- mar. 20 sept. 2016 23:00
#23777
Dans l’immensité de la galaxie, les actes s’entrecroisés, et leurs conséquences créaient d’inséparables destins. A l’instant où dans la vie de Maya un jeune garçon avait fait renaître un espoir intangible jusqu’alors, bien d’autres vies étaient bousculées, secouées ou balayées. Personne ne pouvait comprendre à quel point ses actions pouvaient entrainer de lointaines conséquences. L’omniscient seul connaissait les dénouements de chaque histoire. Lui seul savait que l’amour d’un Jedi avait amené une guerre sanglante. Lui seul connaissait les conséquences tragiques de quelques mots livrés à l’oreille de personnes faillibles. Comme il avait vu un jeune garçon mourir à cause d’une promesse de Maya. Et l’univers était retord. Presque sadique. On pouvait penser avoir raison et foncer sur un précipice. On pouvait vouer sa vie à la liberté et amener la mort à ses proches. Et parfois, poussait par des raisons louables, on tracer un futur différent, improbable, presque impossible. Reniant le passé et ses souvenirs, ne gardant que des rêves couverts de triste constats, et des sourires, ternis, fades, ultime vestige d’antique espoir.
**
La jeune femme était à son bureau quand elle avait appris la nouvelle. La rumeur était vite arrivée jusque Chandrila. Un roi, celui d’Imperatrice Teta, avait disparu lors de son voyage. Il avait semble-t-il quitté le noyau profonde pour le nord galactique, et d’après les murmures, il n’était jamais arrivé. Dès qu’elle avait su, une étrange sensation l’avait envahi. Entre le noyau et le nord ne se trouvait que les Colonies. Son fief. Elle avait rapidement contacté les flottes de patrouilles, les croiseurs de surveillances et ceux de sauvetage mais rien. Bien sûr, un détour non prévu était possible et rien ne prouvait quoi que ce soit. Mais tout cela arriver à l’un des pires moments possibles. Deux jours auparavant, elle avait reçu un jeune garçon dans le salon d’honneur. Son message avait réveillé un espoir assombri par le temps.
Mais dans les nouvelles du jour avaient une nouvelle fois assombri le cœur de la Princesse. Si la rumeur venait à se confirmer, les tensions connaitraient un regain. Et une fois de plus, ses administrés se retrouveraient au cœur du conflit. Elle mobilisa donc ses ressources. De ses propres services, aux contacts qu’elle avait gardés dans le 7e bureau, l’administratrice fit tout ce qu’elle pouvait pour résoudre le mystère. Dans son être, une peur instinctive avait pris en otage son bonheur. En un éclair, elle voyait ses efforts s’effondrait, et le sans recommençait à couler.
**
La nouvelle était venue de façon imprévisible. Tard, un soir, la princesse avait reçu un message de Leia. Celle-ci avoué avoir capturé le roi et le détenir. Un mélange de soulagement, de surprise et de colère saisi Maya. Son amie était donc la cause de tout cela ? Avait-elle pensé aux possibles conséquences ? Les Colonies étaient en première ligne et les seins seraient vites sous les menaces.
- « A quoi tu joues Leia…. »
Maya finit de lire le message avant de se lever et de marcher vers la baie vitrée par laquelle la lueur du ciel étoilait pénétrait dans la pièce. Leia détenait donc le roi sur Onderon. Au cœur des Colonies. La nouvelle était dure à lire. Leia était une amie de longue date. Elle l’avait vu grandir et marcher dans les pas de son père. Maya avait suivi la jeune femme dans son combat. De tout temps, l’une et l’autre s’étaient soutenu durant les longues et difficiles années de guerre. Elles s’étaient battues pour construire une nouvelle galaxie. Cette république, qu’elles avaient tant voulue. Ces libertés qu’elles avaient tant désirées. Et même, il y a encore quelques mois, pour cette paix dont elle avait tant rêvé.
- « Leia… »
Les yeux rougis, la jeune femme ne comprenait pas ce qui s’était passé. Pourquoi avoir risqué de capturer ce roi ? Il y avait d’autres méthodes. La violence n’était pas la voie. Le regard dans le vague, elle se dirigea vers le bureau qu’elle avait délaissé quelques instants auparavant. D’un geste si habituel, la princesse pris en main son communicateur.
- « Madame ? »
- « Préparez le Rêve d’Harmonie pour un voyage vers Onderon. Nous partons maintenant, je vous rejoins. »
- « Maintenant ?! Mais madame… »
- « Certaines choses ne peuvent attendre. »
**
Quand la princesse de Chandrila arriva sur Onderon, le soleil se levait à peine sur la planète. Elle n’eut aucun mal à rejoindre le lieu indiqué par Leia. Les contrôles de suretés ne furent que formalité pour la jeune femme. Maya et la présidente avait tant était vu ensemble, qu’elle connaissait à présent la plupart des gardes de son amie. Elle se retrouva donc bientôt au cœur du dispositif et alla à la rencontre de la présidente.
Un mélange de peur et de colère avait pris les battements de son cœur en otage. Apprendre les motivations de Leia provoqué chez elle une peur presque instinctive. Qu’arriverait il si Leia s’écartait de la voie de la paix ? Si leur rêve devenait une chimère d’un autre temps ? Le tremblement qu’elle ressentait au niveau de sa jugulaire lui rappelait la colère qu’elle avait ressentie en apprenant la nouvelle. Capturez un roi, et l’emprisonner, c’était mettre en route le compte à rebours d’une bombe qu’on ne maîtriserait jamais.
Quand elle vu son amie, son visage refusa de se parer de son sourire habituel. Sa tension l’empêcha d’exposer les signes de sympathie dont elles avaient l’habitude. Au lieu de ça le ton froid de Maya claqua, explosant au passage tout espoir que cette visite soit juste amicale.
- « Leia. Il est là ? Pourquoi à tu fais ça Leia ? Pourquoi ? Je ne comprends pas. Ce n’est pas comme ça que la paie arrivera. Qu’est-ce qu’il t’a pris ? »
La jeune femme était à son bureau quand elle avait appris la nouvelle. La rumeur était vite arrivée jusque Chandrila. Un roi, celui d’Imperatrice Teta, avait disparu lors de son voyage. Il avait semble-t-il quitté le noyau profonde pour le nord galactique, et d’après les murmures, il n’était jamais arrivé. Dès qu’elle avait su, une étrange sensation l’avait envahi. Entre le noyau et le nord ne se trouvait que les Colonies. Son fief. Elle avait rapidement contacté les flottes de patrouilles, les croiseurs de surveillances et ceux de sauvetage mais rien. Bien sûr, un détour non prévu était possible et rien ne prouvait quoi que ce soit. Mais tout cela arriver à l’un des pires moments possibles. Deux jours auparavant, elle avait reçu un jeune garçon dans le salon d’honneur. Son message avait réveillé un espoir assombri par le temps.
Mais dans les nouvelles du jour avaient une nouvelle fois assombri le cœur de la Princesse. Si la rumeur venait à se confirmer, les tensions connaitraient un regain. Et une fois de plus, ses administrés se retrouveraient au cœur du conflit. Elle mobilisa donc ses ressources. De ses propres services, aux contacts qu’elle avait gardés dans le 7e bureau, l’administratrice fit tout ce qu’elle pouvait pour résoudre le mystère. Dans son être, une peur instinctive avait pris en otage son bonheur. En un éclair, elle voyait ses efforts s’effondrait, et le sans recommençait à couler.
La nouvelle était venue de façon imprévisible. Tard, un soir, la princesse avait reçu un message de Leia. Celle-ci avoué avoir capturé le roi et le détenir. Un mélange de soulagement, de surprise et de colère saisi Maya. Son amie était donc la cause de tout cela ? Avait-elle pensé aux possibles conséquences ? Les Colonies étaient en première ligne et les seins seraient vites sous les menaces.
- « A quoi tu joues Leia…. »
Maya finit de lire le message avant de se lever et de marcher vers la baie vitrée par laquelle la lueur du ciel étoilait pénétrait dans la pièce. Leia détenait donc le roi sur Onderon. Au cœur des Colonies. La nouvelle était dure à lire. Leia était une amie de longue date. Elle l’avait vu grandir et marcher dans les pas de son père. Maya avait suivi la jeune femme dans son combat. De tout temps, l’une et l’autre s’étaient soutenu durant les longues et difficiles années de guerre. Elles s’étaient battues pour construire une nouvelle galaxie. Cette république, qu’elles avaient tant voulue. Ces libertés qu’elles avaient tant désirées. Et même, il y a encore quelques mois, pour cette paix dont elle avait tant rêvé.
- « Leia… »
Les yeux rougis, la jeune femme ne comprenait pas ce qui s’était passé. Pourquoi avoir risqué de capturer ce roi ? Il y avait d’autres méthodes. La violence n’était pas la voie. Le regard dans le vague, elle se dirigea vers le bureau qu’elle avait délaissé quelques instants auparavant. D’un geste si habituel, la princesse pris en main son communicateur.
- « Madame ? »
- « Préparez le Rêve d’Harmonie pour un voyage vers Onderon. Nous partons maintenant, je vous rejoins. »
- « Maintenant ?! Mais madame… »
- « Certaines choses ne peuvent attendre. »
Quand la princesse de Chandrila arriva sur Onderon, le soleil se levait à peine sur la planète. Elle n’eut aucun mal à rejoindre le lieu indiqué par Leia. Les contrôles de suretés ne furent que formalité pour la jeune femme. Maya et la présidente avait tant était vu ensemble, qu’elle connaissait à présent la plupart des gardes de son amie. Elle se retrouva donc bientôt au cœur du dispositif et alla à la rencontre de la présidente.
Un mélange de peur et de colère avait pris les battements de son cœur en otage. Apprendre les motivations de Leia provoqué chez elle une peur presque instinctive. Qu’arriverait il si Leia s’écartait de la voie de la paix ? Si leur rêve devenait une chimère d’un autre temps ? Le tremblement qu’elle ressentait au niveau de sa jugulaire lui rappelait la colère qu’elle avait ressentie en apprenant la nouvelle. Capturez un roi, et l’emprisonner, c’était mettre en route le compte à rebours d’une bombe qu’on ne maîtriserait jamais.
Quand elle vu son amie, son visage refusa de se parer de son sourire habituel. Sa tension l’empêcha d’exposer les signes de sympathie dont elles avaient l’habitude. Au lieu de ça le ton froid de Maya claqua, explosant au passage tout espoir que cette visite soit juste amicale.
- « Leia. Il est là ? Pourquoi à tu fais ça Leia ? Pourquoi ? Je ne comprends pas. Ce n’est pas comme ça que la paie arrivera. Qu’est-ce qu’il t’a pris ? »