- mar. 27 nov. 2018 00:21
#34317
Toujours se méfier de l'eau qui dort comme dit le dicton. Et se méfier encore plus d'un joli minois qui semble tout à fait innocent mais qui serait capable de vous éventrer d'un simple regard si l'envie lui en prenait, tout souriant et qui réussirait l'exploit de rester propre alors même que vous vous videz de votre sang. Cette image quelque peu inquiétante correspondait tout à fait à la princesse dans l'esprit de la Sith, à ceci près que ça n'avait pas une connotation négative pour elle. Oui, elle était un peu cinglée sur les bords, personne ne prétendait le contraire.
Varadesh s'était attendue à ce que la belle tente de reprendre le dessus à l'ancienne, par la force ou bien par l'arme idéale pour une politicienne, la manipulation. En cela elle ne fut pas déçue du petit jeu que l'humaine se mit à jouer mais elle était loin de se douter à quel point celle-ci y était douée. Cela allait causer sa perte comme les événements le prouvèrent par la suite. Les manœuvres de la chandrillienne semblaient tout à fait innocentes, affectant une soumission feinte mais crédible quant à qui avait gagné. Il n'en était rien et seul un fou aurait baissé sa garde.
Toutefois, il était une chose que l'apprentie peinait à maîtriser plus encore que ses pouvoirs, c'était ses désirs. Jeune, impétueuse et passionnée, elle avait assimilé le Code Sith et la nécessité de contrôler ses pulsions. Il fallait libérer ses passions de l'âme contrairement à ce que préconisaient les fous de Jedi mais il ne fallait pas pour autant y succomber entièrement. La subtilité qui rendait les Sith si indubitablement supérieurs à leurs ennemis ancestraux résidait dans la capacité à lâcher la bride suffisamment mais jamais trop.
Et cette capacité faisait encore défaut à la jeune fille. Assimiler les préceptes était une chose, les appliquer avec discipline en était une autre. Aussi, lorsque le petit jeu de va et vient débuta avec la Prima qui ne cessait d'alterner angles d'attaque avec ses lèvres et replis faussement prudes, elle n'y vit que du feu. Sa tête lui soufflait que c'était une ruse mais son cœur n'en avait cure : elle désirait ardemment Alayna, voulait la posséder entièrement et sans la moindre modération.
Comment alors s'étonner de constater les gloussements qui sortirent de sa bouche lorsque la main libérée de la princesse lui chatouillait la peau, passant sous le tissu de son haut avec délicatesse ? Fallait-il préciser qu'à son grand embarras, la Sith était très chatouilleuse ? C'était maintenant visible de toute façon. Et lorsque les petits doigts agiles et délicats s'aventurèrent non loin d'une zone considérée comme le saint des saints du beau sexe, ses rires se firent plus pressants et elle gémit doucement. Elle désirait ardemment que cela ne finisse jamais tout en suppliant que cela prenne fin, un merveilleux paradoxe qui débordait ses sens.
Ni une ni deux, la chandrillienne trouva la faille dans la défense et s'immisça pour renverser la situation, prenant ainsi l'avantage et échangeant les rôles. Hoquetant, l'apprentie se retrouva au sol tandis que sa belle la dominait de sa taille, les yeux pétillant de malice et une expression de délectation sur ses magnifiques traits sculptés. Elle gagnait ce round, prenant ainsi une légère avance dans le score mais ce n'était que partie remise, elle ne perdait rien pour attendre la friponne.
Tu pourrais avoir bien plus que ça si tu le désirais ma chérie. Je peux être bien des choses pour toi, tu n'as qu'à formuler un souhait et je l'exaucerai.
Elle saisit les mains tendues d'Alayna et, avec une force surprenante compte tenu de son état d'ébriété et la fatigue après cette folle soirée, la releva, l'amenant ainsi en tête-à-tête. Elle entoura la taille de la princesse de ses bras et serra, la plaquant ainsi avec assurance contre elle, face à face. L'une de ses mains se promenait sans vergogne sur le tissu de la robe recouvrant les fesses tandis que l'autre était posée sur la joue de la Prima. Elle affichait un sourire ténu et pourtant aguicheur. Son corps brûlait de désir et elle avait à cœur de le transmettre à sa compagne.
Pour autant, le choix lui était librement donné. La soirée pouvait se terminer de plusieurs façons différentes. L'un de ces chemins les conduisait au vaisseau de la Pantoran et à une folle nuit passionnée, un autre les menait au palais ou le sommeil les gagnerait simplement, l'une lovée dans les bras de l'autre, un autre les menait à reprendre leur route séparément tandis qu'un dernier les voyait continuer la soirée vers un autre lieu de divertissement, quel qu'il put être.
Oui, Alayna était libre de choisir ce qu'elle voulait que Varadesh soit pour elle. Une amie, une amante, un soutien, une simple passade. Tout dépendait du désir qu'elle souhaitait combler.
Varadesh s'était attendue à ce que la belle tente de reprendre le dessus à l'ancienne, par la force ou bien par l'arme idéale pour une politicienne, la manipulation. En cela elle ne fut pas déçue du petit jeu que l'humaine se mit à jouer mais elle était loin de se douter à quel point celle-ci y était douée. Cela allait causer sa perte comme les événements le prouvèrent par la suite. Les manœuvres de la chandrillienne semblaient tout à fait innocentes, affectant une soumission feinte mais crédible quant à qui avait gagné. Il n'en était rien et seul un fou aurait baissé sa garde.
Toutefois, il était une chose que l'apprentie peinait à maîtriser plus encore que ses pouvoirs, c'était ses désirs. Jeune, impétueuse et passionnée, elle avait assimilé le Code Sith et la nécessité de contrôler ses pulsions. Il fallait libérer ses passions de l'âme contrairement à ce que préconisaient les fous de Jedi mais il ne fallait pas pour autant y succomber entièrement. La subtilité qui rendait les Sith si indubitablement supérieurs à leurs ennemis ancestraux résidait dans la capacité à lâcher la bride suffisamment mais jamais trop.
Et cette capacité faisait encore défaut à la jeune fille. Assimiler les préceptes était une chose, les appliquer avec discipline en était une autre. Aussi, lorsque le petit jeu de va et vient débuta avec la Prima qui ne cessait d'alterner angles d'attaque avec ses lèvres et replis faussement prudes, elle n'y vit que du feu. Sa tête lui soufflait que c'était une ruse mais son cœur n'en avait cure : elle désirait ardemment Alayna, voulait la posséder entièrement et sans la moindre modération.
Comment alors s'étonner de constater les gloussements qui sortirent de sa bouche lorsque la main libérée de la princesse lui chatouillait la peau, passant sous le tissu de son haut avec délicatesse ? Fallait-il préciser qu'à son grand embarras, la Sith était très chatouilleuse ? C'était maintenant visible de toute façon. Et lorsque les petits doigts agiles et délicats s'aventurèrent non loin d'une zone considérée comme le saint des saints du beau sexe, ses rires se firent plus pressants et elle gémit doucement. Elle désirait ardemment que cela ne finisse jamais tout en suppliant que cela prenne fin, un merveilleux paradoxe qui débordait ses sens.
Ni une ni deux, la chandrillienne trouva la faille dans la défense et s'immisça pour renverser la situation, prenant ainsi l'avantage et échangeant les rôles. Hoquetant, l'apprentie se retrouva au sol tandis que sa belle la dominait de sa taille, les yeux pétillant de malice et une expression de délectation sur ses magnifiques traits sculptés. Elle gagnait ce round, prenant ainsi une légère avance dans le score mais ce n'était que partie remise, elle ne perdait rien pour attendre la friponne.
Tu pourrais avoir bien plus que ça si tu le désirais ma chérie. Je peux être bien des choses pour toi, tu n'as qu'à formuler un souhait et je l'exaucerai.
Elle saisit les mains tendues d'Alayna et, avec une force surprenante compte tenu de son état d'ébriété et la fatigue après cette folle soirée, la releva, l'amenant ainsi en tête-à-tête. Elle entoura la taille de la princesse de ses bras et serra, la plaquant ainsi avec assurance contre elle, face à face. L'une de ses mains se promenait sans vergogne sur le tissu de la robe recouvrant les fesses tandis que l'autre était posée sur la joue de la Prima. Elle affichait un sourire ténu et pourtant aguicheur. Son corps brûlait de désir et elle avait à cœur de le transmettre à sa compagne.
Pour autant, le choix lui était librement donné. La soirée pouvait se terminer de plusieurs façons différentes. L'un de ces chemins les conduisait au vaisseau de la Pantoran et à une folle nuit passionnée, un autre les menait au palais ou le sommeil les gagnerait simplement, l'une lovée dans les bras de l'autre, un autre les menait à reprendre leur route séparément tandis qu'un dernier les voyait continuer la soirée vers un autre lieu de divertissement, quel qu'il put être.
Oui, Alayna était libre de choisir ce qu'elle voulait que Varadesh soit pour elle. Une amie, une amante, un soutien, une simple passade. Tout dépendait du désir qu'elle souhaitait combler.