- lun. 24 avr. 2017 22:43
#27584
- Alors que le wookie avait porté sa main à l’arbalète pour riposter, Tulkas s’était jeté sur lui et avait enserré sa tête entre ses pattes griffues, le forçant à essayer de prendre un angle incohérent. L’autre ne se laissait pas faire bien entendu, cherchant à étrangler le barabel. Le reptile était plus puissant et bientôt il imposa dans un geste sec un mouvement contraire à la tête du wookiee, brisant sa nuque dans un grand craquement. Il s’état ensuite adossé contre le mur, les bras croisés, admirant avec désinvolture son compagnon qui se débattait avec son wookiee. Ah, ces kaleesh… Si faibles… Toujours aussi théâtraux. Finalement il parvint à finir son ennemi, il semblait éreinté par l’effort :
- - Tu m’excuseras, j’ai pas vraiment ssssuivi le code. Le temps nous est compté, comme tu l’as ssssi bien dit tout à l’heure.
- Tu peux m'expliquer à quoi servait qu'on aille voir la clodo pour obtenir un pass si on choisit de toquer comme ça? Tu te réveilles à 44 ans pour te demander pourquoi on s'emmerde à récolter des infos avant d'aller au charbon? T'es pas indiscret Tulkas, c'est juste que t'es un con.
- J’étais d’accord avec sssse plan avant toi. Maintenant rentrons, à moins que tu veuilles...qu’on parte ?
Possible qu’il veuille rentrer, juste pour la possibilité de manger des chips ce con. Tulkas frappa à la porte à plusieurs reprises. Pas de réponses. Bien bien, soit y a personne derrière, soit ça voulait jouer. Il s’arma de son disrupteur Tenloss, prêt à défourailler et jeta un regard vers le Kaleesh, puis son fusil Outland :
- - Pourquoi tu continues à utiliser ssssette vieille merde ?
Son compagnon l’invita poliment à se faire enfiler, idée que Tulkas considéra avec sérieux l’espace d’un moment, mais choisit de différer, pour des questions pratiques. Ils s’appuyèrent tous deux contre la porte, prêts à l’enfoncer. Et après quelques secondes, ils passèrent à l’action…
...pour se trouver face à un lance-roquettes PLX-1 qui leur souriait.
- - P…
Il s’empara du col du Kaleesh et le balança derrière des machines à sous clandestines installées là à sa gauche, tandis que lui plongea sur la droite alors que le missile filait à travers l’entrée laissée ouverte par le deux, s’écrasant au loin contre le bâtiment qui leur faisait face. Le Barabel se tourna vers Kathrar pour lui adresser un regard ébahi : d’habitude c’était eux qui arrivaient chez les autres avec des tonnes d’explosifs, pas le contraire. Dans quoi est-ce qu’ils s’étaient fourrés encore ? Le servant du lance roquette était déjà en train de recharger.
- - On ssss’est mal démerdé… Pourtant on avait rien conssssédé !