- mer. 4 mars 2015 14:52
#16637
"La République, au service de la Liberté de la Paix et de la Justice" - Devise de la Nouvelle République Galactique
Instinctivement Arial avait ouvert ses yeux, et s'étaient redressée. Elle s'en voulait d'avoir eu cette connexion, et en une fraction de seconde elle étouffa une pensée qui regrettait même sa venue ici. Elle pensait en apprendre sur la force et non sur son passé. A croire que tout était liée, l'un n'allait pas sans l'autre, elle le retiendrai assurément.
On lui demandait de faire le premier pas vers une démarche de pardon, impensable pour le moment. Il y avait une seconde, elle ne pensais même pas à ses parents, ignorant jusqu’à la simple possibilité qu'ils existent encore.
Mais elle le savait maintenant, elle avait beau nier, elle avait ouvert une brèche, la boite de pandore était ouverte. Car pendant cette connexion établis par la Force, presque son insu, elle avait ressentis la vie. Était-ce celle de sa mère ? De son père ? Peut-être même celle des deux ? C'était déjà beaucoup pour elle, elle aurai à digérer tout ça. Les sages lui en demandait pourtant plus, mais elle ne réussis pas.
Elle se leva, s'excusa milles fois, bouleversée, et demanda à prendre la pause sans délais, elle ne tenait pas à continuer dans ce domaine. Elle avait déjà appris énormément pendant cette journée, et il lui fallait du temps pour que le tout décante un peu dans son esprit.
Elle quitta les sous-sols du temple, et remonta vers les niveau supérieur, elle se mis instinctivement à courir vers un balcon, vers le soleil et l'air frais. Elle acheva sa course les mains sur une des rambardes du balcon en quasi-ruine. Sa respiration se faisait forte et accélérée, elle cherchai son souffle, à se calmer. Elle était fatigué de tout ça, et avait besoin juste de calme, calme autour d'elle, et calme dans ses pensées. Ses yeux se perdaient dans la végétation environnante, regardant des oiseaux concevoir leur nid avec soin, observant les plantes éclore en douceur sous les invitations mielleuses des rayons du soleil local. Ces choses simple l’apaisèrent, après une bonne heure, elle décida de sauter du balcon dans un des jardins luxuriants et abandonnés, elle y cueillis quelque fruit, de sorte de se faire un repas digne de ce nom, puis s'allongea dans un parterre de fleures mêlées de mousses folles. Elle ne réalisa pas combien de temps elle dormis, mais elle sentis bien le froid de la nuit entrecouper ses rêves calmes. Elle se leva au petit matin, et ainsi Arial laissa passer plusieurs jours, elle cessa de les compter, elle alternait, méditation simple, reprenant les exercice des maîtres, du moins tous sauf celui qu'elle avait refuser. Elle fit plusieurs entrainement physique. Et se nourris des délices de la flore locale. Une fois qu'elle se sentis prête à reprendre, elle regagna les sous-terrains secrets du Temples, les Sages l'y attendaient, comme si ils n'avaient pas bougés, il savait quand elle serait prête. Leur demandant de faire l'impasse sur l'exercice concernant le pardon, elle leur demanda de poursuivre, consciente qu'elle ne résoudrai pas cette question ce jour là, et elle l'avait sentis, ce ne serait pas sur Dorin, mais ailleurs, où la Force lui imposerai cette confrontation.
Elle était prête pour poursuivre.
On lui demandait de faire le premier pas vers une démarche de pardon, impensable pour le moment. Il y avait une seconde, elle ne pensais même pas à ses parents, ignorant jusqu’à la simple possibilité qu'ils existent encore.
Mais elle le savait maintenant, elle avait beau nier, elle avait ouvert une brèche, la boite de pandore était ouverte. Car pendant cette connexion établis par la Force, presque son insu, elle avait ressentis la vie. Était-ce celle de sa mère ? De son père ? Peut-être même celle des deux ? C'était déjà beaucoup pour elle, elle aurai à digérer tout ça. Les sages lui en demandait pourtant plus, mais elle ne réussis pas.
Elle se leva, s'excusa milles fois, bouleversée, et demanda à prendre la pause sans délais, elle ne tenait pas à continuer dans ce domaine. Elle avait déjà appris énormément pendant cette journée, et il lui fallait du temps pour que le tout décante un peu dans son esprit.
Elle quitta les sous-sols du temple, et remonta vers les niveau supérieur, elle se mis instinctivement à courir vers un balcon, vers le soleil et l'air frais. Elle acheva sa course les mains sur une des rambardes du balcon en quasi-ruine. Sa respiration se faisait forte et accélérée, elle cherchai son souffle, à se calmer. Elle était fatigué de tout ça, et avait besoin juste de calme, calme autour d'elle, et calme dans ses pensées. Ses yeux se perdaient dans la végétation environnante, regardant des oiseaux concevoir leur nid avec soin, observant les plantes éclore en douceur sous les invitations mielleuses des rayons du soleil local. Ces choses simple l’apaisèrent, après une bonne heure, elle décida de sauter du balcon dans un des jardins luxuriants et abandonnés, elle y cueillis quelque fruit, de sorte de se faire un repas digne de ce nom, puis s'allongea dans un parterre de fleures mêlées de mousses folles. Elle ne réalisa pas combien de temps elle dormis, mais elle sentis bien le froid de la nuit entrecouper ses rêves calmes. Elle se leva au petit matin, et ainsi Arial laissa passer plusieurs jours, elle cessa de les compter, elle alternait, méditation simple, reprenant les exercice des maîtres, du moins tous sauf celui qu'elle avait refuser. Elle fit plusieurs entrainement physique. Et se nourris des délices de la flore locale. Une fois qu'elle se sentis prête à reprendre, elle regagna les sous-terrains secrets du Temples, les Sages l'y attendaient, comme si ils n'avaient pas bougés, il savait quand elle serait prête. Leur demandant de faire l'impasse sur l'exercice concernant le pardon, elle leur demanda de poursuivre, consciente qu'elle ne résoudrai pas cette question ce jour là, et elle l'avait sentis, ce ne serait pas sur Dorin, mais ailleurs, où la Force lui imposerai cette confrontation.
Elle était prête pour poursuivre.