- lun. 15 mai 2017 09:41
#28077
Sale décision que je dois prendre. En plus d'être consécutive aux départs de Misha et la dénommée Ariès dont au moins on peut être sûr qu'elle n'était pas une taupe de Nazara, voilà que je dois décider quoi faire de la jeune Sabina. Pourquoi donc me direz-vous? Mais parce qu'Iris m'a fait part de la bizarrerie dont la gamine a fait preuve dans la cabine face à l'esclavagiste, le blaster qui vole hors de ses mains pour s'écraser par terre. C'est tout sauf normal ça.
D'un côté l'idée de retourner voir ces tarés qui servent Monsieur Hett ne me fait franchement pas envie vu leur propension à vouloir écraser avec des bouts de rochers énormes ceux qui ne leur reviennent pas, d'un autre je me dit, à qui d'autre pourrais-je m'adresser? Je me vois mal aller sur Coruscant ou on prétend que vivent les Jedi et leur présenter une jeune femme alors que je suis un criminel.
Si j'ai l'assurance qu'ils peuvent l'aider à... A quoi d'ailleurs? A maîtriser son truc? A la rendre encore plus dangereuse avec ça? Aucune fichue idée, l'essentiel étant que si elle devient en effet capable d'utiliser ça à volonté voire d'autres pouvoirs "magiques" du même genre, ça pourra être utile autant à elle pour sa survie qu'à nous dans notre boulot alors bon. C'est pas que ça m'enchante mais je vois vraiment pas qui d'autre pourrait lui filer un coup de main donc, direction Korriban Mister NailBrain!
Le voyage prend plusieurs heures, de Nar Shaddaa à ce monde qui, encore une fois, me fout la trouille une fois arrivé en orbite. Y a vraiment un truc qui tourne pas rond avec cette planète mais je suis aussi incapable de dire quoi en ce moment qu'il y a 2 mois. Le vaisseau descend finalement au même coin ou Crossbones nous avait posé la dernière fois, n'allons pas agacer nos généreux hôtes en allant se promener hors-piste, surtout que ça a l'air salement dangereux ailleurs.
J'ai ordonné aux matelots de profiter de leur perm' sur Nar Shaddaa, aussi n'y a-t-il personne d'autre que mon "cercle intime" à bord, autant ne prendre aucun risque de débordement pas vrai? Le vaisseau posé, il est temps d'y aller, juste elle et moi. Je lui ai expliqué un peu au cours du voyage ce qui allait se passer à présent, que c'était pour son bien et tout le tralala. Elle n'a eu aucune réaction particulière, je m'attendais à la voir choquée ou protester mais même pas. Surprenant.
La rampe de la baie d'embarquement s'abaisse et nous voilà tout les deux à fouler -de nouveau pour moi- le sol sableux de ce monde ou on crève de chaud. Ça me débecte, comment des gens peuvent-ils vivre dans un endroit pareil sans y perdre leur santé mentale?
T'éloigne pas petite, reste près de moi, on sait jamais, le coin est dangereux.
Le duo improbable continue sa route parmi ce paysage desséché, l'impression de malaise toujours plus grande. Le capitaine n'a pas l'air dans son assiette tandis que Sabina, elle, se sent étrangement à l'aise. Bien sûr, l'endroit lui fait peur et elle sent bien que quelque chose ne tourne pas rond ici, mais elle a l'impression de sentir comme une présence qui la rassure.
C'est très perturbant, elle se demande bien ce que c'est. Korriban lui donne l'impression d'être plus qu'un monde mort et habité par des gens vêtus de noirs comme lui a expliqué le capitaine. Ils tracent leur chemin prudemment jusqu'au bâtiment visible depuis qu'ils sont arrivés dans l'atmosphère dans la grande vallée et ce qui ressemble à d'immenses statues. La sensation de se sentir appelée est de plus en plus forte au fur et à mesure qu'ils se rapprochent.
Finalement ils arrivent face à l'entrée de la structure. Elle a comme l'impression que quelque chose d'important va se tramer pour elle dans un futur proche ici mais n'a aucune idée de ce que ça peut être. Alors elle fait comme le Corellien et attend, incertaine de ce qu'ils doivent attendre, plantés là devant les imposantes portes closes de l'académie.
D'un côté l'idée de retourner voir ces tarés qui servent Monsieur Hett ne me fait franchement pas envie vu leur propension à vouloir écraser avec des bouts de rochers énormes ceux qui ne leur reviennent pas, d'un autre je me dit, à qui d'autre pourrais-je m'adresser? Je me vois mal aller sur Coruscant ou on prétend que vivent les Jedi et leur présenter une jeune femme alors que je suis un criminel.
Si j'ai l'assurance qu'ils peuvent l'aider à... A quoi d'ailleurs? A maîtriser son truc? A la rendre encore plus dangereuse avec ça? Aucune fichue idée, l'essentiel étant que si elle devient en effet capable d'utiliser ça à volonté voire d'autres pouvoirs "magiques" du même genre, ça pourra être utile autant à elle pour sa survie qu'à nous dans notre boulot alors bon. C'est pas que ça m'enchante mais je vois vraiment pas qui d'autre pourrait lui filer un coup de main donc, direction Korriban Mister NailBrain!
Le voyage prend plusieurs heures, de Nar Shaddaa à ce monde qui, encore une fois, me fout la trouille une fois arrivé en orbite. Y a vraiment un truc qui tourne pas rond avec cette planète mais je suis aussi incapable de dire quoi en ce moment qu'il y a 2 mois. Le vaisseau descend finalement au même coin ou Crossbones nous avait posé la dernière fois, n'allons pas agacer nos généreux hôtes en allant se promener hors-piste, surtout que ça a l'air salement dangereux ailleurs.
J'ai ordonné aux matelots de profiter de leur perm' sur Nar Shaddaa, aussi n'y a-t-il personne d'autre que mon "cercle intime" à bord, autant ne prendre aucun risque de débordement pas vrai? Le vaisseau posé, il est temps d'y aller, juste elle et moi. Je lui ai expliqué un peu au cours du voyage ce qui allait se passer à présent, que c'était pour son bien et tout le tralala. Elle n'a eu aucune réaction particulière, je m'attendais à la voir choquée ou protester mais même pas. Surprenant.
La rampe de la baie d'embarquement s'abaisse et nous voilà tout les deux à fouler -de nouveau pour moi- le sol sableux de ce monde ou on crève de chaud. Ça me débecte, comment des gens peuvent-ils vivre dans un endroit pareil sans y perdre leur santé mentale?
T'éloigne pas petite, reste près de moi, on sait jamais, le coin est dangereux.
Le duo improbable continue sa route parmi ce paysage desséché, l'impression de malaise toujours plus grande. Le capitaine n'a pas l'air dans son assiette tandis que Sabina, elle, se sent étrangement à l'aise. Bien sûr, l'endroit lui fait peur et elle sent bien que quelque chose ne tourne pas rond ici, mais elle a l'impression de sentir comme une présence qui la rassure.
C'est très perturbant, elle se demande bien ce que c'est. Korriban lui donne l'impression d'être plus qu'un monde mort et habité par des gens vêtus de noirs comme lui a expliqué le capitaine. Ils tracent leur chemin prudemment jusqu'au bâtiment visible depuis qu'ils sont arrivés dans l'atmosphère dans la grande vallée et ce qui ressemble à d'immenses statues. La sensation de se sentir appelée est de plus en plus forte au fur et à mesure qu'ils se rapprochent.
Finalement ils arrivent face à l'entrée de la structure. Elle a comme l'impression que quelque chose d'important va se tramer pour elle dans un futur proche ici mais n'a aucune idée de ce que ça peut être. Alors elle fait comme le Corellien et attend, incertaine de ce qu'ils doivent attendre, plantés là devant les imposantes portes closes de l'académie.