L'Astre Tyran

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#37408
Les flammes avaient accompli leur sombre tâche. Il ne restait de la flore que des souches calcinées, quant à la faune elle avait été réduite à l’état de cendres. Oryel resta plusieurs secondes stupéfait par son propre pouvoir. Il n’avait eu recours au Verrou de la Haine qu’une ou deux fois auparavant. C’était une lame à double tranchant qui lui avait fait subir mille tourments jadis. L’échec de tout à l’heure était bien la preuve que malgré ses connaissances du Côté Obscur, l’aspirant était encore bien loin du niveau d’un Seigneur Sith. Il avait beau en connaître l’incantation et maîtriser les gestes, sa profonde instabilité émotionnelle ne lui permettait aucunement de prétendre à y avoir recours à volonté. C’est pourquoi il était d’autant plus stupéfait par l’Enfer qu’il venait d’invoquer.

L’odeur de la chair carbonisée et la vue de ce désert cendrée fit monter en lui une allégresse qui lui fit temporairement oublier les contre-coups du Sutta Chwituskak. Cela ne fut que de courte durée. Ces mains meurtries commencèrent à hurler de douleurs, arrachant une grimace suppliciée à l’Arkanien qui dut promptement masquer son état intérieur. Les pupilles de sang de la sorcière s’était posée sur lui. Il ne pouvait la décevoir davantage. Les Sith ne toléraient ni la faiblesse ni les échecs et il avait déjà montré ces deux tares à plusieurs reprises. Vkoh n’était probablement pas aussi tolérante que Ranath, si Oryel la décevait à nouveau elle l’abattrait comme un chien et oublierait rapidement sa misérable existence. Il avait vendu son âme au diable pour le pouvoir, il devrait en assumer les conséquences. Lorsqu’elle se détourna, il comprit que leur tâche ici était terminée et lui emboita le pas en tentant d’ignorer l’écho des hurlements de souffrance qui résonnait encore à l’intérieur de son crâne. Les stigmates du Verrou de la Haine n’était pas seulement physique.

« Tu vas superviser l’effort de construction du camp. Tu feras en sorte qu’ils t’obéissent. »

« … le camp ? Dans quel but construisent-ils un camp ? »


La question était légitime, la réponse incertaine. Le Parangon des Sith n’avait nullement besoin d’informer davantage son apprenti sur la situation de l’Ordre. Elle lui confiait une tâche, en échange elle attendait probablement un serviteur zélé et silencieux. Mais Oryel n’avait pas pu résister à la curiosité. D’un point de vue purement pragmatique, il se voyait mal diriger une équipe de bâtisseurs sans savoir les tenants et les aboutissants de ladite construction. D’autant plus que le mot « camp » n’était sûrement pas choisi au hasard. Ranath et Vkoh envisageaient-elles de parquer hommes et femmes comme des animaux dans un goulag qui servirait leurs noirs desseins ? Si c’était le cas, il lui faudrait un minimum d’informations pour répondre à leurs désirs.




Vkoh avait dégainé son sabre, la lame au clair elle visa d’abord le torse du clone qui eut à peine le temps de saisir sa rapière Sith pour bloquer le coup. Son poignet trembla sous le choc, brisant sa garde instantanément. Même s’il était encore capable d’attraper des objets avec ses mains calcinées -ce qui était déjà un miracle en soi- on était bien loin de l’aplomb nécessaire à un duel. L’épée de la guerrière recula d’un mètre et bondit cette fois en direction de sa tête. A la manière d’un fauve, le maître agressait son apprenti en visant systématiquement ses points vitaux. Bientôt, il se mit à éprouver le même sentiment d’infériorité qu’en affrontant la Dame Sombre. Mais cette fois-ci, une intense frustration grandissait en lui, son corps lui faisait défaut et il ne pouvait tenir la distance qu’en ayant recours à son pouvoir de Déflexion.

Lorsqu’il sentit que les coups de son adversaire devenaient de plus en plus dangereux et qu’à tout moment, il serait vaincu, l’apprenti sentit sa frustration devenir colère et un sourire de dément apparu sur son visage. Une idée avait germé dans son esprit. Oryel attrapa la poigne de son épée à deux mains et serra ses doigts si fort contre le métal qu’il réveilla le feu de ses brûlures. Du sang se mit à perler le long de ses phalanges tandis qu’il faisait appel à la Force pour détourner le dernier assaut de Vkoh en sa faveur. Une ouverture s’était crée dans l’infime laps de temps où la lame jaunâtre avait dévié de sa trajectoire, unissant son esprit au Côté Obscur, le séide pria intérieurement pour qu’un miracle s’accomplisse. L’épée vermillon déchira l’air en deux dans un ultime assaut qu’il espéra victorieux, poussé dans ses derniers retranchements, l’Arkanien tenta un Sai Tok qui tuerait sa cible en cas de réussite. Toute la rage du clone, bafoué par ses semblables, méprisé par son créateur, humilié par les Sith, anima ses bras d’une sombre énergie qui lui permettait d’attaquer en ignorant son état.

#37416
« Parce qu’elle l’a demandé. »

Seule réponse valable à donner à l’apprenti. Car elle n’en avait pas d’autres à lui donner à ce moment. Mya ordonnait et elle exécutait. Jeny ne s’embêtait pas à tenter de comprendre le bien fondé de ses actions et obéir aveuglément était source de facilité. Tant que cela n’influençait pas ses choix de vie et sa faim insatiable.




Dans l’attaque qui aurait dû le terrasser, l’arkanien répondit avec autant de brio que son état le lui permettait. Mais la garde avait instantanément sauté et il restait à sa merci. Vkoh tourna sur elle-même tout en reculant, puis profita de l’élan pour un coup latéral censé décapiter son adversaire. De nouveau, la lame fut contrée avant que l’ultime assaut ne termine sa misérable existence. Lame rouge contre lame jaune, le crépitement des deux lasers envoya des gerbes d’énergies dans toutes les directions. Les mains blessées de l’un et de l’autre n’était désormais plus un problème et la chaire semblait ne faire plus qu’un avec le manche des deux sabres laser. Sur le visage de Jeny, il n’y avait ni haine, ni colère, rien que le calcul pur et simple et la précision relative de coups hagards. Elle attaquait sans grande conviction, dans le but de le repousser.

La Sith arrêta l’assaut dans un bond arrière, avant de prendre plus d’élan pour aller au contact plus violemment encore, cherchant à briser la garde encore et encore. Ses coups étaient plus forts et plus puissant qu’à l’accoutumé, mais elle devait redoubler de Force pour tenir face au physique de son adversaire. Même si elle-même avait gagné en musculature, la faiblesse des genres lui faisait défaut. Ce n’est pourtant pas cela qui l’arrêta et ses attaques s’en firent ressentir. Au moins jusqu’à ce que l’apprenti ne s’éveille enfin et débute sa contre-attaque. D’abord il trouva le moyen de se défaire de son emprise et attendit le prochain assaut. Vkoh, prévisible au sabre, chercha l’estoc au cœur, mais un coup violent latéral lui fit perdre l’équilibre. L’arkanien en profita pour pivoter sur lui-même et dans un même mouvement, lui trancher le ventre en deux. Jeny recula, mais ne put éviter totalement l’attaque, qui dessina un profond sillon dans sa chaire. Du bassin jusqu’au début des côtes, un trait se dessina, d’abord noirâtre, puis se teintant de rouge. Le tissu qui couvrait son ventre et ses cuisses tomba au sol et elle s’arrêta net dans son mouvement.

Son regard embrasé regarda sa blessure dont le sang s’écoulait peu à peu par les parties non cautérisées. Les sillons de sang tracèrent un maillage sur son torse, passant par le bassin et sur les cuisses, avant de s’écouler sur le sol de la jungle. Elle laissa tomber son sabre au sol, des flashs s’agitant devant son regard, comme un écran. Mais bien vite, c’est l’ombre qui prit la relève. La blessure se mit à suinter d’une fumée noirâtre qui petit à petit prit de l’opacité. Elle recouvra la blessure du ventre et celle des mains, dissimulant la peau sous son épais manteau obscure. Vkoh fut agitée d’un spasme et grogna, avant de se jeter sans prévenir sur l’apprenti, le renversant au sol. En moins de temps qu’il n’en faut pour cligner des yeux, elle se retrouva sur lui, sa main gauche serrant son coup, sa main droite armée de sa dague, se préparant à frapper. Un instant, elle eut cependant une hésitation. Un instant qui sauva la vie de l’arkanien, car elle frappa de toutes ses forces, mais dans l’herbe à quelques centimètres de son oreille. Les veines de la Sith se teintèrent petit à petit de noir et ressortirent de dessous sa peau, jusque sur son visage. Elle releva la tête dans la jungle, tenant toujours la gorge de l’arkanien.

« Je dois ... manger. »

Elle renifla l'air, cherchant dans les fourées de quoi satisfaire à son envie soudaine. C'était soit cela, soit l'arkanien qui passerait à la casserole.
#37437
La lame avait déchiré les chairs sans la moindre difficulté. Le sourire d’Oryel s’agrandit tandis qu’il sentait l’extrémité de son sabre pénétrer le bas-ventre de son adversaire. Malgré la chaleur du laser, la plaie ne cautérisa pas entièrement et bientôt, de minces filets de sang se mirent à couler le long de sa peau. L’aspirant du Côté Obscur se délecta de ce spectacle bien qu’il eut préféré en voir davantage. C’était la mort de Vkoh qu’il recherchait, pas une vulgaire entaille abdominale. Il savoura cependant son apparente capitulation et raffermit son emprise sur la poignée de sa rapière. La Sith avait lâché son arme et fixait ostensiblement sa blessure, comme si le choc de cette vision avait altéré sa capacité de réflexion. Tandis qu’une Force invisible opérait déjà en elle, son apprenti ne vit que la fabuleuse opportunité de l’achever par décapitation. Sous l’emprise du Côté Obscur, Oryel était incapable de réfléchir de façon pragmatique. Il était évident qu’assassiner son nouveau maître serait contreproductif et lui attirerait inévitablement les foudres de Ranath. Mais la haine le rendant aveugle, ces pensées ne lui vinrent même pas à l’esprit.

Tout ce qui comptait en cet instant, c’était de contenter la Mort et sa soif de revanche.

Au moment où l’épée écarlate allait s’abattre sur Vkoh, l’Arkanien discerna un phénomène étrange qui agita son instinct de survie. Une épaisse fumée noire recouvrait les plaies de la Sith qui se mit à convulser tout en relâchant un long gémissement guttural. Ce spectacle déroutant lui fit gagner les quelques secondes qui manquait pour qu’elle reprenne l’ascendant sur son adversaire. Telle une bête enragée, elle se jeta sur lui et l’immobilisa au sol. En quelques secondes Oryel s’était vu neutralisé et à la merci de la sorcière. Il y eu un infime moment de latence où le clone observa avec désespoir la dague pointer dans sa direction. Puis un coup sourd qui l’obligea à lâchement fermer les yeux. Sa respiration se stoppa, sa poitrine se gonfla et… rien. Lorsqu’il rouvrit les yeux, l’apprenti constata avec stupeur qu’il était toujours vivant et que la lame avait frappé le sol à cinq centimètres de son visage. En posant les yeux sur le croc d’acier, il discerna une ombre se mouvant parmi les arbres.

    « Je dois ... manger. »
Vkoh semblait aussi l’avoir remarqué. Peut-être avait-elle senti le prédateur qui s’était rapproché d’eux ? Peut-être allait-elle faire de lui son… repas ? La pression sur sa gorge laissa Oryel dubitatif quant au choix de la Sith. Même si elle n’avait pas mis fin à ces jours, elle n’estimait toutefois pas nécessaire de le relâcher. Ce qui ne voulait dire qu’une chose : elle désirait certainement aspirer sa force vitale pour se soigner. Une fois cette idée folle en tête il n’était plus possible pour l’aspirant de l’enlever de son esprit. Depuis qu’il l’avait rencontré, il était persuadé qu’elle incarnait une forme d’avatar du Côté Obscur. Son aura et ses pouvoirs tendaient à prouver cette hypothèse et le vampirisme de la fillette la veille était éloquent. S’il ne réagissait pas immédiatement, l’apprenti rejoindrait les innombrables victimes de son maître. Il profita donc que son attention se soit relâchée pour la repousser en direction de la bête grâce à la Force.

A peine s’était-il débarrasser d’elle, qu’il récupéra son sabre laser et se releva pour faire face aux deux super prédateurs. Main armée, il posa alors son regard sur la créature couverte d’écailles que le fracas du combat et l’odeur du sang avait probablement attiré.

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Un Jurgoran.

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Il y eut un moment de flottement durant lequel, le temps sembla s’étirer à l’infini. La vision périphérique d’Oryel se rétrécit, lui permettant de se focaliser avec plus de précisions sur les créatures qui le toisaient dans la broussaille. Le bruit de leurs respirations lui parvenait avec une incroyable clarté et pourtant, une bonne trentaine de mètres les séparait. Il jeta un coup d’oeil à Vkoh, scrutant un signe, la moindre de ses réactions pouvant lui signaler un passage à l’acte, une brutale mise à mort.

Mais la Louve ne cilla point et lui rendit son regard.

Un rictus carnassier se dessina peu à peu sur les lèvres de l’Arkanien.

Son maître réclamait un festin, il lui servirait sur un plateau d’argent.

“Ainsi soit-il.”

Les doigts de cendres de Lazharr serrèrent la poigne du sabre laser, faisant gémir ses phalanges. Un sombre grognement s’échappa de la gorge du plus grand des deux prédateurs. Alors que sa proie faisait une nouvelle fois appelle au Côté Obscur, le sifflement reptilien de la bête intima à son acolyte de prendre en chasse l’impudent. Le Jorguran siffla à son tour avant de s’élancer lourdement, droit vers la Mort.

Le sbire des ténèbres plia les genoux et fit tournoyer l’instrument de sa haine. Lorsque la lame finit sa course à quelques centimètres du sol, ses vibrations faisait écho à celles de Dromund Kaas. Et quant la bête immonde ne fut plus qu’à une dizaine de mètres de lui, le pâle guerrier daigna esquisser un mouvement.

La terre frémit. Le corps du sensitif se propulsa en avant. Sa main gauche attrapa sa garde et dans le même mouvement, le croc écarlate traça un arc flamboyant en direction du ciel. Le hurlement de douleur de l’amphibien s’éleva au-dessus du vrombissement du sabre tandis que l’impitoyable Sith frappait à nouveau. Avec une dextérité surnaturelle, il pivota dans un Jung parfaitement maîtrisée, ployant les genoux pour éviter un coup de griffe rageur et effectua un ultime Cho Sun. Nouveau cri, noyé par la jubilation sourde qui gagnait Lazharr. Son poing attrapa l’espace vide face à lui et les serres du Côté Obscur se refermèrent sur le Jurgoran. L’emprise télépathique fit décoller le colosse, laissant ses bras piteusement au sol avant d’entamer une vertigineuse ascension qui devait se terminer au pied du Parangon de la Sith.

“Jri doz'vamas nuo tave hadzuska zeon.”

La lueur diaphane qui illuminait Dromund Kaas se couvrit d’un manteau aussi sombre que la nuit et les sens d’Oryel l’alarmèrent d’un danger imminent. Le sol se couvrit de sang. Les yeux de l’Arkanien se révulsèrent et ses forces l’abandonnèrent. Mais alors qu’il perdait contact avec la terre ferme, soulevé par une force invisible, un sursaut d’adrénaline le poussa à baisser le regard pour apercevoir l’innommable : des griffes de la taille d’un bras lui transperçaient les entrailles. Il comprit alors ce qui était en train de se produire et dû faire un effort supplémentaire juguler le rire qui montait dans sa gorge.

Était-ce ainsi qu’il devait mourir ? Eviscéré par une créature dénuée de raison et d’intellect ? Était-ce le sort funeste que le Côté Obscur lui réservait, alors même qu’il était sur le point de devenir son serviteur le plus fidèle, son zélote le plus dévoué ?

“Non...”

La vision du Sith s’était brouillé depuis quelques secondes déjà et pourtant, il pouvait clairement distinguer la silhouette de jade qui lui faisait face. Ranath fit un pas en avant, le carmin de son sabre laser éclairant son fasciès d’un sinistre halo.

“Je ne t’accorde ni repos, ni oubli...”

A ses côtés, drapés dans des guenilles de ténèbres, le visage squelettique du Créateur affublé de son traditionnel sourire. Il semblait s’être passé une éternité depuis la dernière fois où le clone avait posé les yeux sur son Reflet.

“Mourir... est le privilège des vivants.”

Ambiance


La fumée noire qui couvrait Lazharr recouvrit progressivement son visage, ne laissant que deux pupilles flamboyantes. Pendant une demi-seconde, le clone sembla reconnaître la silhouette drapée dans un manteau de nuit qui lui souriait désormais.

“Karst.”

La brûlure dans ses entrailles ramena brutalement le Sith à la réalité. Il se trouvait maintenant à plus de deux mètres de hauteur et le Jurgoran était sur le point de l’envoyer finir ses jours écrasé contre un sol couvert de sang. Une main tremblante se leva lentement vers le ciel, implorant sans doute les terribles divinités de Dromund Kaas. Un râle s’échappa de la gorge d’Oryel tandis que ses doigts se crispaient l’un après l’autre dans un craquement sinistre. Le sabre laser frémit. Les yeux de la bête se rétractèrent. L’épée vermillon s’alluma dans la main de l’Obscur et un croassement strident défigura le silence. Une rotation du coude, dessinant un croissant de lune dans l’atmosphère, avait suffi pour que les quignons laser sectionnent les griffes qui retenaient prisonnière sa cage thoracique. Dans la continuité de ce mouvement, le bretteur traça un arc dans son dos, parfaitement symétrique au premier. La lame vorace trancha chair et os sans distinction, libérant définitivement son maître du joug de la bête.

Les jambes d’Oryel cédèrent presque immédiatement sous son poids et il dut utiliser sa seule main disponible pour éviter d’atterrir piteusement sur la face. Un éclair de douleur transperça chaque centimètre de son avant-bras, son coude plia et son visage se retrouva à quelques centimètres de la terre. Il pouvait sentir avec une telle lucidité l’odeur de son propre sang, qu’il se demanda quelle hormone était à l’œuvre dans son corps pour produire un pareil miracle. Un sourire sarcastique défigura alors son visage... la science n’avait rien à voir là-dedans.

“ Jen' garthaz “

Alors que le Sith se vidait doucement de son sang, les hurlements du Jurgoran s’étaient tus, remplacé par le son familier d’une Noirceur qui n’était ni la sienne, ni celle de la planète sombre. Péniblement, il balança son corps sur le côté, lâchant l’arme qui lui avait sauvé la vie une fois de plus. A présent sur le dos, Oryel observa entre deux clignements de paupières le Parangon de la Sith déposséder la créature de son enveloppe charnelle. Ecailles, muscles, squelette, la nuée consumait chaque particule de son corps, ne laissant derrière elle pas même quelques traces de son passage. C’était une force de destruction absolue, une entité impitoyable qui arrachait à ses proies bien plus que leur vie.

Vkoh détenait le pouvoir de rappeler toute chose au néant.

Cette simple pensée fut la dernière de Lazharr et tandis qu’il rejoignait le monde des songes, la Louve s’était mise à sourire. Quel festin.

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