- sam. 4 janv. 2014 17:59
#6681
Entre un dédale de roche, le chemin en terre se perdait devant lui. Là à l’horizon, arborant une toge rouge vif, une silhouette le regardait. Le ciel était fumé, des murmures lui parvinrent, inaudible pour le moment, presque muet. La forme semblait s’avancer sans jamais se rapprocher comme posé sur un sol défilant tel un tapis. Le portrait de la personne s’afficha devant lui comme un flash, presque une image subliminale dont on ne peux retenir les traits.
C’était un rêve, à chaque fois le même. À chaque fois les murmures devinrent de plus audibles, et à chaque fois il se réveillait en sueur dans son lit d’enfance, dans sa chambre de sa planète natale, de son foyer… Il était rentré chez ses parents depuis largement trois mois. Décrire la réaction de ses parents comme heureuse aurait été bien sur un doux euphémisme. Sa mère avait pleuré à chaudes larmes de bonheur, son père n’y avait presque pas cru, jusqu’à que Kanjis le sers dans ses bras. Une fête avait été réalisé à son honneur et à celle des cinquantaine d'affranchis qui l’avait suivis. La plupart car, eux, n’avait plus de famille, le reste surement qu’il avait cru en lui.
Mais maintenant ses rêves étaient de plus en plus nets. Jusqu’à une nuit où les murmures se transforment en un mot. Un seul. Merisee
Une semaine après il avait décidé de partir pour cette planète qu’il n’avait jamais vue… pour un rêve… ? Cela semblait étrange, même pour ses parents, mais il sentait qu’il devait trouver le pourquoi. Sa famille lui avait manqué mais il avait maintenant un objectif fixé et déclarer sur le croiseur de la république, un but forger à la lueur des épées et à la couleur du sang. L’enfant qui avait quitté sept ans plus tôt Cathar avait changé.
Arriver sur la planète tôt le matin même avec son vaisseau de type Baudo qu’il avait renommé au simple nom de : Gladiator, il s’était renseigné au spatioport où il pourrait trouver un environnement montagneux de même type qu’il avait vu dans son rêve, et pour savoir ce que disait les habitants du coin la dessus. Il apprit alors qu’une chaîne de montagne, la plus haute était souvent évitée par les randonneurs remplis de mythes et d’histoire. Piètre piste, mais il décida de commencer par là et loua une motojet et on lui indiqua la route à suivre.
L’après-midi bien entamé-il dut abandonner son véhicule qui ne pouvait plus passer par des chemins étroits. Ainsi il continua son ascension à pied, espérant ne pas s’être fait complètement abuser par un rêve idiot…
La montagne montait à pique, verte puis grise, elle semblait presque vouloir le recouvrir. Dans un frôlant de doigt contre la roche poussiéreuse pourtant, il sentit comme un écho, un vent qui la traversa, qui lui fit hérisser les poils et instinctivement après ses années de combat il ne put s’empêcher de se mettre en position de défense. Il continua, sur ses gardes, ses yeux orange à l’affut, quelque chose était là et dans un mouvement typique de fauve il sentit l’air avec son museau comme pour chercher sa proie.
C’était un rêve, à chaque fois le même. À chaque fois les murmures devinrent de plus audibles, et à chaque fois il se réveillait en sueur dans son lit d’enfance, dans sa chambre de sa planète natale, de son foyer… Il était rentré chez ses parents depuis largement trois mois. Décrire la réaction de ses parents comme heureuse aurait été bien sur un doux euphémisme. Sa mère avait pleuré à chaudes larmes de bonheur, son père n’y avait presque pas cru, jusqu’à que Kanjis le sers dans ses bras. Une fête avait été réalisé à son honneur et à celle des cinquantaine d'affranchis qui l’avait suivis. La plupart car, eux, n’avait plus de famille, le reste surement qu’il avait cru en lui.
Mais maintenant ses rêves étaient de plus en plus nets. Jusqu’à une nuit où les murmures se transforment en un mot. Un seul. Merisee
Une semaine après il avait décidé de partir pour cette planète qu’il n’avait jamais vue… pour un rêve… ? Cela semblait étrange, même pour ses parents, mais il sentait qu’il devait trouver le pourquoi. Sa famille lui avait manqué mais il avait maintenant un objectif fixé et déclarer sur le croiseur de la république, un but forger à la lueur des épées et à la couleur du sang. L’enfant qui avait quitté sept ans plus tôt Cathar avait changé.
Arriver sur la planète tôt le matin même avec son vaisseau de type Baudo qu’il avait renommé au simple nom de : Gladiator, il s’était renseigné au spatioport où il pourrait trouver un environnement montagneux de même type qu’il avait vu dans son rêve, et pour savoir ce que disait les habitants du coin la dessus. Il apprit alors qu’une chaîne de montagne, la plus haute était souvent évitée par les randonneurs remplis de mythes et d’histoire. Piètre piste, mais il décida de commencer par là et loua une motojet et on lui indiqua la route à suivre.
L’après-midi bien entamé-il dut abandonner son véhicule qui ne pouvait plus passer par des chemins étroits. Ainsi il continua son ascension à pied, espérant ne pas s’être fait complètement abuser par un rêve idiot…
La montagne montait à pique, verte puis grise, elle semblait presque vouloir le recouvrir. Dans un frôlant de doigt contre la roche poussiéreuse pourtant, il sentit comme un écho, un vent qui la traversa, qui lui fit hérisser les poils et instinctivement après ses années de combat il ne put s’empêcher de se mettre en position de défense. Il continua, sur ses gardes, ses yeux orange à l’affut, quelque chose était là et dans un mouvement typique de fauve il sentit l’air avec son museau comme pour chercher sa proie.
« Comment un homme peut-il mieux mourir,
Qu'en affrontant un destin contraire, pour les cendres de ses aïeux, et les temples de ses dieux »
Qu'en affrontant un destin contraire, pour les cendres de ses aïeux, et les temples de ses dieux »