- lun. 26 sept. 2016 20:51
#23856
Le discours d'Elizabeth commença à devenir légèrement... spirituel. Quelque chose lui avait donné l'idée qu'ils auraient, de nouveau, un rôle à jouer... le rôle de sauveurs ? Comment pouvait-on seulement envisager une telle possibilité ?
Mais cela semblait le conforter dans l'idée que les Kor'Rial étaient passés par là. Si on trouvait la nièce, on trouverait l'oncle, et vice et versa... Ou peut-être avait-elle été visitée par cet énergumène Sith ? Il devrait trouver un moyen de lui en parler, un jour.
Il se permit de lever un doigt quand elle prononça le mot "éradiquer".
« Je n'ai jamais parlé de leur éradication, Elizabeth, mais de leur disparition. Je ne possède aucun plaisir des génocides. Disons que, comme le dit le vieil adage, pour vivre heureux, vivons cachés. »
Et vint ue message tout aussi personnel.
« Pour beaucoup encore, les Jedi et Sith ne sont que des légendes racontées aux enfants. Les seuls soldats de mes rangs qui y croient sous ceux à avoir travaillé directement avec feu le Sith Vador. Les autres ne voyait en lui qu'un chef de guerre qui se présentait comme un sorcier des temps anciens.
Mais si je n'avais eu droit au privilège d'en savoir plus sur les Jedi, du à mon rang, j'aurais juré la même chose. Mais ce que j'ai appris, c'est que ces individus, bien que s'arrogeant le premier plan, vivaient malgré tout en marge. Nombre d'entre eux ont coupé les bras et jambes de certains malfrats qui n'étaient qu'en trop-plein de testostérone. Des gens qui n'auraient jamais tiré de toute façon... qui ne fait pas d'erreur de jeunesse comme menacer quelqu'un dans le vent, dans un bar le soir ?
Et là interviennent les Jedi, paragons de vertu qui coupent mains et pieds, et qui partent avant que la police ne prennent leur déposition. Les archives de l'Ancienne République en feront foi. »
C'était la pure vérité. Des fois, la propagande ne nécessitait presque aucune manipulation.
« La vérité, Elizabeth, c'est que les sensitifs que j'ai connu ne sont que Sith et Jedi. Blanc ou Noir, mais toujours égoïste. Si une troisième voie neutre et désintéressée existait, peut-être, je dis bien peut-être, y accorderais-je un peu de foi. »
Mais il doutait qu'une telle voie existe.
Mais cela semblait le conforter dans l'idée que les Kor'Rial étaient passés par là. Si on trouvait la nièce, on trouverait l'oncle, et vice et versa... Ou peut-être avait-elle été visitée par cet énergumène Sith ? Il devrait trouver un moyen de lui en parler, un jour.
Il se permit de lever un doigt quand elle prononça le mot "éradiquer".
« Je n'ai jamais parlé de leur éradication, Elizabeth, mais de leur disparition. Je ne possède aucun plaisir des génocides. Disons que, comme le dit le vieil adage, pour vivre heureux, vivons cachés. »
Et vint ue message tout aussi personnel.
« Pour beaucoup encore, les Jedi et Sith ne sont que des légendes racontées aux enfants. Les seuls soldats de mes rangs qui y croient sous ceux à avoir travaillé directement avec feu le Sith Vador. Les autres ne voyait en lui qu'un chef de guerre qui se présentait comme un sorcier des temps anciens.
Mais si je n'avais eu droit au privilège d'en savoir plus sur les Jedi, du à mon rang, j'aurais juré la même chose. Mais ce que j'ai appris, c'est que ces individus, bien que s'arrogeant le premier plan, vivaient malgré tout en marge. Nombre d'entre eux ont coupé les bras et jambes de certains malfrats qui n'étaient qu'en trop-plein de testostérone. Des gens qui n'auraient jamais tiré de toute façon... qui ne fait pas d'erreur de jeunesse comme menacer quelqu'un dans le vent, dans un bar le soir ?
Et là interviennent les Jedi, paragons de vertu qui coupent mains et pieds, et qui partent avant que la police ne prennent leur déposition. Les archives de l'Ancienne République en feront foi. »
C'était la pure vérité. Des fois, la propagande ne nécessitait presque aucune manipulation.
« La vérité, Elizabeth, c'est que les sensitifs que j'ai connu ne sont que Sith et Jedi. Blanc ou Noir, mais toujours égoïste. Si une troisième voie neutre et désintéressée existait, peut-être, je dis bien peut-être, y accorderais-je un peu de foi. »
Mais il doutait qu'une telle voie existe.