L'Astre Tyran

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Bastion est la capitale-forteresse des Vestiges de l’Empire. Planète difficile d’accès et à la localisation secrète, elle abrite les sièges du pouvoir impérial et sa bureaucratie considérable. Ce lieu hautement surveillé et doté de lourdes défenses concentre les meilleurs éléments de l’Ordre Nouveau.
Gouvernement : Empire
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By Harlon Astellan
#34645
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Bastion,
Palais Impérial,
18h32


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Le tour allait prendre fin. Un tour de compteur, coût suprême seul qu'il pouvait imposer à autrui à son stade. En fin de tour, Harlon jouerait de nouveau. Mais parfois, Elias attendait le dernier instant. Jouait avec énergie un coup qui laissait l'Empereur sur le carreau. Comme maintenant. « Mate en quatre. » L'Empereur siffla et accorda une poignée de main à son adversaire. « J'ai progressé ? - Non. Je dirais même qu'à l'inverse, vous régressez. Vous ne vous entraînez plus. » Harlon maugréa, mais accorda à son adversaire cette ultime manche. Ils avaient convenus d'une partie régulière chaque mardi et vendredi soir. Il faisait trois semaines qu'Harlon boudait ces entretiens privés, au profit d'une visite obligatoire, d'un traité à signer, d'une séance à présider, d'un message à passer... Son esquive n'était pas volontaire, l'Empereur s'affairait de façon authentique à la gestion de son territoire. Mais il ne se donnait jamais la volonté suffisante pour s'accorder un petit loisir. Pour cause : « Je dois admettre avoir troqué nos parties au profit de discussions avec... - Inutile de vous justifier, » interrompit le Grand Vizir, « J'ai moi-même rencontré quelqu'un. - Tiens donc ? Et vous n'en parlez point ? » Le Vizir rougit, et sembla sur le point de s'ouvrir quelque peu, quand un comlink vibra. « C'est le mien. » Il le tira de sa poche et se connecta au réseau de haute sécurité qu'était le sien. « Oui ?... ... Tout de suite ?... ... D'accord, je passerai dans une heure. » La communication terminée, il s'excusa corporellement auprès d'Elias. « Une affaire, pas urgente, mais intrigante. Remettons cela à demain soir ! » Le Grand Vizir soupira, serra la main de son supérieur, et partit au Palais, de nouveau.

Harlon enfila en hâte ses habits fétiches, se dirigeant à grandes foulées vers son transport, prêt à toutes heures, de jour comme de nuit. « Entrez ces coordonnées. Qu'on ne perde pas de temps. » Ces coordonnées, sont chef de cabinet lui avait donné il y a peu. Le voyage était peu long. Bastion était une planète bien garnie, mais aux plaines assez immenses pour admettre des voyages de quelques heures. Le transport seul, isolé en plein milieu des plaines allait faire hurler ses agents de sécurité qui le suivaient à la trace. Surtout Kanos, un paranoïaque entraîné à l'être. Par acquis de conscience, il vérifia ses messages, notant qu'Elizabeth n'en avait pas envoyé. Il lui tapota quelques mots doux et les envoyèrent vers Arkania. Depuis quelques temps, il commençait à stopper ses frasques, en prévision d'une vie de couple incluant le voeu de fidélité. Il ne s'étonnait que peu que ça le rende mal-aimable. Surtout pour certainement ne rien faire avec qui il voulait se marier. Il était rentraé d'une expédition au milieu d'étendues acides gardées d'animaux à la peau de pierre pour ramener un présent de déclaration. Il s'était attendu au peu qu'on lui avait donné : à une paire de baisers, une promesse et quelques heures tranquilles à la regarder sombrer dans sa sempiternelle mélancolie, sans que personne n'explique pourquoi. Il n'y avait eu d'autre choix pour son coeur qu'il fit sa demande... Mais une part de lui, celle qui s'en réfléchissait à chaque instant de tout, commençait à se dire qu'une annulation serait tout aussi bien pour les deux. « SIRE ! » Harlon sursauta. « Nous sommes arrivés, Sire ! » Le ton de son chauffeur indiquait qu'il en était à quelques répétitions déjà. Harlon sortit du véhicule sans un mot.




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Bastion,
Conduit de Mine n°259,
19h27


L'Empereur embrassa du regard l'environnement, prenant en compte les détails fourmillant autour de la zone. Une ruche militaire se greffait avec ce qui s'imposait comme un conduit de mine encore en exploitation au matin. Les employés, prit en groupes de deux ou trois, subissaient l'interrogatoire de zélés agents du Bureau, dont le blanc cassé donnait des sueurs froides à chaque couche représentée ici, eux et l'Empereur exclus. Harlon pointa la présence de deux TB-TT de part et d'autre de la mine, la zone de tri et de remorquage au-dehors étant pleine de TR-TT et de StormTroopers, de ceux qui avaient des lignes bleu peintes sur les tranches des bras. « Votre Majesté ! » Harlon repéra la voix d'origine et avala le béton qui les séparait de ses grandes jambes. Les hommes présents là mirent genoux à terre, le temps qu'il leur fasse signe de rester debout. « Vous devriez voir cela, Sire. » Il demanda à ce qu'il le suive. Flanqué de quatre gardes s'étant glissés à sa suite avec le bruit du vent, Harlon se jeta vers la bouche de la mine qui, à en croire les chariots anti-grav plantés çà et là, extrayait du cobalt. Des ouvriers en casque et en armure de mineur devisaient avec des StormTroopers lourdement harnachés, certains avec des armures qu'on savait plus souples et munies de crampons aux pieds. Des CaveTroopers, la version spéléologue de ses corps d'élite. « Des foreurs ont tenté d'ouvrir un canal vers une chambre creuse, qu'ils pensaient mener à un filon particulièrement riche. Au lieu de quoi, ils ont trouvé ceci. » L'homme, un officier StormTrooper au rang de Major, tendit à Harlon un datapad avec une image... pour le moins intriguante. « Mais... c'est... - Comme vous le voyez, Sire. » le coupa-t-il, porté par l'excitation. « Un cube composé d'un métal inconnu ! »




Harlon se passa la main dans la barbe. « Vous l'avez récupéré ? » Là venait le désarroi. « Le cube est d'un métal contre lequel nous n'avons pu rien faire... Et la pierre semble trop dense autour pour simplement se laisser percer. » Harlon haussa un sourcil. « Si tout ceci était trop dense, comment les ouvriers ont pu scanner la présence d'une poche creuse ? » Le Major balaya l'air de sa main, comme si l'Empereuir s'attachait trop aux détails. « Devant ce cube protégé, il n'y avait que de la pierre normale. Et ses dimensions ne sont pas claires. » Harlon grogna, jetant le datapad sur le sol, accueillant l'objet avec un fracas. « Pourquoi me mener ici pour m'annoncer un échec ? Ne pouviez-vous point avancer en solutions avant de me faire déplacer ? Suis-je condamné par mes troupes à rester là à attendre un sursaut de bon sens de la part d'un responsable ? » Le Major avait reculé, passablement terrifié. « Trouvez-moi l'imbécile qui gère cette opération ! » La Major ne bougea pas. « Oh, c'est vous ? Et bien Major, voici votre chance de sauvegarder votre retraite. Menez-moi à ce cube à l'instant ! »

Le cube était accessible par une ouverture large comme trois hommes. Des spots le fliquaient de toute part, les néons blafards vautrant leurs photons sur la surface lisse et sans défaut d'un noir intégral. « Des torches plasma n'ont même pas su l'égratigner, Sire... » Le Major se tordait les mains, suant à grosses gouttes, tandis que l'Empereur s'avançait, fasciné par l'objet. « Une équipe technique a tenté de faire un prélèvement pour identifier le métal, mais devant notre impuissance, nous avons préféré faire... déplacer... l'équipe... » L'Empereur capta cette fois son attention. Touchant d'abord le cube de sa paume aplatie, il avait maintenant posé l'oreille contre le métal froid, avant de fermer les yeux. « ... euh... Sire ? » L'Empereur ne dit rien. Il fallut une longue minute pour qu'il appelle le Major. « Venez. » Ordre donné, ordre suivi. La distance se rétrécit, et le soldat en calotte noir était maintenant proche de l'Empereur comme jamais. « Posez votre oreille dessus comme moi. » Il trouvait cela étrange. Mais un ordre était un ordre. Il posa l'oreille, frissonnant sous le contact gelé. Il attendit un instant, que l'Empereur lui fasse signe de se retirer.

* BOUM. * Il l'avait senti. Un battement de coeur. Sourd. Qui l'avait traversé de part en part, tintant ses muscles, vibrant ses os. L'Empereur passa une main sur la surface. « La surface est granuleuse par endroits... » Le Major retira un gant pour le constater. L'Empereur voyait juste. « Éteignez les spots ! » Le Major aboya l'ordre en le relayant. Les spots moururent dans l'instant. « Phosphorescence. J'en étais sûr. » Le major siffla devant la perspicacité de son maître. Le Cube, auparavant muet, devenant maintenant parlant. Les granulés faisaient ressortir des lignes fines et courbes, comme des feuilles d'un maître peintre, courant sur la surface dans une parodie d'alphabet alien. « Qu'est-ce que c'est ? - Je n'en sais goutte, » moqua l'Empereur, « Mais j'en parie mon trône qu'il s'y cache les instructions pour que nous entrions. »




Bastion,
Conduit de Mine n°259,
21h44


« Sire ! » Harlon, au repos partiel dans un préfabriqué en plastacier gris moyen, au milieu de quelques affaires qui lui servaient à piloter son Empire par voie de messages cryptés, reçu le visiteur qui cognait à la porte. Le Major bien nommé, flanqué d'un Céréen qui, à l'image de son espèce entière, respirait le calme et la sagesse. « Votre majesté Impériale, voici Nol-Manz-Lod, professeur émérite en histoire des langues à l'université. - Enchanté, professeur. - Enchantement réciproque, Empereur. » Les deux hommes échangèrent une poignée de main qu'Harlon estima cordiale. « Puis-je demander à être conduit au bon endroit tout de suite ? Ma septième femme est sur le point d'accoucher, j'aimerais être à ses côtés au plus vite. - Bien sûr professeur ! Veuillez me suivre. » Dépassant le major, Harlon mena le Céréen vers le cube, donc on faisait recharger le phosphore en ayant rallumé les spots. « Vous attendez un garçon ? - C'est notre espoir, » expliqua-t-il, « Mais je ne spéculerai sur rien à ce stade. » Harlon connaissait l'obligation polygame de cette espèce. Pour un mâle naissant, vingt femelles apparaissaient. Obligeant les mâles à cumuler jusqu'à quinze femmes, pour soutenir l'effort démographique de la planète. Le duo devisa au calme sur le trajet. Les Céréens dégageaient une telle impression de sérénité qu'elle allait en ricochant sur tous ceux les suivant. « C'est là. » Le fameux cube. L'alien contint son étonnement, et Harlon fit éteindre les lumières. « Fascinant. » Imitant l'Empereur en effleurant la surface, mais avec plus de science dans le geste, le Céréen se mit à bredouiller, toucher les symboles un à un, répéter, retourner, pester, recommencer. Harlon s'éloigna et revint dans son préfabriqué, ordonnant qu'on laisse l'alien travailler. Au bout d'une heure, il revint, l'air perplexe. « Je ne sais trop quoi dire... Je vois des liens avec certaines langues primaires de la Bordure Intérieure, mais aucune langue vivante ne correspond à cela. Mais je pense reconnaître la racine... » réfléchit-il à haute voix, « Je la vois comme la langue primitive des Rakatas. » Harlon contint son étonnement. « Et donc ? - J'en reconnais la racine, mais c'est bien tout. Il me faudrait des années pour travailler ces inscriptions. » Harlon se renferma. « Mais un de vos supercalculateur pourrait déterminer le message en quelques minutes avec mes bases. »




Bastion,
Conduit de Mine n°259,
00h18


Harlon commençait à fatiguer. « Le Destroyer Stellaire Intrépide a reçu les données du professeur. Il est prêt à lancer le calcul. - Qu'ils lancent... » Le major lança le signal. Harlon se tourna vers le Céréen. « Merci de votre aide, professeur. Nous allons vous faire conduire à votre femme. Je vais également voir pour vos soucis de financement à l'université. » Le professeur prit congé, et Harlon donna l'ordre qu'on le réveille quand le calcul serait fini.

Le calcul prit plus de six heures. La puissance informatique d'un Destroyer Stellaire avait du passer au crible tout ce qui pouvait former une phrase avec le peu qu'on savait d'un alphabet inconnu. On le réveilla en trombe, pour lui présenter le résultat. Habitué à être réveillé rapidement, il put s'adapter intellectuellement en une poignée de secondes. « Le tribut, donner le tribut qui vient de qui est chassé... » Le cube, enfoncé dans une calotte de pierre impénétrable, n'avait qu'une partie visible infime du message. « Le tribut, donner le tribut qui vient de qui est chassé... chasseur averti en vaudra trois... manipulateurs de blasphème... » Il rendit le datapad au Major. « Je n'y comprends rien. - Personne, Sire, » s'excusa-t-il, « Mais il faudrait dégager le cube pour avoir plus de texte. » Harlon posa sa réflexion un instant, et demanda à ce qu'on lui laisse le datapad. Qu'il y réfléchisse à tête reposée.




Bastion,
Conduit de Mine n°259,
09h52


Il retournait le problème, sans trouver la solution. Allongé sur sa couchette, Datapad sur les cuisses ramenées à lui, Harlon avait fouillé tout l'Holonet avec des mot-clefs divers et variés, sur le thème de la chasse, de la religion et de la sculpture. Il piétinait, il le savait, et ça l'obsédait de le savoir. Il abandonna un moment pour reposer ses yeux. Se tournant sur le côté, il grimaça en sentant son sabre laser lui rentrer dans les côtes. Il le retira et le posa sur sa table de chevet, avant de replonger ses yeux dans le noir. Dix secondes après, il courait vers le cube, sabre laser à la main. « Je sais ! » Le major, observant le cube auprès de deux ingénieurs du Corps d'Ingénierie, porta son attention sur l'Empereur. « Les Rakatas détestaient les sensitifs... Ils auraient même tenté d'extraire le savoir scientifique de la Force pour les combattre plus facilement... » Il montra le sabre. « Manipulateurs de blasphème... La Force ! Et ses utilisateurs ! Et donc, le chasseur... Le chasseur ramasse l'arme du chassé... » Il activa la lame, et la présenta devant le cube, tandis que les gens se reculaient. « Et le chasseur donne le tribut... » Il posa la lame sur le cube. Le métal fit des étincelles, la lame vibra... Et s'éteignit doucement après quelques instants. Rien ne se passa.

« Là ! » Les lignes de phosphore commençaient à briller. De mille feux ardents, la lumière pure glissa sur chacun, avant que les lignes ne s'enfoncent dans le cube... Les courbes tournèrent sur elles, redessinant la matière à chaque mouvement, les feuilles délicates prenant des angles plus escarpés, des traits plus francs, plus tranchés, jusqu'à dessiner la silhouette d'une porte... Le sol trembla, et de terre sortit une volée de marches. « Ca me semble être une invitation... » L'Empereur fut le premier à avoir l'honneur de grimper dans le cube. L'intérieur était plus vaste qu'on pouvait le croire, et certainement pas en cube à y réfléchir. Le plafond était juste adapté aux gens de sa taille, à peine de quoi faire rentrer un Wookiee, mais les côtés faisaient bien six mètres. Des étagères fines contenaient des holocubes obsolètes par dizaines, des instruments génériques posés sur des table dessinaient des motifs astraux sibyllins, et quelques rouleaux de flimsi et de parchemin - d'une rareté extrême - parsemaient les murs, avec gribouillés des formules et des cartes stellaires, dont la moitié était connue déjà. Mais c'était au centre que tout se jouait.

« Une armure... » Chacun la voyait, personne n'avait besoin qu'on le dise. Si bien qu'Harlon eut un temps l'idée de pointer le génie observateur du Major, même si on pouvait le faire rajouter la présence d'un sabre légèrement courbé sur un présentoir à proximité. Il avala son sarcasme et préféra l'étudier en s'approchant. Posée sur un mannequin de bois, dans une posture banalisée, un plastron harnaché se terminait par des spalières fines, des gantelets simples et une paire de grèves d'un alliage d'un gris profond. « Major, vous avez une idée du matériau ? » Le major, intrigué lui aussi, s'approchait derrière Harlon, jusqu'à finir par le dépasser et aller toucher les pièces. « Non, pas la moindre. » Harlon se décida. « Et bien ma foi... » Sortant son blaster, il tira à bout portant sur l'armure. * PEEW ! * Dans le caisson, le bruit leur heurta les tympans avec force, les étincelles fusèrent des murs quand le tir ricocha. Par miracle, seul le bras d'un ouvrier fut touché. « Ah, misère ! » maugréa l'Empereur, plus agacé que concerné, « Emmenez-le voir un médecin. Allez, plus vite que ça ! » Contretemps regrettable. Il ne restait que lui et le Major. L'impact du blaster, un DL-44 à bout portant à puissance maximale, n'avait fait que caresser la surface. Un mince trait noirci qu'il essuya en passant son doigt humidifié à la salive. Aucun accroc. « Quoi que ce soit, c'est résistant. » L'Empereur prit une autre décision. Celle d'enlever ses épaulières d'apparat et son gambison inutile. « Aidez-moi à l'enfiler. »




« Sire... » Le Major devait trouver les mots justes. « Quoi donc ? Cela ne me convient pas ? - Au contraire... je dirais presque qu'elle a été faite pour vous. » Harlon lui accorda un sourire. « Oui... faite pour moi. » Débarassé de son uniforme fantoche, Harlon avait reconfiguré ses vêtements. Son pantalon amble était recouvert d'une toge intégrale recouvrant ses grèves, tandis que son plastron glissait sur sa chemise, alors que sa cape passait par-dessous ses spalières. Les habits complets récupérés sur le mannequin étaient en partie encore sur le mannequin, Harlon s'étant juste essayé à des essais. « Mais... l'odeur... » Harlon devait l'admettre, les vêtements avaient du être remis en place sans avoir été lavés. « Je mettrai une toge de facture impériale. Noir à revers pourpre. Et des pièces à glisser aux épaules aussi. » Il épousseta son acquisition et fit signe qu'ils pouvaient sortir maintenant. Avant qu'il ne retienne le Major. « Major... vous ne trouvez pas ça un peu facile ? » Le Major ne retint pas son expression. « Comment cela Sire ? » L'Empereur paraissait perturbé. « Et bien, je veux dire... Je viens vraisemblablement de récupérer un artefact issu d'une civilisation antique... Même si je sais que nous n'apprendrons rien à leur sujet, ça me paraît un peu aisé... Un cube qui s'ouvre facilement, grâce à une énigme au rabais, dans ma capitale, avec un expert qu'on trouve dans une université locale, et le tout rédigé avec un vocabulaire commun... On aurait cru voir une recherche sur des dizaines de mondes, des énigmes complexes, et des gens par centaines, et dans un texte rempli de figures de style... Ca m'intrigue. Pas vous ? » Le major réfléchit un instant. Il rendit son verdict en posant une main dans le dos de l'Empereur. « Vous savez quoi ? Au fond, ça n'a pas d'importance. Tant que les gens apprécient un minimum les récits, à quoi bon leur offrir toujours plus à chaque fois ? Est-ce que la simplicité et l'aisance ne sont pas les repos de l'esprit ? Cette armure, c'est un gain qu'on vous a fait. Ce gain, néanmoins, vous ne l'avez pas volé ! Les gens estiment qu'il vous revenait de droit. Ils vous ont récompensé de votre ardeur à allier complexité et vocabulaire soutenu par cette armure... Mais la véritable récompense ne réside-t-elle pas dans le droit de vous accorder un peu de facilité, pour une fois ? Les gens se moquent des histoires inédites. Ce qui compte, c'est les faire rêver ! Et pour ça, il vous suffit de les balader entre artefacts et histoires de science et de magie. - ... ... Vous prendrez bien un verre avec moi Major ? »




- Récupération d'une armure légère en Beskar ( Spalières, Plastron, Canon d'Avant-Bras, Grèves ) et d'un Beskad comme Gain des Swor Awards. Artefact venu d'un ancien chasseur de sensitif lié au Rakatas, voilà, ça c'est juste pour le folklore.
- Merci pour ce gain ! Au Staff mais surtout aux votants :)
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