- lun. 28 nov. 2016 19:55
#25174
« Monsieur Sovv ne devrait pas tarder à vous recevoir. »
La princesse acquiesça avec un sourire polie. Elle devinait la surprise qui avait dû être celle du bajou quand il avait appris la demande d’entrevue de la Princesse. Les deux politiciens c’étaient opposés personnellement durant le bras de fer entre la République et le Secteur Sullustéen. Mais elle ne pouvait qu’espérer que le ministre soit prêt à passer au-dessus du passé et à effacer leurs différents. C’était une condition sine qua non à la réussite des négociations…
Sullust. Maya n’avait plus mis un pied sur la planète depuis le début du conflit. Elle avait joué un rôle majeur dans l’opposition entre la Nouvelle République et la Sorosuub. A l’époque, la tension était palpable. Sur Kalarba, la Sorosuub avait provoqué une escarmouche. Maya, mandaté par le sénat avait mené l’enquête et conseillé l’assemblée. En réponse, l’entreprise avait cessé de payer ses impôts, entamant un cycle infernal. Saisie d’installation afin de combler les dettes dès la société, puis instauration d’un blocus quand les pouvoirs politiques avaient rejoints le conflit. Au final, le temps avait passé, et sullust avait d’avantage perdu que la Nouvelle république.
Pourtant, de nombreux mondes de la voie de Rimma s’élevés à présent contre le blocus. Leurs revenus avaient chutés avec la fin du commerce avec frontalier. Une chute qui avait mené à une crise importante pour se bout de galaxie trop loin de coruscant pour s’y faire entendre. Quant à Sullust, la crise avait menée à une récession sans précédent.
Alors la princesse avait pris les devants sur cette question. La sorosuub avait été trop loin, elle avait dépassé des limites qu’elles n’auraient du franchir. Mais était-ce une raison pour faire souffrir autant de monde ? Pour mettre en difficulté tant de vie ? Les sanctions avaient été nécessaire, le temps de calmer un cycle vicieux. Mais à présent, comment était-elle justifiable ?
Alors Maya, fraichement élue Sénatrice-Présidente, avait envoyé un message sur Sullust afin de rencontré le gouvernement, et notamment son homologue de l’époque : Volthaïr Sovv. Le Rêve de Liberté, vaisseau officiel de la Princesse de Chandrila passa le blocus sous l’égide du statut de diplomate. Bientôt, la jeune femme arriva sur la planète volcanique. Là, on la mena d’abord auprès du ministre. Si la résolution pesait sur quelqu’un, c’était bien sûr lui.
Pourtant, de nombreux mondes de la voie de Rimma s’élevés à présent contre le blocus. Leurs revenus avaient chutés avec la fin du commerce avec frontalier. Une chute qui avait mené à une crise importante pour se bout de galaxie trop loin de coruscant pour s’y faire entendre. Quant à Sullust, la crise avait menée à une récession sans précédent.
Alors la princesse avait pris les devants sur cette question. La sorosuub avait été trop loin, elle avait dépassé des limites qu’elles n’auraient du franchir. Mais était-ce une raison pour faire souffrir autant de monde ? Pour mettre en difficulté tant de vie ? Les sanctions avaient été nécessaire, le temps de calmer un cycle vicieux. Mais à présent, comment était-elle justifiable ?
Alors Maya, fraichement élue Sénatrice-Présidente, avait envoyé un message sur Sullust afin de rencontré le gouvernement, et notamment son homologue de l’époque : Volthaïr Sovv. Le Rêve de Liberté, vaisseau officiel de la Princesse de Chandrila passa le blocus sous l’égide du statut de diplomate. Bientôt, la jeune femme arriva sur la planète volcanique. Là, on la mena d’abord auprès du ministre. Si la résolution pesait sur quelqu’un, c’était bien sûr lui.
« Monsieur Sovv ne devrait pas tarder à vous recevoir. »
La princesse acquiesça avec un sourire polie. Elle devinait la surprise qui avait dû être celle du bajou quand il avait appris la demande d’entrevue de la Princesse. Les deux politiciens c’étaient opposés personnellement durant le bras de fer entre la République et le Secteur Sullustéen. Mais elle ne pouvait qu’espérer que le ministre soit prêt à passer au-dessus du passé et à effacer leurs différents. C’était une condition sine qua non à la réussite des négociations…