- mer. 25 févr. 2015 12:42
#16396
Bureau des cols blancs,
Bureau de cyberguerre
Bureau de cyberguerre
Dans les guerres modernes, ce ne sont plus les troupes, leurs rapports de force ou bien même les stratégies qui comptent. Ce qui compte réellement, ce qui va influencer de nombreuses manières les combats et les combattants eux-même, c’est l’opinion publique, et c’est l’économie. Un bon guerrier sera un homme qui se suit suivi par son peuple, qui ne risque pas sa vie en vain. Un bon guerrier sera aussi un homme qui sait les siens, sa famille et ses proches j’entends, à l’abri aussi bien sécuritairement que financièrement. C’est pourquoi ces deux domaines, comprendre l’économie et l’opinion publique, sont aujourd’hui plus que vitaux dans des guerres, dans ce qu’elles sont de plus violentes.
Du reste, l’opinion publique est une arme extrêmement intéressante, pour ne pas dire indispensable pour un organe de renseignement, tant elle peut permettre d’obtenir des informations, ou divulguer certaines choses très épineuses. C’est pourquoi les Renseignements Impériaux, et sous l’impulsion personnelle d’Ysanne Isard, lancent une opération de grande envergure dans ce domaine là.
Et l’une des deux planètes sélectionnées pour y accueillir une nouvelle entreprise de presse, c’est Etti IV, dans le Secteur Corporatif. L’un des coeurs économique de la galaxie d’une part, et quoi de mieux pour un nouvel organe de presse orienté clairement dans l’économie et les technologies, qu’un secteur comprenant la plus grande concentration de banques, d’assurances, de holding, et d’entreprises financières de toutes sortes.
Pour cette opération, l’agent Feriper s’en chargerait. Jusqu’à nouvel ordre, il deviendrait le nouveau directeur de publication et directeur général du New Economic Vision of the Galaxy, un journal basé exclusivement sur l’étude et les news économique de notre galaxie… Quelque chose qui semble réellement manquer dans le monde des médias d’ailleurs.
Les locaux ont déjà été sélectionnés : un lot de cinq étage dans un immeuble du centre-ville de Mondder, la capitale d’Etti IV. Pas la peine d’avoir un immeuble complet encore, le journal est naissant et cinq étages sont tout à fait suffisant. Rajoutons à cela une offre d’emploi lancée au niveau galactique pour une trentaine de journalistes, bien sûr sélectionnés selon leurs dossiers, en choisissant ceux ayant fait des études suffisamment importantes pour qu’ils comprennent bien de quoi l’on parle, sans qu’elles le soient trop pour éviter qu’ils demandent d’importants salaires.
Feriper lui-même n’imaginait pas qu’il faudrait autant d’argent pour ouvrir un journal. Car en plus des trente journalistes, qui ne doivent pas être bien long à trouver cela dit, il faudrait trouver aussi du personnel supplémentaire : une vingtaine de techniciens, secrétaires. Et une autre vingtaine de droïdes, que ce soit pour récolter les informations, ou pour faire le ménage. Bref, un effectif assez conséquent en somme pour une rentrée d’argent… Inexistante pour l’instant.
Eh oui, parce qu’un journal eh bien ça ne rapporte déjà pas beaucoup, mais si en plus il vient d’ouvrir, alors cette fois c’est la totale. Il faudra trouver des mécènes de la presse indépendante, miser sur une formule d’abonnés originale, et proposer des publicités en masse. Un très lourd programme pour Feriper, alors qu’il est toujours en recherche de journalistes pour le NEVG.
S’ajoute d’ailleurs une nouvelle dépense en plus de toutes celles prévues : la location d’un réseau de l’HoloNet républicain. C’est le réseau qui passe partout, même dans les territoires neutres comme Sullust ou encore le secteur Corporatif. C’est le meilleur moyen d’avoir de l’audimate, la chose la plus importante pour un journal.
Le réseau de propagation obtenu, il faut désormais se pencher sur la stratégie de l’entreprise : laisser les articles en libre-lecture ? Ou bien les faire payer ? Une formule alliant l’une et l’autre proposition fût décidée. Chacun pourrait lire les news sous la forme de « dépêches » (c’est à dire, des articles très brefs), mais pour ce qui est des interviews (mis à part pour les scoops et phrases chocs qui pourraient faire le « buzz », parce que c’est aussi ça le journalisme) ou des articles de fonds, ils ne seraient accessibles qu’aux abonnés. Abonnés qui, pour la modique somme de 50 crédits par mois, ne seront plus embêtés par les publicités intempestives également.
Le journal et ses grosses dépenses faites, ne reste plus qu’à avoir les revenus, et là bizarrement c’est beaucoup moins simple. Il va falloir trouver des mécènes, il va falloir se faire un nom aussi, une réputation. Et pour cela, il va falloir surfer sur les événements récents.. Et en économie, récemment… On a la mini-crise autour de la SoroSuub…
Du reste, l’opinion publique est une arme extrêmement intéressante, pour ne pas dire indispensable pour un organe de renseignement, tant elle peut permettre d’obtenir des informations, ou divulguer certaines choses très épineuses. C’est pourquoi les Renseignements Impériaux, et sous l’impulsion personnelle d’Ysanne Isard, lancent une opération de grande envergure dans ce domaine là.
Et l’une des deux planètes sélectionnées pour y accueillir une nouvelle entreprise de presse, c’est Etti IV, dans le Secteur Corporatif. L’un des coeurs économique de la galaxie d’une part, et quoi de mieux pour un nouvel organe de presse orienté clairement dans l’économie et les technologies, qu’un secteur comprenant la plus grande concentration de banques, d’assurances, de holding, et d’entreprises financières de toutes sortes.
Pour cette opération, l’agent Feriper s’en chargerait. Jusqu’à nouvel ordre, il deviendrait le nouveau directeur de publication et directeur général du New Economic Vision of the Galaxy, un journal basé exclusivement sur l’étude et les news économique de notre galaxie… Quelque chose qui semble réellement manquer dans le monde des médias d’ailleurs.
Les locaux ont déjà été sélectionnés : un lot de cinq étage dans un immeuble du centre-ville de Mondder, la capitale d’Etti IV. Pas la peine d’avoir un immeuble complet encore, le journal est naissant et cinq étages sont tout à fait suffisant. Rajoutons à cela une offre d’emploi lancée au niveau galactique pour une trentaine de journalistes, bien sûr sélectionnés selon leurs dossiers, en choisissant ceux ayant fait des études suffisamment importantes pour qu’ils comprennent bien de quoi l’on parle, sans qu’elles le soient trop pour éviter qu’ils demandent d’importants salaires.
Feriper lui-même n’imaginait pas qu’il faudrait autant d’argent pour ouvrir un journal. Car en plus des trente journalistes, qui ne doivent pas être bien long à trouver cela dit, il faudrait trouver aussi du personnel supplémentaire : une vingtaine de techniciens, secrétaires. Et une autre vingtaine de droïdes, que ce soit pour récolter les informations, ou pour faire le ménage. Bref, un effectif assez conséquent en somme pour une rentrée d’argent… Inexistante pour l’instant.
Eh oui, parce qu’un journal eh bien ça ne rapporte déjà pas beaucoup, mais si en plus il vient d’ouvrir, alors cette fois c’est la totale. Il faudra trouver des mécènes de la presse indépendante, miser sur une formule d’abonnés originale, et proposer des publicités en masse. Un très lourd programme pour Feriper, alors qu’il est toujours en recherche de journalistes pour le NEVG.
S’ajoute d’ailleurs une nouvelle dépense en plus de toutes celles prévues : la location d’un réseau de l’HoloNet républicain. C’est le réseau qui passe partout, même dans les territoires neutres comme Sullust ou encore le secteur Corporatif. C’est le meilleur moyen d’avoir de l’audimate, la chose la plus importante pour un journal.
Le réseau de propagation obtenu, il faut désormais se pencher sur la stratégie de l’entreprise : laisser les articles en libre-lecture ? Ou bien les faire payer ? Une formule alliant l’une et l’autre proposition fût décidée. Chacun pourrait lire les news sous la forme de « dépêches » (c’est à dire, des articles très brefs), mais pour ce qui est des interviews (mis à part pour les scoops et phrases chocs qui pourraient faire le « buzz », parce que c’est aussi ça le journalisme) ou des articles de fonds, ils ne seraient accessibles qu’aux abonnés. Abonnés qui, pour la modique somme de 50 crédits par mois, ne seront plus embêtés par les publicités intempestives également.
Le journal et ses grosses dépenses faites, ne reste plus qu’à avoir les revenus, et là bizarrement c’est beaucoup moins simple. Il va falloir trouver des mécènes, il va falloir se faire un nom aussi, une réputation. Et pour cela, il va falloir surfer sur les événements récents.. Et en économie, récemment… On a la mini-crise autour de la SoroSuub…