- mer. 23 oct. 2013 21:23
#3424
<< De duis Kim Jong Un ! Du va desdegder mon audoïdé ! >>
Précédemment, sur Swor...
Utozz Prime Brewery... Ou Première Brasserie d'Utozz dans la langue de... euh... il n'existe malheureusement pas. Mais c'est mieux que dans la langue de... de... euh... Bah il existe pas non plus. Mais c'est mieux.
La PBU, comme toute entreprise qui vendait de l'alcool bon marché et de mauvais goût, avait connu une expansion fulgurante, la bière ça rapportait régulièrement et sans discontinuer. Mais à l'annonce d'une éventuelle nationalisation, les patrons de la boîte restèrent interdits. On les nationalisait, eux ? Et puis quoi encore ? On les rendait public, tant qu'on y était ! Aussi envoyèrent-ils un message assez salé :
[font=Comic Sans Ms]« A la dirigeante de Merisee et à son conseil de vieillards séniles aussi Rustres que mal éduqués,
La nationalisation ne se fera que sous une condition : c'est qu'elle n'aura pas lieu. Vous voyez, on aime bien exporter les produits sans avoir à payer des frais d'exportation, et on aime bien faire comprendre qu'on fait du buziness, pas de la politique... Si vous nationalisez, on trouvera un autre coin où s'installer ! La bière on peut la faire avec n'importe quoi, on sortirait une bière à la poodoo de bantha que ça se vendrait toujours aussi bien ! Alors si vous tenez à le faire, faites ! Vous verrez ce qu'on en dira !
Allez tchâo bande de »[/font]
La suite n'était plus nécessaire. Bon, la nationalisation de CETTE entreprise c'était pas une bonne idée. Mais d'autres furent plutôt d'accord :
Delat Personal Electronics, vendeur de datapad et d'holoprojecteurs souffrait de la concurrence, mais vendait bien ses produits sur tout les domaines. Le Sénat était équipé chez eux, c'était une marque de prestige. Sans gros revenus mensuels, la nationalisation pouvait faire naître l'espoir d'un meilleur équilibre économique...
Un peu comme Coyn Shipyards, petit fabricant de vaisseaux en séries limitées. Très limitées même. Mais bon, si c'était pour fournir une trentaine de chasseurs par mois, pourquoi pas... Mais la boîte ne détenait quasiment aucun brevet.
Et Radell Mining Corporation, la société minière qui avait mis en faillite ses deux concurrentes, Imperial Mining Limited et Elrood Quarry Corporation, puisait bien dans les ressources naturelles et payait bien ses employés. Enfin, il fallait voir ce que tout ça pouvait rapporter... Mais occupons-nous de PBU avant tout, voulez-vous ?
Utozz Prime Brewery... Ou Première Brasserie d'Utozz dans la langue de... euh... il n'existe malheureusement pas. Mais c'est mieux que dans la langue de... de... euh... Bah il existe pas non plus. Mais c'est mieux.
La PBU, comme toute entreprise qui vendait de l'alcool bon marché et de mauvais goût, avait connu une expansion fulgurante, la bière ça rapportait régulièrement et sans discontinuer. Mais à l'annonce d'une éventuelle nationalisation, les patrons de la boîte restèrent interdits. On les nationalisait, eux ? Et puis quoi encore ? On les rendait public, tant qu'on y était ! Aussi envoyèrent-ils un message assez salé :
La nationalisation ne se fera que sous une condition : c'est qu'elle n'aura pas lieu. Vous voyez, on aime bien exporter les produits sans avoir à payer des frais d'exportation, et on aime bien faire comprendre qu'on fait du buziness, pas de la politique... Si vous nationalisez, on trouvera un autre coin où s'installer ! La bière on peut la faire avec n'importe quoi, on sortirait une bière à la poodoo de bantha que ça se vendrait toujours aussi bien ! Alors si vous tenez à le faire, faites ! Vous verrez ce qu'on en dira !
Allez tchâo bande de »[/font]
La suite n'était plus nécessaire. Bon, la nationalisation de CETTE entreprise c'était pas une bonne idée. Mais d'autres furent plutôt d'accord :
Delat Personal Electronics, vendeur de datapad et d'holoprojecteurs souffrait de la concurrence, mais vendait bien ses produits sur tout les domaines. Le Sénat était équipé chez eux, c'était une marque de prestige. Sans gros revenus mensuels, la nationalisation pouvait faire naître l'espoir d'un meilleur équilibre économique...
Un peu comme Coyn Shipyards, petit fabricant de vaisseaux en séries limitées. Très limitées même. Mais bon, si c'était pour fournir une trentaine de chasseurs par mois, pourquoi pas... Mais la boîte ne détenait quasiment aucun brevet.
Et Radell Mining Corporation, la société minière qui avait mis en faillite ses deux concurrentes, Imperial Mining Limited et Elrood Quarry Corporation, puisait bien dans les ressources naturelles et payait bien ses employés. Enfin, il fallait voir ce que tout ça pouvait rapporter... Mais occupons-nous de PBU avant tout, voulez-vous ?