- jeu. 15 oct. 2015 13:54
#20197
"La République, au service de la Liberté de la Paix et de la Justice" - Devise de la Nouvelle République Galactique
Enfin le sort d'Eriadu semblait avoir une nouvelle perspective, si les républicains et les impériaux acceptaient de penser ensemble une solution pour cette planète.
Pour Carida, Thoryn demandait à Leia de faire une concession, celle de la réouverture de l'académie, pour Leia le sujet était particulièrement sensible, mais dans de telle négociation elle devait accepté de renoncer à une partie de ses prétentions pour que le dialogue soit possible, elle céda...
- Je comprends vos demandes pour Carida, et j'admets que le fait que nous ayons fait fermé l'académie à privé la planète d'une part importante de ses ressources, ce n'était peut-être pas l'acte le plus sage. Je pense pouvoir convaincre mon gouvernement qu'autorisé ce peuple à disposer de son académie de nouveau, est nécessaire au retour à des relations normales avec cette planète. Si cela vous semble juste, nous autoriseront les caridans à rouvrir l'académie, ils pourront dispensés à nouveau leur savoirs à tout citoyens de la galaxie. Ce que je proposerai pour éviter que l'activité de cette académie créer à nouveau des tensions, seraient que tout les élèves diplômés serait d'office inéligible à entré au service direct de l'armée de la Nouvelle République et de l'Empire. Ainsi l'académie profiterai à toute les planètes de la Galaxie, qui sont nombreuses pour ne pas dire la majorité à disposé de forces de défenses ou d'armée locales et qui seront naturellement très intéressés à l'idée d'accédé au savoir-faire de Carida. L'académie offrira d'importante revenus à la planète, tout en étant le garant qu'elle ne sera plus l'enjeu de conflit entre l'Empire et la Nouvelle République.
Leia savait qu'elle s'exposerai à de nouvelles vagues de critique en "rendant" aux caridans leur académie, mais elle était prête à en payer le prix, elle savait que si en face de Thoryn elle n'arrivait pas à dialoguer et à trouver des compromis, demain lorsque de plus grandes menaces arriveraient, ce serait peut-être l'Empire comme la République qui seraient balayés si il n'arrivaient pas à mettre de côté leurs différents.
Elle fit quelque pas et s'arrêta devant une imposante statue représentant Delaviel aux côtés de Palpatine, tout deux drapés d'apparats d'artefact Sith traditionnelles, les sculptures suffisaient à elles-mêmes d'inspirer la terreur, et rappelait les années de dominations Sith imbibés de fanatismes et d'abominations que la galaxie avaient connue avant leur chute. Leia hésita, puis se lança...
- J'aimerais vous demandé moi aussi quelque chose, une chose que seule vous pourraient faire.
Il se trouve que les archives impériales conservent actuellement les derniers vestiges de mon vaisseau personnel, le Tantive IV. Ce vaisseau à été saisi par le seigneur Vader, en 0BY, il a été démonté et ses composantes principales gardés au sein de vos archives sur Yaga Minor. Parmi ces vestiges il existe, un petit écrin, qui abrite une relique de ma famille, un joyau de petite taille, il serait un petit bijou à vos yeux, une pierre précieuse aux reflets rosée. Il s'agit de l'un des derniers objets qu'il me reste de ma famille disparue sur Alderaan. Le retrouver me permettrait de retrouver une partie d'eux...
Je sais que je n'ai rien le droit d'exiger de vous, mais je ne le demande pas en tant que Présidente de la Nouvelle République. Je ne pourrai oublier un tel geste de votre part, vous avez ma parole.
On pouvait sentir dans la voix de Leia que le ton avait changé, on n'entendait plus le ton assuré, ferme et déterminé du Chef d'Etat en négociation, mais celui d'une jeune femme, une jeune princesse, orpheline qui cherchait désespérément depuis plusieurs années de retrouver les dernières traces que sa prestigieuse et aimante famille adoptive avait laissé dans la galaxie.
Pour Carida, Thoryn demandait à Leia de faire une concession, celle de la réouverture de l'académie, pour Leia le sujet était particulièrement sensible, mais dans de telle négociation elle devait accepté de renoncer à une partie de ses prétentions pour que le dialogue soit possible, elle céda...
- Je comprends vos demandes pour Carida, et j'admets que le fait que nous ayons fait fermé l'académie à privé la planète d'une part importante de ses ressources, ce n'était peut-être pas l'acte le plus sage. Je pense pouvoir convaincre mon gouvernement qu'autorisé ce peuple à disposer de son académie de nouveau, est nécessaire au retour à des relations normales avec cette planète. Si cela vous semble juste, nous autoriseront les caridans à rouvrir l'académie, ils pourront dispensés à nouveau leur savoirs à tout citoyens de la galaxie. Ce que je proposerai pour éviter que l'activité de cette académie créer à nouveau des tensions, seraient que tout les élèves diplômés serait d'office inéligible à entré au service direct de l'armée de la Nouvelle République et de l'Empire. Ainsi l'académie profiterai à toute les planètes de la Galaxie, qui sont nombreuses pour ne pas dire la majorité à disposé de forces de défenses ou d'armée locales et qui seront naturellement très intéressés à l'idée d'accédé au savoir-faire de Carida. L'académie offrira d'importante revenus à la planète, tout en étant le garant qu'elle ne sera plus l'enjeu de conflit entre l'Empire et la Nouvelle République.
Leia savait qu'elle s'exposerai à de nouvelles vagues de critique en "rendant" aux caridans leur académie, mais elle était prête à en payer le prix, elle savait que si en face de Thoryn elle n'arrivait pas à dialoguer et à trouver des compromis, demain lorsque de plus grandes menaces arriveraient, ce serait peut-être l'Empire comme la République qui seraient balayés si il n'arrivaient pas à mettre de côté leurs différents.
Elle fit quelque pas et s'arrêta devant une imposante statue représentant Delaviel aux côtés de Palpatine, tout deux drapés d'apparats d'artefact Sith traditionnelles, les sculptures suffisaient à elles-mêmes d'inspirer la terreur, et rappelait les années de dominations Sith imbibés de fanatismes et d'abominations que la galaxie avaient connue avant leur chute. Leia hésita, puis se lança...
- J'aimerais vous demandé moi aussi quelque chose, une chose que seule vous pourraient faire.
Il se trouve que les archives impériales conservent actuellement les derniers vestiges de mon vaisseau personnel, le Tantive IV. Ce vaisseau à été saisi par le seigneur Vader, en 0BY, il a été démonté et ses composantes principales gardés au sein de vos archives sur Yaga Minor. Parmi ces vestiges il existe, un petit écrin, qui abrite une relique de ma famille, un joyau de petite taille, il serait un petit bijou à vos yeux, une pierre précieuse aux reflets rosée. Il s'agit de l'un des derniers objets qu'il me reste de ma famille disparue sur Alderaan. Le retrouver me permettrait de retrouver une partie d'eux...
Je sais que je n'ai rien le droit d'exiger de vous, mais je ne le demande pas en tant que Présidente de la Nouvelle République. Je ne pourrai oublier un tel geste de votre part, vous avez ma parole.
On pouvait sentir dans la voix de Leia que le ton avait changé, on n'entendait plus le ton assuré, ferme et déterminé du Chef d'Etat en négociation, mais celui d'une jeune femme, une jeune princesse, orpheline qui cherchait désespérément depuis plusieurs années de retrouver les dernières traces que sa prestigieuse et aimante famille adoptive avait laissé dans la galaxie.