L'Astre Tyran

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Mantessa est une planète inhabitée, sans grands intérêts situé en dehors de voie hyperspatiale. Oubliée, elle est juste une planète parmi tant d’autres. Sur son sol, de grandes forêts chaudes s’étendent à perte de vue. La faune de ses zones est sauvage et dangereuse. Seules les zones côtières paraissent quelque peu accueillantes, à la rencontre de bois de palmier et d’eau limpide.
Contrôle : Nouvelle République
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By Maya Tega
#28252


Dans un long couloir métallique, Alayna courrait à toute vitesse. Son souffle fort soulignait l’effort qu’elle était en train de réaliser. Concentrée dans sa course, elle entendait à peine cette voix qui répétait une phrase en boucle. Quant à l’éclairage rougeâtre du couloir, il ne la dérangeait aucunement. Non. Elle continuait d’avançait, le long de ce couloir dans lequel résonnait le bruit de chacun de ses pas. Tournant dans une intersection, elle accéléra de plus belle. Pour la première fois, elle rencontra un homme à l’uniforme gris qu’elle évita de justesse. La jeune fille était tellement obnubilée par sa course qu’elle en oubliait de regarder devant elle.

Peu à peu, de plus en plus de ses ombres drapaient de gris apparaissaient sur son passage. Slalomant entre ses silhouettes, elle tenta de les détailler. Pourtant, malgré ses efforts, elle se révélait incapable d’identifier le moindre visage, ni même d’apporter une quelconque précision sur les habits que tous portaient. Elle tachait juste de ne pas les percuter. Ni eux, ni le sol qu’elle semblait survolait dans sa course effréné.

Plus elle avançait, et plus le couloir semblait s’emplir. Des ombres courraient elles aussi à présent. Chaque intersection révélait un spectacle digne d’une véritable fourmilière. Arrivait soudainement devant l’entrée de ce qui semblait être une grande salle, elle ralenti, allant jusqu’à s’arrêter. Une question lui travers soudainement l’esprit.

Où était-elle ? Pourquoi courait-elle ? Tenta de regarder de toute part, Alayna ne distinguait rien d’identifiable. Rien qu’elle ne connaissait déjà. Elle n’avait aucun repère dans cette intersection de couloir sombre. Comme pour ses silhouettes, elle ne distinguait rien de particulier.


« Ordre de bataille confirmé ! Tous les membres d’équipages sont attendus à leur poste ! Ordre de bataille confirmé ! Tous les membres d’équipages sont attendus à leur poste ! »

Pour la première fois, le message que diffusaient en boucle les hauts parleurs du corridor était audible. Cette phrase ne fit que rajoutait de l’incompréhension chez la jeune fille. Une bataille…un poste…comment était-ce possible ? Sans réellement contrôler son corps, elle pénétra alors dans la grande salle sans avoir plus de réponse. Machinalement, elle prit place derrière un pupitre de commande. A plusieurs reprises, Alayna avait tenté d’arrêter ses gestes. Elle avait essayé de reprendre le contrôle de ses jambes mais rien n’y faisait. Comme hypnotisé, elle avait avancée jusqu’à celle console de contrôle.

A présent, s’était ses doigts qui pianotait sur les touches de manière automatique. Des données s’affichèrent, mais elle n’y prêta pas vraiment attention. Seul un son lui parvint. Une phrase prononcée par une voix graves, inhumaines. Une voix artificielle.


« Déclenchez l’opération Amiral »


Alayna aurait voulu se tournait pour voir celui qui avait prononcé ces mots avec tant de nonchalance. Pourtant, une fois de plus, son corps refusa de lui obéir. D’autres voix se firent entendre. Elle distribuer des ordres à la volées. Des paramètres, des chiffres, des coordonnées. Réagissant à l’un d’eux, les doigts de la jeune fille s’activèrent sur la console. Elle remarqua à l’instant que la main n’avait plus rien à voir avec la sienne. Celle qui pianotait sur le clavier de contrôle était large, grosse, et rougit. Que ce passait il ? Qui tapait à présent sur son clavier ?

Les donnaient chiffrées de l’écran holographique furent remplacer par l’image d’une planète. Elle mit un certain temps à la reconnaitre sans ses couleurs vertes et bleues chatoyantes. Elle distinguait en revanche les continents, les océans, et son esprit devinait les chaines de montagnes et les lacs entouraient de foret verdoyante. Oui, Chandrila se tenait devant ses yeux.


« A mon commandement. »


La voix donneuse d’ordre avait obtenu de manière immédiate le silence le plus complet dans la salle de commande. Les doigts avaient cessés de pianotait sur la console. Une importante tension avait saisi le pont du navire.

« Feu ! »


La main s’activa de nouveau et de multiples bruits sourds se firent entendre. Quand son regard quitta enfin l’écran qu’elle fixait depuis son arrivée, elle aperçut par une large baie vitrée de longues trainées lumineuse qui s’élançait vers la surface d’une planète. Comme sur l’holo-écran, elle reconnut rapidement sa terre natale. Quant au trait de lumière qui s’apprêtait à impacté le sol…

« Non ! »


Comme si elle venait de comprendre soudainement, elle émit quelques paroles. Presque chuchotés.

« NON ! »


Le mot était cette fois un véritable cri. C’était impossible. Non. Pas ça. Elle voulait bouger, pianotait de nouveau sur la console pour annuler l’ordre qu’elle venait de transmettre à l’ensemble de la flotte impériale. Mais ses doigts refusaient de bouger du moindre centimètre. Son regard ne voulait pas se détourner de cette horrible spectacle qu’elle se voyait obliger de contempler. En trois point de la planète, les tirs avaient allumé des foyers qui, même d’ici, brillaient de mille feux.

« NON ! NON ! NON ! »


Elle voulait se débattre. Elle voulait donner un coup à cette commande devant elle. Elle voulait détruire. Détruire cette console, cette salle, ce navire. Elle ne supportait plus de voir ses feux s’allumer à la surface de sa planète. Doucement, dans sa colère, des larmes commencèrent à couler sur ses joues. Elle n’en pouvait plus. Sa tristesse et sa haine était-elle qu’elle aurait tué tous ceux qui étaient là sur le champ si ses mains avaient accepté ses ordres. Mais plus elle se débattait, plus le horrible spectacle gagnait en intensité. La jeune fille était condamné à regardait son monde s’embraser…Elle voulait que tout s’arrête. D’une manière ou d’une autre elle voulait lever les yeux de cet horrible tableau. Dans un élan de colère, elle donna un coup de poing dans cette console…

Et fut saisit par la douleur de l’impact. Sur ses joues, elle sentait toujours ses larmes coulaient, mais elle n’entendait plus ni le message, ni les voix inhumaines annonciatrice de mort. Alayna mis quelque secondes à comprendre qu’elle était allongée. Elle n’était pas sur un destroyer de l’empire. Non, la jeune fille discernait dans la pénombre sa chambre, dans la villa construite par Maya sur Mantessa. Aucune console, aucun écran n’était en vue. Elle porta sa main sur ses joues, pour effacer les larmes qui roulaient sur son visage mais le contact provoqua un grognement de douleur. Allumant une faible lumière, elle put distinguer sur sa main une légère coupure et une large zone qui semblait contusionnée.

Son cauchemar avait été assez intense pour qu’elle frappe avec violence sa table de nuit. Assez intense également pour provoquer chez elle sueurs froides et pleurs. Mais il ne s’agissait que d’un cauchemar. Une apparition fantomatique vide de sens en plein nuit. La fatigue d’ailleurs la frappait autant que la douleur qu’elle ressentait à son poignée.

Il lui fallait essayer d’oublier, de dormir de nouveau avant le jour nouveau. Elle replia en boulle son oreiller et tacha de fermer les yeux pour replonger au plus vite dans un sommeil salvateur. Mais rien de vint. Juste cette image imprimée sur sa rétine. Celle d’une Chandrila complètement ravagée par les tirs impériaux. Celle qu’elle pouvait facilement associer à la mort de ses parents et à l’enlèvement de Jeny. Une image qui l’empêcha longtemps de retrouver les bras de Morphée. La fin de la nuit fut courte pour la jeune fille. A cet instant, ce simple cauchemar, aussi troublant soit-il ne semblait être qu’un cauchemar d’enfant. Une ombre habituellement dans le ciel naïf de l’enfance. Mais Alayna n’était plus une enfant. Et ce cauchemar n’était pas qu’une ombre. Il était un monstre. Un monstre capable de la dévorer et d’entrainer dans son sillage un fragile équilibre.



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