- dim. 3 mai 2015 16:36
#17617
Pourquoi Balosar ? Pourquoi pas après tout ?
Il y en avait des endroits désolés sur cette galaxie et cet endroit en valait bien un autre. Il se passa la main sur le visage et se releva, s'avançant vers la fenêtre cassée de l'usine désaffectée où ils avaient élu domiciles. Du temps s'était écoulé depuis la dernière fois. La dernière fois que ?
Il se souvenait d'un moment sur Ry'loth, son être avait effrayé l'assemblée au milieu d'une cantina, il avait dû disparaître assez rapidement afin de limiter l'impact psychologique de son apparition.
Il aurait aimé fixer un soleil levant sur cette planète, au lieu de ça il devait se contenter d'une lueur rosâtre qui filtrait par touches fines dans les nuages omniprésents. Il inspira longuement et finit par sortir une cigarette qu'il cala entre ses lèvres. Encore une journée de merde qui s'annonçait, il allait devoir continuer inlassablement l'entraînement de sa protégée.
Que l'on se comprenne bien, il n'avait rien contre elle, ni même contre le fait de s'entraîner, c'était lui qui avait prit contact avec la jeune femme lorsqu'il avait pu ressentir le trouble dans la Force, un écho d’événements passés et futurs qui convergeaient vers elle. Non, ce qui l'emmerdait profondément, c'était de faire ça depuis au moins...
Il se trouvait incapable de dire depuis combien de temps ils se trouvaient tout deux dans cette usine désaffectée, il se rappelait de sa prise de contact, qui avait eu le don de surprendre la jeune femme, sensation qu'il sentait refaire surface assez régulièrement chez cette dernière d'ailleurs. Il pouvait comprendre, il aurait réagit de la même manière à sa place.
D'une certaine manière, ils étaient liés, depuis bien avant qu'ils se rencontrent.
Il tourna les talons et s'avança vers la couchette au fond de la pièce, la jeune femme s'y trouvait, visiblement éreintée par l'effet conjuguée de l'entraînement intensif qu'elle subissait doublé du peu de sommeil qu'il lui laissait à disposition, il fallait dire qu'en quelques sorte son état le laissait proche de l'insomnie et son maintien était bien entendu usant mais s'en dégager pour quelques heures suffisait pour faciliter le tout.
Il examina son visage fin, ses longs cheveux bruns ondulés qui tombaient en cascade, même assoupie, ou peut-être surtout, une certaine innocence se dégageait de ces traits. Il posa sa main sur son épaule et sa voix éraillée s'éleva dans les airs :
Il y en avait des endroits désolés sur cette galaxie et cet endroit en valait bien un autre. Il se passa la main sur le visage et se releva, s'avançant vers la fenêtre cassée de l'usine désaffectée où ils avaient élu domiciles. Du temps s'était écoulé depuis la dernière fois. La dernière fois que ?
Il se souvenait d'un moment sur Ry'loth, son être avait effrayé l'assemblée au milieu d'une cantina, il avait dû disparaître assez rapidement afin de limiter l'impact psychologique de son apparition.
Il aurait aimé fixer un soleil levant sur cette planète, au lieu de ça il devait se contenter d'une lueur rosâtre qui filtrait par touches fines dans les nuages omniprésents. Il inspira longuement et finit par sortir une cigarette qu'il cala entre ses lèvres. Encore une journée de merde qui s'annonçait, il allait devoir continuer inlassablement l'entraînement de sa protégée.
Que l'on se comprenne bien, il n'avait rien contre elle, ni même contre le fait de s'entraîner, c'était lui qui avait prit contact avec la jeune femme lorsqu'il avait pu ressentir le trouble dans la Force, un écho d’événements passés et futurs qui convergeaient vers elle. Non, ce qui l'emmerdait profondément, c'était de faire ça depuis au moins...
Il se trouvait incapable de dire depuis combien de temps ils se trouvaient tout deux dans cette usine désaffectée, il se rappelait de sa prise de contact, qui avait eu le don de surprendre la jeune femme, sensation qu'il sentait refaire surface assez régulièrement chez cette dernière d'ailleurs. Il pouvait comprendre, il aurait réagit de la même manière à sa place.
D'une certaine manière, ils étaient liés, depuis bien avant qu'ils se rencontrent.
Il tourna les talons et s'avança vers la couchette au fond de la pièce, la jeune femme s'y trouvait, visiblement éreintée par l'effet conjuguée de l'entraînement intensif qu'elle subissait doublé du peu de sommeil qu'il lui laissait à disposition, il fallait dire qu'en quelques sorte son état le laissait proche de l'insomnie et son maintien était bien entendu usant mais s'en dégager pour quelques heures suffisait pour faciliter le tout.
Il examina son visage fin, ses longs cheveux bruns ondulés qui tombaient en cascade, même assoupie, ou peut-être surtout, une certaine innocence se dégageait de ces traits. Il posa sa main sur son épaule et sa voix éraillée s'éleva dans les airs :
- « Debout, va falloir qu'on s'y r'mette. »