L'Astre Tyran

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Taris est un monde densément peuplé, urbanisé et pollué à l'extrême. Les classes supérieures occupent les sommets des gratte-ciels tandis que les plus pauvres vivent privés de lumière dans les couches inférieures. Loin du sommet des bâtiments, la surface est principalement composée de marais nauséabonds et de champs d'épaves de vaisseaux.
Gouvernement : Empire
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By Aldrax Kist
#30604
La Sith mit finalement la main sur ce qui s’apparentait le plus à un plan. Elle le déplia et s’assit sur l’une des deux tables ornant le local, jetant un coup d’oeil curieux vers Marak. Elle identifia finalement leur éventuelle porte de sortie.

    « Visiblement c’est ici que sont gérés les égouts de Taris. Si on remonte par là on ne devrait pas croiser grand monde. Et au pire … »

D’un signe du menton, Ranath désigna l’homme saoul et inconscient. Elle tendit le plan au Zabrak pour qu’il se fasse sa propre opinion de la situation....

Marak examinait légèrement le “plan” vu de haut, par-dessus son épaule… louchant invariablement sur la poitrine de la Mirialan…malgré les odeurs, les débris, l’imagination suivait son cours. Lorsqu’elle le lui tendit, le plan papier… il n’eut d’autre choix que de s’y concentrer un peu plus concrètement…


    « Marak: Hunter appel Black one… vous me recevez ? »

    « Sam: Vous avez bien rejoint la boîte vocale du Black one, toutes nos lignes sont présentement occupées, veuillez rester en ligne pour conserver votre priorité d’appel…. Votre appel est important pour nous ! »

    « Marak: COMMENCE PAS ! »

    « Sam: C’est pire que l’armée ici, bon tu veux quoi ? »

    « Marak: On est dans la desh! on s’fait chier avec des plans papiers sûrement obsolètes pour trouver une porte de sortie… tu pourrais pas nous guider !? fait préparer une zone de quarantaine… j’ai pas envie que ce truc se propage... »

    « Sam: Sûre ! euh QUOI? vous avez y êtes allés, vous en avez trouvé ? … et vous êtes de retour… pour de vrai ?? Moi qui croyais que t’allais juste… »

    « Marak: Sam… Ta gueule veux-tu !! »

    « Sam: Bin là avec les visions et tout j’ai cru que… et Merde… j’viens de révéler ton plan cul là hein ? »

    « Marak: Sam… sors-nous de là, et ensuite c’est clair, j’t’étrippe… c’était juste une vision, comme les centaines d’autres que t’as qui ne se réaliseront jamais… alors tu te concentres, et tu nous sors de là ! »

    « Sam: ok promis j’arrête… Veuillez garder la ligne ! »

Marak posa brièvement le regard à l’endroit de Mya… haussant les épaules

    « Marak: ehehe... Les gosses ! »

    « Sam: Merci pour votre patience… je t’ai envoyé un plan sur ton récepteur avec le tracé pour la sortie discrète la plus proche… ça devrait pas poser trop de problèmes c’est une zone presque entièrement automatisée… Je suis l’évolution de votre trajet en temps réel, on va s’arranger pour que le vaisseau soit prêt à votre arrivée… Je vais également prendre contact avec “notre amie” au sein de la CSU, sur place y’a pas grand personnages notables digne d’intérêt ou ayant les compétences et la disponibilité de se pencher sur un tel projet, je me suis buté à plusieurs refus, prétextant qu’ils avaient installé un contrôle de population automatisé... »

    « Marak: Bien reçu ! Hunter out »

Apparement, cette monstruosité devait être le moyen de contrôle de population dont Sam venait de faire allusion ! … Devait-on leur dire que ce n’était pas une franche réussite ? Pour l’heure la priorité fût de poursuivre notre chemin vers la surface…

Marak regarda brièvement son poignet où un mini-holo-plan apparu, un plan comportant quelques différences notables comparé au plan trouvé par Mya, il fallait s’en douter, si près de l’anus planétaire, c’est pas ici où l’on apporterait les dernières nouveautés en matière d'ingénierie ! Le duo se refugia dans le voile de la force, comme un jeune couple ne voulant plus sortir d’en-dessous des couvertures après une nuit… “torride!”, pour une longue marche, aux détours nombreux, où Mya se concentrait plus sur la sauvegarde de l’intégrité des échantillons, alors que Marak demeurait sur ses gardes et assura leur défense…Au bout de plusieurs heures de marche, sans manger ni boire, il arrivèrent à une écoutille devant eux, et le point d’arrivé sur la minimap de Marak. Une vibration grondait tout juste au-dessus d’eux...


    « Marak: Mya est-ce que tu sens ça ?! »

    « Ranath:La seule chose que je sens, c’est… »

Marak activa le mécanisme d’ouverture de l’écoutille alors que Mya allait répondre d’une ligne rempli d’humour noir à tendance olfactif dégoûtante, mais la lumière vive de l’extérieur l’empêcha de mener sa remarque à terme… plus haut se tenait le Black one, incapable de se poser par contre… ils avaient descendu un câble pour les remonter à bord… Après une brève pause pour donner le temps aux yeux de s’habituer à la lumière vive… Marak agrippa le câble d’une main, s’arima fermement avec un pied… et de sa main libre invita Mya à prendre place également, pas question de faire deux voyages ! Elle s’approcha doucement, hésitante à savoir comment gérer le sac endommagé et s’assurer un bonne prise malgré tout ! Marak, passa son bras autour de Mya, à la hauteur de la taille, doucement il l’attira vers lui, puis avec une facilité déconcertante, d’un geste vif et sec… il la souleva du sol ! Il en profita ainsi, dans cette fraction d'apesanteur pour repositionner son bras de manière à ce que Mya dépose ses fesses sur l’avant-bras de Marak. Sa main, jadis libre, allait boucler la boucle sur le câble d’ascension. De son côté, instinctivement les jambes de Mya allèrent prendre position de chaque côté du colosse… dans une position ciseaux, les deux chevilles bouclant la boucle derrière lui, ainsi que ses deux bras trouvèrent un appuie ferme sur le torse et le cou du spécimen tout en muscles. Le sac contenant les échantillons quant à lui, faisait office de chapron, solidement coincé entre les deux… Une fois fait l’ascension commença, où Marak et Mya n’eurent d’autre choix que de regarder dans le blanc des yeux pendant les longues 15-20 secondes que dura l’ascension à bord du Black One.

Quelques beaux clichés auraient pus être entendus de la bouche de Marak en cette occasion, relatant la position suggestive dans laquelle le couple se trouva, ou un compliment bidon sur le doux parfum d’égout de la Mirialan… mais rien, seulement que le silence et un regard intense où plusieurs échanges non-verbal ont sûrement euent lieu inconsciemment, il était évident, télégraphié, que Marak avait des sentiments forts à l’égard de Mya… Ranath, peu importe! Le tout était de savoir si cette force des sentiments fût réciproque, ne serait-ce que brièvement.

Arrivé à bord du vaisseau… chacun retrouva rapidement son espace vitale… alors qu’un mini-branle-bas-de-combat était en cours autour d’eux pour passer le plus rapidement possible à la prochaine étape et s’assurer que ni Marak ou Mya, n’est été contaminé… Tout deux fûrent donc confinés à un espace restreint du vaisseaux, sommairement aménagés en espace de quarantaine…

Sam contacta avec la permission du Général le membre du Cercle issue des CSU spécifiquement, qui serait plus à même de trouver et produire une solution aux problèmes des rakgoules faisant des ravages sur Ithor, faute d’avoir trouver quelqu’un d’apte à la tâche sur place ! Aussi, Sam fit suivre la nouvelle aux autres membres du Cercle, soit pour les tenir au courant ou pour solliciter leur aide !


    « Sam: Bonjour Madame, je parle ici au nom de mon maître, le Général Koress, membre de L’Ordre Gris… il vous demande assistance pour donner suite aux problèmes d’infections de rakgoules qui fait rage sur Ithor présentement, il a réussi à trouver et ramener des échantillons potentiellement viable pour analyser et peut-être créer une solution pouvant enrayer la propagation de la maladie… Svp répondez-nous le plus vite possible ! »

Avec la permission de sa propriétaire, le poing de l’ombre serait laissé sur Taris, le temps d’une escapade pour s’assurer que personne ne soit affecté par la l’infection des rakgoules…



#30640
    Au moment où il fallut garder le silence, Marak garda le silence. Pendant vingt secondes, il ne la lâcha pas des yeux. Au point que Ranath en vint à se demander si elle devait mettre un terme à l’échange, ou soutenir hargneusement le regard du Zabrak. La fin hâtive du trajet l’empêcha de trouver une réponse à sa question muette.

    Une fois à bord du vaisseau, on isola les deux aventuriers en soute, dans un espace que l’on put confiner. La Mirialan profita de cet instant suspendu dans le temps pour s’asseoir à même le sol. Elle défit son sac à dos, constata que l’accroc n’avait pas bougé, et le posa devant elle. Elle en sortit les petits containers opaques qui leur avaient permis de ramener les échantillons nauséabonds. Sans se relever, Ranath attrapa une caisse qui trainait là et disposa les boîtes étanches dans la caisse. Son regard se posa ensuite sur la silhouette du Général, mais avant qu’elle ne put articuler un mot, la voix de Sam retentit.

      « On va lancer la décontamination. Je vous explique … On va purger l’air de la pièce dans laquelle vous vous trouvez. Trois fois, pour être sûrs. Alors à chaque phase, on envoie le gaz, vous retenez bien votre respiration, puis on purge et on remet de l’oxygène. Trente secondes pour chaque à peu près. Ca va ? »

    Pour seule réponse, Ranath haussa les épaules, ce que Sam ne put voir, n’étant pas personnellement enfermé avec eux.

      « Bon bah .. j’y .. Ah non … »

    Un silence pesant s’installa. Marak y mit un terme en sommant à Sam de s’expliquer.

      « Bah … »

    Il semblait gêné, mais une pointe d’amusement perçait dans sa voix. La Mirialan se remit sur pieds.

      « Pour que la purge soit optimale, il faudrait que … enfin que vous vous débarrassiez de vos vêtements. »

    Quoi ?

      « Sam ! »

    Le gamin enchaîna sans attendre.

      « C’est écrit dans le manuel. »

    Il n’en démordit pas.

      « Bon on va pas y passer la nuit ! Vous gardez vos sous-vêtements et voilà ! »

    La Sith jeta un regard outré au Zabrak. Elle semblait le tenir pour responsable de ce coup du sort. Écrit dans le manuel … Ce qu’il ne fallait pas entendre.

      « Et désolé, mais on cramera tout ce qui peut l’être. »

    Ranath attendit que Marak initie la procédure. Elle se tenait loin de lui, et dès qu’il eut commencé, elle se débarrassa rageusement de ses bottes, puis de sa veste qu’elle jeta tous deux sur un premier tas formé sur sa droite, avec le sac troué. Elle se défit ensuite de ceinture aux nombreuses poches. Elle en détacha ses sabres, ses dagues, sa lampe, et plaça le tout sur un second tas, à sa gauche. La Mirialan marqua une pause ponctuée d’un soupir nerveux. Du coin de l’oeil, elle surveillait le Zabrak, davantage pour s’assurer qu’il se comportait convenablement que pour se rincer l’oeil.

    Quand vint le tour du t-shirt, dévoilant une brassière on ne pouvait plus basique, Ranath se rendit compte combien il faisait froid désormais. Elle le jeta sur le tas de droite non sans lâcher un juron. Elle déboutonna ensuite son pantalon et s’en défit sans plus dire un mot. Voilà qu’elle se retrouvait pieds nus et en petite tenue, enfermée avec un Zabrak. Il y avait de quoi rire. La Sith détacha enfin le lacet qui retenait ses cheveux, et dès que Marak eut fait signe, elle interpella le gamin.

      « C’est bon, Sam. »

    Il donna le top départ. Premier cycle. Respiration bloquée. Gaz injecté. C’était encore plus froid. Ca brûlait la peau. Mais Ranath ne bougeait pas. Yeux fermés, abdomen contracté, elle attendait la fin de l’épreuve. Repos. L’oxygène vint remplir à nouveau ses poumons. Elle put souffler, quelques secondes durant. Deuxième cycle. Respiration bloquée. Gaz injecté. Chaque cycle ne durait pas plus de trente secondes. Mais c’était suffisant pour imaginer tout un tas de situations bien plus commodes. Une douche n’aurait-elle pas suffit ? Repos. Troisième cycle. Fin.

    Le gamin annonça que commençait le scan de la pièce. Quand tout cela fut fini, on laissa Ranath sortir et gagner une cabine de douche. Enfin seule. Elle se mit sous l’eau sans prendre la peine de se déshabiller. Le contact de l’eau était brûlant, particulièrement au niveau de la longue cicatrice qui courait le long de son dos. Après quelques minutes, et c’est bien quelques minutes qu’il fallut pour s’habituer à la désagréable sensation qui piquait sa peau, la Mirialan se débarrassa de ses sous-vêtements, elle les laissa traîner à ses pieds. Elle en avait oublié Taris, les goules, le gamin et Marak.
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By Aldrax Kist
#30653
    « Sam:Pour que la purge soit optimale, il faudrait que … enfin que vous vous débarrassiez de vos vêtements. »

    « Ranath:Sam ! »

Le gamin enchaîna sans attendre.

    « Sam:C’est écrit dans le manuel !! »

Il n’en démordit pas.

    « Sam:Bon on va pas y passer la nuit ! Vous gardez vos sous-vêtements et voilà ! »

La Sith jeta un regard outré au Zabrak. Elle semblait le tenir pour responsable de ce coup du sort. Écrit dans le manuel … Ce qu’il ne fallait pas entendre.

    « Sam:Et désolé, mais on cramera tout ce qui peut l’être. »


Marak laissa transparaître un léger rictus des lèvres, c’était prévisible malgré tout ! Responsable ou pas de ce coup fumant, personne ne voulait prendre de risque… Marak donna donc l’exemple en initiant le mouvement… Les objets récupérable d’un tas, le reste alla dans la pile commune à Mya et Marak des objets à être incinérés… la plupart des vêtements y passèrent, exception faite des sous-vêtements… Laissant ainsi à découvert, ou pour Mya le loisir de découvrir, le zabrak sous son armure !

Ambiance musical

La Mirialan marqua une pause ponctuée d’un soupir nerveux. Trouvant cela anxiogène, du coin de l’oeil, elle surveillait le Zabrak, davantage pour s’assurer qu’il se comportait convenablement que pour se rincer l’oeil, elle pût minorer le tout d’une longue respiration, insufflant le calme en elle, après tout dans le pire des cas elle se retrouverais complètement nue, et elle n’avait rien à envier des autres femmes... Marak lui, souriait sereinement, devinant qu’il se faisait périodiquement épier du regard, et à juste titre, il entretenait ce corps à la base pour lui, mais aussi pour le plaisir des yeux … Les deux se tenaient presque adossé l’un à l’autre… à peine 1 mètre les séparaient… les deux adeptes de la force se suivait dans les étapes… les bottes partaient, les siennes suivait… ceintures, dagues, sabres, jumelles, datapad, pistolets… Puis vint le moment où les sens de Marak s’aiguisèrent, préférant ne pas voir ce qui ne devait être vu avant son temps, mais plutôt ressentir à travers la force ce qui pouvait l’être !

Marak entailla son T-shirt, à l’aide d’une de ses dagues, histoire de tendre l’atmosphère un peu ! ... et lentement étira les bras, déchirant ainsi le vêtement en deux, le t-shirt mourant de sa belle mort, éventré à main nue, pour être certain qu’il irait dans les flammes… mais aussi pour faire “flashy” et provoquer le regard de Mya, il pris une pose, contracta ses muscles, juste pour elle, de son dos dans toute sa splendeur, de larges épaules, une descente en “V” vers la taille, une musculature tout en masse et défini, qui laisse deviner un faible taux de graisse… Son corps est son temple, et il en est le plus fanatique des fidèles adorateurs de sa personne !

Rares sont ceux qui ont pu voir l’oeuvre-d’art des tattoos érigés sur l’ensemble du corps de Marak… Mya fût l’une des premières femmes digne d’intérêt à pouvoir arpenter les tattoos d’un regard furtif… Il a un dos, un grand dorsal, si développé, que tous les autres muscles, vus de dos, ont l’air sculptés et ferme comme le rock… le fruit d'innombrables heures d’entraînement physique, au prix d’une enfance marqué par la violence, la torture physique comme mental… L’endoctrinement impériale déteignant sur l’enseignement de sa mère et ses soeurs de la nuit… Il avait une peau grise mât, voire terne… plus foncé sur le corps en général qu’au visage où on l'aurait cru un peu plus blème… Outre plusieurs tribales inspirant soit la peur ou forçant le respect… plusieurs tattoos à caractère runique ornaient le corps de Marak. L’ancre masquait également de nombreuses cicatrices, issue d’un passé douloureux... La compréhension de ces symboles runiques était pour l’instant d’origine inconnu, un petit mystère d’une priorité et d’une curiosité moindre, seul l’esthétique de l’oeuvre était en vedette à cette instant…

Quand vint son tour pour le t-shirt, Mya dévoila une brassière on ne peut plus basique, se rendant compte par la même occasion, combien il faisait froid désormais. Elle déboutonna ensuite son pantalon et s’en défit sans plus dire un mot, alors que Marak continuait de s’amuait à tester la résistance de Mya de le toucher… ils fît bondir ses muscle de grand fessier pour attirer l’oeil, l’aguicher. Voilà que tous deux se retrouvaient pieds nus et en petite tenue, enfermés un avec l’autre !. Il y avait de quoi rire. la modestie dans sa tenue la plus humble !

Quand tout le processus fut terminé, on laissa Mya sortir en premier et gagner les quartiers diplomatiques, avec sa cabine de douche privé. Enfin seule elle pouvait enfin souffler… elle se mit sous l’eau sans prendre la peine de se déshabiller. Elle en avait oublié Taris, les goules, le Gamin et Marak.

Le colosse en avait fait tout autant, une fois le taunt terminé… il s’est retrouvé seul dans ses quartiers, sa douche privée, de nouveaux vêtements, fait sur mesure et ajusté pour garder un maximum de liberté de mouvement… Marak eut fait préparer quelques morceaux de linge féminin qui traînait dans sa garde-robe… une collection aléatoires d’anciennes conquêtes d’un soir. Marak ayant tendances à jouer dur avec les vêtements… il prévoyait le coup pour offrir une solution de rechange à ses écarts de conduites… Ce n’était pas toujours de la même mode, mais un minimum tendance et sexy ! Peut-être ne l’avait-elle pas remarquée, ainsi sur son lit était étalé ces deux ensembles à son attention, lui évitant ainsi une autre phase «anxiolytique» à se promener nue dans un vaisseau rempli de testostérone !





La suite des choses, allait encore une fois être décidé par Mya ! Marak avait accepté l’initiative de Mya pour venir sur Taris, mais rien n’a été dit clairement, le pourquoi de cette décision… était-ce un moyen d’atteindre Helera par personne interposé ? il connaissait les tensions régnants entre les deux… Par intérêt personnel ? Que cherchait-elle en fin de compte ! Une alliance, un aventure, un recrutement !? Une discussion il se devait d’avoir, tous les deux… une discussion, un débat… ou un ébat, dans le meilleur des cas ! Tout pouvait se dire, tout pouvait se faire, ou tout le monde pouvait simplement se taire ! Marak avait tout préparé dans la salle de réunion, une petite musique d’ambiance instrumentale de fond… un éclairage sobre, pas trop lumineux, ni trop sombre… Un jolie point de vue d’un astre, réchauffant naturellement l’atmosphère, contrastant avec la fraîcheur inerte du vaisseau.

Très souvent il avait souhaité la revoir, depuis ce fameux jour sur Algaus Prime… maintenant qu’elle était là, il ne souhaitait surtout pas la laisser repartir sans “rien faire”, et perdre de nouveau contact… la situation n’aidant finalement pas, toute cette agitation dans les profondeurs de Taris ne concorda pas au meilleur scénario pour… “créer des liens” trop occupé à sauver leurs peaux ! Maintenant hors d’atteinte, Marak espérait… construire quelque chose avec Mya, tout comme il avait tenté l’expérience avec Arial Organa quelques temps plutôt...

Selon l’impression de Marak, trop peu de personne sensible à la force ne prends la peine d’entretenir des liens un avec l’autre. Soit on aime ou on déteste souvent… le lightside ou le darkside…. et la confrontation semble toujours inévitable, catégorique ! Qu’en est-il de ceux pris dans l’entre-deux ? Doivent-il absolument choisir un camp ? Marak a, à sa connaissance, été un des rares spécimens à avoir côtoyé des sensibles, des deux côtés de la médaille… Le Nouvel Ordre Jedi, l’Ordre Gris, Les Soeurs de la nuits, et certains Sith indépendants… Certains ont trépassés, les esclavagistes principalement, ou change comme Mya elle-même, mais très peu prône la tolérence.

C’est bien ou mal… mais la notion de bien et de mal est aussi subjective que l’appréciation de la beauté… face à deux personnes, la beauté relative diffèrent d’une personne à l’autre… comme les actions bonnes ou mauvaises. C’est un sujet lourdement vaseux dans l’essence ! Pour l’instant… personne n’existait, confinée dans la douche, Mya profitait d’un moment amplement mérité de relaxation… plus tard elle reviendrait à la réalité, et peut-être certaines confidences pourrait donner lieu… à découvrir certaines affinités !
#30678
    La Mirialan coupa finalement l’eau. Elle s’enveloppa dans une serviette dont la longueur lui assurait un confort agréable. Elle procéda ensuite en un état des lieux de sa cabine, plus grande que la sienne dans le ventre du Poing de l’Ombre. Pauvre ami, resté sur Taris … La Sith soupira de lassitude. Son regard se posa finalement sur la couchette. Le soupir devint une injure sifflante.

      « Ils se foutent de moi. »

    Ils ? Non, Marak. Ce Zabrak trop bavard, et … Ranath s’empara de la dentelle qu’elle serra rageusement de sa main libre, l’autre tenant la serviette. Sortir comme une furie et lui jeter au visage … Le frapper jusqu’au sang … Lui arracher les yeux … Elle jeta nerveusement l’ensemble là où elle l’avait trouvé et s’assit par terre. Entre haine et peine, son coeur balançait.

    Blottie dans sa serviette, la jeune femme enfouit son visage au creux de ses bras. Ses pensées l’abandonnèrent. Ranath projeta son esprit au-delà des parois de sa cabine, dans le couloir, dans les cabines adjacentes, dans les étages. Il y avait l’équipage, qui s’activait, ici et là. Sam, ce gamin étrange qui lui semblait attaché à elle, sans savoir pourquoi il l’était. Et Marak. Il attendait. Quoi ? Aucune idée.

    La Mirialan revint à elle, se redressa, se releva. Il fallait admettre l’évidence : il avait pensé à tout, à elle, mieux qu’elle-même n’aurait pu le faire. Elle laissa finalement tomber la serviette au sol et attrapa de nouveau la dentelle. Mais Marak …

      « T’es complètement à côté de la plaque … »

    De toute façon, elle n’avait que ça à se mettre. Ou alors c’était parcourir tout le vaisseau en serviette à la recherche de sous-vêtements moins affriolants. Ça ne serait que pour quelques heures … Elle enfila l’ensemble, sans conviction. Ça ne lui plaisait pas. Non, vraiment pas. Au moins, c’était à peu près à sa taille. Mais très inconfortable. Et pas question de se battre avec ça. Le pantalon ample rattrapait un peu le tollé de la lingerie.

    Une fois habillée, Ranath quitta sa cabine, elle retourna dans le sas, là où elle avait laissé le reste de ses affaires et les échantillons. Elle constata avec satisfaction qu’on avait disposé ses armes et ses effets personnels dans une petite caisse. Tout y était. Encore heureux. Elle reporta ensuite son attention sur les petites boites. Leur contenu ne lui inspira qu’un frisson d’horreur. Elle souleva la caisse où elle les avait placé plus tôt, et se mit en quête d’un container frigorifique. Un membre de l’équipage lui indiqua l’endroit adéquat. Une fois la chose faite, la Mirialan regagna sa cabine, affaire sous le bras.

    Elle s’enferma pour quelques minutes encore, triant ses armes. Garder ou ne pas garder un sabre sous la main ? La Sith, mentalement, classait les paramètres relatifs à cette excursion. Un vaisseau qui n'était pas le sien occupé par des inconnus en qui elle ne pouvait avoir aucune confiance. On gardait le sabre. Mais … tout un chacun pourrait s’offusquer à la vue de ce sabre et en venir alors aux armes. Et alors ? Ça ne faisait aucune différence si c'était ces idiots là qui … mais il y avait le Zabrak. Peur ? Non. Une légère appréhension. Ranath laissa son sabre de côté et quitta sa cabine.

    La jeune femme gagna la salle de réunion. Marak était là, attendant. Les efforts mis en oeuvre pour créer une ambiance agréable, Ranath n’y prêta pas attention. La musique, la lumière. Rien de tout cela ne subjuguait ses sens. Elle ne jeta qu’un coup d’oeil rapide à l'impressionnante vue et s’assit en face du Zabrak qui lui aussi s’était rhabillé.

      « Ça va … ? »

    Elle dardait sur lui un regard implacable, cherchant la réponse avant même qu’il ne réponde à la question. La Mirialan soupira, laissant ses épaules retomber et son dos toucher le dossier du siège. Ses cheveux encore humides tombaient de chaque côté de son visage. Elle les rabattit en arrière.

      « A-t-on des nouvelles des CSU ? Ou de ton Ordre ? »

    Le ton employé n’avait rien de particulièrement sympathique. La Sith était venue chercher une information, rien de plus. Mais à mesure qu’elle observait le Général, elle se radoucit. Il y avait quand même des choses qui devaient être dites …

      « Tu as assuré … là bas. Tu nous as permis de sortir de ce trou. Et … je trouve que tu es un combattant … incroyable ? »

    Un sourire amusé étira ses lèvres.

      « Merci. »

    Ranath baissa les yeux un instant.

      « Et puis … »

    Son regard se posa à nouveau sur Marak, et d’un geste coordonné de ses deux mains, elle désigna les vêtements qu’elle portait.

      « Merci pour ça … Merci d’avoir pensé à ça. »

    La gêne qui s’était emparée de la Mirialan dès leur retour au vaisseau s’atténuait désormais. Elle se remémorait rapidement leur aventure tarisienne. Quelle horreur. Ils avaient pataugé dans les égouts, combattu des espèces de zombies acharnés… Et tout cela ne donnerait peut-être rien. Cela ne sauverait peut-être ni Ithor ni le Prince. Ni personne d’autre. Cette idée ne déboucherait peut-être pas sur la solution attendue. Et Helera … où était partie Helera ? Devait-on lui rendre compte de cette aventure ? Ou l’oublier, comme elle oubliait les siens …

      « Tu pourrais me raconter ce qu’il s’est vraiment passé sur Algaus Prime ? Je me souviens surtout des cadavres ... »
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By Aldrax Kist
#30690
Ambiance


La jeune femme gagna la salle de réunion. Marak était là, dos à porte qui venait d’ouvrir, debout de l’autre côté de la table, face à la vue panoramique orchestré, les yeux fermés se laissant imprégner de la force vivante de l’étoile du système en attendant que Mya vienne le rejoindre. Comme toujours, Il avait mit un effort particulier pour créer une ambiance agréable, en espérant marquer des “points de rapprochement”, Ranath n’y prêta pas attention. La musique, l’éclairage tamisé, les couverts, les chandelles, etc... Rien de tout cela ne subjugua ses sens. Elle ne jeta même qu’un coup d’oeil rapide à l'impressionnante vue et s’assit en face du Zabrak, qui lui aussi s’était au préalable rhabillé. Marak ne put que sourire percevant ce nouvel échec… tant d’efforts qu’il n’aura pas à faire la prochaine fois, du moins, pas sur ces aspects… le bonheur dans la simplicité plutôt que dans l’excès. Marak feint de l’ignorer jusqu’à ce qu’elle brise la glace…

    « Ranath:Ça va … ? »

    « Marak: Oui… »

    « Ranath:A-t-on des nouvelles des CSU ? Ou de ton Ordre ? »

    « Marak: J’attends les coordonnées précises pour le trajet le plus court... »

    « Ranath:Tu as assuré … là bas. Tu nous as permis de sortir de ce trou. Et … je trouve que tu es un combattant … incroyable ? »

Marak ouvrit finalement les yeux et se retourna lentement, le sourcil gauche soulevé d’un doute au véritable sens du mot “incroyable”... projetant alors une réflexion, alors qu’il découvrait Mya dans un style vestimentaire imposé, c’était plutôt elle qui était incroyablement…. Grrraooou! Pensée qu’il souhaitait pour l’instant garder pour lui-même… Un sourire amusé étira les lèvres de Mya.

    « Ranath:Merci. »

Ranath baissa les yeux un instant.

    « Ranath:Et puis … »

Son regard se posa à nouveau sur Marak, et d’un geste coordonné de ses deux mains, elle désigna les vêtements qu’elle portait.

    « Ranath:Merci pour ça … Merci d’avoir pensé à ça. »

    « Marak: De rien, quand j’ai su qu’il fallait cramer tout ce qui pouvait l’être, je me suis dit que c’était la moindre des choses! Elle appartenait à…. … à quelqu’un d’important à mes yeux. »

Marak pris soigneusement place dans un fauteuil à la gauche de Mya

    « Ranath:Tu pourrais me raconter ce qu’il s’est vraiment passé sur Algaus Prime ? Je me souviens surtout des cadavres ... »

Marak se remémora ses paroles plus tôt...

    « Marak: c’est comme j’ai dit plus tôt… Il y a environ 1 an, une banale mission d’escorte de Nar Shaddaa vers Algaus Prime, qui a mal tournée... Toi, moi et une rouquine égocentrique… on devait escorter Sam de Nar Shaddaa jusqu’au labo sur Algaus Prime, mais un holocron perturbait l’équilibre mental d’une créature locale et massacra tout le personnel sur place... au final, j’ai hérité de la tutelle de Sam, toi de l’holocron médical de Harvk, et la rouquine du labo sur Algaus Prime… C’est l’holocron qui a soigné les tourments de Sam… dans les grandes lignes c’est pas mal ça… mais je peux te fournir une copie détaillé de mon rapport de mission si tu cherches quelque chose en particulier. »

Il n’y avait malheureusement pas grand chose à rajouter.. le rapport en soi présentait la plus grande objectivité de la mission… qui aurait été corrompu de la subjectivité de Marak devoir lui en faire le récit ! il fit venir à lui un datapad rangé plus loin via la télékinésie, pianota une série d'opérations de ses mains agiles, puis déposa le datapad sur la table, le dit rapport de mission en question disponible à son attention. Puis Marak dans un humour caricatural s’exclama

    « Marak: AH Bin... p‘tin, t’as senti ça ? Quelqu’un a préparer à bouffer, pour 2 personnes en plus !! T’entends ?! Quelqu’un a mis de la musique pour détendre l’atmosphère après une aventure de m$%#e !! t’as vu ? Quelqu’un a placé l’axe du vaisseau pour avoir une vision panoramique de cette étoile !! »

Après un petit rire amusé… Marak se leva tranquillement. Sur un ton de voix plus grave plus mielleuse, accompagné d’un léger sourire visant à être un brin charmeur...

    « Marak: Relaxe Mya, tu es mon invité et la bienvenue ici, alors... Profites-en un peu ! Ne ferme pas les yeux sur les trop rares petits plaisirs que la vie t’offre sur un plateau… Qui sait, avec notre style de vie, quand cette occasion de reproduira ! »

Marak lui tendit humblement la main, ici en ces lieux, ce vaisseau, c’était son Domaine, la maître incontesté, le Roi… Ici, il exige, on s’exécute… mais là, il offrait... la main tendue, attendant un premier contact physique, que sa main à elle vienne se s’enlacer l’une à l’autre...

    « Marak: T’as faim ? »
#30730
    Oh mais oui ! Que ça sentait bon … Que la musique était agréable … Et cette vue époustouflante … Tu croyais vraiment m’impressionner ? Ranath posait sur Marak un regard désapprobateur. Il pouvait se montrer touchant quand il y mettait du sien. Mais là … tout au plus, il était taquin. Pas drôle, pas réconfortant. Il s’évertuait à entretenir le malaise de sa convive par des remarques déplacées sur ledit malaise … Voilà qui n'était pas très habile.

    Mais le Zabrak faisait des efforts pour se montrer agréable d'une manière ou d’une autre. Et qui, à part ce Zabrak, avait fait démonstration d’un intérêt sincère pour la jeune femme ? Il y avait la charmante Sabina. Et il y avait l’inénarrable Helera … Mais son intérêt sincère à elle se traduisait par des coups de sabre. Alors qui … ? Ranath dut bien reconnaître que Marak marquait un point. Mais il était impossible ! Elle ne supportait pas sa répartie à toute épreuve et son ironie mal dosée.

    Marak offrit finalement une main tendue. La Mirialan la considéra un instant, trop bref pour qu'on se rendit compte qu'elle hésitait. N'en avait-elle pas envie ? Si, un peu. Ce devait être agréable de sentir sa main délicatement prise au piège dans celle d'un être cher. Lui était-il cher ? C'était leur troisième rencontre. Alors … que savait-elle de lui ? Avait-il de l’honneur ? Du respect ? Une quelconque qualité notable ? Ou était-il simplement un rustre qui ne cherchait qu’à soulager son corps du poids d’un mode de vie comme le leur ? Comment savoir … que représentait-elle pour lui ?

    Tant de questions s’imbriquant les unes dans les autres tandis que Ranath considérait cette main. Que s'était-il passé sur Algaus Prime ? La Sith se souvenait d'une empathie partagée et du gamin, Sam. Le reste était flou. Elle doutait que le rapport lui apporte les réponses nécessaires. Que s’était-il passé entre eux ? Qu'avaient-ils partagé ? Impossible de savoir. Ranath passa alors en revue leur récente excursion sur Taris. Le Zabrak avait massacré cinq hommes pour avoir dit un mot de trop. Était-ce un acte chevaleresque ? Un défouloir tombé à pic ?

    La Mirialan laissa échapper un soupir. Elle leva les yeux jusqu'à croiser le regard de Marak. Et après cette demi seconde de réflexion, confia sa main à celle du Zabrak. Et oui, même s'il n'était pas tout à fait un être cher, c'était agréable. Car Marak n'en restait pas moins un combattant hors pair, un guerrier qui deux fois avait donné de sa personne pour procurer à Ranath le temps de se mettre hors de danger. Pouvait-on considérer qu'il l'avait protégée ?

      « Désolée. »

    Elle affichait un sourire forcé, essayant d’assimiler le concept. Se détendre et profiter. Avec un soupir nerveux, la Mirialan se leva au côté du Zabrak. Il était bien plus grand qu’elle et il lui fallait continuellement relever le menton pour soutenir son regard. Se relaxer. Se laisser aller. Le pouvait-elle seulement ? Ranath n'était en rien incommodée par le mode de vie abrupte qu'était le leur. Toujours courir, toujours se battre, toujours risquer. Elle n'avait rien à envier aux oisifs qui profitaient de la vie comme l'entendait le commun des mortels. Dormir longtemps, manger trop et se vautrer chaque soir avec une personne différente. Non, c'était là un concept lointain qui ne provoquait chez elle aucun désir.

    Pour profiter de cet instant d’accalmie entre deux aventures affreusement dangereuses, pour se laisser aller à abaisser sa garde, il aurait fallu se trouver en loyale compagnie. Un individu dévoué ne jurant que par cette inconditionnelle fidélité. Jamais Ranath n’avait croisé un être si admirable, loyal et sincère. C'était pourtant ce dont elle avait besoin pour espérer enfin lâcher prise. Marak pouvait-il être un tel héros …

    Faim ?

      « Un peu, oui. »

    Toujours un peu crispée néanmoins, la jeune femme tentait de se laisser guider.
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By Aldrax Kist
#30800
La Mirialan laissa échapper un soupir. levant les yeux jusqu'à croiser le regard de Marak. Il était bien plus grand qu’elle et il lui fallait continuellement relever le menton pour soutenir son regard. Et après cette demi seconde de réflexion, confia sa main à celle du Zabrak. Et oui, même s'il n'était pas tout à fait un être cher, c'était agréable. Doucement Marak referma ses doigts, osant une subtile caresse de son pouce passant sur les doigts de Mya… Affichant un sourire forcé, avec un soupir nerveux, la Mirialan se leva au côté du Zabrak.

Marak faisait de son mieux pour camoufler sa nervosité, ses commentaires colorés ne faisaient que rarement l’unanimité, t’aime ou t’aime pas ! Mais étant ce qu’il est, l’humour à saveur dérisoire était souvent plus aisé pour détendre l’atmosphère quand on fait face à une personnalité aussi imposant pouvait-il être… Cependant en de rares occasions, cette tactique, ce mécanisme de défense, ne fonctionne tout simplement pas… même qu’il semblerait que Marak s’enfonce dans les sables mouvants… Un indice subtile, qui permet à Marak de voir quand quelqu’un en vaut la peine, un petit quelque chose de plus que les autres n’osent pas… et Mya répondait à certains critères essentiels avec facilité déconcertante, un bijoux de personnalité à l’état brute, que Marak ne demandait qu’à pouvoir découvrir, une facette à la fois. Marak, guida la jeune femme à la posture crispée vers les plateaux, où se trouvait une diversité de petites entrées:

  • Tomates vertes frites et trempette au paprika,
  • Boule de fromage aux pacanes et au jalapeño
  • Salsa d'avocat et de maïs grillé
  • Champignons farcis aux deux fromages
  • Soupe-repas aux nouilles, à la courge et au tofu
  • etc.

Comme brevage:
  • Bave de Steed (lait au chocolat blanc)
  • Thé vert à la grenade
  • Whisky sour au romarin brulé
  • Café flambé à l’amarula
  • etc.

Encore une fois, des remerciements envers San Kun traversèrent la galaxie en pensée, lui qui ne manquait pas de suggestions à faire dans la domaine de la gastronomie. Le choix était libre, Marak aimait bien goûter à un peu de tout, plutôt que de se faire une assiette à saveur unique. Il misa sur la légèreté, avec cette aventure sur Taris encore très frais à la mémoire… y aller molo sur l’estomac semblait une sage décision… Marak ouvra le bal, espérant que son invité allait y trouver son compte et apprécier là où elle avait portée un regard d’indifférence plus tôt… Les deux prirent place l’un face à l’autre… séparé par une bonne largeur de table de conférence...

Le repas se fit en silence, là où d’innombrable occasions pour Marak de placer une remarque sur tout et sur rien pour meubler le silence, rien ne se fît, au contraire, il se surprit d’apprécier le silence, le moment dans sa globalité, se contentant de la présence de son invité, de ses sourires forcés à la croisée d’un regard, du reflet de ses yeux dans les sien, des courbes de son invité, qu’il pouvait difficilement nier. Bientôt, une réaction en chaîne s’activa, partant de cette simplicité, chaque regard que Marak posait sur Mya créa un nouvel effet… Au début, une légère palpitation, un battement du coeur plus battant que les autres… ensuite, la chaleur, soudainement il avait la sensation d’avoir chaud ! il passait son temps à remuer ses doigts, constatant la moiteur sur ses mains… il eut du mal à comprendre d’où cette sensation lui vint… était-ce son café flambé ? non… Les regards se faisaient plus fréquents et s’étiraient en observation, en contemplation…

Ne pouvant se refuser un tel plaisir des yeux, Marak s'était lui-même mis mal à l’aise… Au bout de quelques minutes à tenter de restreindre ses ardeurs, Marak se leva pour se servir un breuvage plus frais, souhaitant refroidir la bête qui grondait sous la ceinture… il changea même de place… retournant de poster devant la baie vitrée en plast-acier pour admirer la vue de l’astre rayonnant… tournant le dos à Mya temporairement… il feinta d’un soupir de satisfaction après un bonne gorgée de lait au chocolat blanc, la bave de Steed comme il l’avait ironiquement baptisé, dû à la couleur verdâtre du liquide, étrangement similaire à la bave authentique d’un Steed de Metellos ! il avait beau fixer l’astre au loin, tout ce qu’il arriva à voir fût le reflet de Mya dans la vitre, où d’autres parties du corps lui faisait plus envie encore !

Pourtant il le savait, il ne se passerait assurément rien, faute d’indice allant dans ce sens… et c’était bien ce qui la rendait encore plus désirable… sourire forcé, regard désapprobateur, indifférence générale… ce n’était visiblement plus la Mya de leur première rencontre ! Et pourtant, à ses yeux elle restait la même, la coquille était toujours aussi jolie, l’intérieur fût brassé comme un paquet de carte, et la donne avait changé du tout au tout, l’humeur avait changé, plus complexe à cerner, plus mystérieuse, méfiante… au final le résultat était, «différent», mais en même paradoxalement identique… changer un seul paramètre d’une personnalité, et vous obtenez une personne complètement différentes, mais pourtant la même personne ! Comme si Marak du jour au lendemain troquait sa bestialité inné, à prendre le Rankor par les cornes à mains nues, par une personnalité de... «Prince Têtien», remplis de bonté, à vouloir éviter à tout prix les affrontements… Deux Marak complètement différents, néanmoins le même Monstre !

Il laissa échapper un sourire à cette réflexion philosophique… Le voilà qui était entrain de philosopher et raisonner sur des théories hypothétiques, le temps de laisser tempérer ses pulsions. Ces choses qu’une «femme» peut faire faire à un «homme» ! Une preuve de plus pour Marak… Mya à ses yeux était spéciale, sincèrement digne d’intérêt… Le tout était de lui dire, faire voire, comprendre… tout en contournant les refus qu’elle mettrait sur le chemin ! Patience… laisse-la faire les premiers pas… t’en a assez fait pour se soir… inutile de forcer sa chance. Si elle veut plus… falloir qu’elle fasse l’effort elle aussi !

Sur cette pensée, Marak retourna s’asseoir paisiblement… sirotant sa bave de Steed !
#30882
    Le silence s’installa. Ranath le trouva soudain pesant. Il était évident que les commentaires du Zabrak étaient gênants, mais ce silence paraissait plus oppressant encore. Jamais la Sith ne s’était trouvée dans un tel embarras, jamais un silence n’avait été malvenu, jusqu’à aujourd’hui. Tout en grignotant les mets mis à disposition par le Général, Ranath réalisait une rapide introspection, sans voir que son vis-à-vis l’observait avec insistance.

    La Mirialan était loin d’être insensible. Certaines rencontres l’avaient marquée, certaines personnalités l’attiraient. Elle était prête, pour elles, à braver bien des dangers, à tuer sans scrupules, dès lors que leur vie était menacée. Mais jamais Ranath n’aurait souhaité qu’on lui accorde un tel intérêt, qu’on se mette en danger pour elle. Jamais elle n’aurait toléré que le sang coule en son nom. C’était étrange. Elle le réalisait à peine. Et quelque part, c’était contradictoire. Pourtant, c’était ancré en elle.

    Le Zabrak revint s’asseoir, le regard de la Sith se braqua aussitôt sur lui. Elle éprouvait une douce colère. Voilà ce qui n’allait pas, il était passé en second, élevant la jeune femme au-dessus de ses prétentions. Pour ça, elle le maudissait. Seul Krayt avait montré de l’intérêt en les capacités de son apprentie. Il l’avait sauvée, plusieurs fois. Il veillait sur elle, presque constamment, suivant sa progression, recevant ses rapports et distribuant des conseils. Pour Ranath, Krayt était absolu. Il était le seul dont le secours était le bienvenu, car tout puissant et abusivement admiré. Un être fort en épaulant un plus faible, plutôt que de l'abandonner, pour le voir un jour aussi capable que son maître.

    Marak, aujourd'hui, n'avait pas fondamentalement agi différemment du Seigneur Noir, préservant la Mirialan d'un danger imminent au lieu de la laisser endurer son échec. Était-ce par prétention ? Par intérêt également ? Ou pour une raison qui était encore inconnue de Ranath ? Le Général, par son geste, bafouait l'autorité d'un maître. Darth Krayt, finalement, n'était peut-être pas si absolu qu'on s'entêtait à le croire ... Et cette idée perturbait la jeune femme.

    Ranath ne chercha en rien à dissimuler son sentiment, elle lui laissait voir la mesure de son mécontentement. Ses yeux dardaient sur le Général un regard rageur. Elle était focalisée sur lui, crispant le poing comme s’il serrait la poignée de son sabre. Que valait-il vraiment ? Était-il meilleur qu’elle ? Une confrontation, la Sith ne rêvait plus que de ça : balayer brusquement le festin et se jeter dans la bataille, contre Marak.

    Mais elle n’en fit rien. Elle lui offrait simplement sa haine. Projetant vers lui son esprit, elle lui donna l’occasion d’appréhender la considération qu’elle avait pour lui, et la fureur qu’induisait ce sentiment réciproque. Elle l’enveloppait de sa pensée, lui laissant sous-entendre combien l’affrontement serait violent, et combien elle était admirative de son potentiel.

    Au point culminant de l’interaction, la Mirialan rompit soudainement le contact, rappelant à elle son esprit vagabond. L’échange ne laissa sur ses lèvres qu’un sourire narquois. La colère était contenue, le silence toujours planait mais ne provoquait plus aucune gêne, Ranath désormais s’en délectait. Elle avait cessé de manger depuis déjà un moment. Elle joignit les mains sous son menton afin qu’il y repose un instant, posant toujours sur Marak un regard insistant. Une question lui brûlait les lèvres. Et comme si de rien n’était, elle la posa, légèrement dédaigneuse.

      « Comment t’es tu retrouvé sous les ordres de l’In … d’Helera ? »

    Voilà qui n’allait pas détendre l’atmosphère. La Mirialan pourtant, semblait avoir retrouvé sa consistance, ses yeux brillaient d’un éclat combatif et surveillaient le moindre des mouvements du Zabrak. Elle le considérait désormais différemment, la gêne s’était envolée.



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By Aldrax Kist
#30990
Pendant ce temps…

    « Sam: Ici, Sam Ulvex, apprenti du Général Koress de l’Ordre Gris… Vous êtes actuellement la station médicale la plus proche susceptible de nous prêter assistance. Dans les but d’enrayer les foyers d’infections d’Ithor par des spécimens de Rak’goules… Le général est allé chercher des échantillons sur la planète Taris afin de potentiellement générer une solution, vaccin ou autres possibilités afin de contribuer à restaurer le fragile équilibre d’Ithor… Nous sommes présentement en orbite haute de Taris et partiront sous peu en directions de votre station, le temps de trajet est estimé à 78hr, 3 jours et quelques heures. Si vous avez des directives spécifiques, transmettez-les nous dans les 12 hr suivant réception de ce message, sinon je vous recontacte à sortie d’hyperpaces pour l’approche finale.

    Merci d’avance pour votre aide !
    »




Marak, aujourd'hui, n'avait pas fondamentalement agi différemment du Seigneur Noir, préservant la Mirialan d'un danger imminent au lieu de la laisser endurer son échec. Était-ce par prétention ? Par intérêt également ? Ou pour une raison qui était encore inconnue de Ranath ? Le Général, par son geste, bafouait l'autorité d'un maître. Darth Krayt, finalement, n'était peut-être pas si absolu qu'on s'entêtait à le croire ... Et cette idée perturbait la jeune femme.

Le silence toujours planait, mais ne provoquait plus aucune gêne, Ranath désormais s’en délectait. Elle joignit les mains sous son menton afin qu’il y repose un instant, posant toujours sur Marak un regard insistant. Une question lui brûlait les lèvres. Et comme si de rien n’était, elle la posa, légèrement dédaigneuse.


    « Ranath: Comment t’es-tu retrouvé sous les ordres de l’In … d’Helera ? »

Voilà qui n’allait pas détendre l’atmosphère. La Mirialan pourtant, semblait avoir retrouvé sa consistance, ses yeux brillaient d’un éclat combatif et surveillaient le moindre des mouvements du Zabrak. Elle le considérait désormais différemment, la gêne s’était envolée. [/color]

    « Marak: Par le «hasard» de la force j’imagine… elles se trouvaient au bon endroit au bon moment, elles m’ont sauvé, soigné, réadapté socialement…j'étais plus devenu un sauvage corrompu par le Côté Obscure qu’autre chose à l’époque. Je n’étais qu’un gamin de quoi…. 18-19 ans à l’époque ! et… »

Marak était de nouveau parti sur une lancée… racontant ainsi sommairement son parcours sinueux entre l’obscurité omniprésente et la lumière qui tentait sans cesse de se frayer un chemin dans le coeur du colosse… à toujours devoir se battre pour assurer sa survie

    « Marak: … et 5 ans plus tard, après avoir vécu dans un cimetière de vaisseaux spatiales sur Felucia, pour me protéger des attaques des créatures indigènes, un endroit où ils n'osaient pas venir... j’ai su, avec le recul, que cet endroit était devenu le foyer d’un Nexus obscur, qui tranquillement grandissait et corrompt, encore à ce jour, la planète et ses habitants, civilisés comme indigènes… J’ai réussi à bidouiller un vaisseaux du cimetière presqu’intact, pour me sauver de la planète, mais j’ai manqué de carburant, ou l’hyperdrive était mort, je sais plus… j’étais condamné à mourir dans le vide spatiale, quand elles sont arrivées...

    Elles m’ont libéré de l’emprise que le Côté Obscur avait sur moi, d’un moyen qui m’est inconnu, mais je sais que j’aurai toujours des prédispositions à y sombrer de nouveau… le mieux que je puisse faire c’est de continuer à canaliser cette énergie négative et de par mes actions créer du positif dans ma vie. Je me doute bien que les Jedi ne l'accepterons jamais tel que je suis, de peur d’infecter leur harmonie d’une énergie trop malsaine… j’ai été entraîné depuis mon enfance pour servir un Sith, mais je n’ai jamais rencontré mon maître… Alors éventuellement par la force des choses j’ai abouti avec Helera et l’Ordre Gris…
    »

Marak raconta son histoire, sans gêne, ni honte, il était parti de loin… d’enfant de 4 ans esclave de ses soeurs, à aujourd’hui, 27 ans, Chasseur de prime quasi unique en son genre, utilisateur de la force, formé au sabre laser, Général de l’armée Terrestre de l’Ordre Gris, et président d’une entreprise depuis peu… Son histoire fût arpentés de plusieurs erreurs, regrets et remords, mais c’est ce qui l’a mené jusqu’ici, à discuter avec Mya… et rien que pour ça Marak trouvait que ses erreurs étaient en fait des décisions à double tranchants, les regrets un désir de s’améliorer encore et toujours… et les remords une détermination face aux échecs passés, afin qu’il se souvienne toujours de ses décisions et le discipline à garder le cap vers le prochain objectif.

    « Marak: Et toi ? Comment t’es-tu retrouvée à la détester autant, pour appeler Helera, «L’inquisitrice» ? »

Tranquillement les étoiles se mirent à bouger, le vaisseau changeait de cap doucement, et Marak su donc qu’ils étaient sur le point de passer en hyperdrive… tout en restant attentif à la réponse qu’allait offrir Mya, Marak laissa planer une question à l’intention de son apprenti, Sam Ulvex

    « Marak via Télépathie: Combien de temps Sam ? »

    « Sam via Télépathie: 72hr minimum pour l’aller... »
#31071
    Une emprise et une corruption dont il fallait se libérer. Une conception bien étroite du Côté Obscur. Les réflexions d'un enfant perdu qui subissait plutôt que de choisir. La véritable liberté résidait en le Côté Obscur. Prendre garde à ne pas sombrer et marcher constamment vers la Lumière. Quelle philosophie de vie stupide. Les imbéciles qui sombraient véritablement étaient des fous imprudents et inconscients de leurs propres limites. L’infection d'une énergie malsaine. Ce discours était à vomir. Helera avait bien fait son travail, le Zabrak répétait gentiment sa leçon. En fin de compte, tout bon combattant qu'il était, il ne valait pas grand chose.

    La déception était grande pour Ranath. En outre de se montrer indifférent à ses émotions, il lui servait ce genre de phrases préconçues par une bande de Jedi monomaniaques. La Sith repoussa discrètement son assiette, il lui avait coupé l’appétit. Une tristesse toute singulière s’abattit alors sur la jeune femme. L’esprit de Marak était étroit. Sa pensée était pauvre. Comme celle de tous ceux qui divisaient la Force en deux.

    La question du Général resta un moment en suspens. Ranath semblait chercher ses mots, elle avait rappelé à elle son esprit curieux et ne laissait plus qu’entrevoir à son interlocuteur une terne mélancolie. Elle apporta finalement une réponse franche.

      « Je suis les enseignements d'un Sith. »

    La jeune femme leva les yeux vers le Zabrak, guettant sa réaction.

      « Helera étant bornée et obtue, elle a considéré qu'il était nécessaire de me sauver, ma condition lui déplaisant. Elle rejette ce que je suis. »

    Inutile d’évoquer les autres pans du problème. L’Inquisitrice avait attaqué sur Korriban, puis encore sur Lotho Minor. Elle la traquait. C'était un conflit qui durait depuis … des années.

      « Je ne crois pas en la dualité de la Force que tu me sembles évoquer. Il n'est pas une ligne droite, tracée entre ombre et lumière, que nous devons nécessairement longer. Tout ne peut pas être résumé avec ces concepts simplistes. »

    C'était un discours étrange pour une Mirialan. Les aliens à la peau viridienne élégamment encrée croyaient en cette dualité totale de la Force, attribuant même un genre à l’obscurité et à la lumière. La femme était pernicieuse et sombre, tandis que l’homme était sincère et éclatant. L'une devait se soumettre au joug de l’autre afin de canaliser cette énergie négative essentielle. Voilà un dogme avec lequel Ranath était en profond désaccord, et ce depuis toujours.

    Sans attendre une véritable réponse de la part du Général, la Sith haussa les épaules et se leva de table. Les étoiles défilaient désormais au dehors. Elle s’approcha de la baie pour mieux profiter du spectacle, tournant le dos au Zabrak. Ranath eut un mouvement las. Pouvait-il comprendre que c'était important. Pouvait-il seulement appréhender son erreur et la corriger. Il prendrait certainement cela pour un caprice, ou la trouverait intolérante. Le Côté Obscur n'était pas une tare. Pourquoi s’empêcher d’y prêter attention, pourquoi le fuir et chercher à tout prix à s'en préserver. La peur ?

      « Tu luttes contre le Côté Obscur. Tu crains d’y sombrer. Toute cette force que tu investis à le fuir te plongera dans les ténèbres. Tu fermes les yeux sur une réalité du monde. Ignorant, tu ne peux que te perdre. Apprends à comprendre ce pan de la Force, maîtrise-le et tu seras enfin vraiment libre de suivre la voie qui t’est propre, sans peur et sans entraves. »

    Comprendrait-il ? Ne pas voir le Côté Obscur, le fuir, c'était précipiter sa propre chute. Le contrôler, c'était devenir maître de soi. La Sith pivota finalement vers Marak, offrant à ses yeux une mine triste.

      « Tu es l'une des seules personnes qui pourraient m'inspirer confiance. Qui pourraient m'aider. J'ai le sentiment d'avoir besoin de toi, et la certitude que tu te battras toi aussi contre moi. »
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