi désinfecter la plaie et appliquer un peu de bacta pour que ça cicatrise rapidement.




[color=#A4A4A4] Les deux vaisseaux avec fait un petit bout de chemin, de quoi s’éloigner à vitesse subliminique de l’orbite d’Ordo Plutonia… laissant le champs libre aux autorités de Pantora de faire leur constat de la situation… Pendant ce temps, l’équipage du Black one s’activa à s’arrimer au E9 de Sabina et de rapatrier l’armure pour son entretient post-combat ainsi que le restant de l’arsenal que Marak avait transiter initialement… puis le médic du groupe laissa une valise à l’attention de Marak et retournèrent se refugier au Black one attendant la prochaine destination...


    « Marak: Et si euh… pendant que mes collègues font la bouffe sur l’autre vaisseau, on en profitait pour… »

Entrée en scènes de la valise mystérieuse...

    « Marak: … penser nos blessures ! Aller montre-moi cet entaille que t’as au bras… avant que … »

sans terminer sa phrase, malgré qu’il ne connaissait pas trop les airs de la maison, Marak s’installa debout à côté d’un comptoir ou d’une table… ouvrit la valise et y sorti le kit de soin, pour désinfecter la plaie, «bactaliser la lésion» et de quoi couvrir la plaie le temps de la guérison.

    « Marak: Allez… grimpe là-dessus… que je puisse travailler à mon aise... »

Il attendit qu’elle s’exécute, patiemment, il n’avait remarqué que l’entaille évidente au bras gauche, mais était paré à toute éventualité, au pire, l’infirmerie du Black one demeurait disponible à les recevoirs au besoin… Bien que concentré à traiter l’entaille… Marak ne pouvait s’empêcher d’explorer du regard les détails à fleur de peau de la Pantoran qui s’exhibait platoniquement… La couleur de sa peau, la douceur de sa peau… sa musculature, dans l’espoir de trouver de quoi faire durer le plaisir des yeux, une autre égratignure à soigner !

    « Marak: Et voilà… d’ici 1 jour ou 2 tu seras comme neuve… tandis que je suis là, t’as pris d’autres mauvais coups comme ça que je dois traiter ? »

Marak faisait semblant de chercher… imaginant avec fertilité le fruit de sa curiosité… il fît contact des yeux… non… non ! plus haut ! pas les yeux qui pointent… les yeux qui t’observe la reluquer… ça y’est ! … Tu l’as gênée… Pourtant dans ses yeux on pouvait percevoir un mélange d’émotions complexes, une grande douleur, une pointe de chagrin… et cette étincelle de rage qui se reflétait dans celle du colosse… Comme si les deux êtres avait vibrés sur la même longueur d’onde l’espace de quelques secondes…

«La faim» grandissait en lui… les pulsions semblait vouloir se pointer à l’horizon… Et la raison de tête est venue foutre le bordel, une fois de plus… Elle a quoi 18-20ans maxi… t’es déjà l’ancien-temps pour elle… perd pas ton temps… va dont te chercher une femme de ton âge, avec l’expérience de vie que tu mérite !! Et les pulsions du coeur rétorquèrent… Elle en a vu d’autres… fille de joie pour qui pouvait payer le prix équivalent sa beauté… c’est sûre qu’elle a eu affaire à plus vieux qu’elle, plus bourré, plus gras, plus flasque du bid, moins flexible, moins agile, moins vigoureux… Si elle est aussi bonne que ça… t’as rien a craindre c’est du bon temps garanti… Et la raison de tête surenchéri… Hey ! lâche-lui la main, c’est une violation d’espace d’autrui !... et bla bla bla

Marak n’écoutait plus sa raison, il l’avait mis en sourdine, un bruit de fond insignifiant… de toute façon il avait déjà avoué ses torts, outrepassant les frontières du corps… territoire oû l’herbe semble toujours plus belle que chez soi, sa main, cette immense paluche comparé à celle de la pantoran, avait englouti la sienne tout en douceur, tout en caresse…


    « Marak: Tu t’es bien défendue aujourd’hui… tu peux en être fier… j’imagine que tu dois être, épuisée !?! »
Avatar de l’utilisateur
By Zeph Mathuin
#33749
Le retour dans son explorer, suivie du Zabrak-armurerie vivante lui avait semblé être un rêve qu'elle observait de l'extérieur, comme une spectatrice. Elle s'était plutôt sentie quitter la base esclavagiste jusqu'au hangar avant de monter à bord puis décoller et arriver en orbite d'Ordo Plutonia avant de se rapprocher du Black One. Ensuite, elle avait observé les hommes de Marak le débarrasser de son armure impressionnante avant de plier bagages et ramener le matériel à leur bord. Il n'était plus resté qu'un médecin qui avait laissé une valise - probablement un kit médical - au pied de son boss avant de partir à son tour.

C'était alors qu'ils étaient restés là, la Pantoran et le Zabrak, seuls, dans le silence de l'entrée de son vaisseau, sans mot dire. Et qu'elle s'était rappelée que c'était bien elle qui était là et qu'il fallait qu'elle se bouge sinon elle allait finir par prendre racine. Heureusement, le colosse n'avait pas attendu qu'elle revienne à la raison et l'avait entrainée non sans douceur jusqu'à la zone qui faisait office de salle à manger avec ses 2 canapés longs contre l'un des murs du vaisseau et une table en forme de bar à l'opposé. Un holo écran était également face aux canapés tandis que tout le nécessaire pour vivre comme un frigo et lave-vaisselle étaient placés derrière le bar.

Marak s'était adossé contre le bar et sortait plusieurs objets de sa valise, examinant le contenu entier pour mieux déterminer ce qui lui serait utile. Puis il la regarda d'un air critique et lui intima l'ordre de venir par là et se mettre en position pour qu'il l'examine. Lentement, presque comme un automate, elle vint à lui et, obéissant, s'assit sur le bar. Même alors, nota-t-elle avec amusement, surélevée par rapport à lui qui était assis sur une chaise, il lui arrivait presque au niveau de la clavicule tant il était grand.

Mais qu'est-ce que tu manges pour avoir une taille pareille franchement ?

Elle enleva le blouson qu'elle portait et le pull en-dessous, révélant un débardeur noir profond. Elle ne put s'empêcher de grimacer de douleur lorsqu'elle dut lever le bras gauche et il lui fallut plusieurs instants pour se dépêtrer avec son pull mais elle y parvint. La blessure n'était pas catastrophique mais elle était profonde et il y avait toujours un risque d'attraper une infection. Sans un mot de plus, elle le laissa faire, silencieuse, l'observant examiner la plaie avant de la traiter avec du bacta et y appliquer un pansement solide qui collerait à sa peau jusqu'à ce que la blessure fut guérie avant de se décoller automatiquement.

Durant ce temps là, elle avait eu un regard vide, presque éteint, comme si elle était absente. Elle ne fit même pas vraiment attention à ce qu'il faisait jusqu'à ce qu'elle surprenne les mouvements de ses yeux, alertes, comme s'il cherchait d'autres blessures... Ou autre chose. Brusquement, elle comprit ce qu'il devait surement avoir en tête. Quelle importance après tout ? Il restait un homme, esclave de ses pulsions et elle, pour être franc, ne désapprouvait pas l'examen dont elle était l'objet.

Il y avait bien pire comme situation dans la galaxie que de se faire reluquer par un Zabrak musclé et plutôt bel homme qui en prime l'avait pas mal aidé dans toute cette sale histoire. Elle lui adressa un sourire faussement ingénu en battant des cils innocemment comme elle avait appris à le faire, des années plus tôt, dans une autre vie.

Non docteur, je ne sens rien d'autre donc j'en conclus que je n'ai pas été blessée à part à l'épaule.

Il avait pris sa main dans le sienne et ne l'avait pas lâchée depuis. Elle sentait les caresses douces et périodiques comme un métronome, une toutes les 3 secondes. La sensation lui était agréable et pour tout dire, surprenante. Elle aurait plutôt pensé qu'au vu de son passif de mercenaire il aurait été une brute ou en tout cas pas très à l'aise ni habile mais visiblement il était plein de surprises. Elle se demanda brièvement combien d'autres et de quel genre il en avait en réserve et eut un nouveau sourire amusé.

Je suis... Un peu fatiguée oui, c'est pas faux. Trop d'émotions d'un coup j'imagine. Ça a pas été aussi facile que je le pensais. Enfin si, ça l'a été mais... Je sais pas vraiment, à un moment ça m'a presque fait mal de le faire. Ma vengeance j'entend. C'est normal ça tu penses ?

Le Zabrak semblait s'être arrêté de jouer avec sa main et ne la lâchait maintenant plus du regard. Peut-être qu'il en avait eu bien assez à regarder pour être rassasié ou peut-être qu'il réfléchissait à ce qu'elle avait dit. Elle non plus ne le quittait plus du regard. Ses yeux étaient si...

T'arrêtes pas s'il te plait. J'aime bien quand tu me caresses la main. Ça... M'apaise...

Elle l'avait murmuré à voix basse, comme apeurée par son audace. C'était idiot, après tout jusque-là elle n'avait pas eu peur de ses désirs depuis sa fuite de Korriban. Et il n'y avait pas de mal, ils étaient tout deux des adultes consentants, pas vrai ?
Avatar de l’utilisateur
By Aldrax Kist
#33902
À partir de cette balise, soyez avertis que ce post contiendra des scènes explicites ou de nature à choquer.


    « Sabina: Je suis... Un peu fatiguée oui, c'est pas faux. Trop d'émotions d'un coup j'imagine. Ça a pas été aussi facile que je le pensais. Enfin si, ça l'a été mais... Je sais pas vraiment, à un moment ça m'a presque fait mal de le faire. Ma vengeance j'entend. C'est normal ça tu penses ? »

Il avait pris sa main dans le sienne et ne l'avait pas lâchée depuis. Elle sentait les caresses douces et périodiques. Sensation agréable, surprenante...

    « Marak: Biensûre que c’est normal, Le meurtre une voie que bien peu de personne peuvent endurer facilement, ça prend de l’entraînement, la vengeance par le meurtre… c’est pire encore, parce que c’est personnel. Si tu dois tuer, de ton plein gré j’entends, ne cible que les étrangers… sans émotions, juste des affaires… Les vengeances personnelles alimenterons et/ou ne provoquerons que souffrances, colère et peur… c’est mauvais pour la bonne conscience tout ça… et on revient difficilement en arrière de ce genre d’action, peut-être 1 ou 2 fois au cours de sa vie… »

Le Zabrak semblait s'être arrêté de jouer avec sa main et ne la lâchait maintenant plus du regard. Peut-être qu'il en avait eu bien assez à regarder pour être rassasié ou peut-être qu'il réfléchissait à ce qu'il venait de confier, un fait irrévocablement vécu. Elle non plus ne le quittait plus du regard.

    « Sabina:T'arrêtes pas s'il te plait. J'aime bien quand tu me caresses la main. Ça... M'apaise... »

Elle l'avait murmuré à voix basse, comme apeurée par son audace.

Certe elle avait beaucoup d’atouts en sa possessions… Jeune, fringuante, bien roulée, non-humaine…, quoique de la viande blanche de temps en temps Marak n’est rien contre, certaines créatures au visage pâle méritent d’être classé dans l’exotisme… mais sans plus, des perles égarées dans l’océan de la Galaxie

Sabina, pour en revenir à sa performance, avait su se montrer méritante d’exercer sa vengeance, en échange de quoi tout ce qui se trouvait dans cette base secrète était miens… hors elle a prévenue les autorités de Pantora, pas question d’y retourner sans éveiller des soupçons… en fait plus il s’attardait à la question, moins le côté matérialisme y trouvait son compte, présentement plutôt animé par le désir de consommer le seul vrai trésor véritable dans toute cette histoire… Sabina elle-même ! Après tout… Elle était dans cette base secrète elle aussi… donc, en réalité, elle fait parti intégrante du butin !

Le tout était de savoir comment apprêter ce jolie petit bout de viande !! Prendre de force sans rien demander !?... Aucun honneur…. Laisser-faire et voir si elle t’empêchera de retourner dormir seul dans tes quartiers !?... Très humble, mais comme tous les bon gars de cette galaxie, tu risques qu’elle te laisse aller, et tu devras te consoler toi-même avec une branlette tout en pensant à des souvenirs qui semble si loin déjà, ou pire, des souvenirs récents, genre en pensant à Sabina.... de toute façon... ! Profites-en, pour une fois que t’as pas le gamin et la peluche sur le dos ! Bientôt c’est son éducation sexuelle à lui que tu devras superviser, et après il te les volera toutes… humaines comme Aliens !

Était-elle prête à subir toute cette jouissance à répétition ? L’endurance était là, mais elle s’était avouée fatigué… mais bon, une fois qu’elle y aura goûtée, plus jamais elle ne sera fatiguée pour ça ! Par chance que tu es apporté cette armure, ça t’as permis de pas t’épuiser TOI ! Serait-elle capable d’encaisser cette perte de contrôle, de se livrer à toi ? Plus important encore, seras-tu capable d’en faire autant, et de lâcher prise si elle te le demandait, serais-tu capable de te regarder dans le mirroir, après tout c’est une Sith, elle l’a dit… t’es un gris, si ça vient qu’à se savoir, imagine tout le tort que ça causerait !...

… … … HEY ! TA GUEULE FOUTU CONSCIENCE !! … … Fais ce que tu as à faire Marak… écoute ton coeur !


    « Marak: Seulement la main ? »

Marak s’adossa sur la chaise entraînant avec lui la main qu’il retenait en otage, et du coup tout ce qui s’y retrouvait attaché dû suivre le mouvement. Sabina se retrouva donc en position Amazone, assise sur lui, face à face, les yeux dans les yeux, où les deux se dévisagèrent quelques secondes, alors qu’une paluche délaissa la main pour descendre sa cuisse jusqu’au genous puis remonta le chemin inverse pour aller s’ancrer fermement sur une fesse, tandis que l’autre lui caressa la base de la nuque et remontait dans les cheveux en effleurant à peine la peau, de quoi donner quelques frissons…

My move baby…
Avatar de l’utilisateur
By Zeph Mathuin
#33961
Ce post contient des scènes explicites ou de nature à choquer.


Le temps avait semblé s'étirer indéfiniment tandis qu'il continuait de tenir de ses mains rugueuses de vétéran mercenaire la sienne si bleue et douce. Elle aurait pu rester longtemps comme ça à juste le laisser faire, savourant l'instant présent sans aller trop loin, de peur que cette alchimie étrange qui passait entre eux ne disparaisse pour laisser place à un vide qui ne pourrait être comblé. Et puis d'un coup, le Zabrak sembla décider de passer à la vitesse supérieure, qu'il était temps pour lui de prendre les choses en main.

D'un geste, elle se retrouva attirée à la fois à lui et sur lui, son visage encore plus proche de celui du colosse qu'auparavant. Les iris dorés ne quittaient pas de leur surveillance attentive les faits et gestes de l'homme, une lueur effrontée au fond. Elle sentit l'une de ses mains glisser sur sa cuisse puis le contact fut rompu. Ou était-elle passée cette petite curieuse ? Oh, la voici qui réapparaissait la fautive, nichée à présent à un endroit stratégique et ne se privant pas de faire savoir sa volonté. Un large sourire se fit jour sur le visage de la Pantoran.

Eh bien eh bien, tu serais pas un peu gourmand toi ? Je te tend la main, tu décides de saisir tout ce qu'il y a au-delà.

Elle rit, du rire d'une jeune fille faussement pudique qui ferait sa mijaurée. De ses 2 mains, elle agrippa délicatement le visage de Marak et, lentement, à dessein, rapprocha ses lèvres. Qu'il sente monter le désir et la frustration en égales mesures, qu'il ne supporte plus d'attendre, tel était le but. Si tu veux quelque chose, viens donc le revendiquer. On n'obtient rien sans rien, pas même lorsqu'on est un aussi beau spécimen. D'un mouvement expert, le Zabrak vint réclamer son dû, la part qu'il avait mérité dans ce bunker gelé souterrain.

Cet instant fut comme une véritable renaissance pour l'apprentie, lorsque leurs lèvres entrèrent en contact l'une avec l'autre, scellant ce pacte passé avant l'assaut contre les esclavagistes. Varadesh avait eu ce qu'elle voulait, pas de raison que Marak reparte bredouille. Et cela serait également une récompense pour elle, qu'elle allait se faire un plaisir de savourer. Chaque fois que leurs bouches se séparaient pour reprendre leur souffle, la jeune fille d'une caresse sur la joue ramenait l'initiative dans le camp de son partenaire et le jeu reprenait. Il n'était pas question de laisser refroidir la glace.

Dans le même temps, sa main droite se glissa dans son dos à elle, saisissant cette petite friponne qui avait été visiter la fesse comme si elle y avait été invitée. Puis elle la guida plus haut, passant sans effort à travers le tissu du débardeur pour finalement pouvoir explorer le dos de la jeune fille. Et de constater pour le Zabrak que sous le débardeur, il n'y avait rien que de la peau, laquelle était curieusement froide. Un petit "inconvénient" de la morphologie pantorane, habituée aux températures basses. Aucun souci que l'homme au grand cœur qu'il était ne saurait remédier.

De longues minutes passèrent, durant lesquelles les caresses et les baisers furent autant de moyens de se prouver qu'ils étaient vivants et bien vivants. Elle interrompit un baiser et écarta doucement la main de Marak dans son dos. Puis, très lentement, sans le quitter du regard, se saisit de chaque côté de son débardeur et l'enleva, dévoilant ses charmes au regard intéressé du spectateur. Et de nouveau, elle rapprocha son visage du sien pour finalement l'embrasser, cette fois-ci de manière plus rapide, avide et presque empressée. Le désir montait rapidement et bientôt, il serait temps de l'exposer au grand jour, de s'en purifier.

N'y tenant plus, la jeune fille posa les mains à travers le haut du Zabrak, en un geste éloquent qui expliquait en principe son intention. Elle souhaitait le délester de cet encombrant vêtement qui risquait par la suite de les gêner, rien de plus, c'était tout à fait innocent. Et il fallait avouer que le spectacle était à la haute de son imagination flamboyante. Elle ne perdit pas une miette et se régala de constater à quel point l'homme était musclé et véritablement bien fait de sa personne. C'était après tout toujours une bonne chose n'est-ce pas ?

Les baisers reprirent, toujours aussi fougueux. Le souffle court de la jeune fille aurait pu porter à croire qu'elle fatiguait mais elle se sentait au contraire revigorée. Rien de tel qu'une petite séance de sport avec Marak pour se sentir vivante et en pleine forme. Il n'était pas difficile pour le Zabrak de deviner la tournure que prenaient les choses. Le mystère restait de voir quelle serait l'étape suivante selon lui.
#34042
Ce post contient des scènes explicites ou de nature à choquer.


De longues minutes passèrent, durant lesquelles les caresses et les baisers furent autant de moyens de se prouver qu'ils étaient vivants et bien vivants. Elle se saisit de chaque côté de son débardeur et l'enleva, dévoilant ses charmes au regard intéressé du spectateur. Marak alla doucement glisser sa main, jusque là scotché à une fesse, et ce sans perdre le contact avec la peau fraîche de cette… «créature» … vers le buste de Sabina.

Il passa sa paluche sur un sein, puis chevaucha la vallée du sternum pour aller chercher l’autre et sur celui-ci prendre prise, lentement il le malaxait. Puis son autre main se joignit à la fête, chacun le sien où il pétrit tendrement le buste de Sabina. Voyant une pointe d'excitation se dresser au centre de l’aréole… Marak fût attiré par l'irrésistible envie d’y goûter. Marak s’approchant la bouche, les mains prirent la fuite et retournèrent à leur fesses d’origines s’y agrippant fermement, tandis que Marak s’étirait la langue et lécha et goûta, pour la première fois Sabina… il tournoyait autour de cette pointe d’excitation avec la langue, le couvrait de ses lèvres, de légères succions, mordillements…

Les mains sentant que l’attention était dirigé autrepart que sur les fesses, en profitèrent pour explorer du bout des doigts le dos de cette partenaire… marchant de l’index et du majeur, glissant du reste des autres frères remontant la colonne vertébrale jusqu’au milieu du dos, puis redescendirent tous rassemblés sous une même bannière jusqu’aux fesses, espérant le tout satisfaisant, mais pour faire décupler le plaisir, elles recommencèrent, jouant de concert avec l’activité linguinale de l’autre côté du continent Pantorian… qui alternait des assaults tant à gauche qu’à droite, préservant une trève non-verbale, chacun méritant autant que son voisin… aucune jalousie ne sera permise ! Le tout visant à tester la physionomie Pantoranne… habituée au froid, résistante à c’est moins que zéro degré… quant était-il du chaud !? Avait-elle un métabolisme adéquat ? Certe certains frissons pouvait donner quelques sueurs froides… mais en générale c’était signe que l’ambiance et les esprits s’échauffaient.

Et de nouveau, Sabina embrassa Marak, cette fois-ci de manière plus rapide, avide et presque empressée. Le désir montait et bientôt, il serait temps de l'exposer au grand jour… N'y tenant plus, la jeune fille posa les mains à travers le haut du Zabrak, en un geste éloquent qui expliquait ses intentions. Elle souhaitait le délester de cet encombrant vêtement qui risquait par la suite de les gêner.

C’était un vieux t-shirt qui avait fait son temps, mais il n’arrivait pas à se résoudre de s’en défaire… Ce fut là l’occasion parfaite d’en faire son deuil, et s’en consoler dans les bras d’une jeune fringante qui tranquillement relevait de sa torpeur, la bête Zabrak dans son pantalon… ce passage obligé, où chaque femelle se doit d’apprendre à maîtriser le serpent cracheur de feu à un oeil des mâles.

Mais pour en revenir au haut du corps… Marak délaissa le buste de la jeune pantoran pour aller lui dévoiler le sien… il mordilla le col de son shirt et le déchira légèrement, quelques centimètre à peine, de quoi l’entamer uniquement, qui guida les mains de Sabina afin qu’elle termine l’exécution sommaire de son shirt…

Elle ne perdit pas une miette et se régala de constater à quel point l'homme était dans une condition physique que peu peuvent se vanter d’avoir… Musclé, taillé au couteau, métaphoriquement et littéralement parlant, plusieurs vestiges cicatrisés d’une violence passée, malgré tout, véritablement bien fait de sa personne. Il présentait également, une multitude de tatouages, annoncés par ceux plus souvent visible comme ceux des bras et à la base de son cou, qui disparaissaient sous le voile de ses vêtements.. Sabina pouvait en apprécier une plus grande proportion.

Les baisers reprirent, toujours aussi fougueux. Le souffle court de la jeune fille aurait pu porter à croire qu'elle fatiguait mais elle se sentait au contraire revigorée. Rien de tel qu'une petite séance de sport avec Marak pour se sentir vivante et en pleine forme. Il n'était pas difficile pour le Zabrak de deviner la tournure que prenaient les choses. Sabina commençait des va-et-vient de son bassin, suivant la cadence des baisers langoureux. Cette distinction de la physionomie Zabrakienne, ils ont deux coeurs… aisni donc, ce twin-core qui battait la mesure de ses pulsions ardentes… renchéri par les mouvements de bassin sur le serpent du colosse, avait finit par se pointer au garde à vous… «Awaiting for duty Sir !»

Le mystère restait de voir quelle serait l'étape suivante selon lui. Tout en gardant leurs bouches bien scellé… les mains de Marak opéraient en mode multi-tâches, démarrant une opération discrète, mais révélatrice… au Nord Marak embrassait… mais au Sud… les mains du colosse profitait de l’avantage de la portée de ses bras pour lentement s’infiltrer au terme d’une glissade le long de la colonne vertébrale de Sabina pour aller de scotcher à leur fesse respective, à la différence, que le pouce lui, s’était agrippé au pantalon, l’autre main fît de même… une fois les deux pouces bien hameçonnnés et ferrés au pantalon de la Pantoran plus d’échappatoire… lentement les mains s’éloignais, la guidant doucement, tout d’abord pour ne pas éveillé les soupçons trop vite… juste pour la forcer à se placer debout pouvoir accomplir ce coup fumant...

Puis sentant une résistance… que ça ne passerait pas… Marak éleva son jeu d’un cran, usant la télékinésie pour libérer l’étreinte que ceinture, la boutonnière et la fermeture éclair avait sur les hanches de la Pantoran… et poursuivre l’opération, maintenant très fort probablement découverte, mais qu’importe il était trop tard… les 4 doigts libres remorquèrent le morceau de vêtement tandis que les pouces assurait l’arrière-garde de l’opération et son succès… une fois l’avantage de la portée épuisé… la télékinésie fit le reste… La vertue de Sabina n'était plus protégée que par la dernière ligne de défense, la petite culotte…

Marak eut un sourire aux lèvres… Mission accompli, les hostilités était lancée pour de bon… les préliminaires ne serait pas que de la poudre au yeux. il remontait ses mains glissants le long de l’arrière de la cuisse pour revenir jusqu’au milieu du dos… il fit un léger détour au niveau des fesses, audaçant… d’effleurer du bout des doigts le sexe de Sabina par-dessus la fine couche de tissu… Marak ressenti comme un courant électrique lui parcourir le corps à son contact… puis repris son jeu initiale, massant, pétrissant des mains fesses et buste, chaque fois un peu plus intrusif jusqu’à ce que Sabina n’en puisse plus de ce petit manège… sachant qu’elle prendrait à son tour les “choses” en mains… et/ou en bouche, qui sait !


long long title how many chars? lets see 123 ok more? yes 60

We have created lots of YouTube videos just so you can achieve [...]

Another post test yes yes yes or no, maybe ni? :-/

The best flat phpBB theme around. Period. Fine craftmanship and [...]

Do you need a super MOD? Well here it is. chew on this

All you need is right here. Content tag, SEO, listing, Pizza and spaghetti [...]

Lasagna on me this time ok? I got plenty of cash

this should be fantastic. but what about links,images, bbcodes etc etc? [...]