L'Astre Tyran

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Aussi loin que remonte l'histoire du voyage interstellaire, Coruscant demeure la planète-capitale, le centre politique de la Galaxie. Entièrement recouverte d'une vaste mégalopole, elle ne produit aucune denrée, et le trafic aérien dédié à la nourriture remplit à lui tout seul le ciel de la planète.
Gouvernement : Nouvelle République
#25163
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Coruscant. La planète-capitale était régulièrement animé de grand évènement. Mais celui qui se préparait était le premier de ce genre. Récemment, le monde politique avait connu une grave crise. Les Colonies du Nord était entrée en dissidence contre le pouvoir central après le vote populaire de l’Administratrice Tega. Leia Organa avait alors tenté de la destituer. Mais fraichement approuvé part presque 80% de sa population, la Princesse de Chandrila n’avait pas quitté son poste. Il avait fallu l’intervention de Mon Mothma pour mettre fin au bras de fer. Grace au soutien des Sénateurs des Colonies, majoritairement néo-républicain, l’Administratrice avait pu obtenir une sortie de crise par le haut. Elle reprenait une place au sein du Sénat mais garder tout de même le contrôle de sa région grâce à un nouveau poste. Celui de Sénatrice-Présidente. Elue par ses pairs, et donc légitimé aux yeux de tous, elle continuerait de gérer l’administration régionale comme elle l’avait toujours fait. Mais la crise l’avait éloigné de Leia. Celle qu’elle avait si longtemps considérée comme une sœur était maintenant une adversaire. Elle n’avait ni haine, ni colère, mais juste déception et désillusion. Leia c’était laissé aveugler par des questions de pouvoirs et hiérarchie, sans prendre en compte l’avis du peuple ne serait-ce qu’une seconde. Elle avait enlevé un impérial, sacrifiant des hommes et des espoirs de paix. Tout cela avait mené à la plus grande crise que la nouvelle république avait eu à traverser. Maya n’avait pas alors eu d’autre choix que te claquer la porte du parti Neo-Repulicain, officialisant la césure avec la Présidente.

Dans son sillage, ses soutiens, la plupart des sénateurs des Colonies du Nord, avaient aussi quittés le parti au pouvoir. Ils avaient été nombreux à s’opposer au pouvoir central lors de la crise. Pour eux, l’alternative logique était de se placer au sein d’un nouveau venu sur l’échiquier du sénat : Un parti démocrate. Ce parti était le résultat de la crise. Convaincu de ses idéaux et de sa politique, Maya ne pouvait qu’essayer de s’imposait au Sénat. Elle y avait déjà quelques soutiens, mais elle devait enfin achever son indépendance, et fonder son propre parti pour peser dans le système républicain.

Et ce parti, il se réunissait aujourd’hui afin de prendre officiellement naissance. Sur l’holonet, la nouvelle tournait depuis quelques jours, les chaines allant jusqu’à proposer des reportages sur la vie de Maya et sur le redressement des Colonies du Nord. Alors la princesse de Chandrila avait invité les plupart des Média à assister à ce grand congrès, à quelques lieux du Sénat et du Capitole. Tout avait été prévu avec minuties. Un grand parterre avait été aménagés, avec aux premiers rangs, de nombreux soutient des Colonies du Nord. Ensuite venaient les invités politiques et les personnalités publiques invités. Sénateur, dirigeant, ou bien encore entrepreneur et artistes avaient été conviés à l’évènement. Dans le reste de la salle, public et sympathisant se mélangeaient. Tous étaient tournée vers la scène où maya prononcerait son discours. Derrière elle serait assis les soutiens forts, ceux qui c’était joints à elle pour fonder ce parti. Sa fille et l’administratrice nouvellement mené dans les Colonies seraient également parmi eux.

La princesse de Chandrila avait revêtu une robe blanche simple, mais reconnaissable et chic. Pour une fois, tout avait été soigné. La prise de parole avait été répétée, et on avait contrôlé l’éclairage et le son à plusieurs reprises. Dans la salle, bientôt les invités arrivèrent, étant placés par des hôtes et des hôtesses aux places attitrés à chacun. Sur scène, les proches de la Princesse arrivèrent en un seul cortège et prirent place. Sur le devant de la scène, un pupitre avait été installé. Quand chacun fut à sa place, les éclairages de la salle s’affaiblirent, alors que la scène fut intensément éclairée. C’est alors que Maya entra sur scène. Elle s’avança souriante, radieuse, jusqu’au bord de la scène alors que les applaudissements couvraient le bruit de ses pas. Elle salua le public avant de prendre place derrière le pupitre.

« Chers concitoyens, chers amis, je veux d’abord vous remercier pour cette accueil et pour votre présence en ce jour. Je n’ai pas l’habitude de nous réunir ainsi, mais si vous êtes ici, c’est que comme moi vous attachez de l’importance à l’avenir de notre république. »

Maya marqua une première courte pause, balayant l’assistance du regard.

« « Notre futur est constitué de questions citoyennes qui nous concernes tous. Peu importe notre planète, notre race ou notre profession. Nous sommes tous concernés. Cette universalité est la nature première du débat politique. C’est ce qui permet à chacun de nous d’avoir ses idéaux et de faire ses choix. L’échange de nos idées n’est-elle pas après tout le propre de notre démocratie ? N’est pas là notre noblesse, notre force ? Bien au-delà des luttes partisanes et intestines, c’est ses échanges argumentés sont au cœur de notre institution républicaine. » »

Nouvelle pause. Le sourire de Maya était polie, chaleureux. Il ne s’agissait plus d’annoncer une énième réforme, non. Ici, il fallait convaincre, et surtout marquer. On s’apprêtait à assister à la naissance d’un vent qui un jour soufflerait puissamment.


« « Et la plus grande des enigmes, le plus grand des enjeux pour ce système. De quoi sera donc fait demain ? Que ferons-nous dans un an, dans deux, dans dix. Que voulons-nous pour notre avenir, pour nos enfants ? C’est pour cette question, quasiment existentielle, que je vous ai rassemblé. Non pas pour y répondre. Serait fou celui qui prétendrait détenir une unique vérité. Non. Si je vous ai rassemblés mes amis c’est pour remettre cette question, si importante, au centre de nos débats. Il est temps d’échanger sur nos rêves de lendemain. Il est temps que notre politique regarde en avant. Que nos décisions soit fonction de l’avenir que nous souhaitons et non sur le passé que nous avons vécu, parfois subis. Allons-nous rester là, seuls, chacun de notre côté, à rêver sans pouvoir le concrétiser ? Je refuse. Je refuse de laisser notre avenir à quelques un qui n’aurait que faire de l’avis de chacun. Notre futur sera le fruit de nos décisions, de nos actes et de notre présent.» »

Son visage était d’un sérieux presque inédit. Elle savait que beaucoup se jouer à cet instant. Ce premier congrès était entre agressivité et universalité. Il était trop tôt pour attaquer directement d’autre, mais il fallait dès à présent afficher la fracture, la césure, entre les Démocrates et les Néo-Républicains.


« « Notre présent. Qui sommes-nous aujourd’hui ? Où en sommes-nous ? Honnêtement, si un bilan de notre jeune république, était à dresser, serait-il si bon que cela ? Des amis de longues dates sont devenus des ennemies, des opportunités de paix ont été tournée en dérision, voir en actions irresponsables, en traitrise. Certains de nos secteurs peinent à se développer, dans d’autre, des actions non raisonnées ont amené à de grave crise. Quant à notre plus grande préoccupation…La guerre…qu’a-t-elle encore d’une guerre ? On se voile la face en refusant la paix, sous prétexte que des planètes ne sont pas libérées. Pourtant, aucune opération de libération n’a été menée. Là où des discutions diplomatiques aurait peut-être pu aboutir. Oui, mes amis, ce n’est pas brillant. Pourquoi ? Car à aucun moment dans ses décisions, l’avenir qui est le nôtre n’a été pris en compte. Personne ne s’est posé la question : Que se passera-t-il dans un an ? Une fois les sentiments, la haine, la peur ou la vengeance disparue. Que restera-t-il de nos actes ? Nous devons penser nos décisions pour l’avenir et non payer plus tard des impulsions, des décisions instinctives, et parfois, à l’opposé du souhait des peuples concernés. » »

Nouvelle pause. Le message était clair, un peu abrasif, mais il actait définitivement le divorce entre deux sœurs.

« « Certains se demande certainement pourquoi aujourd’hui. Pour une simple raison : Je n’ai jamais arrêté de me battre pour mes idées. Je n’ai jamais fui devant un débat. Tout au long de mon parcours, je me suis concentré sur l’avenir des miens. J’ai pensé à leur futur, à leur bonheur, à leur prospérité. J’ai toujours fait ce que j’estimais nécessaire pour que chacun vive du mieux possible. Mais je refuse de tracé un chemin sans débat, sans l’avis de ce qui sont concernés. Je ne serais pas de ceux qui prennent des décisions qui peuvent briser des vies sans y réfléchir, sans consulter les premiers concernés. Je refuse qu’on considère qu’un être ne soit qu’un chiffre, qu’un vote, qu’une statistique, qu’un point dans la foule ! Que l’on bafoue ses idées et son avenir. C’est à vous que j’en appelle. C’est vos avis, vos idées, vos paroles qui m’importe. C’est le débat qui en naîtra qui devra entrée au cœur de nos cités ! Loin des luttes de pouvoir, des considérations politiques, nous devrons battit notre avenir ensemble. C’est la proposition et la promesse que je vous fais mes amis. Nous recentrerons le débat sur l’important, nous réfléchirons ensemble à ce qui est le mieux pour tous. Je vous invite à me rejoindre. Je vous invite à rêver ensemble et je vous remercie de votre écoute ! » »

Sur les lèvres de Maya, un grand sourire répondait aux acclamations qui provenaient du parterre. Ainsi naissait l’Union Démocratique Galactique. Le pari était peut être utopiste et le discours acerbe, mais l’ambition était grande et sincère. La princesse jeta un regard vers sa fille qu’elle invita à venir. Elle suivit alors l’ex-administratrice dans la foule, profitant d’un bain de foule revigorant. Plus d’inquiétude, elles avaient trouvé une raison de se battre. Rêver Ensemble.

Dans l’après-midi, des ateliers furent organisées avec tous pour débattre sur divers sujets. Peu à peu, l’UDG rallier des sénateurs, et tout cela n’était qu’un début. Un premier pas.
#25713
Maya Tega. La personne qui revenait le plus souvent dans les news ces temps-ci. Personne qui s’intéressait désormais de très près à la politique. Qui avait même décidé de fonder son propre parti. Mais qui était-elle ? Ce n’était autre que la seconde du parti Néo-républicain. Le binôme de la présidente Organa dans la république. Ces deux femmes avaient pour ainsi dire construit ce qu’était la république aujourd’hui. L’une comme l’autre étaient aimés, et les revoilà désormais rivales. A croire que la république était en train de s’effondrer. D’un côté, la belliqueuse Leia prônant toujours la suprématie de la république face à l’empire, menant une politique raffermie depuis les attentats au capitole. De l’autre, la pacifiste Maya, ayant quant à elle enclenché la discussion avec leur rival historique et même rédigé le premier traité de paix, qui malheureusement ne vit jamais le jour pour les mêmes raisons. L’attaque du capitole, c’était cela le point déclencheur. C’était cela que les médias mettaient en exergue. Qui avait raison ou tord ? La populace votait.

Ainsi, le parti de Leia était mis à mal désormais avec l’arrivée soudaine du petit nouveau. Les colonies du Nord se rebellaient, et ce n’était pas un petit morceau, bien au contraire. La crise de Chandrilla, comme on l’appelait déjà, avait confronté les sœurs rivales. La princesse avait outrepassé ses droits légaux pour convenir d’un vote populaire dans son secteur. Un vote qui aurait eu lieu normalement à sa destitution dans le secteur. Mais la chose ne se passa pas comme cela. Plus de 80% des coloniaux étaient derrière l’administratrice. Leia était donc restée sur la touche. On disait déjà qu’elle n’était plus dans le coup, qu’elle devait se recycler. C’était de la politique en soi. Quand à Maya, elle était la traîtresse républicaine. A chacun son lot de qualification. Toujours est-il que les faits étaient là. Mon Mothma était spécialement sortit de sa torpeur pour régler le conflit, Maya en étant sortit vainqueur, son secteur derrière elle, la république sous le choc. Beaucoup l’acclamèrent et virent dans cette victoire des augures positifs. Le symbole de la paix républicaine et durable était né face à la rebelle de toujours. Est-ce que Maya allait succéder à Leia ? Certains le souhaitaient, d’autres le murmuraient. Les dernières ne pouvaient même pas y penser. Tous étaient d’accord sur une chose, Leia allait devoir affiner son discours et compter une nouvelle rivale. Probablement la plus grande qu’elle n’est connue depuis son élection.

Économiquement parlant, Maya était la présidente d’un secteur en plein essor. Pire encore, son administration avait multiplié par 2, par 3 même l’économie du secteur. A côté de cela, la Chandrilan Corporation, dont elle était la présidente, se présentait comme le leader républicain des transports de fret et de vaisseau de bataille avec la Corporation Technique Corellienne. Les investisseurs étaient contents et voyaient en Maya un investissement judicieux. Tout cela n'était pas politique, mais inutile de le préciser, l'argent en était pour beaucoup dans tous les cas. Maya semblait briller dans tous les domaines, et cela n’allait pas pour satisfaire sa rivale. En revanche, inutile de dire que son parti allait émerger et se placer dans le haut du panier. Leia allait devoir réagir si elle voulait garder sa place, et vite. La démocratie était maîtresse dans la république, quelle que soit la personne à sa tête.


Bilan du RP :
    Néo-Républicain : 19 %. Le parti a perdu la majeur parti de ses sénateurs du Nord au profit de Maya (- 8%) et d'autres ont suivi le mouvement (- 2%). On notera également la perte de popularité de Leia qui perd la confiance de certains sénateurs suite à sa défaite politique contre Maya(- 2%). Enfin, les derniers n'aiment pas la politique girouette de Leia. Les uns préfèrent la paix (- 1% vers les conservateurs), les autres la guerre (- 1% vers les progressistes).

    Conservateurs : 20 %. Les conservateurs étaient pour la paix, et le faisaient bien savoir. Beaucoup de sénateurs soutenaient Maya dans son entreprise et rejoignirent l'UDC (- 5%). Une infime partie cherchent en Maya le profit (- 1%). Les autres vinrent des Néo-républicains (+ 1%).

    Réactionnaires : 24 %. Fermement opposés à Maya, ils n'étaient pas pour son élection, bien au contraire. Maintenant, ils ont un adversaire de plus. Il faudra les compter en tant que rivaux.

    Les progressistes : 6 %. Maya est une démocrate et une excellente administratrice financière. Le profit serait de mise de son côté (- 2%). Les sénateurs restant attendaient des actions vindicatives après l'attaque du capitole mais rien n'est venu (+ 1%).

    Les extrémistes : 10 %. Étrangement, quelques sénateurs rejoignirent Maya sur la question impériale. Il voyait en Maya celle qui pourrait enfin les rapprocher de l'empire (-1%).

L'UDC obtient donc 21 % des places.
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