- lun. 11 nov. 2013 23:41
#4412
Les locaux carcéraux avaient plus que souffert lors de la prise de Coruscant. La stratégie payante de la Nouvelle République infligea de sévères commotions aux structures abritant les prisonniers de la planète-ville. Il était maintenant question d'effectuer l'exact opposé du susdit sabotage ; il fallait reconstruire ces prisons.
Certains bâtiments furent traités simultanément, et bien que totalement incapable d'aider en quoi que ce soit, Daklan insista pour être présente sur certains sites en chantier. Les premières tâches consistèrent à extraire les ruines inutiles pour les exporter hors de la zone ou de les réutiliser si leur état le permettait. Les ouvriers s'attelèrent d'abord sur les plus petits débris, avant de devoir utiliser certaines machines d'extraction pour les plus grosses parties délabrées.
Les ingénieurs et maîtres d’œuvre consultèrent par la suite les quelques plans des anciennes structures que l'on put retrouver dans les archives administratives. Leur but était avant tout de conserver l'infrastructure primaire tout en appliquant les normes actuelles en terme de sécurité de bâtiment. Tout ce qui était spécifique à une zone carcérale dans les domaines de la surveillance et de la protection des prisonniers fut également révisé entre experts et concepteurs. Puis les ouvriers furent divisés en groupes pour accomplir les diverses étapes de la remise en état, allant de l'élaboration des fondements à reconstruire jusqu'aux finitions appliquées aux façades.
Lorsque la Première Administratrice ne pouvait assister à certains moments de la reconstruction, elle fut avisée de l'avancement des travaux par de longs messages très techniques, dont elle essayait d'en saisir le sens. Au bout de quelques articles qu'elle tenta de déchiffrer en vain, elle demanda alors qu'on ne lui fasse parvenir que des abstracts vulgarisés.
La priorité d'une telle affaire mobilisa beaucoup d'hommes, mais fut accomplie avec une assiduité et un sérieux que la jeune femme savait reconnaître chez les quelques collaborateurs qu'elle avait employé pour ce projet. Elle s'occupa donc de transmettre les résultats et les dépenses d'une telle entreprise au Conseil.
Retrait de 25 millions de crédits des caisses de la Nouvelle République
Certains bâtiments furent traités simultanément, et bien que totalement incapable d'aider en quoi que ce soit, Daklan insista pour être présente sur certains sites en chantier. Les premières tâches consistèrent à extraire les ruines inutiles pour les exporter hors de la zone ou de les réutiliser si leur état le permettait. Les ouvriers s'attelèrent d'abord sur les plus petits débris, avant de devoir utiliser certaines machines d'extraction pour les plus grosses parties délabrées.
Les ingénieurs et maîtres d’œuvre consultèrent par la suite les quelques plans des anciennes structures que l'on put retrouver dans les archives administratives. Leur but était avant tout de conserver l'infrastructure primaire tout en appliquant les normes actuelles en terme de sécurité de bâtiment. Tout ce qui était spécifique à une zone carcérale dans les domaines de la surveillance et de la protection des prisonniers fut également révisé entre experts et concepteurs. Puis les ouvriers furent divisés en groupes pour accomplir les diverses étapes de la remise en état, allant de l'élaboration des fondements à reconstruire jusqu'aux finitions appliquées aux façades.
Lorsque la Première Administratrice ne pouvait assister à certains moments de la reconstruction, elle fut avisée de l'avancement des travaux par de longs messages très techniques, dont elle essayait d'en saisir le sens. Au bout de quelques articles qu'elle tenta de déchiffrer en vain, elle demanda alors qu'on ne lui fasse parvenir que des abstracts vulgarisés.
La priorité d'une telle affaire mobilisa beaucoup d'hommes, mais fut accomplie avec une assiduité et un sérieux que la jeune femme savait reconnaître chez les quelques collaborateurs qu'elle avait employé pour ce projet. Elle s'occupa donc de transmettre les résultats et les dépenses d'une telle entreprise au Conseil.
Retrait de 25 millions de crédits des caisses de la Nouvelle République
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