- lun. 9 mars 2020 12:30
#37394
"Mon Maître m’a dit un jour, que chaque événement, aussi isolé soit-il,
n'est en réalité qu’une infime partie d’une plus grande fresque."
Fiche de Force - PNJ - Inventaire
Meilleur Forceux - Joueur - Rôliste - Membre 2020
Cela faisait plusieurs jours maintenant. Je me remettais petit à petit de mes blessures. Merar était douée. Sans elle, j’aurais eu bien du mal à guérir. J’avais beaucoup de chance de l’avoir rencontrée. Elle remplissait à merveille son rôle de copilote et de médecin de bord. Sans compter que plus j’apprenais à la connaitre et plus je l’appréciais. Elle était de bonne compagnie, intelligente et fiable. Ça faisait du bien de pouvoir se reposer sur quelqu’un. Avec Hayley, elle était sans doute la seule à savoir exactement ce qui m’était arrivé. Je lui accordais toute ma confiance et avec le temps, elle se rendait compte qu’elle pouvait avoir confiance en moi également. Avec Loki, le petit marsupial, mon vaisseau commençait à prendre vie. J’avais trop longtemps erré dans ses recoins comme un fantôme. Ce n’était pas pour me déplaire. Même quand la raison de son réveil était un petit animal affamé. Loki était monté sur ma couchette, me grattant l’oreille pour que je me lève. Je savais ce qu’il réclamait. Et il était temps que je sorte du lit.
« Oui... Oui... Je me lève. On va te trouver quelque chose à manger. »
Je me redressais lentement. Mon dos était encore ankylosé suite à mon combat dans l’arène de Grakkus. Mais je m’en étais sorti de justesse cette fois encore. Il allait falloir que je trouve une solution à ce problème. Je doutais qu’il continue d’envoyer ses chasseurs de prime à ma poursuite. Et ma récente victoire n’allait pas arranger les choses. Et puis maintenant, il y avait ce Sith qui en avait également après moi. Et Nyssa... L’ex- inquisitrice, autrefois mon amie, voulait ma mort également... J’étais loin d’être sorti d’affaire. D’autant plus avec mon problème de concentration. Je sentais que j’avais fait des progrès. Surement grâce à l’enseignement de la Jedi Verte. Mais c’était loin d’être suffisant. J’avais toujours du mal à faire appel à la Force. Le bloquage persistait. Je travaillais régulièrement dessus. C’était sûrement ce qui m’avait aidé contre mes adversaires, mais ça ne fonctionerait pas à chaque fois. Nyssa l’avait bien prouvée.
« Oui... Oui... Je me lève. On va te trouver quelque chose à manger. »
Je me redressais lentement. Mon dos était encore ankylosé suite à mon combat dans l’arène de Grakkus. Mais je m’en étais sorti de justesse cette fois encore. Il allait falloir que je trouve une solution à ce problème. Je doutais qu’il continue d’envoyer ses chasseurs de prime à ma poursuite. Et ma récente victoire n’allait pas arranger les choses. Et puis maintenant, il y avait ce Sith qui en avait également après moi. Et Nyssa... L’ex- inquisitrice, autrefois mon amie, voulait ma mort également... J’étais loin d’être sorti d’affaire. D’autant plus avec mon problème de concentration. Je sentais que j’avais fait des progrès. Surement grâce à l’enseignement de la Jedi Verte. Mais c’était loin d’être suffisant. J’avais toujours du mal à faire appel à la Force. Le bloquage persistait. Je travaillais régulièrement dessus. C’était sûrement ce qui m’avait aidé contre mes adversaires, mais ça ne fonctionerait pas à chaque fois. Nyssa l’avait bien prouvée.
« Tu cherche quelque chose ? »
La Nautolan était entrée dans la cuisine et m’observait tandis que je fouillais dans une caisse, à la recherche de fruits pour le marsupial. Elle souriait tout le temps. C’était un vrai réconfort de l’avoir à bord et je ne pus m’empêcher de sourire en retour.
« Salut. Je cherche les fruits de Loki. Tu les as rangés où ? »
« Juste ici. Attends, je vais les prendre. »
Elle attrapa un bocal qui contenait les baies. Loki sauta de mon épaule pour la rejoindre. J’étais content qu’il l’ait adopté elle aussi. Ça me faisait deux amis. C’était déjà ça dans ce monde où tout le monde semblait vouloir me faire la peau.
« Alors ? Comment vont tes blessures ? »
« Beaucoup mieux, merci. Tu es vraiment douée, tu sais... »
« Il faut bien que mes études de médecine me servent à quelque chose, non ? Après tout mes parents ont payés pour ça. »
« A quel point tes parents sont-ils riches déjà ? »
« Suffisamment pour financer mes missions humanitaires et l’entretien de ton vaisseau. »
« Et bien je ne vais pas m’en plaindre Votre Altesse. »
Un clin d’oeil et elle laissa échappé son rire cristallin. Elle avait beau avoir plus ou moins coupé les ponts avec sa famille sur Glee Anselm. Il n’en restait pas moins qu’elle était noble de naissance et que ses parents malgré la distance faisait leur possible pour récupérer leur fille. C’est-à-dire qu’il lui envoyait régulièrement des crédits pour lui rappeler qu’elle en aurait plus si elle revenait. Mais Merar avait fait le choix de prendre ses propres décisions. Elle voulait vivre sa vie et non pas celle imposée par sa famille. Je n’avais rien à y redire et elle savait qu’elle pouvait compter sur moi pour la soutenir en cas de besoin.
« Au fait, nous arriverons bientôt. »
« Parfait ! Merci. Je vais étudier un peu plus les restes du sabre avant qu’on atterrisse. »
Depuis mon évasion de l’arène, je passais beaucoup d’heure avec l’arme brisée du Jedi Rodrale Badba. D’une façon que je ne m’expliquais pas encore, j’avais mis la main dessus en combattant les sbires du Hutts. Je ne m’étais pas attendu à affronter un adversaire avec une sabre laser. Mais il n’était pas un Jedi et je n’avais pas eu de difficulté à récupérer l’arme. Malheureusement, elle s’était brisée pendant le combat. Mais j’avais conservé ce qu’il en restait. Une... Sensation étrange m’avait convaincu de le faire. J’avais passé du temps à l’étudier, essayant de comprendre ce qui semblait m’appeler. Après plusieurs heures, j’avais fini par ressentir une vibration dans la Force. Il fallait que je me rende sur Naboo. C’était là que je pourrais trouver mes réponses.
La Nautolan était entrée dans la cuisine et m’observait tandis que je fouillais dans une caisse, à la recherche de fruits pour le marsupial. Elle souriait tout le temps. C’était un vrai réconfort de l’avoir à bord et je ne pus m’empêcher de sourire en retour.
« Salut. Je cherche les fruits de Loki. Tu les as rangés où ? »
« Juste ici. Attends, je vais les prendre. »
Elle attrapa un bocal qui contenait les baies. Loki sauta de mon épaule pour la rejoindre. J’étais content qu’il l’ait adopté elle aussi. Ça me faisait deux amis. C’était déjà ça dans ce monde où tout le monde semblait vouloir me faire la peau.
« Alors ? Comment vont tes blessures ? »
« Beaucoup mieux, merci. Tu es vraiment douée, tu sais... »
« Il faut bien que mes études de médecine me servent à quelque chose, non ? Après tout mes parents ont payés pour ça. »
« A quel point tes parents sont-ils riches déjà ? »
« Suffisamment pour financer mes missions humanitaires et l’entretien de ton vaisseau. »
« Et bien je ne vais pas m’en plaindre Votre Altesse. »
Un clin d’oeil et elle laissa échappé son rire cristallin. Elle avait beau avoir plus ou moins coupé les ponts avec sa famille sur Glee Anselm. Il n’en restait pas moins qu’elle était noble de naissance et que ses parents malgré la distance faisait leur possible pour récupérer leur fille. C’est-à-dire qu’il lui envoyait régulièrement des crédits pour lui rappeler qu’elle en aurait plus si elle revenait. Mais Merar avait fait le choix de prendre ses propres décisions. Elle voulait vivre sa vie et non pas celle imposée par sa famille. Je n’avais rien à y redire et elle savait qu’elle pouvait compter sur moi pour la soutenir en cas de besoin.
« Au fait, nous arriverons bientôt. »
« Parfait ! Merci. Je vais étudier un peu plus les restes du sabre avant qu’on atterrisse. »
Depuis mon évasion de l’arène, je passais beaucoup d’heure avec l’arme brisée du Jedi Rodrale Badba. D’une façon que je ne m’expliquais pas encore, j’avais mis la main dessus en combattant les sbires du Hutts. Je ne m’étais pas attendu à affronter un adversaire avec une sabre laser. Mais il n’était pas un Jedi et je n’avais pas eu de difficulté à récupérer l’arme. Malheureusement, elle s’était brisée pendant le combat. Mais j’avais conservé ce qu’il en restait. Une... Sensation étrange m’avait convaincu de le faire. J’avais passé du temps à l’étudier, essayant de comprendre ce qui semblait m’appeler. Après plusieurs heures, j’avais fini par ressentir une vibration dans la Force. Il fallait que je me rende sur Naboo. C’était là que je pourrais trouver mes réponses.
Je me retrouvais donc devant le sabre une fois de plus. Il n’avait plus grand chose à m’apprendre. Il avait appartenu à un ami. Un chevalier Jedi que j’avais connu avant la Purge. Il était mort à présent. Mais j’avais longtemps travaillé avec lui. À l’époque, nous avions un projet ambitieux, quoi qu’utopique. Il voulait retrouver Ruusan le monde perdu des Jedi. Mais nos recherches n’avaient rien donné. Maintenant qu’il n’était plus, je doutais que ses recherches aient beaucoup avancé ; Le sabre ne m’avait pas donné beaucoup de réponse. Quand bien même je me concentrais, saisissant du bout des doigts le flux de Force qui le parcourait. Tout ce que je savais, c’était qu’il fallait que j’aille sur Naboo, et plus précisément à Theed. Même maintenant, en restant concentré, je n’en savais pas plus...
La planète Natale de Rodrale m’en apprendrait sûrement plus. Il était temps de préparer l’atterrissage. Je me rendais donc au cockpit. Merar m’y attendait. Elle avait déjà fait quelques préparatifs. L’avantage était que Naboo entretenait de forts liens avec la République. Nous ne risquions pas grand-chose à nous y rendre. Actionnant les différentes commandes, je faisais sortir le vaisseau de l’hyperespace. J’avais toujours été un bon pilote. Surement grâce à la Force. Je me faisais guider, suivant mon intuition. Cela m’avait toujours permis de trouver le bon chemin, le bon angle d’approche. Aussi, l’Hermes se dirigea vers la Capital, jusqu’à se poser sans encombre dans le statioport de la ville.
La planète Natale de Rodrale m’en apprendrait sûrement plus. Il était temps de préparer l’atterrissage. Je me rendais donc au cockpit. Merar m’y attendait. Elle avait déjà fait quelques préparatifs. L’avantage était que Naboo entretenait de forts liens avec la République. Nous ne risquions pas grand-chose à nous y rendre. Actionnant les différentes commandes, je faisais sortir le vaisseau de l’hyperespace. J’avais toujours été un bon pilote. Surement grâce à la Force. Je me faisais guider, suivant mon intuition. Cela m’avait toujours permis de trouver le bon chemin, le bon angle d’approche. Aussi, l’Hermes se dirigea vers la Capital, jusqu’à se poser sans encombre dans le statioport de la ville.
Pouvoir de la Force :
- Navigation [Pratiqué]
n'est en réalité qu’une infime partie d’une plus grande fresque."
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