L'Astre Tyran

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Racontez vos propres récits
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Règles du forum : Lorsque vous racontez vos récits, évitez de faire intervenir des personnages de la saga officielle. Ayez également le respect des œuvres de leurs auteurs respectifs et considérez ces fan-fictions comme des moyens de développer l'univers autour du jeu.
#35146



A son âge, peu à peu, la mémoire commençait à s'estomper.
Il pensait qu'il devrait essayer de se souvenir pour que ses mémoires servent à de futurs soldats..

Il aimait son travail d'instructeur, il avait été par le passé pressenti pour être le modèle des clones.
Finalement on lui avait préféré Jango Fett, principalement pour son manque d'idéaux lui permettant facilement d'être remodelé aux volontés du client.

Une fois arrivé à la maison, souvent le soir, en bon célibataire il mettait un peu des holofilms de guerre qu'il regardait l'air narquois en dégustant un dégorgeur avec délectation, et presque modération un peu d'alcool comme du sumarien ou du vin blanc de Brental IV.

Il lui arrivait de s'endormir bêtement devant l'holofilm.

Il faisait ça exprès car cela souvent lui permettait, avec un peu l'alcool et les films de guerre de rêver plus facilement à des scènes militaires qu'il avait bien connues dans le passé, car il avait participé à un grand nombre de batailles.


Il mettait régulièrement un casque expérimental qui était sensé décrire ses rêves avec précision et les noter en vue du livre qu'il souhaitait léguer aux générations futures...

Le temps de rêves il se souvenait des moindres petits détails des batailles qu'il avait déjà presque oublié dans son état normal.


La machine et l'holofilms continuait à tourner alors qu'il s'assoupit sans bruit.

Depuis quelques heures il attendait dans le froid, la boue de la tranchée sur la planète Grizal II ou enfin un nom comme ça il ne s'en souvenait guère, mais cela n'avait pas d'importance.
Plusieurs soldats commençaient à attraper froid à tousser et à avoir mal au ventre.

Les hommes remerciaient déjà depuis quelques minutes le bouclier qui défendait la base des bombardements orbitaux.

Un Destroyer Stellaire Victoire avec toute sa puissance de feu ses Tie embarqués, ses nombreux véhicules blindés et ses soldats si nombreux..

Immédiatement après un rapide scan de contrôle 4 vaisseaux de transport de troupes débarquèrent aux abords du champ magnétique de protection émis par le bouclier.
#35154
La pluie tombait de façon incessante, sur la terre déjà détrempée de la tranchée et des environs.

La base se situait à flanc de colline, et était entourée de marais où il était très difficile de progresser ne laissant qu'à certains endroits la possibilité de passer sur un sol meuble.

Ce sol meuble était praticable toute l'année sauf lorsque comme aujourd'hui il avait été imbibé d'eau durant plusieurs jours.

Marcher dans cette gadoue faisait en moyenne s'enfoncer de 25 centimètres dans le sol un humanoïde , ce qui rendait les déplacements assez compliqués.

Juan était alors un sergent instructeur méritant déjà une promotion, mais dont les chefs débordés n'avaient pas eu le temps de penser à sa carrière.

Il attendait là, il était lui le sous-officier d'un groupe de près de 80 soldats Rebelles, dont il avait du formé au moins la moitié.

C'était toujours dur d'attendre, dur d'attendre le premier assaut, dur de savoir que parmi ses collègues une grande partie allait mourir et lui, l'expérimenté soldat savait que compte tenu du nombre très supérieur et de la classe des Storm Troopers, beaucoup vivaient leurs dernières heures.

Il était parfaitement orgueilleux, conscient de se capacités supérieures et cela ne l'aidait pas à se faire des amis, mais en tout cas une chose était sûre : il est extrêmement fier de sa capacité à instruire des soldats et les formait vraiment très bien.
Il était très respecté, mais suscitait aussi du ressenti parfois...


Sur ce groupe de 80 soldats, ils savait que sur ceux qu'il avait formé : au moins bonne moitié avait le niveau pour être des soldats d'élite, mais comme cela dépends aussi des qualités physiques et innées de vivacité par exemple.
L'entraînement intensif permit de compenser une bonne part de cela mais il savait que malgré la formation, malgré la tranchée, le combat inégal les amènerait à la mort.
Il était malheureux de savoir qu'ils allaient mourir car il attachait beaucoup d'importance à la vie de ses soldats.



Ils savaient qu'ils devraient tenir, car la mission prioritaire était de permettre au reste de la base de s'échapper mais surtout, surtout il fallait réserver des informations vitale.
On ne leur avait pas dit très bien quoi, mais ils savaient qu'il y avait quelque chose d'important à protéger, quelque chose qui justifierait leur sacrifice éventuel. D'ailleurs le lieutenant juste avant l'attaque avait pris cela comme prétexte pour rentrer à l'intérieur afin de s'assurer des données.


Le bouclier les protégeait des bombardements orbitaux incessants...
le mettant sous haute pression.
Celui-ci fonctionnait encore mais, Juan avait toujours pensé que le chef mécanique mécano n'était pas très douée aussi il s'attendait à ce qu'il cède sans qu'ils aient besoin de le détruire....oui parfois, Juan était mauvaise langue, puisque ça ne fut pas le cas.

Aux macro-jumelles il voyait arrivé 4 TB-TT. Jamais ils ne tiendrait, il le avait bien, mais compte tenu des marais ils pouvaient gagner du temps avant qu'ils ne pénètrent dans la base.

Par contre une fois franchi le champs magnétique, il serait possible de tirer de l'intérieur pour détruire le générateur de le bouclier.


Les machines progressaient doucement de façon très gauche et craintive devant la difficulté une devant et trois autres la suivant à une trentaine de mètres. Avançant doucement sur le sol qui semblait instable, s'enfonçant dans la boue instable ne leur permettant pas de de progresser facilement.

Au bout d'une cinquantaine de mètres, le TB-TT de tête se trouva dans impossibilité de retirer ses pattes avant et celle-ci commencèrent à progressivement s'enfoncer dans le marais.

Les autres voyant cela et ne sachant pas que faire, se séparèrent, certains allant à droite, d'autres à gauche.


Ces véhicules sont d'ordinaire pas très maniables ni très rapides, mais au vu des conditions de terrain cela devenait vraiment cauchemardesque.





#35155
C'est à ce moment qu'apparut, venant du sud est, par une diagonale venant de l'arrière droite des TB-TT arriva des speeders des Marais rebelles, armés de blaster bien moins puissants que les monstres blindés impériaux, mais leur meilleure vivacité, leur maniabilité, et leur vecteur d'approche par l'arrière quand les monstres avaient du mal à tourner leur donnait un avantage pour compenser leur faiblesse apparente.

Les pattes prises dans la boue et n'arrivant pas à tourner correctement, les Speeders en profitèrent après 2 passages à endommager les pattes arrière du TB-TT formant la droite du triangle, et le vire s’effondrer et entraîner dans la mort les 40 soldats présents dedans.

Les Speeders virevoltaient autour des blindés gigantesques presque immobilisés par le sol spongieux du marais.

Comme des abeilles en Furie défendant leur ruche, ils semblaient essayer de piquer les pattes disproportionnées de TB-TT gigantesques. Leur puissance était limitée et leurs efforts désespérés pour rester dans une zone où les blindés ne pourraient pas les atteindre, ce qui limitait d'autant leur capacité à viser les jambes des monstres de métal.

De temps à autres un Speeder des marais touché par un des rayons puissant d'un TB-TT le mettant tout de suite hors combat.

Très vite les quarante soldats positionnés dans le TB-TT de tête, celui qui était complètement enlisé et qui continuait à s'enfoncer reçurent l'ordre de descendre du blindé.

Les premiers tombèrent dans les sables mouvants, mourants rapidement aussi, mais les suivants trouvèrent la terre ferme furent suivis par les autres.
Trouver un seul ferme et fiable relevait de l'impossible sans matériel spécial...le gros problème c'est qu'il fallait testez pour être certain.

Ils durent recommencer à progresser difficilement et de prendre le temps d'avancer prudemment.

D'un coup d'un seul, un soldat fut entraîner sous l'eau, certainement un monstre marin.

Un Second puis un troisième disparurent également.


Les Troupes de chocs sortirent ouvrirent le feu sur les speeders des marais...

Les Speeders tirèrent également sur les soldats, semant la mort sous le feu de leurs blaster lourds.

En quelques instants les Speeders tombèrent sous un feux croisé des blindés et des Storm Trooper débarqués et des cinq nouveaux répulseurs blindés flottant à un mètre du sol qui arrivaient en renforts.

Les deux blindés reprirent leur chemin par la gauche qui semblait un chemin plus sûr à la suite des répulseurs qui passaient devant montrant, sans s'enliser, les incidences du terrain.
#35156
Deux cannons blasters avaient été installés prés des tranchées pour lutter contre les véhicules et ils firent leur office, avant d'être détruits ils mirent hors de combat trois répulseurs et firent des dégâts aussi dans les troupes qui suivaient..

Les Speeders des marais rebelles s'éteignaient complétement au moment où les deux derniers répulseurs, suivis par un grand nombre de troopers impériaux arrivaient à proximité de la tranchée.

Sorti de la tranchée et équipé de nombreuses grenade, un soldat dissimulé dans les herbages des marais se releva et fonca vers un répulseur passé à sa hauteur, il reçu deux coups de blaster des soldats et se jeta dans les moteurs arrières de l'un des répulseurs, qui fit une énorme explosion touchant même quelques troopers aussi...


Le derniers répulseurs reçut un sac de grenades qui tomba devant lui, passa devant ... et qui fut visé par 10 soldats rebelles dont l'un au moins toucha le sac alors qu'il était sous le répulseur, finissant ainsi le dernier répulseur.

Ils avaient néanmoins fait leur tâche ; les 160 troopers, ceux qui n'avaient pas explosé dans le TB-TT, ceux qui n'étaient morts ni par les marais, ni par les monstres des marais, ni par les explosions de Répulseurs, ni par les tirs de Speeders des marais, ni par les hommes des tranchées continuaient de progresser sous le feu de la tranchée défendant âprement sa vie.

L'un des TB-TT fut à nouveau obligé de s'immobiliser s'enfonçant dans le sol, il largua ses troupes et tous les autres débarquèrent les leurs aussi... afin de ne pas mettre les pattes là où il ne faudrait pas.
De toutes façons ils étaient arrivés à portée pour tirer sur la tranchée, et sur le bouclier, qu'ils détruisirent quelques instants plus tard.

La lutte perdue d'avance, mais il fallait tenir, tenir le plus longtemps possible. Juan exhortait ses troupes, motivant les uns, engueulant les autres, tout en tirant lui même sans discontinuer.


Soudain le chant magnétique disparut, c'était la fin.

Les bombardements orbitaux reprirent et la tranchée par endroit cédait à l'affolement, Juan dans un appel Républicain leur donna du courage...
Il ne savait plus ce qu'il avait dit : que la force soit avec vous ou pour les République ! ... sûrement les deux...

Ses hommes se défendaient courageusement, mais ils n'étaient là désormais plus que de la chair à canon rebelle.

Le bombardement commença à toucher la base.. c'était la dernière chance pour les vaisseaux de tous partir en même temps afin de multiplié cibles pour que l'Empire de puisse pas tout détruire en un coup si tout le monde sortait en même temps certains vivraient demain et ils pourraient faire survivre la résistance dans le secteur.
#35163
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Ces Monstres blindés bien qu’immobilisés pouvaient pilonner la Base et la tranchée et cela leur suffisait pour le moment.



Pris entre des bombardements orbitaux, les lasers lourds des blindés et les mitrailleuses des répulseurs, et sous l'avancée des Stormtroopers derrière les blindés, les troupes rebelles sentaient bien que leur dernière heure était arrivée.




Les hommes à une vingtaine de mètres devant l'entrée de la base située à flanc de colline bénéficiaient d'un sol meuble qui avait permis le creusement de la tranchée mais qui sous les bombardements et l'effet de la pluie, laissait un sol extrêmement irrégulier par l'impact des bombardements. Les trous d'obus avaient remplacé le sol encore plat quelques minutes auparavant.

Les hommes bien formés de Juan s’étaient débarrassés rapidement deux derniers Repulseurs mais le plus gros du travail arrivait en armure Blanche comme une vague d’insecte.




Les troupes de choc avançaient de façon impitoyable, avançant et tirant simultanément à une cadence et une efficacité que seuls les clones pouvaient obtenir contre un ennemi pourtant abrité dans les tranchées.


Les soldats de la justice et la liberté eux aussi semaient la mort parmi les troupes de choc portés par leur entraînement, leur commandement sans faille et leurs idéaux.


Les cadavres en armure blanche flottaient dans l’eau des marais laissant une impression trouble, une vision cauchemardesque.

Arrivée à une quinzaine de mètres de la tranchée il y eut un échange rapide de grenades qui fit voler en éclat une partie de la tranchée et tua de part et d'autres les jeunes vies présentes dans le marais.


Il ne restait qu'une trentaine de soldat, sur les 160 troupes de choc présentes dans les Blindés.

Le lieutenant Nichols détestait particulièrement Juan depuis le début, lui reprochant ses médailles, ses mérites et son orgueil démesuré,et l’admiration que lui vouait tous ceux qui avaient servis sous ses ordres ou à ses côtés.




« Messieurs ils arrivent,.. Vous devez tenir pour permettre aux autres de fuir, mais aussi pour nous permettre, et je vais m'en assurer, de récupérer des données vitales pour l'alliance et de les ramener au commandement. » dit le Lieutenant



Aux macro-jumelles un soldat vit des transports d’assaut en approche arriver…






« Mon Lieutenant il ne sera pas possible cette fois de de les contenir ! » dit Juan d’une voix forte…


«
Sergent, vous aurez alors l’obligeance, de vous faire tuer !
»




« À vos ordres Lieutenant ! »



Juan ordonna aux soldats de se retirer à l'intérieur de la première caverne de la base. De là ils prendraient les positions les meilleures pour accueillir tout ce petit monde habillé de blanc, en arc de cercle et abrités autant qu’ils le pouvait avec les six soldats restant avec lui, les clones soldats suivants.


Alors le lieutenant chargea un fichier puis le fit disparaître en lançant un programme de suppression. Il quitta précipitamment la pièce alors que les moteurs des vaisseaux d’assauts vrombissaient juste à côtés de la base..





Ils ne voulaient pas tout détruire mais faire parler des prisonniers ou trouver les documents secrets que peut-être ils venaient chercher.

Les bombardements se poursuivaient avec intensité, mais si la caverne tiendrait encore un petit peu, ici ou là il y avait des petits effondrements..


Les trois galeries souterraines étaient longues partaient vers le nord elles menaient au bout de ses tunnels après différentes cavernes.
La première à gauche menait directement à la moitié de distance à la sortie du garage secondaire à l'ouest, dont le couloir revenait vers le centre de la base au carrefour central. La seconde y menait directement, lorsque la 3éme à droite menait à une salle des stalactites avant de mener à la salle des réserves, d'où partait un tunnel vers l'ouest qui menait au carrefour central, duquel on pouvait partir vers le nord vers le mini astroport principal principal.



À ce moment plusieurs petits vaisseaux de transport sortant des deux plateformes type garage simultanément partirent dans tous les directions se séparant pour multiplier leur chance de survie.

Sur les sept seul trois parvinrent à passer en hyperespace les autres furent arrêtés par les turbolasers impériaux.

Les deux vaisseaux de transport de troupes firent débarquer leurs 200 soldats ils entrèrent dans la base.



Au moment où le début de la troupe entra Juan fit sauter des explosifs posés au-dessus de l'entrée de la caverne.

Cela tua un certain nombre de soldats, mais permit surtout pour but de faire diversion, et de séparer les troupes entre ceux qui étaient dehors et ceux qui restaient dedans.

Une soixantaine de soldats étaient entrés, une quinzaine furent écrasés par les décombres, et alors que les 125 dehors tentaient de déblayer ils entendirent des coups de feu.

Le reste du groupe entré, tomba dans l'embuscade de soldats restant de Juan.

La partie fut sanglante où bout de 2 minutes il ne restait plus que 6 ennemis.


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Posté un genoux à terre derrière un muret en pierre-béton, Juan avait fait un carnage vidant deux chargeurs en une série de tirs parfaitement maîtrisés. Sa grande force était sa confiance et son calme. Il n'était pas un tireur d'élite, mais plus un tueur d'élite, un soldat d'infanterie imparable, car, chacun de ses tirs amenait à un cadavre ennemi de plus, et les Stormtroopers n'y faisait pas exception. Sa parfaite maîtrise des armes et de même, lui permettait de baisser la tête lorsqu'un tir allait le toucher, de comprendre et de jouer parfaitement le rôle idéal qu'un expert aurait fait dans l'un de ces jeux de guerre pour enfant. Sa mort était prévisible à chaque instant, mais ayant toujours voulu mourir pour une noble cause, l'affaire était entendue, aussi il n'avait jamais peur de mourir dans ces conditions.



Ces adversaires, pourtant des cracks, ne comprenaient pas à quel moment il allait relever la tête, à quel moment il allait faire ce roulé-boulé improbable qui faisait le manquer même les troupes de choc.

Fonçant dans le tas avec son arme à répétition surmontée d'une baïonnette. Il mena la charge dans la poitrine d'un soldat, sortit un pistolet avec lequel il tira dans la tête de deux troopers proches, pencha le cadavre empalé pour s'en servir de bouclier contre les deux restant, projeta le cadavre sur l'un le faisant tomber et fit un double demi tour sur lui même pour avancer de façon très surprenante évitant ainsi les deux tirs de blasters du dernier, jeta son fusil à baïonnette sur celui qui se relevait puis marcha doucement vers le dernier en souriant...il voulut tirer à nouveau, mais l'arme ne répondait plus Il faut toujours compter et vérifier ses réserves... il rengaina son pistolet blaster alors que le dernier sortait une vibrodague. Il saisit le bras du soldat en se servant de son élan le désarma et le tua d'un coup de sa propre dague. Il fit demi-tour vola un casque pour entendre les communications de l'adversaire, et déjà un passage commençait à être dégagé. Il regarda ce qui restait à ses compagnons, tous morts malheureusement..il s'enfuit par la première galerie à droite après avoir rassemblé toutes les grenades, les chargeurs une bouteille d'eau, il mit tout dans un sac .

Sa fuite commençait.
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Il s’engouffra tout de suite dans la galerie de droite qui menait à la salle de réserve. Le couloir était obscur au point qu'on n'y voyait pas grand-chose au point de risquer à tout moment de tomber et de se rompre le cou.



Il traversa alors une caverne ovale tout en longueur dont le plafond était couvert d'un grand nombre de stalactites.



Les Troopers arrivaient dans la première salle de base, ils se divisèrent en 3 groupes partant chacun par une galerie, lorsque 4 soldats étaient chargés de garder cette salle et de voir si l'on pouvait récupérer quelque chose dans les ordinateurs de la salle.

Le troisième groupe qui avait pris à droite et qui talonnait le sergent arriva dans la petite salle oblongue au pas de course.

Ils ralentirent un peu pour s'assurer que rien ne les attendait là...

Ils reprirent alors leurs petites foulée lorsque, tout à coup, au milieu de la salle, l'un des membres embroncha une petite pierre qui semblait en équilibre.




Il parvint à ne pas tomber mais il avait fait bien pire, en se retournant il vit que sous la pierre se tenait en équilibre une petite boule de métal avec un bouton pressoir que maintenait enfoncé la pierre en équilibre.

Il eut juste le temps de crier « grenade » et de plonger sur le côté lorsque le détonateur thermal secoua les murs de la pièce blessant une grande partie des soldats de la pièce dans la caverne.

Mais le souffle dévastateur secoua tellement la pièce, que toutes les stalactites tombèrent d'une dizaine de mètres sur les soldats, les transperçant de part en part...tous ou presque.



Le piège mortel de Juan avait fonctionné à merveille, Les deux soldats encore vivants mais blessés ne purent que faire demi-tour car l'explosion avait obstrué le couloir qui partait vers le nord le rendant impossible à dégager.

Le sergent savait que le piège marcherait, il pensait cependant que quelques soldats auraient pu passer mais ce ne fut pas le cas.

Il arriva à la réserve et prit dans son sac de la nourriture pour plusieurs jours en quatrième vitesse.



Il prit alors le couloir qui revenait en direction des autres galeries vers le carrefour central.



De la salle principale avant de les détruire il avait vu les caméras de surveillance montrant qu'un petit vaisseau biplace était encore présent dans le garage secondaire,. tandis que les plus gros transports étaient partis ou sur le point de partir.




Il arriva au carrefour principal qui rejoignait la salle de la réserve et celle du garage secondaire et le couloir principal qui continuait vers le nord au garage central.

Il connaissait bien la base, il y était affecté depuis quelques mois déjà.

Et il fallait protéger la fuite des gens qui pouvaient encore se trouver dans garage principal.

Ainsi il se posta dans le couloir vers le nord il y avait là une anfractuosité dans laquelle il se glissa. Dans le couloir principal taillé tout droit en légère montée il y avait une première porte qui coupait le couloir et une seconde 200 mètres bus loin.



Juan installa quelques explosif juste après la première porte dans des recoins dissimulés dans le mur, il se cacha juste avant la première porte.

les soldats arrivant, remontèrent le couloir au pas de course, arrivésau milieu ils subirent 2 tirs de blasters qui détruirent le panneau mural qui ouvrait la porte.

Se retournant ils virent juste une silhouette qui jeta une grenade 1 mètre après la porte, qui ferma la porte, puis qui tira sur le panneau mural devant lui.

Alors explosèrent la grenade suivie de celles dissimulées dans le couloir, faisant s’effondrer le couloir derrière la porte… ils étaient bloqués, il leur faudrait au moins 10 minutes pour bidouiller et arriver à ouvrir la porte de l’autre côté…

Revenir en arrière ce serait d’abord des heures de déblaiement, oui le gros des troupes avait été bloquées Juan pouvait aller au garage secondaire
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Il revint en arrière sur une trentaine de mètres, et au carrefour tourna en direction de l'Ouest pour aller au garage secondaire.

Le passage tournait sur deux coudes et était plutôt sombre.
Il vit alors une masse dans un coin, il s'agissait d'un blessé, en réalité, en se rapprochant, il vit même qu'il s'agissait du lieutenant Dadoune.

Il perdait beaucoup de sang de la tête, il avait pris une énorme pierre sur la tête. Il sortit son medikit et commença à l'utiliser comme il savait le faire... c'est-à-dire moyennement.

Il arriva à contenir l’hémorragie, mais ne savait pas si cela suffirait pour sauver le lieutenant.


Le lieutenant reprit ses esprits et lui dit qu'il fallait absolument ramener la base de données qu'il avait dans sa poche entre les mains des responsables de l'alliance et dans tous les cas tout ça ne doit à aucun prix tomber dans les mains de l'empire.

Il déplaça son lieutenant, le dissimula derrière des gravats et continua sa route vers la plateforme de garage toute proche.

Le sergent s'éloignait du lieutenant Dadoune qui en fait le détestait profondément et eut un léger sourire ....il savait qu'il serait certainement trouvé par les impériaux et torturé ou tué..


Mais il tenait sa vengeance sur le sergent Juan Paquito, ce moins que rien qui avait un orgueil démesuré. Il le haïssait au point de lui donner une mission importante qui allait certainement mener à son sacrifice : protéger des données capitales ..qui n'existaient pas.

Cela le fit bien rire : il allait se débarrasser de cet homme sans sortir son arme.

En arrivant près du garage aménagé dans une caverne qui faisait peut-être 30 mètres sur 20, il passa la tête et vit les impériaux dans le garage, 2 sur des consoles informatiques deux gardant une prisonnière et deux sécurisant les accès extérieurs de chaque côté.
Au même moment le gros des troupes reçu l'ordre de marcher vers le couloir où il se trouvait.

Dans le coin il y avait le petit chasseur biplace qui était son espoir de départ.


Trois secondes plus tard quatre grenades explosaient dans le Garage à bonne distance du chasseur et de la prisonnière.

La prisonnière hurla :


« Partez il sont trop nombreux partez. Sauvez vous! »

Les Grenades avaient été bien lancées tuant bon nombre de Troopers surpris par l'attaque.

Les tirs très précis tuèrent les deux Troopers proches des consoles, on ne sait jamais, et il ne fallait pas risquer qu'ils trouvent ce qu'il fallait protéger selon Dadoune le lieutenant.

Il s'enfuit juste au moment où un grand nombre de tirs de blasters frappèrent le mur là où il se tenait un instant avant.

Il s'enfuit suivit par 8 StormTroopers les deux derniers restant pour garder la prisonnière Gungan.


Arrivé au premier coude, il se retourna tira encore et tira à nouveau tuant à nouveau quelques Troopers avant de s'enfuir à nouveau.

Ils passèrent au passage qui zigzaguait où l'on trouvait pas un brin de lumière ils ne voyaient rien malgré leur dispositifs visuels voyant un peu mieux dans la nuit.
Ils n'entendaient plus le bruit du fuyard...


Ils virent soudain qu'il était allongé derrière des pierres dans le coin, il firent alors le feu sur lui à répétition pour s'assurer sa mort.

Ils eurent à peine le temps de tirer 3 ou 4 fois et d'entendre le râle de quelqu'un qui meurt.




Lui s'était plaqué contre le mur dans leur dos après le coude. Dissimulé, leur ennemi, tira Trois fois à bout portant en avançant, supprimant trois vies, et plongea après deux pas d'élan à l'horizontale surprenant les deux derniers du couloir, évitant leur tirs qui passèrent sous lui alors que lui, les heurta l'un à la gorge l'autre au front en tendant dans une main sa Vibrodague de la main gauche et sa Blaster-baïonnette laser à son bras droit.

Il revient au garage et tira deux fois pour supprimer les deux derniers Troopers.
Et libéra de ses liens la rebelle Gungan


« Merci bien ! » dit la gungan.



« Je ne sais pas piloter, vous savez vous?

C'est un bi-place au moins non il nécessite vraiment deux pilotes ?
»


« oui, mais rassurez-vous je vais branché il y a un vieil astromech qui était en révision.. il peut faire l'affaire je vais l'installer. »

Il ouvra la porte du garage alors fermée, il formata le disque dur de la base.

Il ramassa le dispositif de communications du dernier trooper... et entendit que les renforts arrivaient d'ici 2 minutes...

« Il faut partir »


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Le Chasseur sortit de la base et resta en rase-mottes faisant le tour de la colline longeant les vallées pour passer proche d'une forêt...
La jeune femme semblait savoir où elle allait ... elle parcourut 10 min sans répondre à aucune question ... puis alla se poser à l'intérieur de ce qui avait du être un cargo maritime à l'époque où il y avait là une mer, à l'époque où la planète n'avait pas encore presque sombré dans l'oubli...ils dissimulèrent le chasseur dans la carcasse, instalèrent dans l'ombre derrière des amoncellements de choses à l'abandon...

L'Empire ne les chercha jamais, rapidement après le Destroyer fut rappelé à un autre usage.

Les exploits de Juan furent ensuite reconnus lorsqu'ils rejoignit les rebelles, il fit un rapport et pensait qu'il recevrait une promotion.

Mais s'il avait été le survivant d'Héliespont, on se moqua un peu de lui lorsqu'il livra les données vitales... car il n'y avait rien d'autre que quelques fichiers de comptabilité, d'une base secondaire...

Il était un survivant, un héro, avait permit la fuite de plusieurs et avait sauvé Jhana la Gungan, mais il avait été joué et la vie de ses hommes aussi par un lieutenant qui ne cherchait qu'à éviter de mourir au combat, lui, sacrifiant ses hommes pour se laisser une chance.
#35913
Il se souvenait de ce qui s'était passé après....noyé dans la boisson à moitié il se remémorait dans le but d'enregistrer ses expériences, persuadé qu'elles profiteraient à la jeunesse qu'il avait toujours instruite...

« Un enculé, cette sombre merde était un enculé ! »

Il avait joué sa vie en traversant cette base il aurait donné sa vie pour chacun de ses camarades ... Il a pris des risques et a faillit perdre sa vie pour essayer de sauver les données vitales, mais quand il apprit, après avoir rejoint le commandement, que ces données en fait n'avaient aucune valeur et que le lieutenant ne pouvait l'ignorer, il entra dans une rage folle.

Il avait pu certes sauver Jhana la pilote Gungan, et un petit chasseur, mais là-bas il avait perdu bon nombre des soldats qu'il avait lui même formés.
Certains furent faits prisonniers.

Si la plupart des cargos avaient pu s'enfuir, le matériel et le personnel essentiel avait pu être évacués.

Les soldats avaient assuré la retraite et s'étaient sacrifiés pour la réussite de la mission et pour garder la vacillante la chandelle de l'espoir allumée.

Il ruminait dans le couloir en frappant du poing dans les murs.


Le capitaine Rosco Berkov s'approcha de lui doucement ;

« Sergent je comprends votre déception, le lieutenant était un con.
Finalement vous vous en êtes tiré et il n'y a pas eu de morts supplémentaires à cause de cette trahison qu'il a commise à votre endroit.

Tout au plus vous avez tué quelques impériaux de plus.

La Rébellion ne dois pas s'arrêter à certaines rancœurs.

Vous êtes toujours prêt à vous battre pour le bien de la démocratie et la liberté ?
»


Il savait toujours comment lui parler, avec emphase, savait que ça le mettait d'accord toujours, tout en lui arrachant un petit sourire...

« Ainsi dans quelques jours nous allons avoir besoin d'une équipe solide. Je veux pouvoir compter sur vous sergent? »

« Bien sûr capitaine je suis toujours prêt mais j'espère que ça ne sera pas tout de suite. »

« Pourquoi vous voulez vous reposer un peu plus? Si vous voulez je peux demander quelqu'un d'autre. »

« C'est à dire que je voudrais absolument libérer les gars que j'ai formé et qui sont prisonniers de l'ennemi.
»

« Ça sera dur on ne sais même pas où ils sont pour l'instant mais je vous dois de vous les donner dès que j'aurai les informations et de vous donner quartier libre à vous et aux volontaires que vous réussirez à trouver. »

« En fait ce que j'aimerais capitaine, c'est aussi d'avoir rapidement un maximum de nouvelles recrues à former pour en faire des gars efficaces.

Il me les faut rapidement parce que j'ai besoin pour libérer mes amis, de plus il en faut un certain nombre, car si je peux tous les former à âtre de bons soldats, vous savez que pour faire une vraie équipe solide sur laquelle compter, pas toutes les recrues sont capables d'atteindre le niveau requis.
»


« Pour votre action vous avez déjà des gars où il faut les former?

Parce que sinon ça va prendre du temps comme vous savez.
»


« Rassurez vous j'ai ce qu'il vous faut.. »

« Il me faut aussi un vaisseau et un camp tranquille, je créerais une petite base dans la bordure et transformerait toute la chair que vous m'apporterez en machine à tuer, j'ai déjà fait la liste de ce qu'il me faut pour ce camp d'entraînement. »

« Vous aurez cela rapidement, mais lorsqu'on vous appelera pour des missions il faudra venir immédiatement.. »

A vos ordres Capitaine !




Dans le vaisseau qui les trimballait depuis 4 jours vers la bordure il y avait une vingtaine de Gars.

Il y avait de tout : artisans, des aliens discriminés révoltés, et bon nombre d'amoureux de la démocratie.

La plupart n'avait pas de formation militaire.
Ils avaient tous entre 15 et 50 ans en moyenne, et n'étaient pas tous très sportif.

En fin de comptes, il pensait que trois ou quatre seulement pourraient devenir des Specforces si il les formait assez longtemps.


Les autres pourraient devenir des soldats plus au moins potables mais rien d'extraordinaire.

Il savait depuis des années qu'il était doué pour former des gens
pour en faire des soldats dévoués disciplinés et capables de tout pour la gloire de la République.

Le premier jour il aurait eu quelqu'un une chose de très important à discipline il fallait absolument qu'ils comprennent : ils leur donna sans cesse des ordres absurdes, stupides et incohérents... même complètement ridicule et inutiles jusqu'au moment où l'un deux dit :


« Moi je veux apprendre à me battre pas à suivre des ordres pareils. »

« Vous allez apprendre à vous battre je vais faire de vous des machines à tuer des impériaux.

Mais la première des qualités d'un soldat doit être avant tout d'obéir.

Vous avez le droit de penser que les ordres sont cons vous allez droit lorsqu'il n'y a pas d'urgence de demander une explication et de demander si on faisant différemment ce ne serait pas mieux, pas devant vos camarades.


Mais si un ordre est donné il n'est pas question de le discuter.
Reprenez vos sacs chargés de pierres et reprenez la marche autour de l'île.
»


2 heures plus tard ils reçurent l'ordre de commencer à monter le camp.

C'était un Camp de fortune, dressé au milieu de la forêt sur une île Inhabitée.

En deux jours ils avaient construits des petites plate-formes dans les arbres à 10 m de haut, sur lesquelles pouvaient reposer 2 hommes assis ou allongés.


Le lendemain le sport intensif commença ...

Le programme apprenait à obéir, à développer le sport, le combat à mains nues, le couteaux de lancer et au corps à corps, puis un les tirs de blasters... au jugé, les tirs de suppression, les tirs visés, les milliers
de dégainages ...

La vivacité pour épauler avant de tirer... et touts les petits trucs d'un soldat d'élite vétéran aussi doué au combat que pour transmettre...

Puis des entrainements supplémentaires le soir pour les futurs Specforces repérés...
de dissimulation, de combat silencieux, d'arts martiaux.


Quelques jours plus tard il reçut l'aide de deux autres instructeurs, une cuisinière et 150 gars de plus, beaucoup de jeunes désirant se battre contre l'empire... et environ 50 esclaves aliens libérés qui voulaient lutter contre cette injustice.

Finalement la mission importante avait été annulée ou reportée et on ne l'appela que 3 mois plus tard, conscient également que pendant ce temps, des jeunes acquéraient l'expérience qui leur permettrait à la Résistance de finalement vaincre cette abominable dictature.
#35946



Juan comme tous les soirs s'assis dans fauteuil confortable de sénateur même, s'il n'était pas sénateur. Pris ses deux verres de whisky ou de Cognac, ce soir c'était du cognac et enfila son dispositif d'enregistrement une sorte de casque devant lui permettre d'arriver à se concentrer un peu mieux pour se souvenir de ses expériences, enregistrer une partie de ses rêves et des images. De plus il y avait un mode très sympathique qui lui donnait l'impression de raconter sa vie à une poulette de bar très intéressée par son histoire, le rêve quoi.

La technologie c'est merveilleux pensait-il.

« Tu penseras à corriger quand je parle de moi à la 3éme personne ...marinette hein? »

L'alcool commençait à faire effet et il sentait son esprit divaguer et peu à peu s'embrumer.
Il se concentra sur la fin de l'histoire qui avait déjà raconté au dispositif, ou plutôt à Marinette la poulette de bar.


« Il entendit dans sa tête mais alors qu'est-ce qui s'est passé ensuite ? »

Dans quelques instants il ne ferait plus la différence mais là il avait encore conscience que c'était le dispositif qui lui parlait.
Il répondit quand même.


« Et bien j'ai commencé à entraîner les recrues qui étaient arrivées et alors j'ai commencé à constituer dans ma tête des groupes.

Sur les 170 que j'avais alors j'arriverai certainement à faire de 30 d'entre eux des soldats d'élite des specforces, 125 feraient de bons soldats, mais sur les 5 derniers il était très partagé.

En réalité deux étaient de super gars et si je les entraînais assez longtemps je pourrais en faire des soldat d'une élite au-delà du niveau Specforce. Deux autres n'avait rien à faire en tant que soldats mais fallait-il les rejeter ou les encourager à se battre ça je ne savais pas : la psychologie des non combattants ... n'était pas tout à fait mon rayon.

Le dernier cas était très particulier il s'agissait d'une d'une femelle très particulière.
Elle marchait avec un déhanchement et des attitudes je de sensualité exacerbée.
C'était très difficile pour un peloton presque exclusivement composé d'hommes.

J'avais bien sûr l'habitude d'avoir des pelotons mixtes mais cette femme transpirait la sexualité.
»


« Elle était belle? Vous deviez rêver d'elle en secret alors? »
Il ne prit pas la peine de répondre emporté par son histoire


« Par ailleurs ses capacités étaient presque aussi bonnes que les deux bijoux de soldats d'élite potentiels.

Bref j'étais embêté je ne savais pas quoi en faire : la garder avec nous c'était peut-être perturber régulièrement l'entraînement nécessaire.
Pour autant la chasser n'aurait pas été très sympathique vu qu'elle souhaitait se battre, qu'elle en avait les capacités et qu'elle était toujours très volontaire.

Un soir je la convoquai dans sa tente.
»


« Fantastique Colonel et elle a du cédé à votre charme n'est-ce pas? »
Il aimait bien cette programmation du programme, mais n'en tenait pas compte car relater son histoire lui semblait important pour pouvoir aider les futures recrues.

« À vos ordres chef ! »

« Repos!
2e classe Leehlee'h'hanah je vous ai convoqué pour parler sérieusement avec vous d'une sorte de problème que nous avons.

Je n'irai pas par quatre chemins vous savez que c'est compliqué pour moi en tant qu'homme de vous parler de cette façon là mais en tant que chef je me dois de le faire.

2e classe votre démarche et vos attitudes ne sont pas celles d'un soldat, elle provoque des réactions parmi la gente masculine, et c'est néfaste pour l'entraînement.

Je sais que c'est injuste mais je vais demander à ce que vous soyez transférer à l'arrière et pas dans une unité de combat.
»

«
C'est pas juste chef ! Moi je veux lutter contre les impériaux...
»


« Je suis d'accord avec vous mais je ne vois pas d'autre solution. »
«
Je suis l'un de vos meilleurs soldats c'est pas logique de se priver d'un bon soldat.
Écoutez chef ce que je propose : laissez-moi 2 jours d'essais et vous verrez qu'ils ne me regarderont plus pareil et ne feront pas attention à ma féminité.
»


« Mais que comptez-vous faire 2e classe ? »

Faites-moi confiance chef 2 jours si vous n'êtes pas satisfait vous me renverrez!
«
Ok vous avez jusqu'à mardi soir 18h.
»


« En sortant elle fit attention attention à marcher droit comme un garçon l'aurait fait.
Elle passa depuis chaque chaque seconde à essayer de se comporter ainsi.

Bon je commençais à me dire que je pourrais la renvoyer dans 2 jours car un vaisseau devait passer et il la récupérerait tout simplement.

Une heure après Juan entendit du bruit dans la tente des soldats.

Il se précipita et vit quatre soldats qui se battait...Il fit un geste à ses seconds pour laisser le combat se dérouler..c'était ça aussi une forme entraînement supplémentaire.

Un petit chauve était en train de se battre contre 3 gaillards dont 2 bien balèzes.

Au bout de quelques secondes où il parait et esquivait une majorité de coups, le petit assomma d'une droite puissante l'un des trois puis reçut un uppercut qui lui fit voir des chandelles.

Sonné il reçut trois ou quatre coups de poings supplémentaires avant de se ressaisir un petit peu.

Il prit deux appuis puis sauta au cou du premier entourant sa tête de ces deux bras et dans le même élan, dans la continuité lança énorme coup de ranger dans la joue droite du second qui s'étala parterre.

Elle prit une droite, rendit un coup de tête puis un coup à l'estomac pour finir en saisissant les testicules de son adversaire et en les broyant de sa main de folle.
»

« Stop » « cria Juan. »

« Le petit commença par tourner dans la tête et obéir, puis soudain cria à tous : » « le prochain qui matte mon cul je lui brise les couilles. »

« Il reçu immédiatement ma droite en pleine face l'amenant au tapis directement.

Au moment où elle se releva 10 secondes plus tard, je réalisais alors qu'il s'agissait de la fille une heure plus tôt elle avait rasé sa tignasse on ne voyait plus la forme de ses seins à travers son uniforme elle avait dû utiliser un de ces artifices de femme, et venait à priori de couper l'envie a beaucoup d'entre eux.

Elle n'affichait plus son sourire enjôleur naturel ou qui semblait naturel à ceux qui la connaissaient mal.

Je vis alors pourquoi la semi humaine n'était pas aussi humaine qu'il lui semblait :
derrière les oreilles elle avait 2 petites branchies qui en réalité lui permettait de respirer sous l'eau également.

Impressionné par son attitude mais ne voulant pas le révéler à tous, je décidais pour lui faire comprendre qu'on ne la ramène pas quand le chef parle, de la coller au Gnouf durant une semaine.

Elle sourit et remercia le chef

Elle avait compris qu'il avait compris que le problème n'en était plus un.
»
#35973


«
Vous avez pu les former et finalement comme vous le souhaitiez ?
»
demanda le système interactif.

Bien sûr Marinette j'ai pu les entraîner autant qu'ils le purent afin que chacun arrive exactement là où je l'avais prédit : la plupart devinrent des soldats de la liberté et la démocratie, une trentaine des specforces efficaces, 2 devinrent responsables du matériel et cuistot quant aux trois autres j'en fit de vrais cracks, mes petits héros comme je les appelais.

Nous avons accomplis beaucoup de missions ensembles avec ces trois là : il y avait Yak Bak, Scott et la presqu'humaine...qui porta pour ses missions des perruques avant que ça ne repousse .

Pour la première mission j'ai demandé des volontaires car cela n’émanait pas du commandement et c'était une mission très dangereuse.

Monsieur et Madame je ne vous cacherai pas que cette mission est très dangereuse le capitaine a pu avoir les informations que j'attendais depuis un certain temps.


« Trois des soldats que j'ai formés l'année dernière à la suite d'un terrible combat ont été blessés et emmenés comme prisonniers par l'Empire.

Ils ont été interrogés l'ennemi et je savais ce que cela signifiait pour eux.

Ils n'ont pas grand-chose à leur apprendre heureusement pour nous mais le plus important c'est qu'ils ne pourront pas subir indemnes ces interrogatoires trop longtemps les inquisiteurs ont tendance à forcer un petit peu sur les doses.
»


« Je demanderais donc s'il y avait des volontaires pour cette mission très risquée : perdre sa peau voire pire encore se faire attraper et torturer à son tour de la même façon que ce que nous allons chercher.

Ils sont actuellement sur une planète de la bordure détenus par l'Empire disposés dans un ancien complexe pénitentiaire privé, réquisitionné par l'Empire pour y installer des prisonniers avant d'être rappelés dans un des prisons de haute sécurité, ce qui devrait arriver très bientôt.
»


Il y avait dans cette prison beaucoup de droit commun mais aussi des prisonniers politiques et des résistants.

Je me souviens pour cette mission nous étions 5 volontaires.

En plus de moi il y avait cette fameuse fille qui voulait absolument me remercier de l'avoir gardée dans le groupe.

Mes deux super soldats qui étaient presque des machines et qui s'amusaient quand le combat arrivait, et par le capitaine bercoff nous avions eu le contact très important d'un pirate informatique dont la mission requerrait ses services absolument.

En effet, il lui arrivait de s'introduire régulièrement dans certains programmes de l'Empire et a trafiquer et à maintenir certaines fausses nouvelles, certains ordres durant plusieurs jours avant qu'ils ne soient effacés par la le contre-espionnage informatique impérial.

Leelee-hanna était vraiment un atout précieux elle était excellent soldat mais aussi était passée maîtresse dans l'art de la séduction.

Elle s'est rendue dans certains endroits précis dans le but de séduire un pilote d'un vaisseau prison concealer en permission et en une semaine elle le rendit complétement accro et commença à lui parler de politique perturbant des convictions qu'ils suivaient sans s'être avant poser de questions..
Elle lui parla alors de politique de son frère qui a été enlevé lui raconta tout et n'importe quoi sur la religion sur les exactions et cetera et lui-même commence à entrevoir envisager la possibilité de rentrer dans la rébellion

Entre deux petites discussions, ils vécurent une semaine de plaisir, qui avait été son métier durant plusieurs années...

Alors elle lui après plusieurs mots dans sa langue maternelle à elle lui a pris.
« Ouvre-moi la porte de ton cœur.
»

Il reprit son boulot et 2 jours plus tard sur, il ne dit rien mais il fut complètement pétrifié quand ses collègues ramenèrent dans sa soute une résistante qu'ils avaient arrêtée.

Elle le regarda dans les yeux une larme à l'oeil avec un sourire triste et son nouveau rêve s'effondra...
Alors elle lui dit ces mots dans sa langue d'origine ces mots qu'il ne pourrait que comprendre alors
: « ouvre la porte... »dit-elle...
mais contrairement aux autres jours et ne dit pas "de mon cœur".

Il comprit alors il hésita 30 secondes puis appuya sur le bouton éteint les caméras et les enregistrements et utilisa la commande d'ouverture des portes.

Alors 4 rebelles entrèrent d'un bond mirent HS au rayon paralysant les gardes très rapidement.

Il ne sut pas s'il devait dégainer ou pas, mais la vivacité de l'attaque lui enleva toute hésitation : avant qu'il ne réagisse il reçut un tir paralysant..

L'attaque par surprise fut terminée en un éclair. Liliana fut libérée elle se précipita sur son pilote et l'embrassa pour le réveiller en le remerciant chaleureusement

Il avaient donc une navette, une vraie des uniformes officiels.


Le slicer leur créa un ordre officiel, et envoyèrent le message à la prison pour expliquer le transfert prévu.
De son côtés le pilote devait envoyer un message à sa base pour expliquer qu'il y avait un petit problème moteur et que sous quelques heures ils auraient réparé et reviendraient.

Cela ne nous laissait que quelques heures avant que tout le monde s'aperçoivent de la supercherie et que le vaisseau ne soit plus en odeur de sainteté.

Image


Nous foncâmes donc rapidement sur la planète voulue où l'on conservait les prisonniers que je souhaitais faire évader.

À bord de la petite navette pénitentiaire nous passions toutes les vérification habituelles grâce à l'ordre factice et aux habitudes du pilote impérial.

Il se posa dans le Hangar, et tout de suite commença la mission :
Nous partîmes à 5 dans le but de revenir à 8.

Le groupe de rebelles déguisés avec des uniformes pénitentiaires officiels, se déplaçaient à travers la base quand, dans un couloir, près du hangar et ils croisèrent 2 hommes en uniforme mais avec des capes un peu particulières suivi par deux soldats de choc.

Ils croisèrent le groupe dans le couloir, la rencontre était fortuite et provoqua un profond malaise parmi les soldats mais ils continuèrent comme si de rien n'était...et tourna à droite du couloir...

Je leur fit signe de continuer tout doucement...ils ralentirent...


Au coin du couloir je me retournai, et, masqué parleur le bord du mur j'écoutais et faisais attention à ce qui allait se passer, l'arme à la main.

Le groupe d'hommes s'était arrêté, un vieux d'une cinquantaine d'années avec un bouc poivre et sel se tourna vers le jeune et lui dit :


« qu'as-tu ressenti? »

« Maître il me semble qu'il y a un problème... Ce groupe que nous avons croisé il n'est pas il ne ressemble pas aux soldats impériaux ils n'ont pas le même état d'esprit, ils ont peur... »
«
C'est bien Mon Padawan, tu l'as senti aussi c'est bien.
»


« Il faut les arrêter maître... »

« Nous avons été envoyé là pour interroger les prisonniers, nous savons tous ce que nous voulions, pas besoin de faire autre chose.

Cela n'est pas notre problème pas notre mission, laissez-les se débrouiller avec nos gardiens.

Cela n'est pas une tâche à notre hauteur.
Partons...
»


« Oui maître Démétrius ! »

En les voyant s'éloigner Juan avait bien vu qu'au moins le vieux portait deux sabres lasers des Jedis...

Il souffla sans faire de bruit puis rejoignit ses hommes.

Jack et Guerl furent tout de suite amenés pour être transférés sans qu'on leur fit de difficultés, maiss le transfert du 3e prisonnier semblait poser un problème. J'ordonnais aux deux héros et yan le Slicer de ramener les deux prisonniers directement.

Je fis alors le rapprochement, les inquisiteurs qui s'en allaient venaient de torturer le pauvre Herk.


« Il ne peut pas marcher ? »
Le sous officier acquiesça en regardant son collègue et tous deux éclatèrent de rire..
« Donnez moi deux hommes pour le porter alors... ou une mini barge.

Pour des raisons de sécurité on ne peut pas tous les deux le soutenir afin de ne pas prendre de risques sur la sécurité.
»


« Non, je ne vous fournirai pas d'homme j'en ai jamais assez peu moi-même c'est votre prisonnier débrouillez-vous ! »

A ces mots je perdis mon sans froid :
« Si vous n'êtes pas capable de prendre des initiatives et ben je vais me débrouiller tout seul c'est bon ouvre-nous la porte de sa cellule incapable ! »

Il ouvrit la porte, alors Lilianna commença par l'attraper et le soutenir pendant qu'il marchait.

Au moment où il revenait 10 mètres plus bas dans le couloir des cellules où se trouvait le point de contrôle et le sous-officier récalcitrant, celui-ci dans son communicateur entendit une communication prioritaire venant du pc de commandement :


« Un vaisseau prison Concealer a été dérobé il y a 6h environ il pourrait peut-être celui qui se trouve dans le hangar.

Fermez les prisons et arraisonnez ce vaisseau tout de suite.
»


Dan son communicateur Juan hurla : « PLAN B PLAN B. »

Alors immédiatement il y eut des explosions : ils avaient déjà déposé quelques explosifs bien cachés sur le chemin à des endroit précis et qui plus est au retour ils avaient fait un peu le tour du hangar discrètement plaçant des charges notamment sur les chasseurs qui pourraient les poursuivre.

Certaines cellules d'énergie explosèrent coupant l'électricité d'une partie de la prison, certaines portes ouvertes les prisonniers qui les poussèrent manuellement,s'aidèrent et bientôt pour certains commencèrent à s'échapper.

Seulement au bout du couloir les points de contrôle il y avait deux gardes permanents et 4 AUTO laser qui tiraient sur les prisonniers cherchant à s'évader.


En criant Juan attrapa le bras de son opposant lui exécutant immédiatement une clé qui le fit crier, se plaça derrière lui pour l'utiliser en tant que bouclier et en quelques secondes supprima les quatre lasers qui les visaient et le deuxième soldat dans la pièce.

Je mis en joue c nouveau prisonnier : ouvres les portes ou je te tue il ouvrit les portes immédiatement.

Elle ne s'ouvrirent pas.
La panne d'électricité d'une bonne partie des installations l'en empêcha, mais ces portes pouvaient s'ouvrir en les poussant manuellement.

Seuls les autolasers avait une batterie autonome restaient en fonction pour éviter que les prisonniers ne cherchent à s'évader.
Il assomma d'un coup de blaster paralysant son gardien, puis se précipita pour ouvrir deux portes manuellement et ainsi les autres prisonniers libérèrent à leur tour les derniers prisonniers afin que tout de tout puisse s'enfuir. Les deux blasters des gardes furent récupérés, il tua à nouveau deux autres gardes puis, au fur et à mesure que sur leur chemin il rencontrait des soldats Juan les abattait sans hésitation.

On se porta sur la gauche car on savait qu'il y avait 5 autres couloirs de détention.


Pas tous pourraient s'évader mais cela mettrait de la confusion nous permettant de nous évader plus facilement et laisserait à certains leurs chances.

Les rebelles entrèrent d'un seul coup dans le couloir firent feu en prenant à revers les gardiens qui visaient les prisonniers du couloir et en moins de temps qu'il ne faut pour le dire détruisirent les lasers.

Ils firent à cela encore dans deux autres couloirs. Les prisonniers devinrent autonomes en blaster et ils prirent d'assaut les derniers couloir sans eux qui bifurquèrent vers le hangar.

Des soldats impériaux arrivaient à l'autre bout du hangar,. Une fusillade éclata de toute part 30 soldats étaient arrivés d'un coup.


« Même si vous avez les compétences, avoir peu de blasters et le temps contre soi est toujours néfaste, de plus vous risquez une blessure grave, retenez cela.... »

À ce moment-là les blaster de la navette prison concealer se tournèrent vers les soldats du fond et commencèrent à tirer,

Faisant pleuvoir la mort sur leur groupe, les impérieux qui parvenaient néanmoins à avancer et nombreux et progressaient rapidement en courant sur les ailes.

C'est à ce moment que choisit Scott pour faire exploser les charges disposées dans le hangar sur les chasseur causant encore des morts parmi les soldats qui progressaient.

Ils arrivèrent à monter dans le vaisseau il y avait le pilote impérial retourné par Liliana, Yak Bak avait pris la place de copilote , le slicer était présent faisait office de deuxième copilote, à cela on pouvait rajouter les 3 prisonniers rebelle sauvés et les 3 derniers de l'expédition.
Plus encore les 29 prisonniers transportés dans le vaisseau prison et qui seraient plus tard libérés pour la plupart...certains étaient aussi des rebelles en fait.
Il restait 37 places et j'ai eu un dilemme moral : devais-je ordonner le départ pour assurer la libération des présents où prendre des risques et attendre d'autres prisonniers en sachant que certains peut-être serait mal intentionnés.

Il attendit quelques minutes de plus un groupe d'une dizaine rejoins le vaisseau au moment où d'autres soldats arrivaient. de l'extérieur.


On accueillit ceux-ci et on fit décoller le vaisseau.

Le vaisseau pourchassé pendant quelques minutes par des chasseurs TIE mais il réussit à partir en hyperespace sans être arrêté.

Il avait précédemment désactivé les balises de repérage implantées traditionnellement sur ce type de vaisseau pour éviter de se faire traquer toujours et d'éviter les prisonniers en fuite.


Ils purent donc se quitter sans problème et furent récompensés pour avoir sauvé non pas 3 rebelles comme il souhaitait mais finalement une bonne douzaine.
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