- sam. 27 mai 2017 20:43
#28273
Lorsqu'il parlait de jouets, Frankie entendait du matériel plus dans ses cordes. Mais les armes présentées par Wilton lui convenaient également, surtout ce disrupteur. Évidemment, ce truc serait à utiliser avec modération, car interdit absolument partout. Mais ce genre de joujoux était parfaitement utile. Quoi de plus pratique que de pouvoir d'un seul geste abattre un gêneur et faire disparaître le corps ? Il se contenta de sourire en empoignant la crosse, et remisa l'arme prohibée au holster dorsal de son gilet tactique.
Iris savait deux ou trois choses sur le marché local, et ce qu'elle semblait proposer tenait la route. Il aurait besoin de se rencarder, mais il pouvait toujours faire ça depuis n'importe quel terminal qu'ils pourraient trouver.
C'était donc décidé, ils se mettaient sur les traces de Tiia'a Daaria.
Environ une heure leur avait été nécessaire pour gagner les quartiers huppés. C'était clairement autre chose que la zone industrielle déserte où Wilton les avait fait venir. Les speeders qui avançaient tranquillement n'avaient rien des modèles obsolètes de bas-quartiers. Les gens portaient des vêtements visiblement faits de tissus luxueux, ou tout au moins en bon état et certainement pas datés de l'année passée.
Pour le coup, ils étaient assurés de ne pas passer inaperçus. Frankie avait tout de même trouvé un pardessus à porter par-dessus (ouh la bonne blague) son attirail. Ça permettait au moins de cacher eux yeux indiscrets les armes qu'il portait.
Maintenant qu'ils étaient au bon endroit, ils devaient faire ce qu'ils étaient venus faire. Première étape : trouver du matos. Ce n'était pas très compliqué, car on trouvait des terminaux informatiques en libre accès dans toutes les administrations et dans beaucoup de services publics. Cette bibliothèque, ce poste de police, ou même cette banque, ou cette borne de recharge pour speeders. Frankie n'avait que l'embarras du choix, encore qu'il avait une préférence pour les endroits qui permettaient un accès discret.
Il choisit d'entrer dans les locaux d'un journal d'annonces. C'était le genre d'endroit où les gens publiaient – eux-même pour via un opérateur – quelques lignes pour vendre leur appartement, rechercher un nouvel employer ou trouver leur prochaine location de vacances. Aussitôt entré, Werkx repéra les postes accessibles en libre-service. C'était parfait.
Assis devant l'ordinateur, Frankie fouilla sous son imperméable et en tira un câble, qu'il brancha dans la machine. De nouveau, sa main passa sous le manteau et sortit cette fois un vieux datapad et un autre câble. Relevant sa manche, il connecta le tout à son bras avant de se raccorder à l'ordinateur. C'était parti.
Il pianota quelque chose sur le datapad, et l'écran du terminal afficha une série de fenêtres qui apparaissaient et disparaissaient tour à tour. Finalement, il n'en resta plus qu'une, qui attendait une action du slicer. Cette fois, il s'empara du clavier mis à disposition et se mit à enchaîner des lignes de commandes. Il s'arrêta brusquement.
À présent, Frankie se promenait dans les fichiers et recherchait les informations qui les intéresseraient peut-être.
Iris savait deux ou trois choses sur le marché local, et ce qu'elle semblait proposer tenait la route. Il aurait besoin de se rencarder, mais il pouvait toujours faire ça depuis n'importe quel terminal qu'ils pourraient trouver.
C'était donc décidé, ils se mettaient sur les traces de Tiia'a Daaria.
Environ une heure leur avait été nécessaire pour gagner les quartiers huppés. C'était clairement autre chose que la zone industrielle déserte où Wilton les avait fait venir. Les speeders qui avançaient tranquillement n'avaient rien des modèles obsolètes de bas-quartiers. Les gens portaient des vêtements visiblement faits de tissus luxueux, ou tout au moins en bon état et certainement pas datés de l'année passée.
Pour le coup, ils étaient assurés de ne pas passer inaperçus. Frankie avait tout de même trouvé un pardessus à porter par-dessus (ouh la bonne blague) son attirail. Ça permettait au moins de cacher eux yeux indiscrets les armes qu'il portait.
Maintenant qu'ils étaient au bon endroit, ils devaient faire ce qu'ils étaient venus faire. Première étape : trouver du matos. Ce n'était pas très compliqué, car on trouvait des terminaux informatiques en libre accès dans toutes les administrations et dans beaucoup de services publics. Cette bibliothèque, ce poste de police, ou même cette banque, ou cette borne de recharge pour speeders. Frankie n'avait que l'embarras du choix, encore qu'il avait une préférence pour les endroits qui permettaient un accès discret.
Il choisit d'entrer dans les locaux d'un journal d'annonces. C'était le genre d'endroit où les gens publiaient – eux-même pour via un opérateur – quelques lignes pour vendre leur appartement, rechercher un nouvel employer ou trouver leur prochaine location de vacances. Aussitôt entré, Werkx repéra les postes accessibles en libre-service. C'était parfait.
Assis devant l'ordinateur, Frankie fouilla sous son imperméable et en tira un câble, qu'il brancha dans la machine. De nouveau, sa main passa sous le manteau et sortit cette fois un vieux datapad et un autre câble. Relevant sa manche, il connecta le tout à son bras avant de se raccorder à l'ordinateur. C'était parti.
Il pianota quelque chose sur le datapad, et l'écran du terminal afficha une série de fenêtres qui apparaissaient et disparaissaient tour à tour. Finalement, il n'en resta plus qu'une, qui attendait une action du slicer. Cette fois, il s'empara du clavier mis à disposition et se mit à enchaîner des lignes de commandes. Il s'arrêta brusquement.
- « Donc, nous disions… La Société. Ça parle effectivement d'eux dans les médias locaux. Rien de très concluant en passant par là, le mieux serait d'avoir accès à des documents plus proches des enquêtes. »
À présent, Frankie se promenait dans les fichiers et recherchait les informations qui les intéresseraient peut-être.
- « Bien. Donc nos gars de cette Société… ne ciblent que les riches célibataires comme tu disais. Ce sont des affaires de vol… Les victimes ont constaté la disparition d'objets de grande valeur. Point commun : chacun d'eux avait recours aux services de personnel de maison. Les enquêteurs suspectent du proxénétisme en sous-main, vu les demandes expresses des clients : ils ont tous demandé des jeunes femmes. Hé ben voilà… on sait comment ils opèrent, et on sait comment les infiltrer. Aucun souci… tu permets... »
- « Et… voilà. Ma chère, te voilà officiellement à la recherche d'un emploi. Tu es très qualifiée et compétente pour ce qui est de l'entretien des maisons luxueuses. Et, ce qui ne gâche rien, tu es dotée d'un physique avantageux. Il nous suffit de surveiller les réponses. Je te paries qu'une certaine Société te proposera un poste chez un riche type solitaire... »
Obtenu : 1 blaster disrupteur Tenloss DXR6 (parution dans l'inventaire, cf. Fiche PnJ)