- mar. 28 nov. 2017 21:09
#30568
La pierre ne sait pas pourquoi le burin la fend ; l'acier ne sait pas pourquoi la flamme le brûle.Lorsque ta vie est fendue et brûlée, remercie le destin pour ses épreuves qui ont forgé ton être.
Longtemps ... le terme approprié pour cette rencontre plutôt inattendue. Un viel ami, si je pouvais me permettre de le nommer ainsi ; venait de me délivrer une invitation à un repas par holo pour parler du bon vieux temps.
Pour moi ce n'était plus qu'une vielle connaissance voilà se qu'il était devenue à mes yeux. Rien de plus qu'un visage, un nom et quelques souvenirs en commun. Rien de bien exceptionnel.
J'espère pouvoir recréer des liens avec lui, c'est l'une des seules personnes qui compte vraiment à mes yeux. Ce serait regrettable pour lui comme pour moi de voir nos routes se séparer de nouveaux.
Jeunes nous avions été ensemble dans l'Académie Impériale. Hélas le rythme trop soutenue de celle-ci eut raison de ce jeune Impérial, lui faisant quitter sa formation 2 ans plus tard. Désormais il s'était attelé à la gestion d'information venant de l'Holonet pour une émission diffusé essentiellement dans l'Empire avant de devenir lui-même présentateur de la même émission.
Autant dire que sa vie a prit un virage des plus étonnants.
Un métier passionnant certes mais beaucoup trop chronophage pour ce jeune homme récemment père de famille.
Erol Keithel ! Le nom m'était enfin revenu. Un jeune homme ayant jadis un tempérament de feu, un optimisme à tout épreuve et quelque peu allumeur mais la fougue de la jeunesse se calmit assez rapidement devant la rigueur de la formation.
D'après les rumeurs et les ragots que j'avais pu entendre, il avait abandonné ses idéos de jeunesse eux qui me plaisaient tant. Et sa vision actuelle de l'armée, serait loin de me plaire .
J'espère secrètement ne pas à avoir à aborder ce sujet mais il est fort probable que cet espoir se relève être vain.
Qu'il en soit ainsi, je ne vais quand même rester éternellement devant la porte d'entrée.
D'une simple pression sur la sonnette de la résidence, celle-ci libéra une douce mélodie, prévenant les locataires de l'arrivée de leur invité.
Erol Keithel
Erol leva la voix à l'attention de son ancienne amie.
La porte s'ouvrit sans la moindre difficulté, une bouffée de chaleur me fouette le visage. La sensation est loin d'être désagréable bien au contraire, le contraste de température entre l'extérieur et l'entrée me chatouille le visage.
Si il y a bien une chose que je n'ai pas réussit oublier c'est bien ce sourire charmeur et ses yeux verts amandes qui vous sondent et vous met à nue d'un simple coup d'œil.
Habillé de manière raffiné et classe, il faisait parfois tourner les têtes de certaines jeunes filles mais hélas pour lui note bourreau des cœurs se faisait souvent réprimander pour son manque de discernement.
Par le passé il avait tenté sa chance avec moi mais il avait rapidement abandonné voyant que ses avances ne pouvait faire naitre des sentiments à son égards.
Il avait finalement décidé de rester sur une relation amicale même si par moment, il ne pouvait s'empêcher de lancer des petites piques histoire de voir si il pouvait retenter sa chance.
Il fut pendant un court lapse de temps la personne à qui se "confier", l'épaule sur laquelle s'écraser dans les moments difficiles.
La main droite sur mon épaule et l'autre sur mon flanc gauche, il m'embrassa la joue comme n'importe quel ami.
Lors de se bref contact physique je pus noter que ses lèvres étaient assez proches des miennes, il n'avait vraiment pas changé.
Plus jeune il aimait me déstabiliser en me collant ou en faisant se genre de chose, je pense qu'il en partit responsable de ma répulsion envers les personnes tactiles.
Normalement je n'accepterai pas se genre de comportement à mon égard mais j'ai fini par prendre l'habitude avec lui et c'est bien la seule personne qui a la chance faire ce genre de chose.
Se déplaçant lentement, fermant la porte en appuyant sur un bouton, il marcha d'un avec élégance poussant mon bassin afin de m'inviter à le suivre.
Pas après pas, je vis le décor s'offrir à mes yeux, un salon spacieux, une décoration somptueuse avec beaucoup de gout et de raffinement.
Surement celui de sa femme, l'on pouvait voir par l'agencement des meubles qu'il y avait une touche féminine ; tout était à sa juste, tout était organisé. Ce qui était loin du caractère d'Erol quand il était encore un simple étudiant.
Je pris place dans un sofa en cuir des plus confortables. Mes yeux écarlates absorbés par les flammes qui dansaient à seulement quelques mètres de moi dans une cheminée marchant avec un gaz inconnue, qui tintait les flammes d'une lueur mauve.
Tout en me bombardant le corps de vagues de chaleurs successives, me tendant un verre remplit d'un liquide couleur pêche.
Je le pris à mes lèvres attendant l'arrivé de la compagne d'Erol qui ne serait tarder.
Pour moi ce n'était plus qu'une vielle connaissance voilà se qu'il était devenue à mes yeux. Rien de plus qu'un visage, un nom et quelques souvenirs en commun. Rien de bien exceptionnel.
J'espère pouvoir recréer des liens avec lui, c'est l'une des seules personnes qui compte vraiment à mes yeux. Ce serait regrettable pour lui comme pour moi de voir nos routes se séparer de nouveaux.
Jeunes nous avions été ensemble dans l'Académie Impériale. Hélas le rythme trop soutenue de celle-ci eut raison de ce jeune Impérial, lui faisant quitter sa formation 2 ans plus tard. Désormais il s'était attelé à la gestion d'information venant de l'Holonet pour une émission diffusé essentiellement dans l'Empire avant de devenir lui-même présentateur de la même émission.
Autant dire que sa vie a prit un virage des plus étonnants.
Un métier passionnant certes mais beaucoup trop chronophage pour ce jeune homme récemment père de famille.
Erol Keithel ! Le nom m'était enfin revenu. Un jeune homme ayant jadis un tempérament de feu, un optimisme à tout épreuve et quelque peu allumeur mais la fougue de la jeunesse se calmit assez rapidement devant la rigueur de la formation.
D'après les rumeurs et les ragots que j'avais pu entendre, il avait abandonné ses idéos de jeunesse eux qui me plaisaient tant. Et sa vision actuelle de l'armée, serait loin de me plaire .
J'espère secrètement ne pas à avoir à aborder ce sujet mais il est fort probable que cet espoir se relève être vain.
Qu'il en soit ainsi, je ne vais quand même rester éternellement devant la porte d'entrée.
D'une simple pression sur la sonnette de la résidence, celle-ci libéra une douce mélodie, prévenant les locataires de l'arrivée de leur invité.
Erol Keithel
Erol leva la voix à l'attention de son ancienne amie.
C'est ouvert ! Entre donc Ariès ... Brrr il fait froid c'est temps-ci.
Compris
La porte s'ouvrit sans la moindre difficulté, une bouffée de chaleur me fouette le visage. La sensation est loin d'être désagréable bien au contraire, le contraste de température entre l'extérieur et l'entrée me chatouille le visage.
Si il y a bien une chose que je n'ai pas réussit oublier c'est bien ce sourire charmeur et ses yeux verts amandes qui vous sondent et vous met à nue d'un simple coup d'œil.
Habillé de manière raffiné et classe, il faisait parfois tourner les têtes de certaines jeunes filles mais hélas pour lui note bourreau des cœurs se faisait souvent réprimander pour son manque de discernement.
Par le passé il avait tenté sa chance avec moi mais il avait rapidement abandonné voyant que ses avances ne pouvait faire naitre des sentiments à son égards.
Il avait finalement décidé de rester sur une relation amicale même si par moment, il ne pouvait s'empêcher de lancer des petites piques histoire de voir si il pouvait retenter sa chance.
Il fut pendant un court lapse de temps la personne à qui se "confier", l'épaule sur laquelle s'écraser dans les moments difficiles.
La main droite sur mon épaule et l'autre sur mon flanc gauche, il m'embrassa la joue comme n'importe quel ami.
Lors de se bref contact physique je pus noter que ses lèvres étaient assez proches des miennes, il n'avait vraiment pas changé.
Plus jeune il aimait me déstabiliser en me collant ou en faisant se genre de chose, je pense qu'il en partit responsable de ma répulsion envers les personnes tactiles.
Normalement je n'accepterai pas se genre de comportement à mon égard mais j'ai fini par prendre l'habitude avec lui et c'est bien la seule personne qui a la chance faire ce genre de chose.
Je vois que Madame s'est améliorée depuis le temps ! Ces 2 années passées à mes côté l'aurait-elle endurcit ?
Et je vois que Monsieur ne change pas! Toujours aussi mauvais garçon ! J'ai cru comprendre que tu avais trouvé une partenaire et une perle rare d'après ce que l'on m'a dit. Bien joué ! J'ai bien cru que tu n'y arriverais pas !
Tu sais que c'est dangereux de me défier Ariès ... tu pourrais perdre tes plumes mais heureusement pour toi... J'ai une femme, un enfant et un travail qui me plait, si tu me regrettes, tu te diras que tu as raté le meilleur coup de ta vie.
Se déplaçant lentement, fermant la porte en appuyant sur un bouton, il marcha d'un avec élégance poussant mon bassin afin de m'inviter à le suivre.
Pas après pas, je vis le décor s'offrir à mes yeux, un salon spacieux, une décoration somptueuse avec beaucoup de gout et de raffinement.
Surement celui de sa femme, l'on pouvait voir par l'agencement des meubles qu'il y avait une touche féminine ; tout était à sa juste, tout était organisé. Ce qui était loin du caractère d'Erol quand il était encore un simple étudiant.
Je pris place dans un sofa en cuir des plus confortables. Mes yeux écarlates absorbés par les flammes qui dansaient à seulement quelques mètres de moi dans une cheminée marchant avec un gaz inconnue, qui tintait les flammes d'une lueur mauve.
Tout en me bombardant le corps de vagues de chaleurs successives, me tendant un verre remplit d'un liquide couleur pêche.
Je le pris à mes lèvres attendant l'arrivé de la compagne d'Erol qui ne serait tarder.