- sam. 4 févr. 2017 19:47
#25919
La pièce était plongée dans une obscurité qui n’avait rien de naturelle. Volthaïr se tenait assis, bien droit, sur une chaise d’un bois très simple, au centre de la pièce. Une table tout aussi simple se trouvait à côté de lui, pourvue d’une carafe d’eau ainsi que d’un verre qui lui était destinés. Un petit terminal était accessible de même. L’atmosphère était plaisante, en omettant la pénombre environnante, afin de lui rendre l’attente supportable. Car il allait passer pas mal de temps ici-bas, sous terre il l’était au propre comme au figuré, branchée à un détecteur de mensonge paramétré sur son propre rythme biologique. A la limite de l’imparable, pour faire mieux il faudrait un Maître Jedi.
Ce qu’il faisait ici ? Déjà il faut définir le « ici ». L’un des sous-sols les mieux gardés et les plus secrets de la Direction Générale de la Surveillance Navale. Le saint des saints des services secrets sullustéens, prêté par l’Amiral Cain à trois membres de la Haute Cour de Justice du Secteur de Sullust dans le cadre de l’enquête officielle mais ultra confidentielle menée au sujet de Volthaïr Sovv. Pourquoi cette enquête ? Car la Présidente se préparait à virer son encombrant Ministre des Finances et de l’Economie, après avoir réussi à faire échouer, en sous-main, sa tentative de réforme. Mais elle ne voulait le faire qu’avec des preuves solides et avait donc demandé à Cain et à la Haute Cour de Justice leur concours. Avec la perte d’une grande partie de ses soutiens, Volthaïr n’avait guère eu le choix. Mais il se préparait à vendre chèrement sa peau, et savait en son for intérieur que cela allait faire très mal…
En face de lui se trouvait une table en bois éclairée par au-dessus. Trois sullustéens s’y trouvaient. Une femme spécialiste en économie, diplômé de la SoroSuub notamment, un homme issue de la marine républicaine de Sullust spécialiste des questions militaires, et enfin un vieux roublard de la politique. Tous membres de la Haute Cours de Justice. Intouchables et incorruptibles. Des piles de dossiers étaient présentes, davantage pour la forme que pour un réel usage. Elles représentaient l’ensemble des éléments, à charge comme à décharge, de la carrière de Volthaïr et de ses actions. S’était une image, car chacun des trois membres avait un terminal de donnée contenant l’intégralité de tous cela, et plus encore.
La pièce était parfaitement insonorisée et isolée, inviolable à moins d’en faire sauter la porte blindée, et d’avoir passés pas moins de trente niveau de sécurités. Rien ne filtrerait d’ici avant la fin de cette interrogatoire en règle…
Ce qu’il faisait ici ? Déjà il faut définir le « ici ». L’un des sous-sols les mieux gardés et les plus secrets de la Direction Générale de la Surveillance Navale. Le saint des saints des services secrets sullustéens, prêté par l’Amiral Cain à trois membres de la Haute Cour de Justice du Secteur de Sullust dans le cadre de l’enquête officielle mais ultra confidentielle menée au sujet de Volthaïr Sovv. Pourquoi cette enquête ? Car la Présidente se préparait à virer son encombrant Ministre des Finances et de l’Economie, après avoir réussi à faire échouer, en sous-main, sa tentative de réforme. Mais elle ne voulait le faire qu’avec des preuves solides et avait donc demandé à Cain et à la Haute Cour de Justice leur concours. Avec la perte d’une grande partie de ses soutiens, Volthaïr n’avait guère eu le choix. Mais il se préparait à vendre chèrement sa peau, et savait en son for intérieur que cela allait faire très mal…
En face de lui se trouvait une table en bois éclairée par au-dessus. Trois sullustéens s’y trouvaient. Une femme spécialiste en économie, diplômé de la SoroSuub notamment, un homme issue de la marine républicaine de Sullust spécialiste des questions militaires, et enfin un vieux roublard de la politique. Tous membres de la Haute Cours de Justice. Intouchables et incorruptibles. Des piles de dossiers étaient présentes, davantage pour la forme que pour un réel usage. Elles représentaient l’ensemble des éléments, à charge comme à décharge, de la carrière de Volthaïr et de ses actions. S’était une image, car chacun des trois membres avait un terminal de donnée contenant l’intégralité de tous cela, et plus encore.
La pièce était parfaitement insonorisée et isolée, inviolable à moins d’en faire sauter la porte blindée, et d’avoir passés pas moins de trente niveau de sécurités. Rien ne filtrerait d’ici avant la fin de cette interrogatoire en règle…