L'Astre Tyran

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#37821
    Les sabres avaient retrouvé leur attache à la ceinture de la Mirialan qui regardait désormais d’un oeil mauvais son adversaire vaincu. Le Général tendit la main, il n’était qu’à deux pas. Elle ne bougeait pas. Pourtant sa colère avait été temporairement apaisée. En son for intérieur, se tenait le débat de la volonté d’un nouveau rapprochement. Reprendre contact, recommencer à partager un petit bout d’histoire, jusqu’à leur prochaine séparation. Ou partir maintenant, le laisser là, sur sa planète de secours, et ne plus jamais entendre parler de lui. Vivre sa vie, seule, en pleine puissance. Ou s’affaiblir d’un lien d’affection. Accepter une chaîne. Tolérer une présence. Dévaloriser son Pouvoir. Ne pas être, vraiment, la Dame Sombre des Sith.

    Tue-le.

    Renoncer.

    Tue-le.

    Ou vaincre et s’élever.

    Tue-le.

    Magnanime, laisser une chance.

    La Sith tendit la main à son tour pour, d’un pas, la poser dans celle de Marak. Le regard d’or s’éleva pour se poser dans les yeux du Zabrak. Il n’y avait qu’une solution, une seule. Elle fit encore un pas, pour être au plus près de lui. La main d’émeraude se posa sur la joue couleur cendre. Sous la peau, la mâchoire se crispa. Il n’existait qu’un chemin pour accorder les volontés de la Dame Sombre. Elle sourit d’un sourire timide.

      « Je suis Reine, tu sais, une Reine sans Royaume. La Force me confie la mission de donner à Son peuple une terre où vivre. »

    La seconde main se plaça sur l’autre joue du Zabrak.

      « Et je suis comme toi, j’ai mes propres obligations. Alors, si nous n’avons pas les mêmes obligations, nous ne serons jamais ensemble. »

    Les mains de la Mirialan glissèrent sur la nuque du Général. Elle établit doucement le contact mental, une caresse délicate sur l’esprit du Zabrak.

      « Accompagne-moi. Sois mon Chevalier Servant. Reste avec moi. Aide-moi à construire mon Royaume. Et je t’aiderai avec tes propres obligations. »

    Leurs pensées étaient liées désormais, et la Sith s’interdisait toute déviance mégalomaniaque dans cette situation précise. Il ne fallait pas que Marak put déceler son intention première, pas même qu’il la soupçonnât, même si elle y avait déjà renoncé. Les mains de Ranath se posèrent sur le torse du Zabrak, et l’une d’elles poursuivit jusqu’à l’un des omoplates brûlés. L’index explora le bord de la crevasse qui s’était ouverte dans l’armure, et se glissa entre elle et la chair.

      « On va arranger ça. »

    Elle l’invita en silence à rejoindre son vaisseau, et à abandonner l’épave qui l’avait posé sur cette planète.
#37846
Ils n'était plus qu’à un pas de géant, ou deux de Mirialan, l’un de l’autre, alors que Marak tendît légèrement la main… dans l’envie d’un nouveau rapprochement. La Sith tendit la main à son tour pour, d’un pas, la poser dans celle de Marak. Le regard d’or s’éleva pour se poser dans les yeux du Zabrak. La main d’émeraude se posa sur la joue couleur cendre. Sous la peau, la mâchoire se crispa. Elle sourit d’un sourire timide.

    « Ranath: Je suis Reine, tu sais, une Reine sans Royaume. La Force me confie la mission de donner à Son peuple une terre où vivre… Et je suis comme toi, j’ai mes propres obligations. Alors, si nous n’avons pas les mêmes obligations, nous ne serons jamais ensemble. »

Pourquoi j’ai l’impression de l’avoir déjà entendu cette affirmation !? Bah oui, pendant le Règne d’Helera et l’Ordre Gris !!

    « Marak: La dernière fois qu’on m’a demandé mon aide dans ce genre de projet, ça s’est mal terminé entre moi et le Royaume en question… t’es sûre que tu veux de mon aide pour ça !? »

    « Ranath: Accompagne-moi. Sois mon Chevalier Servant. Reste avec moi. Aide-moi à construire mon Royaume. Et je t’aiderai avec tes propres obligations. »

Les mains de Ranath se posèrent sur le torse du Zabrak, qui le fît frissonner légèrement, provoquant une contraction involontaire de ses pectoraux, dissimulés sous l’armure, et l’une des mains de Ranath poursuivit jusqu’à l’un des omoplates brûlés. L’index explora le bord de la crevasse qui s’était ouverte dans l’armure, et se glissa entre elle et la chair, qui le fît légèrement relevé la tête, râlant un vocalise de contre-basse en signe de protestation, qui semblait un interminable ronronnement au fur à mesure qu’elle explorait la plaie ouverte, tout en grimaçant cette douleur irritante au contact de sa main sur la chair vive fraîchement cramée par les sabres laser de la dame sombre et sexy.

    « Ranath: On va arranger ça »

Marak abandonna l’épave, sans aucune hésitation, qui l’avait posé sur cette planète, alors qu’elle l’invita en silence à rejoindre son vaisseau. Il l’avait déjà vu, à 1 ou 2 reprises, sans pour autant n’y être jamais monté abord, il ne savait pas trop à quoi s’attendre. Le poing de l’ombre n’avait pas l’air luxueux de l’extérieur, il avait l’air… potable, faut dire qu’il devait avoir beaucoup de route à son actif, et connaissant les humeurs de la dame… le journal des entretiens ne devait pas être celui le plus à jour, comparé au journal de son agenda personnelle, à la conquête de son Royaume…
#37882
    Il était assis là, sur la couchette de la cabine qui servait d’infirmerie. Son regard suivait les mouvements de la Mirialan, qui préparait sans se presser le pansement imbibé de bacta. En silence, elle réfléchissait. Des pensées cachées à l’esprit du Zabrak. Il n’avait pas vraiment changé. Il lui paraissait plus faible. La faute à sa victoire écrasante sur le colosse en armure. Intérieurement, le Maître riait. Personne, oh non personne, ne peut me battre. Elle se remémorait Hypori, et la fuite de la Sœur de la Lumière. Non, pas une Sœur, bien pire que cela, une Sith. Il y avait un nid de Sith quelque part. Un réservoir de fidèles à soumettre, un repaire d’ennemis à combattre. La Mirialan inspira brièvement. Elle posa le pansement sur le plateau en plastique stratifié qui avait vissé dans la tôle pour servir de table à pansements. La main d’émeraude s’attarda un instant là, puis le regard d’or se posa sur le Général.

      « Excuse-moi … »

    Le Poing de l’Ombre voguait sans une secousse vers leur prochaine destination. Ranath n’avait rien dit à Marak. Elle le menait au combat, au massacre. Marak, massacre. Un sourire. Elle le voulait près d’elle, avec elle. Pas seulement à ses côtés, mais dans la même souffrance, dans le même tourbillon, en manque du même pouvoir addictif.

      « J’ai besoin de savoir ce que ça fait. Tu permets … ? »

    Depuis combien de temps n’avait-elle pas pris un coup de sabre ? Hé, hé, hé … depuis … des années ? Non, elle n’allait pas demander une revanche, simplement … Ranath fouilla dans ses affaires, celles qu’elle avait jetées sur la couchette en entrant dans la cabine. Elle tira de sa vieille besace un holocron cubique.

      « Tu t’en souviens ? »

    L’holocron d’Harvk. Il était lié à Sam. Lié à cette forteresse, là-bas. Lié à Mya.

      « Laisse-moi faire, s’il te plait. »

    Elle s’assit à côté du Zabrak et posa la main sur les plaies sanglantes. L’autre main tenait le petit cube qui s’illumina aussitôt de son éclat viridien habituel. Harvk était là, patient. Sa voix sifflante résonna dans l’esprit de la Mirialan. Elle savait comment faire désormais avec lui. Elle lui demanda alors de soulager la douleur de son ami, partager avec lui le fardeau de la blessure. Le contact du sang du Général devint brûlant pour la Sith, aussi brûlant que le contact du laser. La douleur courut le long de son bras, passa le coude et remonta jusqu’à l’épaule. Il alla se ficher au creux du dos de la Mirialan, là où avant la peau était marquée de fiers tatouages. La brûlure s’installa ici. Et à mesure qu’elle grandissait en la chair de Ranath, elle diminuait sur les omoplates du Zabrak. Voilà donc un échantillon de souffrance, la piqûre du sabre. La mâchoire de la Sith se crispa. Elle hocha doucement la tête et cessa l’exercice. La brûlure, elle, resta.

      « Excuse-moi pour … ça. »

    Elle parlait des deux plaies, il comprendrait peut-être. Ranath rangea l’holocron avec soin et attrapa d’une brève extension les deux pansements.

      « Tourne-toi. »

    Quand le Zabrak eut obéi, elle appliqua lentement le bacta sur les deux blessures et attendit quelques secondes que l’adhérence des pansements fût avérée pour rompre le contact avec le dos du Général.

      « Tu devrais te reposer maintenant. On arrivera bientôt, et j’ai besoin de toi en pleine forme. »

    C’était faux. Ranath n’avait besoin d’aucune aide. Mais elle avait besoin qu’il fût là pour le faire plonger lui aussi. Elle le voulait avec dans les ténèbres. Elle n’avait pas osé poser la main sur son front, le forcer à ployer face à la puissance du Côté Obscur, le faire basculer d’une simple pensée, la pire des pensées. Combien il était facile de se laisser aller à l’Obscurité, et combien son pouvoir était agréable. Il verrait, bientôt, il verrait.

    Le front de Ranath se posa dans le dos du Zabrak, elle ne bougea plus.
#37891
Marak était assis là, sur la couchette de la cabine qui servait d’infirmerie. Son regard suivait les mouvements de la créature de rêve, qui préparait, avec soins, le pansement imbibé de bacta. En silence, il l’observait, tentant de comprendre par le language non-verbal ce qui pouvait bien se passer dans sa tête.

Avait-il vraiment changé ? Après ce court échange, bien qu’instructif, au niveau combat, selon sa vision à elle, probablement pas ! Cela démontrait par contre, l’écart s'agrandissant entre les deux sur la maîtrise de la force, qu’importe l’angle d’où on regarde. C’est plutôt Ranath qui avait fait un bond gigantesque dans sa progression, elle mériterait sûrement de recevoir quelques trophés pour souligner ses accomplissements ! Quant à lui, la progression de Marak avait volontairement stagné, investissant plutôt son temps sur la relève, en Sam, et tous ceux qui démontrait la volonté de suivre.

La Mirialan inspira brièvement, posa le pansement sur le plateau, la main d’émeraude s’attarda un instant là, puis le regard d’or se posa sur le Général déchu.


    « Ranath: Excuse-moi … Tu permets … ? J’ai besoin de savoir ce que ça fait. »

Ranath fouilla dans ses affaires, celles qu’elle avait jetées sur la couchette en entrant dans la cabine. Elle tira de sa vieille besace un holocron cubique.

    « Ranath: Tu t’en souviens ?...Laisse-moi faire, s’il te plait. »

L’holocron d’Harvk. Il était lié à Sam. Lié à cette forteresse, là-bas. Lié à Mya.

Ranath s’était assise à côté du Zabrak et posa la main sur les plaies sanglantes. L’autre main tenait le petit cube qui s’illumina aussitôt de son éclat viridien habituel. Harvk était là, patient. Une communication inaudible s’en suivit. Le contact du sang du Général devint brûlant pour la Sith, aussi brûlant que le contact du laser. La brûlure s’installa dans la région des omoplates, comme celle de Marak. À mesure qu’elle grandissait en la chair de Ranath, elle diminuait sur les omoplates du Zabrak. La mâchoire de la Sith se crispa. Elle hocha doucement la tête et cessa l’exercice. La brûlure, elle, resta. Ranath rangea l’holocron avec soin et attrapa d’une brève extension les deux pansements.

    « Ranath: Excuse-moi pour … ça. Tourne-toi. »
En parlant des deux plaies, il comprendrait peut-être.

Marak se tourna dos à elle, s’exposant en toute confiance, elle appliqua lentement le bacta sur les deux blessures et attendit quelques secondes que l’adhérence des pansements fût avérée pour rompre le contact


    « Ranath: Tu devrais te reposer maintenant. On arrivera bientôt, et j’ai besoin de toi en pleine forme. »

Le front de Ranath se posa dans le dos du Zabrak, elle ne bougea plus. Et c’est là, qu’il aurait dû se retourner au bout de quelques secondes, la prendre dans ses bras, et tout lui avouer toutes les erreurs/regrets qu’il a commis/éprouvé tout au long de ses dernières années. Du sel sur mes plaies SVP !! Non merci, il fallait un terrain neutre pour ça, rien ici n’était à l’avantage de Marak… le vaisseau, l’espace, une destination inconnu… un pet de travers et Marak pourrait tomber creux dans le fond du baril, sous le niveau de flottaison. Y’a naviguer en sous-marin et naviguer en sous-marin au coeur des récifs non connus… un moment donné faut savoir quand s’arrêter. Puis des paroles lui revinrent en tête soudainement...

Une reine dans royaume… C’est exactement les paroles qu’Helera lui avait dit lorsqu’elle le convainca de rejoindre l’Ordre Gris, et on voit jusqu’où ça les a menés… Il n’avait peut-être que trop bien réagi à la première écoute, mais plus il se repassait les paroles dans sa tête, plus ça le chatouillait…

Accompagne-moi. Sois mon Chevalier Servant. Reste avec moi. Aide-moi à construire mon Royaume. Et je t’aiderai avec tes propres obligations (Peut-être un jour)

Au bout d’un moment ça l’irritait, moins aux plaies des omoplates, Marak fût juste trop content de quitter Lahsbane, qu’il n’a pas pris en compte les conséquences sur le coup, il aurait dit oui à un peu n’importe quoi…Et maintenant il se retrouvait un peu piégé, en chevalier-servant... Deux jolies mots «jointés» d’un trait-union pour contourner «esclave» avec classe ! Mais au vue du duel encore tout frais… déjà avec une armure ce fût limite, alors que maintenant que l’armure est quasi bonne pour la casse, sa protection ne réside plus qu’en sa défense au sabre, les pouvoirs de force et gérer les avantages de terrain, tout cet ensemble défensif que Ranath traverse, avec preuve à l’appuie, elle le tenait maintenant carrément par les couilles, au figuré... et littéralement si ses mains se décidaient à se balader. Une partie de lui l’aurait souhaité, apprécié pour sûre, mais d’un autre côté, de prendre conscience que sa liberté était en péril, ça l’agaçait vraiment, au point de déconcentrer le centre de son intérêt… Marak ravala donc ses intentions premières, enfermants ses sentiments, il les mis de côté pour le moments, le temps de voir où tout ça le mène.

Sans mots dire, il se retourna doucement pour faire face à Ranath, il tenta une amorce de ses mains, cherchant les siennes, tout en reproduisant le mouvement amorcé par Ranath qui avait appuyée sa tête dans son dos, cette fois-ci, front contre front, croiser leurs regards, et voir jusqu’où le désir pouvait être réciproque…
#37974
    Ranath inspira doucement. L’expiration suivante ne vint pas. Un instant, elle demeura sans bouger, jusqu’à finalement relâcher l’air de ses poumons, avec tout autant de discrétion. Sa main bougea, une esquisse de geste, peut-être une caresse, une invitation. L’alarme retentit dans la cabine, et dans tout le vaisseau. Elle avait ce tintement métallique et vielli des sirènes d’alerte d’un temps passé. Sortie d’hyperespace. L’ordinateur de bord appelait à son chevet. La Mirialan lâcha les mains du Zabrak et se leva. Au passage, elle attrapa les affaires qu’elle avait d’abord laissé tomber là, puis quitta la cabine. Dans le cockpit, Somov Rit s’imposait au-delà de la vitre blindée. Ranath prit la place qui lui revenait, celle du pilote, afin d’amorcer l’approche, la communication avec les éventuelles autorités locales et la manoeuvre d’entrée en atmosphère. Elle crut ne pas sentir la présence de Marak derrière elle, il avait dû rester là-bas, seul et songeur.

    L’Odonata s’était posé sans encombre, et sans un mot entre ses passagers. Il proposait désormais, rampe ouverte, un accès direct à la planète objectif. Les deux sensitifs s’étaient préparés en vue d’une sortie et côte à côte, pas à pas, descendaient la légère pente depuis le temps rendue lisse par les talons des bottes de ses multiples équipages. À mi parcours, la Sith stoppa. Elle laissa Marak achever trop pas, jusqu’à poser pied à terre. N’entendant plus le son des pas de sa compagne, il se tourna vers elle. La Mirialan ne le trouva pas surpris. Il avait dû anticiper ce caprice-ci.

    Ça n’aura pas lieu.

    Elle ne dit rien, mais sourit doucement. Sa main esquissa un signe, un au revoir silencieux. Elle resta ainsi, immobile, à le regarder, lui, ce qu’il avait été, à oublier ce qu’il ne serait jamais. Elle n’expliqua rien. Ranath fit un pas en arrière, sa main alla chercher l’actionneur des vérins et commanda la fermeture de la rampe.

    Le Poing de l’Ombre redécolla, selon l’exacte procédure inverse. Il disparut dans le ciel, un pilote en larmes à son bord.

    Fin.

#38036
L’alarme retentit dans tout le vaisseau, ce tintement métallique et vieilli des sirènes d’alerte d’un temps passé. L’ordinateur de bord appelait pour une assistance. La Mirialan lâcha les mains du Zabrak et se leva. Somov Rit s’imposait au-delà de la vitre blindée. Ranath prit la place qui lui revenait, celle du pilote, pour amorcer l’approche, la communication avec les éventuelles autorités locales et la manoeuvre d’entrée en atmosphère.

Le Poing de l’Ombre s’était posé sans encombre, et sans un mot entre ses passagers. Il proposait désormais, rampe ouverte, un accès direct à la planète objectif.

Les deux sensitifs s’étaient préparés en vue d’une sortie et côte à côte, descendant la légère pente de la rampe d’accès. À mi-chemin, la Sith stoppa, laissant.Marak atteindre le bas de la rampe, jusqu’à poser pied à terre. N’entendant plus le son des pas de sa compagne, il se tourna vers elle.

Elle sourit doucement. Sa main esquissa au revoir silencieux. Elle n’expliqua rien. Ranath fit un pas en arrière, sa main alla chercher l’actionneur des vérins et commanda la fermeture de la rampe. Marak haussa un sourcil.

Le vaisseau décolla, selon l’exacte procédure inverse. Il disparut dans le ciel, un naufragé abandonné de nouveau sur une autre planète. Pleins de questions lui venait en tête… Plusieurs tournaient autour du «Pourquoi ?»

Marak réactiva son signal de détresse, indiquant à Sam sa nouvelle position… Quelques jours plus tard, Le Black One faisait son entré dans l’atmosphère pour venir récupérer son Général. Il avait trouvé refuge dans une épave de vaisseau qui détonnait dans le décor. Les composantes clés étaient disparus, au profit des habitants locaux...



    « Sam: Pop’s ! Enfin te voilà ! »

    « Marak: Salut fils, désolé de te l’apprendre, mais Marak est présumé mort… Ranath l’aurait buté sur Lahsbane dans un duel au sabrelaser, et laissé son corps mort sur Somov rit pour brouiller les pistes en faisant passer ça sur le dos des racailles de pirates cachés sur cette planète et les environs… »

    « Sam: Mais euh... »

    « Marak: Félicitation Sam, bientôt tu seras le propriétaire de tout ce que je possède. Puisses-tu en faire meilleur usage que moi. »

    « Sam: Que deviendras-tu ? »

    « Marak: Je vais devenir invisible pendant un certains temps, elle m’a mis là pour une raison, soit s’assurer que je ne sois plus dans son chemin, soit pour m’épargner de quelque chose… Dans tous les cas, je dois de me préparer pour ma prochaine rencontre avec elle, mais en attendant, jouons notre rôle. Ta marraine t’a renié, en «tuant» ton père adoptif, laissant derrière lui toute sa fortune à ta disposition. Tu vas devenir le nouveau visage du KIG, et moi je serai invisible dans ton ombre, tu es assez âgé maintenant pour savoir gérer tout ça, tu as été formé au même titre que tous les autres ! Et puis y’a tout un conseil d’administration qui sont là pour t’épauler à faire rouler la machine ! Comme le combat c’est pas tant une passion pour toi, il te reste peu à apprendre de moi quant à ma maîtrise sur la force. Tu devras faire des recherches seul pour la suite, tout comme moi »

    « Sam: Bon… Okey… Merci de la confiance que tu m’accordes, ça veut dire énormément de choses pour moi, pas que j’en doutais, mais de te l’entendre dire de vive voix, je l’apprécie. Sinon comment tu veux procéder pour la suite des évènements ? »

    « Marak: J’ai besoin d’une nouvelle armure, celle que j’ai est facilement identifiable à l’Ordre Gris et à Marak… Je vais tenter de rapatrier les recherches faits pour cette armure, ou sinon on fera de l'ingénierie inverse pour s’en construire de nouvelles. »

    « Sam: Et pour l’aspect invisible ? Comment t'appelleras-tu désormais ? »

    « Marak: Trouve-moi un chasseur de prime / mercenaire / dirigeant, qui vient de la région de cet emblem là, et qui pourrait être favorable à me refugier…[voir spoiler] s’il acceptent ma proposition, très vite ces questions trouveront une réponse. Je bouge pas d’ici, tu n’as qu’à le faire venir à moi. »

    « Sam: Alors c’est comme ça ?? Elle t’a plaquée, et toi tu pars en guerre ? »

    « Marak: C’est pas «comme ça», même si, effectivement, ça y ressemble beaucoup… elle a fait son choix et est repartie sans moi, tous les deux on a un passé troublé, compliqué, chiant à gérer, puis j’ai évoqué le fait que des gens comptais sur moi, et probablement elle aussi de son côté, et elle a su qu’elle ne pouvait rien contre ça. Sam, on ne la reverra probablement plus, ou peut-être une fois, seulement après qu’elle nous aura transpercé le corps de ses sabrelaser. Je dois régler mon passé, simplifier tout ça... Repartir de zéro… toi tu es jeune, prends soin de mes avoirs et utilise-les pour conquérir tes rêves, et de temps en temps aider ton vieux père adoptif, quand il sera dans l’eau chaude ! »

    « Sam: Oui, parce qu’on sait pertinemment tous les deux que t’attire le trouble comme une mouche est naturellement attirée par des excréments de bantha ! … Mais j’ai peut-être quelqu’un pour toi, reste à savoir s’il voudra te recevoir, si le but est d’aller te réfugier là-bas. »

    « Marak: Je demande juste à discuter avec, le reste sera sa décision, je t’enverrai mes coordonnées quand j’aurai trouvé un coin tranquille. »

    « Sam: Je te ferai signe dès que j’aurai trouvé quelqu’un de favorable à ta cause, mais ça pourrait prendre un certain temps. »

Fin.


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