- dim. 2 juin 2019 07:31
#35579
Prise au piège, enclavée à travers les bras de l’agent, on pouvait dire que la reine était faite. Fait comme un rat womp. Probablement pas aussi moche pour autant, et peut être pas si mal torturée. Dans le cas présent, les forces de l’agent avait su stratégiquement prendre le dessus et la contraindre à l’abandon. Drapeau blanc fut levé, se caractérisant dans un abandon total de son corps et son esprit, tout en n’ayant plus de réplique possible. Une main dans son royaume secret, une langue dans son cou, et l’autre sur sa poitrine. Caressant tout autant qu’il massait ces parties particulièrement érogènes. Les électrisations étaient multiples, mais surtout partout. Elle n’y pouvait plus rien, elle ne combattait plus. Helera avait gardé une main derrière la nuque dans l’agent pour l’y gratter le cuir chevelu, tandis que l’autre accompagnait sa main sur sa poitrine. Cette torture sensuelle était sans doute la plus atroce des deux, puisqu’elle n’était pas à même de bouger, de crier à l’aide ou même de se débattre. C’était sans doute le odieux dans ce crime. La tête levée vers le ciel, ses yeux étaient fermés et sa respiration rapide. Sourcils froncés, elle poussait quelques gémissements au fur et à mesure que ses doigts arpentaient son corps. Douleur céleste.
Enfin cela cessa. Ou plutôt. Déjà ? La reine reprit un peu ses esprits et baissa la tête. Elle colla sa tête contre la sienne, joue contre joue, et l’agita lentement d’avant en arrière. Comme un félin avec le maître qui le nourissait, dans un geste d’affection. Dénué de toute barbe, s’était par ailleurs particulièrement doux au touché et elle ne s’en priva pas.
« Si tu t’arrête là », répliqua-t-elle, « c’est moi qui vais te faire souffrir. »
Ne pouvant croiser son regard, elle étira néanmoins un grand sourire et déposa un baiser sur sa joue dans un ultime mouvement de tête. On ne pouvait pas impunément faire souffrir une reine et ne pas terminer ce que l’on avait commencé. Elle-même aurait de toute manière terminée ce qu’elle avait commencé avec lui. Question de principe. L’agent enleva le tablier avec précaution et le jeta plus loin. Le tissu glissa le long de son corps de nouveau en visuel, pour que l’agent se repaisse de ce qu’il voyait. De sa hauteur, il en était également aux premières loges. Sa poitrine était déjà gonflée par l’envie et son corps tremblant d’excitation. La reine se retourna et tenta une embrassade, mais il ne lui permit pas. Il la souleva et la fit assoir sur la table, où elle dû repousser les plats pour ne pas poser ses fesses dans le ragoût. Surement une nouvelle expression. N’avait-elle pas droit à son bisou ? Non.
Ses mains furent posées sur ses cuisses, et elle comprit quand il les écarta avec précaution et surtout avec une malice qu’elle lui connaissait désormais propre. Elle haussa un sourcil avant qu’il ne disparaisse entre ses cuisses où il entreprit de forger le nouveau territoire qu’il venait de conquérir. Le bassin royal se leva instantanément et elle prit une grande inspiration, posant une main sur sa bouche pour contenir les éventuels bruits. Elle se laissa tomber sur la table, ne reposant directement dessus, mais sur un bras en support. Tout allait très vite. Déjà au bord de la chute, elle se trouvait désormais confronté à de nouvelles sensations. Encore plus crispantes. Il avait cette petite sangsue qui aspirait son énergie, et dont elle cherchait à se défendre. Comme une démangeaison puissance dix, qui l’assaillait et la tétanisait. Elle ne chercha pas à se défendre ni à se battre, juste profiter de ce moment et se laisser aller de nouveau à l’abandon, tandis que son bassin demandait davantage. Encore et encore et que le royaume était remodelé. Tout cela était bien trop hypnotisant, et quand il s’arrêta et remonta le long de son corps, elle en avait encore les sensations, perdurant ainsi pendant plusieurs secondes. L’agent se présenta, la relevant tandis qu’elle n’avait plus la force de le faire, vider, mais pas terminée pour autant.
Enfin elle pu échanger un long baiser avec lui, entourant alors sa tête de ses bras, sans s’arrêter, l’embrasser à en perdre la raison. S’en était désormais terminé de sa liberté, maintenant qu’elle l’avait entre les mains. Sa langue jouant avec la sienne avec application et sauvagerie. Tout cela faisant naître davantage de sensation, dans cette escalade de la sensualité.
« Ah oui ? Il faudra m’apprendre alors et montrer. »
Tandis qu’elle était assise et lui debout, elle rapprocha de nouveau sa main de sa virilité pour y terminer l’œuvre commencé plus tôt. Œuvre qui prendrait fin dans son royaume. Tandis qu’elle manipulait, ses jambes s’entourèrent autour de lui et ses mains empoignèrent ses fesses fermes avec ferveur. L’électrisation était complète. Round 2.
Après ce repas riche en excitation, en énergie et en orgasmes, le couple s’en était allée de nouveau dans la chambre pour une douche supplémentaire. Main dans la main, sans réellement parler. Il n’y avait rien à dire d’autres. Leurs sens altérés, la fatigue qui les prenait de nouveau, la transpiration plein le corps. La reine le mena de nouveau directement dans la douche. L’heure se faisait de nouveau tardive et ils n’avaient finalement passer la fin d’après midi qu’à se chercher et se toucher. S’en était presque trop bien pour être vrai. De nouveau ils furent couverts par l’eau, mais cette fois d’une manière plus calme. Pas d’aggression d’une main ou d’une autre dans leurs sensibilités juste profondes. Peut-être des membres hasardeux qui s’égaraient sur des poitrines, des fesses ou des cous. Mais c’était le strict minimum. L’agent était collé derrière elle, ses mains entourant son buste. Elle, était collée devant lui, son fessié touchant sa virilité d’une manière insoltente. Ses mains caressant les bras qui l’entouraient dans ce moment de perdu dans le temps. La tête de l’agent apparaissait juste un peu par-dessus son épaule, tandis que la reine regardait le bas, un endroit sans importance.
« Je suis bien avec toi. Tu me donnes de la fraîcheur. Ça fait bizarre tout ça. On se rencontre dans un train, on explore un complexe secret ensemble. Tu me surveilles, tu me sauves la vie. Depuis qu’on s’est rencontrés, on ne s’est finalement pas vraiment laché.
»
Enfin cela cessa. Ou plutôt. Déjà ? La reine reprit un peu ses esprits et baissa la tête. Elle colla sa tête contre la sienne, joue contre joue, et l’agita lentement d’avant en arrière. Comme un félin avec le maître qui le nourissait, dans un geste d’affection. Dénué de toute barbe, s’était par ailleurs particulièrement doux au touché et elle ne s’en priva pas.
« Si tu t’arrête là », répliqua-t-elle, « c’est moi qui vais te faire souffrir. »
Ne pouvant croiser son regard, elle étira néanmoins un grand sourire et déposa un baiser sur sa joue dans un ultime mouvement de tête. On ne pouvait pas impunément faire souffrir une reine et ne pas terminer ce que l’on avait commencé. Elle-même aurait de toute manière terminée ce qu’elle avait commencé avec lui. Question de principe. L’agent enleva le tablier avec précaution et le jeta plus loin. Le tissu glissa le long de son corps de nouveau en visuel, pour que l’agent se repaisse de ce qu’il voyait. De sa hauteur, il en était également aux premières loges. Sa poitrine était déjà gonflée par l’envie et son corps tremblant d’excitation. La reine se retourna et tenta une embrassade, mais il ne lui permit pas. Il la souleva et la fit assoir sur la table, où elle dû repousser les plats pour ne pas poser ses fesses dans le ragoût. Surement une nouvelle expression. N’avait-elle pas droit à son bisou ? Non.
Ses mains furent posées sur ses cuisses, et elle comprit quand il les écarta avec précaution et surtout avec une malice qu’elle lui connaissait désormais propre. Elle haussa un sourcil avant qu’il ne disparaisse entre ses cuisses où il entreprit de forger le nouveau territoire qu’il venait de conquérir. Le bassin royal se leva instantanément et elle prit une grande inspiration, posant une main sur sa bouche pour contenir les éventuels bruits. Elle se laissa tomber sur la table, ne reposant directement dessus, mais sur un bras en support. Tout allait très vite. Déjà au bord de la chute, elle se trouvait désormais confronté à de nouvelles sensations. Encore plus crispantes. Il avait cette petite sangsue qui aspirait son énergie, et dont elle cherchait à se défendre. Comme une démangeaison puissance dix, qui l’assaillait et la tétanisait. Elle ne chercha pas à se défendre ni à se battre, juste profiter de ce moment et se laisser aller de nouveau à l’abandon, tandis que son bassin demandait davantage. Encore et encore et que le royaume était remodelé. Tout cela était bien trop hypnotisant, et quand il s’arrêta et remonta le long de son corps, elle en avait encore les sensations, perdurant ainsi pendant plusieurs secondes. L’agent se présenta, la relevant tandis qu’elle n’avait plus la force de le faire, vider, mais pas terminée pour autant.
Enfin elle pu échanger un long baiser avec lui, entourant alors sa tête de ses bras, sans s’arrêter, l’embrasser à en perdre la raison. S’en était désormais terminé de sa liberté, maintenant qu’elle l’avait entre les mains. Sa langue jouant avec la sienne avec application et sauvagerie. Tout cela faisant naître davantage de sensation, dans cette escalade de la sensualité.
« Ah oui ? Il faudra m’apprendre alors et montrer. »
Tandis qu’elle était assise et lui debout, elle rapprocha de nouveau sa main de sa virilité pour y terminer l’œuvre commencé plus tôt. Œuvre qui prendrait fin dans son royaume. Tandis qu’elle manipulait, ses jambes s’entourèrent autour de lui et ses mains empoignèrent ses fesses fermes avec ferveur. L’électrisation était complète. Round 2.
Après ce repas riche en excitation, en énergie et en orgasmes, le couple s’en était allée de nouveau dans la chambre pour une douche supplémentaire. Main dans la main, sans réellement parler. Il n’y avait rien à dire d’autres. Leurs sens altérés, la fatigue qui les prenait de nouveau, la transpiration plein le corps. La reine le mena de nouveau directement dans la douche. L’heure se faisait de nouveau tardive et ils n’avaient finalement passer la fin d’après midi qu’à se chercher et se toucher. S’en était presque trop bien pour être vrai. De nouveau ils furent couverts par l’eau, mais cette fois d’une manière plus calme. Pas d’aggression d’une main ou d’une autre dans leurs sensibilités juste profondes. Peut-être des membres hasardeux qui s’égaraient sur des poitrines, des fesses ou des cous. Mais c’était le strict minimum. L’agent était collé derrière elle, ses mains entourant son buste. Elle, était collée devant lui, son fessié touchant sa virilité d’une manière insoltente. Ses mains caressant les bras qui l’entouraient dans ce moment de perdu dans le temps. La tête de l’agent apparaissait juste un peu par-dessus son épaule, tandis que la reine regardait le bas, un endroit sans importance.
« Je suis bien avec toi. Tu me donnes de la fraîcheur. Ça fait bizarre tout ça. On se rencontre dans un train, on explore un complexe secret ensemble. Tu me surveilles, tu me sauves la vie. Depuis qu’on s’est rencontrés, on ne s’est finalement pas vraiment laché.
»