L'Astre Tyran

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By L'Ombre
#28248
IDENTITE


Nom du Personnage :
    ?

Race :
    Humaine

Âge :
    ?

Planète d'origine :
    ?

PROFIL


Métier :
    ?

Faction :
    Ordre Sith

Description :
    Une description. Comment décrire l'indescriptible ? Un tel héritage visuel semble pourtant couler de source, tant la silhouette du personnage sonne comme abominable aux esprits de ceux qui portent le regard vers la bure élimée de la sombre figure. D'aucun jure d'avoir en mémoire, gravée au burin affûté, l'image de l'individu, tous prêt à communiquer un portrait robot que tous croiront convaincant. Pourtant, l'existence de cette chose semble toujours avoir été compromise, de par l'absence de preuve tangible de ses passages successifs dans la vie des mortels. Tous affirmeront avoir souvenir de lui. Mais tous alors oublieront où ils l'avaient vu, quand il l'avait vu, comment l'avaient-ils vu, pourquoi l'avaient-ils vu. Et les descriptions, alors, se brouillent, s'emmêlent, et donnent une miriade d'individus allant du simple au louche. Pour finalement découvrir avec effarement qu'ils ne firent rien d'autre que se décrire eux-mêmes.

    Toute la force de cette chose, dont on ignore jusqu'au sexe, réside dans cet effrayant effet miroir appliqué au subconscient des gens. De par le fait, et de par sa grande connaissance des choses qu'il touche, il revêt une multitude de formes, d'âges et d'allures que le plus brave des Clawdite ne pourrait que lui envier.

    Mais, derrière son masque fluide de Seigneur attitré de l'image Mâline qu'on pût se faire d'un humanoïde, se dissimule une figure que le commun trouverait à son image. Quelle qu'il fût, sa taille ne laisse en rien songeur. Perché à quelque 1 mètre 70, l'individu semble un tout petit peu petit pour un homme, et un tout petit peu grand pour une femme. Sa taille en revanche le laisse grandie par une peau parcheminée que les muscles n'assaillent plus depuis fort longtemps. Ses os blanchis perçants ses chairs s'arrangent en harmonie de petits obus meurtriers, prêt à broyer de leur pâleur opaline ceux qui, par mégarde, auraient cru avoir à faire à un vieillard décharné.

    Une méprise que, si l'univers la pardonne, lui, ne pardonne pas.

    Loin d'être un vieillard décharné, la chose se révèle somme toute incroyablement forte de physique, capable, d'un sourire cruel dont la vue fut par miracle épargnée aux yeux des esprits débilitant, de broyer le plus puissant des poings d'un Savrip Mantellien. Sa silhouette malingre cache une force immense, enfouie dans une antre que l'anatomie n'expliquerait d'aucune façon, qui, par une ombre qui, au-delà de porter sur le sol, déteint de face et de dos sur son être entier, dégage de lui une aura de puissance maléfique qu'il ne daigne cacher que quand l'écrasement doit être sacrifié sur le triste autel de la nécessité.

    Ses épaules voutées, avachies et abattues offrent un contraste saisissant avec sa démarche, souple et puissante, celle d'un randonneur de l'extrême désirant rattraper à pied un marathon professionnel. Dur à suivre à la marche, et surhumain à la course, il complète son portrait par une canne noire, faites d'un bois qui autrefois était dur, et qui aujourd'hui, semble avoir été rendu indestructible. Héritage de ses émotions égorgées, ce bâton noir de charbon, tiré en plein milieu d'une forêt enflammée, semble en permanence en train de sombrer dans les entrailles de la braise sanguinolante. Il fut à constater que le bois, chauffé au rouge depuis des années qu'on n'ose plus qu'imaginer, offre un spectacle de brasier cendreux quand son porteur semble calme... jusqu'à ce que la fureur des Diables s'abatte de plein fouet sur l'être filiforme, et que son bâton ne rugisse alors des feux de lave et ne crache ses flots d'un feu visqueux que la réalité et la morale ne pardonneraient guère.

    Sa main gauche, porteuse des objets, de son sinistre compagnon trop animé pour sa nature, et des sorts lancés, porte en sa paume une brûlure malsaine et suppurente qui jamais ne se refermera, faute de pouvoir se séparer de la chose apposée dedans, qui, autrefois, avait porté en elle la vie. Sa cuisse amaigrie laisse voir, pour qui aurait eu le malheur de poser les yeux sur tel appendice de cauchemar, de minuscules trous réguliers sur sa surface circulaire, trous très souvent cachés par un objet d'auto-supplice que l'Ombre porte en permanence... un cilice.

Psychologie :
    Abnégation.


    Qui suis-je ? Suis-je un esprit issu de la volonté de la Force ? Suis-je une entité consciente, qui navigue au milieu d'un destin qu'aucun n'est à même d'appréhender ? Suis-je un Dieu qui imagine un monde d'interactions, monde qui disparaît dès lors que je détourne les yeux ?

    Suis-je même un être vivant ?

    Je ne sais, je n'ai sus, saurai-je ? Serai-je ? Quelle vérité est tapie au profond de moi, ensemble de morceaux de viande, poussière en sursis, et d'os cassants ? Je ne suis Rien, mais ma place dans l'univers me demande d'être Tout. Je suis le vieux boulanger qui pétri son pain dans son four centenaire. Je suis l'agile souris qui se faufile dans un grenier de Chandrila pour grignoter son grain, trésor doré que je n'apprécie qu'à sa relative valeur. Je suis l'alien chef d'état qui dirige ses animaux qui lui servent de peuple, je suis cet arbre qui cache la forêt. Je suis Tout, et donc je ne suis Rien. Je suis dilué et concentré.

    Châtiment.


    « Je châtie ma chair... »
    *Slash !*
    Les crochets mordent mon dos réduit à l'état de ruines. Le sang ruisselle sur mes jambes nues, mon poitrail saillant se contracte... Inspire... Expire...

    « Je châtie ma chair, comme je châtie les faibles... »
    *Slash !*
    L'objet, un manche simple taillé dans un fer forgé par un artisan vicieux, se surmonte de neuf lanières de cuir, au bout desquelles un cerceau de fer hérissé de trois pointes rouillées qui frappaient avec insistance ma colonne vertébrale, mes muscles dorsaux, le creux de mes reins... Chque coup que je portais se voulait plus fort que le précédent, et retirer les pointes courbées à angle droit demandait un coup sec qui ne manquait jamais de détacher encore quelques lambeaux d'une peau qui hurlait son désir de se reposer.

    « Je ne suis qu'un Instrument de votre volonté... »
    *Slash !*

    « Je ne suis que votre bras armé... »
    *Slash !*

    « Je suis au service du Côté Obscur... »

    Fureur.


    La vie... petit tunnel noir qui donnerait en fin de parcours sur une grande lumière blanche. Pourquoi s'obstiner à prétendre que tout serait inversé ? Si la vie était si merveilleuse, et la mort si définitive, pourquoi alors le tunnel ne serait-il pas blanc ? Pourquoi cette lumière ne serait-il point un doux soleil noir, projettant son ombre lumineuse sur le malheureux voyageur ?

    Parce que cette conception n'est que mensonge. La vie est une torture, la vie n'offre que misère. La Mort, elle, brille toujours de ses douces ténèbres, toujours magnifique, aux représentants les plus doucereux et les plus présentables. Tout n'est que mensonge. Ce mensonge nous nourrit. Par ce mensonge, je m'offre un luxe interdit. Par cette fausse vérité, je détruis les idoles de blasphème.

    Par ce mensonge, j'acquiers la colère des Dieux et des Diables. Par cette colère, j'obtiens la Force. Par cette Force, je peux alors broyer le cou de ce mendiant.

    « Tremble, malapris. Voici venu le jour où l'air quittera ton corps à jamais, avant de revenir pour t'offrir au mangeur de cadavre le plus méritant... »

    Souffrance.


    « Je châtie ma chair... »
    *Splash !*

    « Et j'offre au Côté Obscur son tribut de sang... »

    Je pose devant moi, avec grand soin, les paumes à plat, la tête inclinée, le Chat à Neuf Queues sur ma table de travail, un cadre de bois massif et encore brut, posé sur quatre colonnes de pierres maçonnées à l'ancienne. Un faible rai de lumière point par le petit espace libre agrémenté d'une grille croisée et m'arrose le visage du trait divin d'un ennemi héréditaire. Je me recule alors, j'offre mon bas-ventre nu à la vue du haut-perché individu. Je tends les bras, je l'accueille. Il ne m'effraie plus. Et quand je sens l'heure venue, et détache mon objet de Loyauté, la ceinture pointue qui borde ma cuisse le jour, et hante mes rêves la nuit. La chair se tend et claque quand j'enlève l'anneau ferreux... le sang coule sur le sol, mes pieds souillés sentent maintenant le cuivre.

    « Je me fais dépositaire de Sa volonté... »

    Et, d'un coup sec, ferme, j'applique la chose qui me fait vivre sur mon autre cuisse, je recreuse les trous qui avaient caressé le vil espoir de ne plus jamais la revoir, avant que je ne ferme la sangle. Je sens la douleur, toujours aussi vive. Mais si elle fût un jour mon ennemie, elle était maintenant mon amante. Celle pour qui je brûlais de désir, substitut définitif de ma jouissance perdue.

    « Je ne vis que pour Le servir... »


Histoire :
    Mon histoire, n'est rien de plus que la vôtre, si le lecteur, insatisfait de cette fin pathétique que vous daignâ lui accorder, s'était muni d'un crayon taillé et avait rédigé sa propre finalité sur la troisième de couverture, espoir futile de reprendre le contrôle d'une chose qui lui avait échappé de son statut de mots figés, alignés maladroitement par un esprit simpliste, trop simpliste.




    L'odeur parvenait à mes narines, fumet d'un circuit fermé laissé à chauffer par un programme taquin. J'avançais, d'un pas agile, le petit bois mort craquant sous mes bottes de lin renforcé, les bras tendus en croix.

    Respire...

    Le feu consumait. Le feu purifiait. La chair se purifiait, la société se purifiait... la vie, dans son essence même, se purifiait. La Force, présente en toute chose, acceptait cet état de fait, et, parfois, n'offrait aucune aide à ceux qui cherchaient à se dérober à leur sombre destin. Mon destin n'était plus depuis longtemps que mon dessein. En lettres de bronze, j'avais gravé sur ce magnificient chêne millénaire un mot d'adieu, qui vite avait prit une teinte infernale, avant de transpercer d'une courte psalmodie son tronc titanesque, l'offrant à une mort qu'il ne sentirait qu'au travers de la Force, cette garce.

    L'incantation poursuivait, mais l'être résistait. Et alors, Il avait résonné pour me raisonner.

    Plus...

    Sa voix était devenue musique à mes oreilles, douce mélodie d'un bonheur qui se nourissait du désespoir et de l'amputation des essentialités.

    Plus......

    Bras tendus, croix de bois, croix de fer, je portais au ciel mon offrande invisible, cherchait en son sein l'être, ou le malêtre, qui aurait pu m'aider à venir au bout de mon désir.

    PLUS !

    Je crispais les doigts. D'un coup, je l'avais sentie. Imprégnant mon membre fantôme, lui qui n'avait fait que louer sa place en moi, la Chose offrait à présent un pouvoir que je laissais libre de parcourir mon corps meurtri par les épreuves et la vie. Je ne criais pas alors que cette main qui m'avait été arrachée pour l'exemple revenait à moi, luxuriante de peau, d'os et de chair... Une main que j'abattais tous ongles dehors sur l'écorce de ce rival boisé. D'un coup, il s'embrasa. Son voisin, autre chêne d'une moins grande majestée, s'embrasa.

    D'un clin d'oeil, le feu de buisson devint fournaise. Je laissais la chaleur insupportable lécher mon visage ravi, et admirait, au bout d'un temps, une silhouette droite vêtue de ténèbres qui se profilait fièrement là où se tenait avant une branche. Comme si la forêt entière avait décidé d'accorder à une seule partie l'ensemble de sa force vitale, elle trônait là, narquoise et moqueuse, témoin privilégié de ce qui aurait du être le mince échec de ma grande entreprise.

    « Ce qui se dresse ne peut être qu'abattu. Mais ce que l'on possède ne pourra jamais que plier. »

    Cette chose vulgaire, résidu pitoyable d'une volonté mal placée, fut arrachée d'un mouvement de pensée, et flotta librement jusqu'à ma main. J'empoignais alors fièrement mon trophée d'infortune, qui aussitôt récompensa mon audace en appliquant sur ma paume un baiser enflammé, scellant alors notre pacte d'assistance à venir.

    La douleur n'a jamais cessé d'exister. Je porte sur moi la marque de mon désir futil, rappel perpétuel de la nécessité de garder à l'esprit de ne jamais rien considérer comme acquis.




    J'appliquais ensuite à mettre en image des légendes du passé. J'hantais les villages, je faisais fuir les pillards, j'aspirais la vie des jeunes filles pures, je volais aux pauvres pour donner aux riches. Quand un soulèvement apportait son odeur depuis la brise d'Est, j'étais celui qui rédigeait les pamphlets qui déclenchaient les émeutes, j'étais la voix qui susurrait aux troupes de charger les manifestants, et ne faire aucun survivant, et celui qui confortait l'esprit des casseurs que leur combat de destruction était juste. Je semais la crétinerie comme un paysan semait son orge et son blé dans ses champs labourés, à la différence près que jamais je ne laissâ de zone en jachère.

    J'eus, un jour, l'exquis privilège d'offrir ni plus ni moins qu'un trône au pantin le plus habile d'un territoire nordique. La destruction commençait lentement.

    Et un jour, alors que j'observais la dernière représentation théâtrale de la pire troupe de comédiens itinérants galactiques, je compris que ce monde de faux semblants avait besoin de plus que d'un paltoquet perché sur un immeuble, ou allant courir les routes de Dathomir.

    La Galaxie avait grand besoin d'un nectar d'or versé contre un hectare de morts.

INVENTAIRE


Crédits :
    Aucun

Arme :
    Un bâton noirci charbonisé dont les entrailles rougeoient à mesure qu'augmente sa fureur.

Equipement :
    Une bure noire avec surcape en cuir bouilli.

FICHE FORCE


Rang HRP : Grade 1
Orientation : Obscure

Pouvoirs :

Niveau Apprenti :
  • Magie Sith [ Pratiqué ]
  • Méditation [ Connu ]

Pouvoirs de Base :

  • Bouclier [ Connu ]
  • Dissimulation [ Connu ]
  • Divination [ Connu ]
  • Empathie [ Connu ]
  • Lévitation [ Connu ]
  • Mémoire [ Connu ]
  • Persuasion [ Connu ]
  • Poussée [ Connu ]
  • Saut [ Connu ]
  • Sensibilité [ Connu ]
  • Tapas [ Connu ]
  • Télékinésie [ Connu ]
  • Télépathie [ Connu ]
  • Traction [ Connu ]
  • Traduction [ Connu ]
  • Vision [ Connu ]
  • Vitesse [ Connu ]
  • Voile [ Connu ]

Pas de forme de combat.
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By Amertume
#28260
Bonjour et rebienvenue sur SWOR chère Ombre !

Que dire de spécial ma foi? La fiche est d'excellente facture, le personnage intéressant et avec un bon potentiel de RP et d'évolution, on a discuté des quelques points qui pouvaient être éventuellement problématiques et tu sais très bien quoi faire donc rien à rajouter. En principe la Magie Sith devrait être en Connu, mais vu que tu n'as ni sabre-laser ni forme de combat (puisque tu souhaites t'orienter sur l'utilisation pure de la Force), on te l'accorde en contrepartie.

Je te valide donc et te souhaite un bon jeu camarade obscur !

Edit: Je rappelle tout de même à titre indicatif la règle sur les doubles-comptes afin qu'il n'y ait pas de méprise à l'avenir.

"Sur Swor, nous autorisons exceptionnellement certains bons joueurs à incarner un second personnage et donc se créer un deuxième compte à la conditions de ne pas créer de conflits d'intérêts entre le Personnage Principal et le Personnage Secondaire."
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