- dim. 27 oct. 2019 19:37
#36305
Bastion,
Plate-forme 4X-GKD8
« Il est encore temps de renoncer à cette mission, Kanos. » Kanos ? Kanos, un nom qui persistait encore sur cette plate-forme. On déchargeait son barda depuis une seule demi-palette anti-grav, et des techniciens terminaient de préparer son vaisseau. Un vaisseau qui paraissait grotesque, ici. Hors de propos.
L'armure rouge, lustrée, était empaquetée dans un beau linge en lin beige, derrière son siège. Des provisions, des pièces de rechange. Sa lame double restait avec lui. Et son blaster était devenu un Merr-Sonn de sport, le genre porté par les Chasseurs de Primes.
Chasseur de Primes. Ainsi était-il devenu. « Je suis Kenix Kil. » Astellan ne broncha pas. « Renoncez, il est encore temps. J'enverrai quelqu'un d'autre. Ou même personne. » Kanos ne répondit rien. On lui amena le reste de ses affaires. Un droïde astromécano, unité R6, matricule H7. Un modèle cher, un vrai cadeau de l'Empire. Il savait qu'il en aurait besoin pour son véhicule, confisqué depuis des années, entretenu à peu de frais pour une bonne occasion. Un X-Wing, dernier modèle, saisi lors d'une patrouille de la Bordure contre des pirates. « Ne vous sentez pas obligé d'y aller. » Kanos - Kenix - se sentit alors de répondre. « Vous prenez une mauvaise décision. C'est néanmoins la vôtre. J'obéis aux ordres de l'Empereur. - Pourquoi, une mauvaise décision ? » Kanos soupira. « Je sais pourquoi vous le faites. Vous désirez être lui. A tout point de vue. Mais je vous l'ai déjà dit. Vous n'êtes pas lui. Et vous n'avez pas à l'être. La Force ne vous apportera rien. Mais venir voir vos hommes la veille de leur départ pour leur donner le choix de renoncer à vos ordres, c'est une façon de passer pour plus faible que vous ne l'êtes. » Il continuait de charger ses affaires. Un DLT-9, des munitions, des crédits en petites plaquettes. Il avait prit des crédits impériaux. Il les ferait changer dans un astroport neutre plus tard. Un chasseur de primes travaillait un peu partout... Rien n'interdisait à un d'eux que ne travailler que dans l'Empire, avant de soudainement travailler dans les secteurs républicains. « Vador et Palpatine ont payé le prix de leur manque d'écoute et de considération. Trop en avoir, ou feindre d'en avoir, vous mènera à une mort certaine. Des mains de vos Moffs. Méfiez-vous. Vos ennemis ne sont là où vous aimeriez qu'ils soient. » Harlon siffla. « Bonne chance, Kenix Kil. Revenez avec des résultats. »
L'Empereur tourna les talons. Kanos en fut soulagé. L'Empereur se comportait un peu mieux comme un Empereur ainsi. Et surtout, il le laissait tranquille. Jax allait prendre sa place comme second et comme Garde du Corps. C'était rassurant, Jax était un homme droit et compétent pour la fonction. Peut-être trop arrogant pour son propre bien, mais fidèle. « Unité R6 donc. » L'unité pépilla joyeusement. Kanos n'avait aucune idée de comment décoder les bruits émotifs des droïdes. De toute façon, il n'allait pas s'en faire un ami. Il devait l'aider comme auxiliaire au pilotage, stocker les données qu'il accumulerait, et servir de relais intelligent avec l'Empire en cryptant les données qui iraient sur Yaga Minor. Cette unité R6 vaudrait de l'or sur le marché noir, vu ce qu'elle contenait. « Tu sais ce qu'on te demande ? » Pépillements, encore. Mais ils semblaient se vouloir affirmatifs, presque joyeux. « On va te charger sur le vaisseau. Je traduirais mieux sur le tableau de bord. » Kanos fit signe aux deux techniciens de bien placer le droïde dans son emplacement. Un bras articulé vient ventouser le socle du petit droïde roulant, le plaçant en lévitation pendant un court moment, avant de le faire habiter son réceptacle qui allait devenir sa nouvelle maison. Kanos s'assura de quelques détails et se prépara à partir. « Vous ne voulez pas plus de monnaie pour votre mission, en plus de la ligne illimitée ouverte par l'Empereur ? Vous risquez de devoir mendier pour payer vos faux-frais si vous n'avez pas de terminal bancaire à disposition. » Kanos secoua la tête. « Je suis chasseur de primes. Si je tombe vraiment à court, je traquerai quelques acquisitions. » Il finit - enfin - par monter dans son vaisseau. Le droïde pépilla gaiement, cette fois en étant traduit. *Quelle trajectoire dois-je calculer ?* « Direction Dathomir. »
Le droïde était resté calme durant le voyage. Piloter un X-Wing n'était pas désagréable. Ce qu'il détestait avec les TIE, c'était l'absence de protection contre la pression spatiale. Les combinaisons de pilotage impériales gardaient les hommes en vie dans le vide pendant un bon moment. Mais le bruit du respirateur et l'odeur de sueur macérée était insupportable. Le casque simple et le simple harnais qui le ceinturait à son siège étaient loin d'être encombrants. Les outils et fonctions, l'armement, la vitesse, et l'hyperpropulsion étaient des bonus qui manquaient dans l'Empire. Même s'il savait pourquoi les TIE n'étaient pas équipés de moteurs hyperdrive. La version officielle disait que l'Empire s'imposait par le nombre, et que pour payer de nombreux modèles, il fallait rogner sur les coûts. Ce qui n'était pas, à proprement parler, un mensonge. La version officieuse, considérée comme "obséquieuse" voire "rebelle", c'était que les officiers voulaient éviter les désertions en forçant les pilotes à revenir à leur vaisseau d'embarquement...
Mais l'inconvénient de son vaisseau, c'était de n'être "pas" impérial. « * Contrôle de Dathomir. Transmettez votre code d'atterrissage, ou préparez-vous à être pris pour cible. * » Classique. Dathomir n'était pas une destination de tourisme. Le monde était verrouillé, compte tenu de sa nature... particulière. « Contrôle, ici Eclat de Brume, transmission. » Les Renseignements lui avaient tout fourni. Le transpondeur était enregistré sur Frésia, pour Kenix Kil, chasseur de prime à jour de ses cotisations pour les droits de chasse dans 95% des territoires galactiques. « * Eclat de Brume, code confirmé. Dirigez-vous vers la plate-forme 3-4-X-7. Transmission des coordonnées. * »
Amorçant une bonne descente, il traversa une épaisse couche de nuages, en direction du seul centre civilisé de la planète : un avant-poste impérial, reconverti hâtivement en bourgade. Les coordonnées fournies lui permirent de s'orienter sans trop de mal, des grésillements dans son intercom indiquant que la liaison restait active, et que le contrôleur se tenait prêt à lui indiquer des déviations si le besoin s'en faisait sentir. Finalement il termina sa traversée.
Être arrivé ne rassura pas Kanos. Tout semblait respirer le malaise ici. La planète entamait son cycle nocturne, mais quelque chose lui disait qu'il n'aimerait pas particulièrement voir à quoi ressemblait le plein jour. Il posa son vaisseau sur un marquage imprécis fait de lumières vives plantées dans la boue, prenant soin de prendre son sac, qui contenait son armure, son armement et quelques outils, qu'il ne voulait pas laisser à portée de voleurs nocturnes. « Si un intrus tente quelque chose, préviens moi sur mon comlink. » Le droïde pépilla, visiblement inquiet. « Non, tu restes ici et tu gardes le vaisseau. Je reviens demain. » Au bas de sa rampe, il atterrit dans une flaque de boue, et dut marcher comme un SwampTrooper pour se diriger vers le premier chemin sec, en planches de bois saillantes qui formaient un genre de chemin piéton serpentant entre chaque bâtiment. Il aperçut ce qui ressemblait à une Cantina. Le lieu incontournable pour avoir quelques informations ici. Il termina d'y entrer et put se faire une idée de la vie qui régnait ici. La cantina était pleine au quart de ses capacités, à peine. La clientèle majoritaire était constituée de groupes de sous-officiers impériaux en tablées de quatre à six personnes, les femmes complètement écrasée numériquement, quelques zabraks en tenues de travail, et des solitaires aux allures d'auto-entrepreneurs, incluant contrebandiers, chasseurs de prime, chasseurs tout court et des mécanos. Kanos ne parut pas faire tâche et n'attira pas plus l'attention qu'il l'aurait pensé. « Hey hey hey, voyageur ! » Kanos aperçut le comptoir, et derrière, un Besalisk vêtu d'un gilet et d'une prothèse oculaire. « Le chemin a du être long pour que vous veniez ici. » Kanos s'approcha et tira une plaquette de crédit de sa poche. « J'aurais besoin d'une chambre pour la nuit. - Ca tombe bien, il m'en reste une seule... Pas la moins chère par contre... héhéhé... bien pour ça qu'elle reste disponible. Pour 100 crédits la nuit. - C'est cher. » Le Besalisk prit néanmoins la plaquette. « C'est la seule disponible en ville. » De ses deux mains du haut, il prit un registre et un crayon. De ses deux mains du bas, il nettoyait des verres. « A quel nom je mets la petite merveille ? - Kenix Kil. » Ke... nix... Kil. « Suivez-moi je vais vous la montrer. »
Le Besalisk laissa ses objets, passa un torchon par-dessus son épaule et commença à se dandiner vers une clef pendue au mur de derrière, avant de boiter vers l'escalier qui montait à l'étage. « Elle est souvent inoccupé, ça évite les odeurs des précédents clients... Les cellules à bas prix sont souvent louées par des togoriens ou des wookiees, les odeurs ne partent jamais vraim... - Hep là, Drexxl ! » Kanos et le.. Drexxl, se tournèrent vers un impérial, visiblement un peu ivre, qui se dirigeait vers eux, un sourire mauvais aux lèvres. « Tu nous présentes pas ton nouveau client ? »
Plate-forme 4X-GKD8
« Il est encore temps de renoncer à cette mission, Kanos. » Kanos ? Kanos, un nom qui persistait encore sur cette plate-forme. On déchargeait son barda depuis une seule demi-palette anti-grav, et des techniciens terminaient de préparer son vaisseau. Un vaisseau qui paraissait grotesque, ici. Hors de propos.
L'armure rouge, lustrée, était empaquetée dans un beau linge en lin beige, derrière son siège. Des provisions, des pièces de rechange. Sa lame double restait avec lui. Et son blaster était devenu un Merr-Sonn de sport, le genre porté par les Chasseurs de Primes.
Chasseur de Primes. Ainsi était-il devenu. « Je suis Kenix Kil. » Astellan ne broncha pas. « Renoncez, il est encore temps. J'enverrai quelqu'un d'autre. Ou même personne. » Kanos ne répondit rien. On lui amena le reste de ses affaires. Un droïde astromécano, unité R6, matricule H7. Un modèle cher, un vrai cadeau de l'Empire. Il savait qu'il en aurait besoin pour son véhicule, confisqué depuis des années, entretenu à peu de frais pour une bonne occasion. Un X-Wing, dernier modèle, saisi lors d'une patrouille de la Bordure contre des pirates. « Ne vous sentez pas obligé d'y aller. » Kanos - Kenix - se sentit alors de répondre. « Vous prenez une mauvaise décision. C'est néanmoins la vôtre. J'obéis aux ordres de l'Empereur. - Pourquoi, une mauvaise décision ? » Kanos soupira. « Je sais pourquoi vous le faites. Vous désirez être lui. A tout point de vue. Mais je vous l'ai déjà dit. Vous n'êtes pas lui. Et vous n'avez pas à l'être. La Force ne vous apportera rien. Mais venir voir vos hommes la veille de leur départ pour leur donner le choix de renoncer à vos ordres, c'est une façon de passer pour plus faible que vous ne l'êtes. » Il continuait de charger ses affaires. Un DLT-9, des munitions, des crédits en petites plaquettes. Il avait prit des crédits impériaux. Il les ferait changer dans un astroport neutre plus tard. Un chasseur de primes travaillait un peu partout... Rien n'interdisait à un d'eux que ne travailler que dans l'Empire, avant de soudainement travailler dans les secteurs républicains. « Vador et Palpatine ont payé le prix de leur manque d'écoute et de considération. Trop en avoir, ou feindre d'en avoir, vous mènera à une mort certaine. Des mains de vos Moffs. Méfiez-vous. Vos ennemis ne sont là où vous aimeriez qu'ils soient. » Harlon siffla. « Bonne chance, Kenix Kil. Revenez avec des résultats. »
L'Empereur tourna les talons. Kanos en fut soulagé. L'Empereur se comportait un peu mieux comme un Empereur ainsi. Et surtout, il le laissait tranquille. Jax allait prendre sa place comme second et comme Garde du Corps. C'était rassurant, Jax était un homme droit et compétent pour la fonction. Peut-être trop arrogant pour son propre bien, mais fidèle. « Unité R6 donc. » L'unité pépilla joyeusement. Kanos n'avait aucune idée de comment décoder les bruits émotifs des droïdes. De toute façon, il n'allait pas s'en faire un ami. Il devait l'aider comme auxiliaire au pilotage, stocker les données qu'il accumulerait, et servir de relais intelligent avec l'Empire en cryptant les données qui iraient sur Yaga Minor. Cette unité R6 vaudrait de l'or sur le marché noir, vu ce qu'elle contenait. « Tu sais ce qu'on te demande ? » Pépillements, encore. Mais ils semblaient se vouloir affirmatifs, presque joyeux. « On va te charger sur le vaisseau. Je traduirais mieux sur le tableau de bord. » Kanos fit signe aux deux techniciens de bien placer le droïde dans son emplacement. Un bras articulé vient ventouser le socle du petit droïde roulant, le plaçant en lévitation pendant un court moment, avant de le faire habiter son réceptacle qui allait devenir sa nouvelle maison. Kanos s'assura de quelques détails et se prépara à partir. « Vous ne voulez pas plus de monnaie pour votre mission, en plus de la ligne illimitée ouverte par l'Empereur ? Vous risquez de devoir mendier pour payer vos faux-frais si vous n'avez pas de terminal bancaire à disposition. » Kanos secoua la tête. « Je suis chasseur de primes. Si je tombe vraiment à court, je traquerai quelques acquisitions. » Il finit - enfin - par monter dans son vaisseau. Le droïde pépilla gaiement, cette fois en étant traduit. *Quelle trajectoire dois-je calculer ?* « Direction Dathomir. »
Le droïde était resté calme durant le voyage. Piloter un X-Wing n'était pas désagréable. Ce qu'il détestait avec les TIE, c'était l'absence de protection contre la pression spatiale. Les combinaisons de pilotage impériales gardaient les hommes en vie dans le vide pendant un bon moment. Mais le bruit du respirateur et l'odeur de sueur macérée était insupportable. Le casque simple et le simple harnais qui le ceinturait à son siège étaient loin d'être encombrants. Les outils et fonctions, l'armement, la vitesse, et l'hyperpropulsion étaient des bonus qui manquaient dans l'Empire. Même s'il savait pourquoi les TIE n'étaient pas équipés de moteurs hyperdrive. La version officielle disait que l'Empire s'imposait par le nombre, et que pour payer de nombreux modèles, il fallait rogner sur les coûts. Ce qui n'était pas, à proprement parler, un mensonge. La version officieuse, considérée comme "obséquieuse" voire "rebelle", c'était que les officiers voulaient éviter les désertions en forçant les pilotes à revenir à leur vaisseau d'embarquement...
Mais l'inconvénient de son vaisseau, c'était de n'être "pas" impérial. « * Contrôle de Dathomir. Transmettez votre code d'atterrissage, ou préparez-vous à être pris pour cible. * » Classique. Dathomir n'était pas une destination de tourisme. Le monde était verrouillé, compte tenu de sa nature... particulière. « Contrôle, ici Eclat de Brume, transmission. » Les Renseignements lui avaient tout fourni. Le transpondeur était enregistré sur Frésia, pour Kenix Kil, chasseur de prime à jour de ses cotisations pour les droits de chasse dans 95% des territoires galactiques. « * Eclat de Brume, code confirmé. Dirigez-vous vers la plate-forme 3-4-X-7. Transmission des coordonnées. * »
Amorçant une bonne descente, il traversa une épaisse couche de nuages, en direction du seul centre civilisé de la planète : un avant-poste impérial, reconverti hâtivement en bourgade. Les coordonnées fournies lui permirent de s'orienter sans trop de mal, des grésillements dans son intercom indiquant que la liaison restait active, et que le contrôleur se tenait prêt à lui indiquer des déviations si le besoin s'en faisait sentir. Finalement il termina sa traversée.
Être arrivé ne rassura pas Kanos. Tout semblait respirer le malaise ici. La planète entamait son cycle nocturne, mais quelque chose lui disait qu'il n'aimerait pas particulièrement voir à quoi ressemblait le plein jour. Il posa son vaisseau sur un marquage imprécis fait de lumières vives plantées dans la boue, prenant soin de prendre son sac, qui contenait son armure, son armement et quelques outils, qu'il ne voulait pas laisser à portée de voleurs nocturnes. « Si un intrus tente quelque chose, préviens moi sur mon comlink. » Le droïde pépilla, visiblement inquiet. « Non, tu restes ici et tu gardes le vaisseau. Je reviens demain. » Au bas de sa rampe, il atterrit dans une flaque de boue, et dut marcher comme un SwampTrooper pour se diriger vers le premier chemin sec, en planches de bois saillantes qui formaient un genre de chemin piéton serpentant entre chaque bâtiment. Il aperçut ce qui ressemblait à une Cantina. Le lieu incontournable pour avoir quelques informations ici. Il termina d'y entrer et put se faire une idée de la vie qui régnait ici. La cantina était pleine au quart de ses capacités, à peine. La clientèle majoritaire était constituée de groupes de sous-officiers impériaux en tablées de quatre à six personnes, les femmes complètement écrasée numériquement, quelques zabraks en tenues de travail, et des solitaires aux allures d'auto-entrepreneurs, incluant contrebandiers, chasseurs de prime, chasseurs tout court et des mécanos. Kanos ne parut pas faire tâche et n'attira pas plus l'attention qu'il l'aurait pensé. « Hey hey hey, voyageur ! » Kanos aperçut le comptoir, et derrière, un Besalisk vêtu d'un gilet et d'une prothèse oculaire. « Le chemin a du être long pour que vous veniez ici. » Kanos s'approcha et tira une plaquette de crédit de sa poche. « J'aurais besoin d'une chambre pour la nuit. - Ca tombe bien, il m'en reste une seule... Pas la moins chère par contre... héhéhé... bien pour ça qu'elle reste disponible. Pour 100 crédits la nuit. - C'est cher. » Le Besalisk prit néanmoins la plaquette. « C'est la seule disponible en ville. » De ses deux mains du haut, il prit un registre et un crayon. De ses deux mains du bas, il nettoyait des verres. « A quel nom je mets la petite merveille ? - Kenix Kil. » Ke... nix... Kil. « Suivez-moi je vais vous la montrer. »
Le Besalisk laissa ses objets, passa un torchon par-dessus son épaule et commença à se dandiner vers une clef pendue au mur de derrière, avant de boiter vers l'escalier qui montait à l'étage. « Elle est souvent inoccupé, ça évite les odeurs des précédents clients... Les cellules à bas prix sont souvent louées par des togoriens ou des wookiees, les odeurs ne partent jamais vraim... - Hep là, Drexxl ! » Kanos et le.. Drexxl, se tournèrent vers un impérial, visiblement un peu ivre, qui se dirigeait vers eux, un sourire mauvais aux lèvres. « Tu nous présentes pas ton nouveau client ? »