- mar. 18 avr. 2017 21:35
#27440
Alayna avait écouté avec énormément d’attention l’arthropode lorsqu’il avait présenté l’Histoire de Xim le Despote. Si son casque masquait son visage à tous, celui-ci était encore marqué par l’émotion qu’avait ressentie la jeune fille en écoutant l’histoire de ce despote. Il avait conquis cette partie de la galaxie en peu de temps. Son armée de robot et les portes stellaires l’avaient aidé dans une tâche ardue. Une armée de robot infinie et des portes…
La musique de l’alien avait bercée le jeune femme, la menant dans un état de détente et de béatitude comme seule la force était capable de lui en procurer. Elle se laisse porter par la mélodie mélancolique et ferma les yeux afin de s’immerger dans le monde qui se dessinait devant elle grâce à la force. Elle imaginait sous ses yeux cette armée de droide sans fin embarquait dans d’immenses flottes. Leur chef, inflexible, courage, et inébranlable dirigeait la manœuvre d’une poignée de fer. Un à un les mastodontes d’aciers décollés vers cette porte qui semblait briller de mille feu en orbite autour de la planète. Elle s’imaginer à la tête de l’un de ses navires, une telle armée entre ses mains, prête à passer à travers le vortex. De l’autre côté, les légions robotiques se déverseraient sans aucune forme de pitié sur le monde qui n’était plus qu’une proie à saigner, à dévorer. De sa main, elle pouvait décider de l’avenir de cette planète. Serait-ce un jour de mort ou de libération ? Que pourrait-elle faire avec un tel pouvoir ? Quel maux guérirait-elle en premier ? L’esclavage ? La guerre entre l’Empire et la Republique ? Les Siths ? Avec une puissance sans limite, rien ne pouvait stopper l’ambition du bien et de la paix. Rien ne saurait la stopper. Rien qui se saurait subsister à son passage…
Sous ses yeux, un monde en flammes se dévoilait. Etait-ce là le passé de Tion ? Un champ de bataille géant ? Elle avait déjà tant connue de lieux de désolation pour son jeune âge qu’elle ne fut même pas surprise de voir à ses pieds un cadavre s’agitait dans un espoir de salut ou de rédemption. Un droide qui se trouvait sur sa droite répondit à cette espérance par une inévitable sanction et un faisceau laser s’abattit sur le pauvre mortel. Qu’avait-il fait pour méritait telle sentence ? Alors qu’elle souhaitait voir Xim, ce maitre à faire danser la morte, elle se retourna, scrutant des yeux la moindre ombre du champ de bataille. C’est là qu’elle vit ce qui aurait dû rester un mouvement fugace dans le coin de son œil. Trempant ses bottes dans le sang à chaque pas, la silhouette élançait avancer inexorablement. Dans la main elle tenait son sabre alors que ses cheveux blonds battaient au vent. Soudainement, elle se mit à courir, lame en avant…
Se fut ce moment que choisit la musique pour s’arrêter. Son souffle était rapide, et elle baissa son masque pour pouvoir respirer plus facilement. Qu’avait-elle vu ? Qu’avait-elle imaginé dans cette méditation ? Elle était une grise, elle ne tuer pas. Elle était une chandrillienne, le pouvoir n’avait rien à lui apporter. Elle était-elle. La mort n’était pas une alliée, pas une ennemie. Juste une injustice qui frappait tout le monde avec la même sanction implacable.
Doucement, elle récupéra de cette expérience. Peu à peu, les souvenirs de la méditation s’évaporaient, laissant à la jeune fille une impression de gêne. Doucement, elle réussit à ramener le calme au sein de son esprit, regardant autour d’elle et écoutant la fin de l’histoire du Despote. Elle craignait autant qu’elle enviait une nouvelle sonate de la part du docteur. Mais la chose ne vint pas, et le plaisir d’écouter un simple récit repris sa place centrale dans son cœur.
Lorsque le scientifique se tu, Alayna avait retrouvé son calme et son rêve éveillé ne semblait plus être qu’un lointain souvenir qu’elle oublierait bientôt. D’une voix douce, calme, elle glissa juste quelques mots à l’érudit au physique si ingrat.
« Merci docteur »
La musique de l’alien avait bercée le jeune femme, la menant dans un état de détente et de béatitude comme seule la force était capable de lui en procurer. Elle se laisse porter par la mélodie mélancolique et ferma les yeux afin de s’immerger dans le monde qui se dessinait devant elle grâce à la force. Elle imaginait sous ses yeux cette armée de droide sans fin embarquait dans d’immenses flottes. Leur chef, inflexible, courage, et inébranlable dirigeait la manœuvre d’une poignée de fer. Un à un les mastodontes d’aciers décollés vers cette porte qui semblait briller de mille feu en orbite autour de la planète. Elle s’imaginer à la tête de l’un de ses navires, une telle armée entre ses mains, prête à passer à travers le vortex. De l’autre côté, les légions robotiques se déverseraient sans aucune forme de pitié sur le monde qui n’était plus qu’une proie à saigner, à dévorer. De sa main, elle pouvait décider de l’avenir de cette planète. Serait-ce un jour de mort ou de libération ? Que pourrait-elle faire avec un tel pouvoir ? Quel maux guérirait-elle en premier ? L’esclavage ? La guerre entre l’Empire et la Republique ? Les Siths ? Avec une puissance sans limite, rien ne pouvait stopper l’ambition du bien et de la paix. Rien ne saurait la stopper. Rien qui se saurait subsister à son passage…
Sous ses yeux, un monde en flammes se dévoilait. Etait-ce là le passé de Tion ? Un champ de bataille géant ? Elle avait déjà tant connue de lieux de désolation pour son jeune âge qu’elle ne fut même pas surprise de voir à ses pieds un cadavre s’agitait dans un espoir de salut ou de rédemption. Un droide qui se trouvait sur sa droite répondit à cette espérance par une inévitable sanction et un faisceau laser s’abattit sur le pauvre mortel. Qu’avait-il fait pour méritait telle sentence ? Alors qu’elle souhaitait voir Xim, ce maitre à faire danser la morte, elle se retourna, scrutant des yeux la moindre ombre du champ de bataille. C’est là qu’elle vit ce qui aurait dû rester un mouvement fugace dans le coin de son œil. Trempant ses bottes dans le sang à chaque pas, la silhouette élançait avancer inexorablement. Dans la main elle tenait son sabre alors que ses cheveux blonds battaient au vent. Soudainement, elle se mit à courir, lame en avant…
Se fut ce moment que choisit la musique pour s’arrêter. Son souffle était rapide, et elle baissa son masque pour pouvoir respirer plus facilement. Qu’avait-elle vu ? Qu’avait-elle imaginé dans cette méditation ? Elle était une grise, elle ne tuer pas. Elle était une chandrillienne, le pouvoir n’avait rien à lui apporter. Elle était-elle. La mort n’était pas une alliée, pas une ennemie. Juste une injustice qui frappait tout le monde avec la même sanction implacable.
Doucement, elle récupéra de cette expérience. Peu à peu, les souvenirs de la méditation s’évaporaient, laissant à la jeune fille une impression de gêne. Doucement, elle réussit à ramener le calme au sein de son esprit, regardant autour d’elle et écoutant la fin de l’histoire du Despote. Elle craignait autant qu’elle enviait une nouvelle sonate de la part du docteur. Mais la chose ne vint pas, et le plaisir d’écouter un simple récit repris sa place centrale dans son cœur.
Lorsque le scientifique se tu, Alayna avait retrouvé son calme et son rêve éveillé ne semblait plus être qu’un lointain souvenir qu’elle oublierait bientôt. D’une voix douce, calme, elle glissa juste quelques mots à l’érudit au physique si ingrat.
« Merci docteur »