- mer. 7 sept. 2016 01:10
#23474
Elle était incapable de tenir en place, incapable de rester assise plus de cinq minutes, incapable de rester concentré sur une tache simple. Elle soupirait, grognait et s'impatientait. Pourquoi fallait il que ce soit si long? Eleeanys l'avait pourtant prévenue de leur arrivée dans la journée! La journée, c'était trop long, ils pouvaient arriver a tout moment, et plus le temps passait, plus la jeune Cathar stressait. Cela avait été déjà fort laborieux de trouver la force d'admettre qu'elle avait besoin de son aide, et encore plus de demander a Eleeanys de faire le voyage pour lui demander son aide. Maudite était elle, elle regrettait déjà son geste qui allait a l'encontre des raisons pour lesquels elle l'avait quitté, cependant, elle faisait ça pour le bien d'Akem Olorekat.
-Bon sang Hareen! Tu vas me faire tourner chevre a force de tourner comme ça! Détends toi, ils finirons bien par arriver. Fait donc quelque chose de constructif, je ne sais pas moi!
La voix de Melqiya fit redresser puis baisser les oreilles d'Hareen qui bredouilla comme une enfant qui venait de se faire gronder.
-Pardon m'man. J'vais voir si Simba a besoin d'aide dehors.
-Ne te surmènes pas trop non plus.
Un oui accompagné d'un sourire fut adresser a la Cathar avant que la jeune feline ne sorte a l'exterieur pour voir son petit frère. Il semblait concentrer sur son ouvrage, alors Hareen decida de ne pas le deranger et de se poser dans les jardins. Enfin seule, elle soupira, elle avait peur de ces retrouvailles autant qu'elle en était impatiente. La contradiction ne la quittait plus depuis qu'elle était partie d'Hekate, il y avait deux mois de cela, deux mois a essayer de reprendre une vie normale, deux mois a également essayer de reprendre Akem Olorekat.
Après sa fuite, la jeune Cathar d'Abrion Major était retournée au coeur de son organisation d'origine pour ne découvrir que les mensonges d'Orlim. Il vendait l'oraganisation comme quelque chose de grand, de bien, mais au final, tout n'était que de la poudre aux yeux. Ao n'était au final pas si grande que cela, et pour dix catins de luxe, une vingtaine d'autre le servait pour toucher presque trois fois rien. Il n'y avait aucune vision humanitaire comme il lui avait toujours dit, il n'y avait que son benefice et ces mefaits. Hareen n'avait jamais signé pour cela et il était hors de question qu'elle laisse Orlim agir plus longtemps.
Eleeanys et Arelys n'avait pas perdu de temps pour rejoindre son entreprise en découvrant le poteau rose. Cependant, a simplement trois, et au vu que sa condition, Hareen était perdue, et ne savait quoi faire. Les larmes lui montaient aux yeux tant elle se sentait désemparé devant la situation dans laquelle elle c'était elle même mise. Elle avait été faible, si faible, pourtant elle avait tenter de resister, de ne pas ceder a la tentation... Et pourtant, durant deux mois elle avait gouté aux plaisir de la chair avec My'on, un acte qui s'averait maintenant désastreux.
Assise au pied d'un arbre, le visage entre les mains. Hareen resta ainsi un long moment, jusqu'a l'arrivée d'Eleeanys.
-Hareen?
La jeune Cathar sursauta et se releva tant bien que mal alors que la Farghul la prenait dans ces bras.
-Quel plaisir de te voir! Le voyage est vraiment long jusqu'a la bas! Tu n'aurais pas pu choisir quelqu'un venant de moins loin? Elle ajouta en murmurant. Tu as interet a ce que ce soit concluant!
Souriante, Eleeanys se detacha de son ami et se decala pour laisser place a la vision de My'on. Le coeur d'Hareen fit un bond dans sa poitrine, presque douloureux, ce moment, elle l'avait autant voulu qu'elle en avait eu peur. Elle demeura silencieuse, remettant correctement son petit haut habituel qui lui arrivait en dessous de la poitrine. La jeune Cathar ne cachait pas son etat, car elle n'avait aucune envie de le faire et avait fait des choix vis a vis de ça.
-Je vais rejoindre Simba, je vous laisse entre vous. Si jamais tu as besoin, j'suis pas bien loin!
Sans même laisser lui laisser le temps de répondre, la Farghul disparissait du champ de vision d'Hareen, bientot ne restait plus de sa presence que les loin cliquetit de ses différents bijoux les uns contre les autres.
Le regard mordoré se porta sur le regard de l'autre Cathar, incapable de dire quelque chose. Elle déglutit, attrapant l'un de ses bras pour occupée au moins une de ces mains, avant de souffler:
-My'on.
-Bon sang Hareen! Tu vas me faire tourner chevre a force de tourner comme ça! Détends toi, ils finirons bien par arriver. Fait donc quelque chose de constructif, je ne sais pas moi!
La voix de Melqiya fit redresser puis baisser les oreilles d'Hareen qui bredouilla comme une enfant qui venait de se faire gronder.
-Pardon m'man. J'vais voir si Simba a besoin d'aide dehors.
-Ne te surmènes pas trop non plus.
Un oui accompagné d'un sourire fut adresser a la Cathar avant que la jeune feline ne sorte a l'exterieur pour voir son petit frère. Il semblait concentrer sur son ouvrage, alors Hareen decida de ne pas le deranger et de se poser dans les jardins. Enfin seule, elle soupira, elle avait peur de ces retrouvailles autant qu'elle en était impatiente. La contradiction ne la quittait plus depuis qu'elle était partie d'Hekate, il y avait deux mois de cela, deux mois a essayer de reprendre une vie normale, deux mois a également essayer de reprendre Akem Olorekat.
Après sa fuite, la jeune Cathar d'Abrion Major était retournée au coeur de son organisation d'origine pour ne découvrir que les mensonges d'Orlim. Il vendait l'oraganisation comme quelque chose de grand, de bien, mais au final, tout n'était que de la poudre aux yeux. Ao n'était au final pas si grande que cela, et pour dix catins de luxe, une vingtaine d'autre le servait pour toucher presque trois fois rien. Il n'y avait aucune vision humanitaire comme il lui avait toujours dit, il n'y avait que son benefice et ces mefaits. Hareen n'avait jamais signé pour cela et il était hors de question qu'elle laisse Orlim agir plus longtemps.
Eleeanys et Arelys n'avait pas perdu de temps pour rejoindre son entreprise en découvrant le poteau rose. Cependant, a simplement trois, et au vu que sa condition, Hareen était perdue, et ne savait quoi faire. Les larmes lui montaient aux yeux tant elle se sentait désemparé devant la situation dans laquelle elle c'était elle même mise. Elle avait été faible, si faible, pourtant elle avait tenter de resister, de ne pas ceder a la tentation... Et pourtant, durant deux mois elle avait gouté aux plaisir de la chair avec My'on, un acte qui s'averait maintenant désastreux.
Assise au pied d'un arbre, le visage entre les mains. Hareen resta ainsi un long moment, jusqu'a l'arrivée d'Eleeanys.
-Hareen?
La jeune Cathar sursauta et se releva tant bien que mal alors que la Farghul la prenait dans ces bras.
-Quel plaisir de te voir! Le voyage est vraiment long jusqu'a la bas! Tu n'aurais pas pu choisir quelqu'un venant de moins loin? Elle ajouta en murmurant. Tu as interet a ce que ce soit concluant!
Souriante, Eleeanys se detacha de son ami et se decala pour laisser place a la vision de My'on. Le coeur d'Hareen fit un bond dans sa poitrine, presque douloureux, ce moment, elle l'avait autant voulu qu'elle en avait eu peur. Elle demeura silencieuse, remettant correctement son petit haut habituel qui lui arrivait en dessous de la poitrine. La jeune Cathar ne cachait pas son etat, car elle n'avait aucune envie de le faire et avait fait des choix vis a vis de ça.
-Je vais rejoindre Simba, je vous laisse entre vous. Si jamais tu as besoin, j'suis pas bien loin!
Sans même laisser lui laisser le temps de répondre, la Farghul disparissait du champ de vision d'Hareen, bientot ne restait plus de sa presence que les loin cliquetit de ses différents bijoux les uns contre les autres.
Le regard mordoré se porta sur le regard de l'autre Cathar, incapable de dire quelque chose. Elle déglutit, attrapant l'un de ses bras pour occupée au moins une de ces mains, avant de souffler:
-My'on.
Modifié en dernier par Hareen le mer. 7 sept. 2016 16:52, modifié 1 fois.
On devrait tous être légèrement improbable, car vivre est la chose la plus rare au monde, la plupart des gens ne font qu'exister.