- jeu. 2 juin 2016 20:02
#22862
Corellia...joyeux du Noyau, fierté des corelliens et patrie de la bière corellienne. La planète avait tous ce qu'il fallait pour plaire au visiteur de passage, et Valerian ne regrettait que deux choses en venant ici. Premièrement n'être justement que de passage, et ne pas pouvoir profiter de toutes les choses merveilleuses que proposait la planète au visiteur de passage, mais là je radote, deuxièmement que son premier voyage dans le Noyau depuis son départ pour Carida puis Bastion soit pour cette planète, certes remarcables, plutôt que pour sa patrie Anaxes. Et puis Corellia était un Monde "républicain", l'un de ces immondes rebelles qui avaient conspirés contre le juste régime Impérial.
Bon...finalement cela faisait trois choses que Valerian regrettait....finalement.
Ces contrariétés mises à part le jeune sous lieutenant de l'Empire, pardon des Vestiges de l'Empire, quatre regrets, avançait d'un pas assez désinvolte en sortant du transport civil qui l'avait amené ici.
Bien entendue, il n'avait pas été possible de faire le trajet en ligne droite depuis le Nord Impérial, pensez vous. Valerian avait été contraint d'aller ce poser dans un trou perdu, boueux et visqueux du Secteur tenue par les Hutts afin de prendre un transport qui allait l'amener sur un Monde reculé et très mineur de la Nouvelle République.
Ce Monde, ininteressant ici, avait permit à l'officier impérial porteur d'une fausse identité et de vêtement civil de s'insérer au sein de l'espace républicain sans éveiller l'attention.
Les contrôles étant traditionnellement plus sévères à l'endroit des vaisseaux provenant de Mondes autres que ceux de la Nouvelle République, ont surveilles ces voicins davantage que ces amis, l'arrivée sur Corellia depuis ce dit Monde permettait de diminuer les risques.
Son blaster DH-17 hors de vue sous sa veste mais non hors d'atteinte, Valerian avançait au sein d'une allée empiérée à l'ancienne, un anachronisme de plus auquel les corelliens semblaient tant tenir, bordée de colonnes, arbres et fontaines. Des humains et non humains allaient et venaient alentours, ici ou là une patrouille de police, dans l'insouciance la plus totale. Nul ne prêtait attention, semblait il, à l'agent impérial qui évoluait en leur sein...mais à leur décharge rien ne laissait paraitre que Valerian en était un...et celui ci ne manigançait, pour l'heure, rien de particulier.
Sur une planète inconnue, trouver quelque chose de précie peux relever de la gageur. Plus encore quand il s'agit d'un "vieux" Monde du Noyau.
Mais la Corporation Technique Corellienne, et bien s'était un peux comme le loup blanc. Connue de tous et trouvable par tous. Ces spots publicitaires ventant la qualité de vaisseaux dont même Sienar ou les Chantiers Navals de Kuat ne pouvaient toujours égaler, vous trouvaient où que vous soyez.
Valerian trouva donc sans mal un point de vente. Dans la société galactique moderne, vous aviez le choix. Vous pouviez parler à un vendeur en chair et en os, un programe holographique ou simplement faire des recherches sur une bornes. L'agent impérial choisit une simple borne afin de demeurer plus discret.
Ce qu'il recherchait n'avait absolument rien d'illégal. Pour le citoyen républicain qu'il s'efforçait d'être sans l'être, tout du moins.
En effet il recherchait un vieux transport de troupe CR-25. Une relique de la guerre des clones et d'un temps où les troupes de choc de la République avaient un cerveau en état de marche. Valerian ne regrettait guère ces clones trop facilement endoctrinable, comble de l'ironie, et donc retournable. Sauf pour leur adresse au tir, là le stormtrooper de base avait encore du progrès à faire. Sans doute avait il fallut faire un choix. Un tueur sans cervelle mais obéissant, et à la précision relative, ou un as de la gachette avec des principes. L'Emprie avait choisit. Et si un stormtrooper pouvait manquer sa cible, le régiment qui suivait avait de grande chance de toucher, après tout. L'arythmétique, ça aide parfois.
Le CR-25 quand à lui était un choix assez simple. L'Empire produisait plétore de vaisseaux efficaces et mortelles, et à tire larigot. Mais le CR-25 avait bien des avantages.
D'une part il était passé de mode depuis des décennies. Il demeurait donc peux identifiable et n'attirerait que moyennement l'attention. D'autre part il était de facture corellienne, et cela seul suffisait à plaider sa cause. Robustesse, modularité, facilité d'entretiens, les avantages pleuvaient.
Sa conception militaire d'un autre côté le rendait appréciable pour des missions...et bien militaires justement, en particulier sa capacité d'emport.
Sa petite taille servait elle aussi sa discrétion.
Valerian, depuis la console publique de commande, recherchait donc dans l'inventaire CTC si un de ses engins n'était pas encore disponible.
Il y avait fort à parier que cela ne soit pas le cas, difficile de croire que la corporation en produirait encore maintenant, mais sans doute cette dernière gardait elle trace de ces ventes. Peut être des acheteurs passés existaient ils, voir des appareils pouvaient avoir été envoyés à la casse.
En gros il recherchait, conscient que les prix ne seraient pas forcément dans les siens mais...ses patrons, via des comptes annexes, pourraient certainement financer ce genre de matériel...
Bon...finalement cela faisait trois choses que Valerian regrettait....finalement.
Ces contrariétés mises à part le jeune sous lieutenant de l'Empire, pardon des Vestiges de l'Empire, quatre regrets, avançait d'un pas assez désinvolte en sortant du transport civil qui l'avait amené ici.
Bien entendue, il n'avait pas été possible de faire le trajet en ligne droite depuis le Nord Impérial, pensez vous. Valerian avait été contraint d'aller ce poser dans un trou perdu, boueux et visqueux du Secteur tenue par les Hutts afin de prendre un transport qui allait l'amener sur un Monde reculé et très mineur de la Nouvelle République.
Ce Monde, ininteressant ici, avait permit à l'officier impérial porteur d'une fausse identité et de vêtement civil de s'insérer au sein de l'espace républicain sans éveiller l'attention.
Les contrôles étant traditionnellement plus sévères à l'endroit des vaisseaux provenant de Mondes autres que ceux de la Nouvelle République, ont surveilles ces voicins davantage que ces amis, l'arrivée sur Corellia depuis ce dit Monde permettait de diminuer les risques.
Son blaster DH-17 hors de vue sous sa veste mais non hors d'atteinte, Valerian avançait au sein d'une allée empiérée à l'ancienne, un anachronisme de plus auquel les corelliens semblaient tant tenir, bordée de colonnes, arbres et fontaines. Des humains et non humains allaient et venaient alentours, ici ou là une patrouille de police, dans l'insouciance la plus totale. Nul ne prêtait attention, semblait il, à l'agent impérial qui évoluait en leur sein...mais à leur décharge rien ne laissait paraitre que Valerian en était un...et celui ci ne manigançait, pour l'heure, rien de particulier.
Sur une planète inconnue, trouver quelque chose de précie peux relever de la gageur. Plus encore quand il s'agit d'un "vieux" Monde du Noyau.
Mais la Corporation Technique Corellienne, et bien s'était un peux comme le loup blanc. Connue de tous et trouvable par tous. Ces spots publicitaires ventant la qualité de vaisseaux dont même Sienar ou les Chantiers Navals de Kuat ne pouvaient toujours égaler, vous trouvaient où que vous soyez.
Valerian trouva donc sans mal un point de vente. Dans la société galactique moderne, vous aviez le choix. Vous pouviez parler à un vendeur en chair et en os, un programe holographique ou simplement faire des recherches sur une bornes. L'agent impérial choisit une simple borne afin de demeurer plus discret.
Ce qu'il recherchait n'avait absolument rien d'illégal. Pour le citoyen républicain qu'il s'efforçait d'être sans l'être, tout du moins.
En effet il recherchait un vieux transport de troupe CR-25. Une relique de la guerre des clones et d'un temps où les troupes de choc de la République avaient un cerveau en état de marche. Valerian ne regrettait guère ces clones trop facilement endoctrinable, comble de l'ironie, et donc retournable. Sauf pour leur adresse au tir, là le stormtrooper de base avait encore du progrès à faire. Sans doute avait il fallut faire un choix. Un tueur sans cervelle mais obéissant, et à la précision relative, ou un as de la gachette avec des principes. L'Emprie avait choisit. Et si un stormtrooper pouvait manquer sa cible, le régiment qui suivait avait de grande chance de toucher, après tout. L'arythmétique, ça aide parfois.
Le CR-25 quand à lui était un choix assez simple. L'Empire produisait plétore de vaisseaux efficaces et mortelles, et à tire larigot. Mais le CR-25 avait bien des avantages.
D'une part il était passé de mode depuis des décennies. Il demeurait donc peux identifiable et n'attirerait que moyennement l'attention. D'autre part il était de facture corellienne, et cela seul suffisait à plaider sa cause. Robustesse, modularité, facilité d'entretiens, les avantages pleuvaient.
Sa conception militaire d'un autre côté le rendait appréciable pour des missions...et bien militaires justement, en particulier sa capacité d'emport.
Sa petite taille servait elle aussi sa discrétion.
Valerian, depuis la console publique de commande, recherchait donc dans l'inventaire CTC si un de ses engins n'était pas encore disponible.
Il y avait fort à parier que cela ne soit pas le cas, difficile de croire que la corporation en produirait encore maintenant, mais sans doute cette dernière gardait elle trace de ces ventes. Peut être des acheteurs passés existaient ils, voir des appareils pouvaient avoir été envoyés à la casse.
En gros il recherchait, conscient que les prix ne seraient pas forcément dans les siens mais...ses patrons, via des comptes annexes, pourraient certainement financer ce genre de matériel...