- ven. 13 nov. 2015 14:02
#20754
Planète impériale, Hutt, rebelles et même républicaine en son temps. Teth était au carrefour des attentions depuis ces quelques trentaines d’années. Pourtant, il n’y avait rien d’intéressant sur la planète que des passages de contrebandiers réguliers, pirates et autres hors la loi. On disait également que les Hutt y avaient quelques bases ça et là pour assurer une suprématie. Faussement en fait. Les hors la loi ne payaient plus les Hutt pour y venir et les populations locales, si tant est qu’il y en ait dans les jungles immenses n’avertissaient pas de leur présence. On se retrouvait donc avec une planète en bordure galactique dont personne ne voulait et qui ne rapportait pas grand-chose au niveau galactique. Au final, depuis la fin de la guerre civil, Teth était retournée à son état primitif. Quant à ses richesses ? On dit que sous l’empire, elle se développa, mais cela restait très relatif depuis qu’il n’y avait plus d’influence. Ce refuge était un des endroits qui avait été choisi par l’ordre pour y implanter une zone d’opération. Il ne visait pas le centre galactique, les colonies Nord ou Sud, bien sûr que non. Eux leur dada, c’était la chasse à la limace de l’espace. Un avant poste pour l’attaque de l’espace Hutt, parfaitement bien placée. Tout le haut commandement Gris en était bien conscient et il ne fallait pas croire qu’une seule personne l’avait sélectionnée. Par contre, Helera seulement allait organiser les préparatifs pour l’escapade aérienne. Une petite équipe de soldats furent choisi, avec un sensitif comme commandant et un cargo pour « base d’opération ». Pour le matériel, il était très rudimentaire. L’armement standard, rajouté à cela des scanners organiques et géologique qui équipait tous les vaisseaux. Si nécessaire, on bricolerait le cargo pour améliorer ses capacités de détection. Son but était le suivant et n’était pas très compliqué non plus.
Après avoir pénétré sur la planète, d’une manière ou d’une autre. On laissa l’initiative à l’équipe. La planète n’était pas un bastion et encore moins gardée. Une fois dans l’atmosphère, le cargo se placerait en rase motte au dessus des jungles, montagnes mais également toutes zones terrestres a plus de 100 Km d’une activité "humaine et aliens" et y commencerait sa prise de relevés. Qu’est ce que l’on cherchait ? Des zones sous-terraines dont la structure géologique contenait du vide. Autrement dit, on cherchait des nappes phréatiques, des grottes ou tout simplement des trous naturels. Si possible à faible voir moyenne profondeur (30 à 100 m de profondeur tout au plus). De plus, pour toutes les zones trouvées, ils avaient pour ordre de récupérer de la terre en surface et le plus profondément possible via le scanner et la vitesse de l’onde. Le scanner organique ferait quant à lui des balayages fréquents et permettrait de dresser une liste des espèces vivantes sur la planète mais surtout dans les zones trouvées. On ne demandait pas à l’équipe de faire l’évaluation des données, mais de réagir rapidement en cas de pépin.
Après avoir pénétré sur la planète, d’une manière ou d’une autre. On laissa l’initiative à l’équipe. La planète n’était pas un bastion et encore moins gardée. Une fois dans l’atmosphère, le cargo se placerait en rase motte au dessus des jungles, montagnes mais également toutes zones terrestres a plus de 100 Km d’une activité "humaine et aliens" et y commencerait sa prise de relevés. Qu’est ce que l’on cherchait ? Des zones sous-terraines dont la structure géologique contenait du vide. Autrement dit, on cherchait des nappes phréatiques, des grottes ou tout simplement des trous naturels. Si possible à faible voir moyenne profondeur (30 à 100 m de profondeur tout au plus). De plus, pour toutes les zones trouvées, ils avaient pour ordre de récupérer de la terre en surface et le plus profondément possible via le scanner et la vitesse de l’onde. Le scanner organique ferait quant à lui des balayages fréquents et permettrait de dresser une liste des espèces vivantes sur la planète mais surtout dans les zones trouvées. On ne demandait pas à l’équipe de faire l’évaluation des données, mais de réagir rapidement en cas de pépin.
-Liste non exhaustive de la flore de la planète.
-Liste non exhaustive des lieux les plus intéressants dont le sous-sol contient des "trous".
-Dans les lieux trouvés, liste des caractéristiques :
- Type de sol en surface et profondeur
- Faune environnante
- Flore de surface