L'Astre Tyran

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Orbitant autour de la planète des Hutts, Nal Hutta, Nar Shaddaa est le spatioport du monde Hutt, connu dans toute la galaxie pour ses immenses gratte-ciels, ses mécaniciens spatiaux réputés, mais aussi pour sa fréquentation douteuse, composée de tout ce que le secteur compte de hors-la-loi. Surnommée la Lune des Contrebandiers, Nar Shaddaa est effectivement une plate-forme active pour la contrebande dans les bordures Médiane et Extérieure.
Gouvernement : Hutts
#39545
Le syndicat Tenloss, en voilà des ennemis tout droit sortie du passé et qu’il ne pensait pas voir resurgir un jour. Entre les purges effectuées par le Consortium de Zann et les éliminations effectués par les Kogarasumaru, les survivant devraient se compter sur les doigts de la main. Les troupes rassemblées pour l’assaut n’étaient pas très qualitative mais relativement nombreuse et équipé avec de l’acide, ce qui demandait des installations pour le produire et d’un endroit pour fournir au moins un minimum d’entraînement aux types sensées les utiliser.

Lorsqu’un nouvel assaillant apparaît il est aussitôt accueilli par une bordée de tir sans effet, il s’agit d’un hologramme, il s’ensuit un bruit de fenêtre brisée et le dernier Pollux disparait dans une explosion avant que les quelques lumières encore en service ne soient éteinte l’une après l’autre. Alors qu’ils se rassemblent en un semblant de formation défensive, ils peuvent voir leur ennemi apparaître. Juché sur une poutrelle, les tenant en joue avec ses disrupteurs, une tourelle d’épaule oscillant à la recherche d’une cible à verrouiller.

On devait avouer que le type avait une certaine classe malgré sa grande taille, sûrement grâce à son grand manteau noir le couvrant presque entièrement. En dessous, on pouvait apercevoir une armure intégrale ornée d’un magnifique T sur la poitrine. Il devait donc s’agir de Super Tenloss venu venger ses camarades tombés au champ du déshonneur.


    [Super Tenloss]Nous nous sommes montrés patients et particulièrement indulgents. Vous avez déjà payé suffisamment pour elle, après tout ce temps vous vous doutez bien qu’elle vous a abandonné. J’ai déjà perdu beaucoup de mes hommes et vous aussi, nous pouvons faire en sorte que le carnage s’arrête ici. Dites-moi où est Nyna War’shiva, versé le tribut adéquat et vous épongerez toutes vos dettes.

Il était à la recherche de la même personne qu’eux, ce qui était plutôt une bonne nouvelle car cela voulait dire qu’ils la considéraient comme encore vivante. Par contre, cela signifiait aussi que la Tenloss avait repris du poil de la bête et qu’elle s’était refait une santé ses dernières années, ce qui était pour le moins inquiétant. La réaction de la mécanicienne était également parlante, la manière dont elle semblait démunie et en proie à un conflit intérieur signifiait qu’elle avait au moins une idée de l’emplacement de la Twi-Lek.

A y regarder de plus près, Super Tenloss était étrange. Les flots s’écoulant du système anti-incendie ne le gênaient pas, en fait ils le traversaient et la lumière rougeâtre des éclairages de secours ne semblait pas l’éclairer le moins du monde. En prenant ces éléments en comptes, ainsi que la destruction des lumières pour diminuer leur visibilité et la destruction des droïdes n’ayant pas besoin de la lumière en question on pouvait affirmer que leur assaillant ne se trouvait pas ici. Ou du moins pas là où il semblait être. Seïstan tapota légèrement le côté de son arme avant de signer discrètement du bout des doigts la conclusion de ses réflexions à Solyr, et sans doute à la mécanicienne si elle était capable de les comprendre. Ces signes avaient été créés pour être discret et pour tout observateur, il pouvait sans problème passer pour de la nervosité.

Ce genre d’affrontement n’aurait pas été un problème s’ils avaient disposés de leurs armures avec les systèmes avancés. En l’état, ils ne savaient même pas si les systèmes du chasseur pouvaient être utilisés, ils ne pouvaient compter que sur les sens avancés du Cathar et leur capacité d’observation, et pour cela il fallait gagner du temps. Le Kage avait une bonne idée de ce qu’il devait faire, occuper l’esprit de leur interlocuteur tout en bougeant légèrement, juste assez pour capter les mouvements de la mini tourelle, voir si elle le repérait à un moment ou pas.


    [Seïstan]Alors là, je ne vois pas du tout de quoi vous pouvez bien parler ? Une dette ? Mon collègue et moi-même étions venus ici pour trouver des informations sur un certain Tanak Leonik, il a sur la tête une prime des plus appréciables, mais depuis le temps qu’elle avait été posée et vu le montant nous nous inquiétons un peu de savoir quel genre de personne cela pouvait bien être.

    Le seul lien que nous avons pu trouver avec lui, c’est cet endroit. C’est pour ça que nous sommes venus, mais à peine arrivé nous avons été pris en otage par les types du coin. Je pensais qu’ils étaient totalement paranoïaques, mais là vos types ont débarqués et ont commencés à tirer. Pour rester en vie, nous n’avons pas eu d’autres choix que de riposter, même s’ils n’étaient pas vraiment de bon tireur.

    Dans tous les cas, le Cathar et moi n’avons jamais entendu parler de cette Nana Lasciva. Non, ce n’était pas ça... Nyna Wakanda… Non plus... Enfin bref...

    Tout cela pour vous dire que nous ne connaissons pas cette brave dame, qui semble vous avoir causé du tords et je trouve injuste d’être considéré comme partie prenante pour le remboursement de sa dette !

    En plus, vous pensez bien que si je cours après des cibles à haut potentiel ce n’est pas parce que je roule sur les crédits, alors verser un tribut n’est pas possible pour moi. Les seuls à qui je dois de l’argent, c’est le clan bancaire et je suis sûr que vous préférez ne pas être à ma place en l’occurrence…

    Maintenant, si vous voulez bien être compréhensif et nous laisser nous en allez, nous pourrons vaquer à nos propres occupations sans plus vous déranger, après tous les affaires d’argents doivent se régler en privé, et nous ne voudrions pas gêner…

Le plan était relativement simple, dès que les mercenaires seraient relativement sûr de la position de leur assaillant, Solyr s’arrangerait pour place son arme dans une position n’éveillant pas les soupçons. Par exemple, sur l’épaule ou comme au repos contre lui, avant de se tourner vers la mécanicienne pour mettre le Tenloss en joue. Puis il ouvrirait le feu, avec le tir secondaire, une magnifique grenade filant droit vers sa cible tandis qu’il pousserait la mécanicienne sur le côté avant d’ouvrir le feu depuis son Kerberos tout en restant en mouvement et en visant, autant que possible la zone occupée. Seïstan de son côté, commencerait à bouger dès le tir de la grenade déclenché, ouvrant le feu à volonté tout en utilisant sa vivacité naturelle pour s’approcher de leur adversaire avec des mouvements erratique pour semer l’ordinateur de tir de la tourelle, lesquels sont souvent assez simplistes, afin de la détruire et de mettre l’autre type hors d’état de nuire. S’il ne peut être atteint facilement, Solyr se chargera de le débusquer en enchainant les tirs de grenade jusqu’à ce qu’il soit débusqué ou mort.

Si par contre, le Kage arrive à l’atteindre au corps à corps il basculera sur le vibrokatana, même brisé la lame produit encore des arcs électriques très peu appréciés des systèmes électroniques avant de reculer et d’ouvrir à nouveau le feu. Le but premier est de le capturer vivant pour pouvoir lui poser des questions, mais avoir son cadavre ne serait pas un mal non plus.

A l’inverse, si malgré tous leurs efforts pour le repérer ils n’arrivent pas à en trouver la trace, ils partiront en courant chacun dans une direction opposée dans l’atelier tout en veillant sur les arrières de l’autre, attentif et prêt à cueillir leur cible.
#39728

~ Modération événementielle ~
Le super héros vengeur se tenait là juché sur son perchoir à braquer d’une main ferme les derniers défenseurs. Fut-il surpris d’en voir un et pas une prendre la parole, d’autant qu’il ne connaissait guère sa trogne.[…] Maintenant, si vous voulez bien être compréhensif et nous laisser nous en aller, nous pourrons vaquer à nos propres occupations sans plus vous déranger, après tous les affaires d’argents doivent se régler en privé, et nous ne voudrions pas gêner…

L’exécuteur "perché" finit par cligner des yeux, c’était un long monologue à quoi est-ce qu’il jouait ? S'il avait souvenir des dernières paroles d’un condamné qui croyait pouvoir prolonger sa vie en assommant de paroles son auditoire... Le résultat final était plus qu’approximatif. Pourtant son flot de paroles à lui se déversait abondamment sans jamais vraiment tressaillir, à par ces quelques tremblements impossibles à dissimuler du fait du stress, le bonhomme en bas avait son regard planté sur "lui" et n’en démordait pas. Ces types s’avaient se battre c’était certain, les mécanos avait fini par se dégotter de véritables mercenaires pour assurer leur sécurité… Dommage ils n’avaient pas eu le nombre avec eux et leurs joyeux employeurs venaient tout juste de perdre leurs toutes dernières possessions. Une voix résonna en écho comme amplifié électroniquement. Malheureusement, vous avez fait couler le sang de mes hommes. Vous allez devoir payer, mais si ça peut vous rassurer ce n’est pas une question de crédit… Non c’est plutôt une question de respect voyez-vous. Mais je suis sûr qu’on peut trouver un terrain d’entente …

Un léger bruit métallique localisé retentit, pareil à celui esquissé par une barre métallique bousculée sur un sol granuleux. Un son étouffé, pratiquement inaudible, un bruissement qu’aucun être humain n’aurait pu percevoir, mais l’oreille d’un Cathar n’était pas celle d’un de ces grands mammifères dépoilés à la chaire rose. Solyr parvint à situer précisément le point d’origine de la perturbation sonore. En un échange silencieux, lui et Seïstan se comprirent. L’œil toujours rivé sur la tourelle qui continuait ses mouvements de rotations sans pourtant réagir à ses légères gesticulations, le Kage avait désormais la certitude qu’en haut il n’y avait que des amas de pixels haute résolution. Avec ses deux informations combinées tout s’accéléra en un battement de cil, les deux vétérans exécutèrent leur plan.

Le corbeau braillard marqué du T avait certainement compris une partie de la supercherie, mais il n’avait pas pu s’empêcher de se rapprocher. Derrière les décombres d’un large pan de mur éventré par le speeder bélier il se tenait là, dos contre la surface en polybéton partiellement fondu. En un geste la mécanicienne aux côtés de Seïstan finit plaquée au sol … les blasters n’avaient pas fini de parler.

Alors que le dernier intrus s’attendait à voir son splendide double se faire trouer comme une passoire avant de pouvoir ramasser à la petite cuillère les derniers défenseurs des ruines du hangar. Le criminel fut plutôt introduit à la bienveillance caractérisée des arpenteurs de Nar’Shadaa, avec la venue d’une mignonne petite grenade sur son porche.

Visiblement déstabilisé digérant difficilement que son petit subterfuge holographique n’ait pas fonctionné, le coupe-jarret en armure se ravisa en voyant la petite sphère tomber à ses pieds. Le temps lui manque agissant mécaniquement en mettant en exécution l’un des plus vieux préceptes qui soit, quand tu vois une grenade jette-toi à terre ou crève. Alors le gentilhomme se jeta à terre. La détonation de l’engin explosif retentit et happa malgré tout son flan. Les vieux préceptes ne précisaient pas tout… Entouré par une aura protectrice bleutée, celle d’un bouclier énergétique personnel qui rendit l’âme sur le coup. L’ennemi tenta de se redresser avec difficultés et en perdit même sa politesse.

Enfoir- …. Le Kage finit par se ruer sur son adversaire, la tourelle d’ épaule tenta de verrouiller la cible qui se présentait à elle. Si l’ordinateur de visée ne parvint pas à assurer ses tirs, la manœuvre restait dangereuse et Seïstan ressentit une vive douleur sur son épaule gauche. L’un des tirs l’avait atteint. Ralentit par l’impacte le Kage eu tout juste le temps de calibrer son tir et de répliquer à son tour en détruisant net la tourelle avant de se jeter à couvert.

Son adversaire tira deux volées énergétiques avec ses disrupteurs, ses armes de morts disloquèrent la coque du Gungnir tuant sur le coup l’ingénieur qui essayait désespérément de le remettre en marche. Une seconde, puis une troisième volée de tir, l’atelier grinçait de plus belle et menaçait même de s’effondrer sous ce déluge de puissance. À la quatrième volée, le Kage savait que son adversaire allait devoir recharger. Il avait l’opportunité de se jeter au corps à corps avec sa lame brisée afin de neutraliser son ennemie, sans hésiter le mercenaire se lança dans une charge finale. Son adversaire adossé sur un amoncellement de gravats se tenait les restes d'une épaule broyée par la détonation de sa propre tourelle. Le coup fusa, net et sans bavure le reste de la lame plongea dans le poitrail de sa cible provoquant une terrible décharge électrique dans le corps du malheureux. Une vibrolame dissimulée mordit en simultanée la gorge de Seïstan, perla une simple goutte carmin ... il avait été plus rapide… Le combat était gagné …

La visière de l’agent en blouson noir craquelé par endroit s’ouvrit au moment du coup de jus laissant découvrir un visage, celui d’un homme réellement âgé, la barbe grisonnante et une coupe mulet dépassant largement de sa nuque. Le vieillard était toujours conscient malgré le choc et se risqua même à une grimace qui tendait à devenir un sourire. Mobilisant ses dernières forces il finit par cracher quelques mots dans une toux rauque.

Comme je disais… Je suis sûr qu’on peut trouver un arrangement…

#39766
Cet enfoiré ne l'avait pas raté, le plan était risqué mais il avait presque fonctionné comme prévu. Le Kage n'avait pas vraiment prévu de se faire tirer dessus, et il fallait avoué que c'était loin d'être agréable. En réalité, c'était même assez douloureux. Il allait avoir besoin d'un peu de temps pour récupérer et se remettre les idées en place, qui sait quelle surprise l'enfoiré qu'il tenait en joue pouvait bien encore lui réserver, sans compter son bouclier qui pouvait peut être encore se recharger. D'un geste un peu raide il bascula son arme en mode fléchette, profitant que le type commençait à lui parler il tira une fléchette dans l'une des articulations de l'armure pendant que Solyr approchait.

Profitant de la paralysie momentané de leur prisonnier, Seïstan s'injecta une dose de Kolto serrant les dents en attendant que le produits fasse effet. Ils avaient un peu de temps avant qu'il ne se réveille. D'un commun accords, sans même échanger un mot les deux mercenaires se répartirent les tâches. Avec une douceur caractérisant un félin en furie, Solyr commença à enlever l'armure de leur cible. Enfin, en l’occurrence on était plus prêt du déchiquetage mais bon. Le Cathar n'était pas tombé de la dernière pluie, il mettait de côté tout le matériel potentiellement intéressant pour plus tard ou pour en savoir plus. Seïstan, lui de son côté ramassa l'un des disrupteurs et d'un pas presque nonchalant en direction de la mécanicienne, tirant sur les corps des assaillants, de cette manière qu'ils soient vivant ou mort ne changerait rien


    [Seïstan]Vous devriez partir, si vous avez une voie de repli c'est le moment. Il y a un monde sanctuaire dans le secteur Hutt, c'est le moment d'y aller. Nous nous occupons de la suite ici, on va faire le ménage et essayer d'en savoir plus. Si vous avez des renseignements pour nous, c'est le moment de nous les donner...
#39957

~ Modération événementielle ~
À coups de griffes, la panoplie de l’ancien finit par céder. Son armure en elle-même est de bonne facture et semble être enchâssée de nombreuses améliorations. Pour autant la plupart des outils dissimulés qui doivent pouvoir s’activer depuis un panel central incrusté au poignet restent inaccessibles, l’instrument demeure verrouillé, peu importe les méthodes employées. Pour autant l’homme félin finit de déplumer leur agresseur et met la patte sur un joli arsenal. Un papillon de nuit d’arakyd, un outil de piratage informatique B2-X de MerenData, les clefs pour un speeder, une ceinture avec un générateur de bouclier intégré les batteries complètement déchargés et même une boîte scellée avec un Bio-cocon. Enfin. Le plus surprenant un unique détonateur thermique hautement modifié, du jamais vu, de la taille d’un poing de wookie sans système en surface pour pouvoir le faire détonner. Ce genre d’engins en plus petit avaient parfois été utilisés au cours de la guerre civile, des pâtés de maisons entiers pouvaient être soufflés avec un seul modèle de ces petits joujoux surboostés au baradium.

La belle dame qui semble être la dernière âme vivante du bouiboui en ruine, jadis atelier reste pantoise. Elle finit par répondre d’un œil vide et poché. Des renseignements … À propos … À propos War’Shiva ? Ou à propos de ces types ? Bah je suppose les deux… Pour ce qui est des enfoirés de tout à l’heure se sont des gangs sous la coupe des nouvelles barbouzes favorites des baveux. Une véritable petite armée, du genre groupe de mercenaire paramilitaire du nord, des types qui ont débarqué de nulle part, appuyés par les limaces. C’est comme ça que ces pourris de Hutts ont fini par reprendre tout l’espace. M’enfin ça va faire trois quatre ans que ces salopards se sont implantés partout, je pense que vous devriez déjà le savoir. S’ils étaient là c’est parce que ces fumiers se sont même mis à collecter les dettes quand ce ne sont pas les porcs qui s’en occupent, ils sont du genre insistant, surtout qu’on devait un paquet de plaquettes aux gens du coin… Pour ce qui est de War’Shiva … Elle a disparu y’a de ça deux ans … Au temps ou on était bien plus nombreux, avant, une bonne centaine avec plusieurs complexes étendus dans les différents niveaux de Nar Shaddaa, fallait voir ça de vos yeux, même après le départ des forces combattantes on pouvait le faire on aurait pu se dégotter assez de vaisseaux pour tous se tirer. Enfin c’est ce qu’on pensait avant le grand soir, le moment où les blouses noires ont débarqué. Ils ont zigouillé un tas de gens cette nuit-là, tous ceux qui étaient ennemis avec leurs maîtres. Les rues étaient pleines de carcasses. Sale journée on a perdu un tas de gens bien. La répression menée par ces crevures était sans pitié, ils avaient du matos militaire, nous on n’a rien pu faire. Nos groupes ont été éclatés façon puzzle, je sais juste que la commandante essayait de passer un marché avec les Pykes Reborn pour tenter de nous faire quitter en douce cette foutue lune, je ne sais pas bien ce qui a pu mal tourné au moment des négoces, mais on n’a jamais eu de nouvelles depuis … On a tenté des recherches, mais on a fini par se faire retrouver, on a dû se planquer. En gros … Il doit rester plus que moi … J’ai pas de voie de repli, on n’en a jamais eu, j’suis cloué là jusqu’à ce qu’on finisse par me crever. Y'a rien d'autre à ajouter.Pas de tremblement dans la voix, pas d’écume au bord de la porte de l’âme, pas même un sanglot, la dernière mécanicienne parle comme un futur macchabée qu'on emboîte dans le corbillard. Elle a déjà tourné la question en amont, dû gémir et hurler jusqu’à plus soif. Mais on finit toujours par se résigner, la dame fait pas exception, son futur se fera les pattes en avant au milieu d’un compacteur à ordure c’est ainsi. Sans rajouter quoique se soit elle finit par se lever et coller son dos contre le mur ou réside l’ancienne porte principale du taudis, au moment du départ, Seïstan aura le choix de décider quoi faire de la mécanicienne.

Pour l’heure, un grand-père l’attend. Lui qui finit par croupir pratiquement en calbar sur le polybéton glacial, de la bave perlant, sa bouche elle est toujours figée dans une sale grimace. Dans ce piètre état et à la lueur de quelques torches tactiques, le bougre se laisse découvrir plein et entier. Un homme blanc de taille plutôt modeste une fois sortie de son armure, émacié et sale. Il sent fort, un genre d'eau de Cologne concentré. Débardeur kaki, pantalon de treillis coupé en bermuda. Il porte autour du cou un lacet auquel sont suspendues, trois oreilles droites, deux grandes et une petite. Elles ne sont clairement pas fraîches.Bowdel … Toux rauque. Pouwquoi je swuis à pwoil ? … Déglutissant difficilement l’hôte de ces messieurs fait papillonner de plus belle ses paupières. La mâchoire visiblement toujours atteinte par la paralysie. Seïstan revint tout juste au moment où le briscard émerge à peine de son demi-sommeil. Visuel immédiat sur la pile de fourbis arrachés par son camarade poilu. Vous sawiez vous êtwiez pas obli- … Obligé d’en arriver là … Ah bah morguienne, c’est enfin parti. Une main finit par tapoter une mâchoire encore légèrement groggy. Le ton décomplexé couplé à cet accent insupportable d’aristo’ pendard donnant la copieuse impression que leur gaillard se foutait royalement de leur trogne. Il reprit sans détour. Bon vous m’avez faire perdre un paquet de blé aujourd’hui, m’enfin c’est de bonne guerre on a essayé de vous trouer comme des passoires. J’ai bien un job ou deux à proposer à des gros malabars comme vous, mais on verra ça plus tard. Comme je vous l’ai gentiment demandé avant que vous essayiez de me percer d’lasers j’ai simplement besoin de savoir ou se trouve la twi'lek. Mon boss veut lui parler. Et je vous arrête tout de suite, j'en sais foutrement rien si il veut juste causer avec la donzelle ou la transformer en ragoût de bantha qui cuit dans l'acide. Et je m'en cogne. C'est pas comme si ces détails ont de l'importance. Dites-moi ce que vous savez, ou laissez-moi parler à la p'tite dame qui était à côté de vous et j’oublie la mort de tous les grognards d’aujourd’hui. Après quoi on pourra même causer affaires.

#39972
Elle se confiait enfin. Au vu de la situation, le contraire aurait été profondément stupide mais cela faisait du bien qu'on lui montre un peu de confiance quand même. D'après ce qu'elle disait, il y avait de forte chance que Nyna soit encore sur la planète, ou du moins c'est ce que tous le monde croyait. Elle n'était pas du genre à abandonner ses compagnons et à s'enfuir seule, il devait y avoir une histoire derrière toute cette affaire et ils allaient devoir fouiller plus en profondeur, mais ils n'en avaient pas vraiment le temps pour le moment. Ils allaient devoir trouver les Pykes Reborn et avoir une discussion sérieuse avec eux pour en apprendre plus sur la situation. En attendant, il allait falloir trouver un moyen de lui faire quitter la planète et l'empêcher de se morfondre. Dans tous les cas, ils disposaient de peu de temps pour mener tout cela à bien.


    [Seïstan] On va essayer de s'occuper de tout, y compris de ce type. Est-ce que tu peux vérifier dans les réserves si vous avez une lame de rechange pour mon épée ? Si oui, je vais en avoir besoin après l'interrogatoire. Dans tous les cas, en attendant que l'on finisse est-ce que tu peux faire le tour du matériel informatique pour griller définitivement ce qui ne marche plus et récupérer les données du reste, on risque d'en avoir besoin..

Lui trouver un transport s'annonçait compliqué, mais ils allaient au moins essayer de l'aider. En attendant, il devait s'occuper du type qu'ils avaient capturés. En s'approchant, la première chose qui vous frappait était l'odeur, puis la vue. En fait, il devait se baigner dans le parfum pour cacher l'odeur de sa crasse, ou alors tout cela avait un autre but. Dans tous les cas, leur plus gros problème était le panneau qu'ils n'avaient pas réussit à désactiver sur son poignet. Solyr le mit en joue dès qu'il commença à émerger pour éviter toutes tentatives inconscientes.


    [Seïstan] On écarte les bras, de manière parallèle au sol ou mon compagnon te troue. Tu réponds aux questions, ou mon compagnon te troue. Si on a l'impression que tu te fiches de nous ou que tu essaye de nous berner, ai-je besoin de te préciser ce qu'il va sa passer ?

    Il semblerait que l'on ai la même mission, mais alors qu'on a abordé la chose en douceur tu a choisis la manière forte. Si la cible avait été là, elle serait morte et probablement toi aussi lorsque tu l'aurai annoncé à ton patron donc tu devrais nous remercier. Vu comment tu as utilisé les vie de tes "grognards" je doute que leur mort ai la moindre importance.

    Avant d'aller plus loin, il serait bien que tu nous dises de qui il s'agit d'ailleurs puisqu'il semble que nous partagions la cible, nous allons devoir prévenir notre patron avant d'aller plus loin. Pour les affaires, on va dire que c'est alléchant même si la manière dont tu traites ceux qui bossent avec et pour toi me laisse un peu suspicieux. Nous partagerons nos renseignements avec toi à ce moment là, et si tu trouve ça injuste rappel toi qui est en caleçon avec une arme pointée vers son bide.

Seïstan se tenait un peu sur la droite du type, la main négligemment posé sur la poignée de son arme. Au moindre geste suspect, la moindre tentative de la part du vieux de bouger la main droite ou de toucher au panneau il utiliserai sa vibrolame pour lui sectionner le bras. L'interrogatoire commençait mais le stress ne descendait pas.
#40079

~ Modération événementielle ~
Pas de lames de rechanges pour l'épée du guerrier, ni de taxis à fournir au Kage lui fit comprendre d’un seul geste désolé la réparatrice. Après tout s’ils manquent déjà de munitions pour les armes et de batteries pour les droïdes il ne faut espérer rien d’autre. De plus leur dernier coucou dont la carcasse trôné toujours là, amarré au dock de maintenance en attente d'une réparation qui ne viendra jamais, la faute à une salve de disrupteurs malchanceuse. La mécano se contentera d’un dernier tour du proprio avant de s’arrêter et d’ancrer ses belles guibolles au niveau de la sortie. Ils sont désormais entre hommes et homme chat. Holà, holà doucement, mon brave, n’faites pas des conneries qu’vous serez amené à regretter. Finis par croasser l’homme au falzar absent, ponctuant sa brimade d’un petit rire sec et nerveux. Vous n’préférez pas discuter autour d’une chaise entre personnes civilisées. Il attentera de se relever et selon la réaction de ses interlocuteurs, se re-carapatera aussi sec et pitoyablement sur le sol froid en reprenant sa posture d’étoile de mer vissée à son rocher, ou bien regagnera en assurance et essayera de soigner les apparences en se tenant bien debout accoudés à un muret en friche à trois embardés de là.

Bon visiblement z’êtes pas d’humeur, pour tout dire ça fait des semaines qu’on essayait les nuances de manières douces, disons que je me suis permis quelques fantaisies, pour ce qui est des risques ça me regarde, d’autant que j’aurai pu me contenter de dépouiller leurs terminaux, je connais des types doués pour faire parler l’esprit de la machine. Étrangement pas de merci. Et pour les tocards mis en charpies ces pourries proviennent peut-être des gangs pénitentiaires du troisième district, mais j’étais en train de réhabilité tous ces types pour pouvoir les réinsérer, une fois bien dressé on peut en tirer un bon prix pour le lot, vous savez. M’enfin vous n’êtes vraiment pas du coin pour pas savoir ça. Deuxième tentative de se redresser, ou de s’éloigner davantage dans le cas ou s’était déjà fait, visiblement les jambes de la vielle loque humaine convulse légèrement, celui-ci est resté longtemps dans la même posture et le type grimace si sincèrement qu'on peut croire qu’il essaye simplement de détendre sa vieille carcasse.

Votre patron ? Vous bossez pour qui ? Les yeux du vieux croulant encadré par des sourcils hirsutes se raidirent net à cette nouvelle. Visiblement plus inquiété de savoir qui il a pu offusquer dans les hautes sphères que des pétoires qu’on lui aligne en face des deux orbites. J’en sais pas davantage que vous, vous savez ce que c’est et comme dit ça regarde principalement le grand patron c’est lui qui voulait que je la lui ramène la twi-lek. Si vous m’y aidez, je réitère, mais faut que vous percutez. Je vous trouverai sans mal deux super jobs à deux grands malabars comme vous deux et bien mieux payés que votre employeur actuel. Je la vois à votre dégaine. Son regard se montra insistant en fixant précisément les restes de la lame de Seïstan. Vous êtes des pros, mais rien qu'à voir votre matos vous êtes à sec, j'ai connu ça, vous savez. Vous pouvez me faire confiance là-dessus. J’ai qu’une parole.

Juré, craché. Un mollard épais et suffisamment visqueux qui une fois décoché nonchalamment au sol émit un léger clapotis, ponctuant vulgairement son florilège de parole.

#40360
Curieusement aucun des deux mercenaires ne pensaient un instant que le type à leur pied leur disait la vérité. Il essayait de se faire passer pour un sous-fifre sans importance mais les moyens qui avaient été mis à sa disposition pour son assaut démentaient ses paroles. On ne confie pas des gars, même inutile, et du matériel à un type en qui on a pas un minimum de confiance, sauf si on l'envoi dans une mission suicide. Ce qui était également une manière de voir l'assaut après tout, si l'atelier avait tenu aussi longtemps malgré la reprise en main de la planète par les Hutts, cela voulait dire que personne ne s'y étaient jamais intéressés soit que les types qui le gardaient étaient plus solide qu'ils en avaient l'air.

Le résultat de l'assaut sur les effectifs semblait indiquer le contraire, donc à moins d'une obscur manœuvre interne de son organisation, on ne pouvait compter sur cette hypothèse. La manière dont il essayait de ne pas répondre aux questions tout en essayant de se retirer indiquait qu'il avait un plan de fuite, ou au moins qu'il essayait de gagner du temps avant l'arrivée de potentiel renfort. Ce que les deux anciens de la Guilde ne pouvaient se permettre pour le moment. Ils échangèrent un regard du coin de l'oeil. Il avait été prévenu. Il devait maintenant assumer.

D'un geste vif, Seïstan dégaina sa lame avant de la planter d'un geste sec à la jointure du bras gauche, traversant le coude avant que la lame sans pointe ne heurte le sol en durabéton. Dans le même temps, Solyr ouvrit le feu sur la main droite de leur cible, la faisant disparaître dans un nuage de fumée âcre.


    [Seïstan]Le prochain coup est dans la tête. Qui es ton patron? Pourquoi veut-il rencontrer Nyna War'Shiva ? Tes réponses ont intérêts à être courte et concise.

    Ensuite, tu nous diras où se trouve ton speedeur et quel est le code d'activation de ce magnifique gadget explosif. Mais d'abord, est-ce que tu attends des renforts ou est-ce qu'il te reste des hommes à proximité ? Vite, les doigts de mon camarade le démangent atrocement...
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